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 RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ?

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MessageSujet: RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ?   RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ? Icon_minitimeDim 16 Jan 2011 - 14:55

RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE
D'UN CALIFAT ILLUMINATI ?






En ce moment, les évènements au Maghreb font la une des sites communautaristes et conspirationistes.
Si les soulèvements en cours sont tout à fait légitimes, je suis très suspicieuse en ce qui concerne leur origine.
Leur simultanéité, le départ relativement rapide de Ben Ali, le retour immédiat de Rached el Ghannouchi,... me font craindre le pire pour ces peuples.
Bien sûr, les sites dont je parlais plus haut s'en réjouissent, mais, si je partage leur point de vue sur les régimes en place dans ces pays, je n'ai pas du tout la même analyse en ce qui concerne le futur radieux de ces pays.

Je suis persuadée que ces soulèvements ont pour but l'instauration de régimes "islamistes" qui, loin d'être une chance pour ces peuples et une source de résistance au NWO, sera un pas de plus vers la troisième guerre mondiale et le "califat mondial", donc le NWO.

Au programme, donc, des guerres civiles (les Tunisiens et les Agériens sont en majorité opposés au retour des barbus), et les islamistes gagneront, car des armes tomberont miraculeusement du ciel entre leur main...



à la loupe http://www.forsane-alizza.com/toute-lactualite/les-tunisiens-appel-au-khilafat-que-les-menteurs-rentrent-chez-eux-7187
à la loupe https://www.facebook.com/pages/On-ne-veut-pas-des-integristes-dans-la-Tunisie-de-demain/193113074036511#!/pages/On-ne-veut-pas-des-integristes-dans-la-Tunisie-de-demain/193113074036511?v=wall







Cette vidéo étant interdite aux mineurs, vous devrez peut-être être inscrit et connecté à dailymotion
pour pouvoir la visionnner. Pour l'instant, ça a l'air de marcher.



Ce qui est fait à la Libye est un énorme crime composé d'une guerre agressive pour voler une nation, une campagne de meurtres horribles et une guerre psychologique pour tromper le peuple libyen et les peuples du monde.
Examinons ensemble de plus près ce que fait la propagande et disons au monde ce qui s'est réellement passé en Libye. Voici une chronologie des événements pertinents concernant la guerre contre la Libye, montrant que les mesures prises contre ce pays ne sont fondées sur rien d'autre que des mensonges.



2002 : Le département d'État américain a lancé le programme « MEPI » destiné à soutenir "les efforts de réforme" dans le monde arabe. Il a appuyé un large éventail d'opposants aux gouvernements souhaitant une transition vers la liberté, la démocratie et les droits de l'homme à la manière dont les États-Unis les conçoivent. Son but était de construire de plus en plus d'impact US sur les oppositions contre les régimes soutenus par les USA au cours des années, afin que lorsqu'un pays était prêt, les États-Unis pourraient remplacer une dictature parrainée par les USA par un autre nouveau régime toujours parrainé par les USA. La Libye a été l'un des objectifs de ces programmes.


2003 : L'armée américaine a désigné la Libye ainsi que d'autres pays comme "cibles pour un changement de régime par des moyens militaires". Au cours de ces mêmes années, s'est rassemblée autours des États-Unis une coalition de volontaires qui a lancé une guerre d'agression contre l'Irak qui était fondée sur une large propagande flagrante basés sur l'idée que l'Irak possède des armes de destruction massive. Voyant la destruction de l'Irak et la menace contre la Libye, cette dernière a abandonné tous les programmes militaires d'acquisition d'armes de dissuasion efficaces, a versé des millions de dollars aux États-Unis en réparation pour des crimes que la Libye n'a jamais commis, a permis aux entreprises de l'Ouest d'exploiter une partie du pétrole de la richesse de la Libye et a collaboré avec les américains pour tenter d'écraser la "résistance islamique" contre l'impérialisme US dans le monde entier. Ces ouvertures ont aidé les États-Unis à mettre le pied en Libye pour œuvrer au futur changement de régime.


2003 : Bien que les guerres dirigées par les États-Unis en Afghanistan et en Irak aient été un désastre pour les USA, le programme de changements pour le monde arabe a été poursuivi. L'étude des dossiers des services américains ont montré que le gouvernement US a secrètement soutenu les opposants aux gouvernements dans le monde arabe pour les aider à changer leurs gouvernements avec l'appui du gouvernement US. En Libye, les États-Unis ont utilisé leur présence limitée pour obtenir des contacts étroits avec des responsables libyens à partir des régions dominées par des tribus traditionnellement opposées au gouvernement à Tripoli comme le ministre de la justice Mustafa Mohammad Abduljalil, qui a affirmé que moins de négociations et plus d'action serait préférables contre le gouvernement libyen.


Mai 2005 : Selon Wikipedia, le Comité d'Organisation de la Conférence nationale de l'opposition libyenne (NClO) a tenu une série de réunions hebdomadaires pour discuter et élaborer un programme pour une conférence visant à "mettre sur pied des approches pratiques pour le suivi des nombreux efforts déployés par divers groupes politiques et individus libyens dans leur contestation de la soit-disant dictature libyenne" de Muammar al-Kadhafi. Jusqu'à récemment, Wikipedia savait que le NClO est composé de l'"Union constitutionnelle libyenne", une organisation revancharde basée à Londres dirigée par Muhammad as-Senoussi, un prétendant à la monarchie libyenne parrainé par la Colombie, la soi-disant "Ligue libyenne des droits de l'homme" basée à Genève, le soi-disant congrès libyen Tmazight (berbère) résidant dans une boîte aux lettres en Angleterre, et le NFSL, qui est notoirement connu pour être parrainé par la CIA . Le NClO utilise le drapeau de la monarchie libyenne renversé par la révolution du Fatah dirigé par Muamar Kadhafi. C'est le drapeau de leur organisation que l'on appelle "rebelle" qui est maintenant utilisé.


15 février 2008 : L'ambassade américaine à Tripoli a déclaré à Washington que des hauts fonctionnaires du gouvernement libyen ont affirmé que le contrôle sur la Libye de la part des extrémiste islamistes est peut être surestimé. La plupart des imams zélés ont tendance à prêcher dans de nombreuses petites mosquées rurales de banlieue, qui, en fin de compte ressemblent physiquement à des mosquées traditionnelles ailleurs dans le pays, reflétant dans le pseudo secret des loges traditionelles Sanussi, et sont donc difficiles à être identifiées et surveillées par les forces de sécurité libyennes. Les sermons dans les mosquées de l'Est, en particulier les "khutba du vendredi", sont lancées avec des phrases codées, invitant les fidèles à soutenir le djihad en Irak et ailleurs grâce à leur participation directe ou à travers de contributions financières. Les formulations employées sont souvent assez ambigües pour ne pas être rejetées, dit-il, mais pour les musulmans pieux, ils sont clairement incendiaires et sans ambiguïté en faveur du djihad. Les références directes et indirectes aux "opérations martyres" n'étaient pas rares.


Août 2010 : Les préparatifs états-uniens d'un gouvernement mondial nous a conduit à de vastes changements dans le monde arabe qui était dans une phase finale. Le Président des États-Unis Barack Obama délivre sa fameuse "Directive de 11 études", demandant aux agences du gouvernement américain de se préparer à des changements de régime dans le monde arabe. Le lobbyiste US-Israël David Ignatius écrit en Mars 2011: Ce document cité "prouve le mécontentement croissant des citoyens de la région contre le régime" et averti que "la région est entrée dans une période critique de transition."


20 octobre 2010 : Ancien loyaliste à Kadhafi, Nouri Massoud El-Mesmari est partit en exil en France et a persuadé les services secrets français d'utiliser ses contacts pour planifier une opération de changement de régime en Libye.


2 novembre 2010 : France et Royaume-Uni se sont engagés à unifier leurs forces armées et ont commencé les exercices militaires "Sud Mistral ", un jeu de guerre qui prévoyait un bombardement français et britannique du sud du pays par les airs et par la Méditerranée en Mars 2011, après un vote de résolution du conseil de l'ONU permettant l'attaque.


17 décembre 2010 : Après l'auto-immolation de Mohamed Bouazizi le 17 Décembre, des manifestations en Tunisie sont apparues contre la pauvreté et la corruption du gouvernement et en faveur d'élections libres et pour la liberté d'expression. Pour éviter que les manifestations apparaissent être entraînées par la propagande occidentale, le travail des médias était centré sur la promotion des appels à manifester lancés sur les sites de réseaux sociaux comme Twitter et Facebook. Le gouvernement tunisien a réagi aux manifestants dans un discours TV vide de sens et utilisa la violence des forces de sécurité pour écraser toutes les protestations. Ceux qui ont préparé le terrain pour le travail des médias de l'insurrection tunisienne ont été des activistes des médias sociaux financés et entraînés par les organisations de l'establishment américain comme Freedom House et le Congrès Islamique Américain. Scott Carpenter, homme du régime de GW Bush, membre du programme de changement MEPI, a confirmé publiquement que les États-Unis avaient fait beaucoup de choses afin de préparer l'insurrection en Tunisie et qu'il l'a fait très doucement, presque secrètement.


Janvier 2011 : Des conteneurs remplis d'armes, de munitions et d'explosifs et environ 1000 téléphones mobiles Thuraya sont passés en contrebande en Libye par le port de Misrata et distribué à l'aide de "Al-Naseem icecream Factory owned" par le clan familial Raiedha.


13 janvier 2011 : Rachid Ammar, chef d'état-major de l'armée tunisienne et qui entretien de bonnes relations avec l'armée américaine, a déclaré qu'il prend parti pour le soulèvement. Comme ses troupes se sont avérées être loyales envers le chef des opérations dans cette situation et que les militaires avaient plus d'hommes et de puissance de feu que la police et les forces de sécurité tunisiennes du président, avec la défection de Rachid Ammar, l'opération dirigée par un changement de régime US conduit en Tunisie avec succès à évincer le président tunisien de longue date, Ben Ali, un jour plus tard. Après que Ben Ali ait été évincé, la machine médiatique occidentale a été mise en branle afin de provoquer des soulèvements conduisant à un changement de régime dans d'autres pays cibles du MEPI.


25 janvier 2011 : Les médias occidentaux et la chaine TV Al-Jazira basée au Qatar, client des États-Unis, a promu avec succès un appel à manifestations massives en Egypte contre la "violente dictature de la police et la corruption du gouvernement dès le 25 Janvier 2011". Le lendemain, les Frères musulmans d'Égypte se sont lancés et ont appelé leurs membres et amis à soutenir le soulèvement contre le régime de Hosni Moubarak. Les forces de sécurité égyptiennes ont réagi avec une violence brutale contre les manifestants, tuant des centaines d'entre eux, usant de la violence et de propos délibérés sous fausse bannière des forces de sécurité en civil contre la population pour justifier la violence pour écraser les protestations. Le travail des médias de l'insurrection était dirigée par Al-Jazira, représentants du gouvernement de l'Ouest, jusqu'à ce que le président américain Barack Obama a ouvertement et publiquement soutenu le soulèvement. Ce n'est pas secret qu'ils ont exigé du président Hosni Moubarak de démissionner le 11 février 2011. Puisque les branches de l'armée ainsi que les Forces aériennes sont restées fidèles au président Hosni Moubarak, c'est le général Sami Hafez Enanles des forces militaires fidèles, chef d'état-major des forces armées, qui se trouvait, la semaine précédant le début du soulèvement égyptien, aux États-Unis pour des entretiens avec des hauts fonctionnaires US, qui a empêché le soulèvement en Égypte d'être écrasé par les forces de sécurité sur la place Tahrir au Caire. Pour éviter une guerre entre les différentes branches de l'armée, le Conseil militaire égyptien a organisé un coup d'État le 11 Février 2011, chassant le président Hosni Moubarak.


15 février 2011 : Deux jours avant un soulèvement annoncé sur Facebook, de violentes manifestations à Benghazi ont été vues en face de l'immeuble de sécurité de l'État, en faveur de l'avocat arrêté récemment, Fethi Tarbel, qui représente les victimes de 1996 de la prison d'Abou Salim. Les manifestations ont été dispersées par les forces de sécurité, sans aucune perte en vie humaine, mais faisant environ 38 personnes blessées. Selon un correspondant de France 24 basé à Benghazi, du journal privé Quryna, citant lui-même un certain Abdelkrim Gubaili, directeur d'un hôpital local, la plupart des blessés étaient membres des forces de la sécurité. France 24 a aussi cité des "témoins" anonymes, disant, selon France 24, que des rapports "difficiles à confirmer" font état de scène ou "les responsables de sécurité auraient foncé avec leur voiture dans la foule à grande vitesse." France 24 a également intégré une vidéo Youtube illustrant ses propos: "Les images sur YouTube du mardi matin montre des manifestants rassemblés devant une station de police de Benghazi où la panique balaie la foule et des coups de feu sont entendus. Non confirmé". Bien que la vidéo n'ait pas été confirmée, qu'une bande sonore faisant entendre des coups de feu peut être facilement ajoutée à une vidéo, avec allégation selon laquelle des forces de sécurité ont tiré sur ​​la foule, et cela en contradiction avec toutes les informations provenant de sources anonymes, le lien de cette vidéo a été largement répandu dans les médias sociaux, souvent qualifiée de preuve que "les forces de sécurité de Kadhafi" ont tiré sur la foule. Fait intéressant, cette vidéo qui a été présentée comme preuve des soit disant "crimes de Kadhafi" au début de l'insurrection en Libye, a été entre-temps - ainsi que nous en informe Youtube - "supprimée par l'utilisateur". Cette fausse vidéo a été l'un des moyens pour inciter les gens à la violence en Libye pour le soulèvement prévu.


17 février 2011 : Date prévue du début du soulèvement en Libye. Comme l'a clairement démontré l'appel anonyme sur une page de Facebook pour "un jour de colère", c'est à dire de violentes protestations, le drapeau de la monarchie a été utilisé en tant que symbole, depuis le début, affichant que cette pseudo révolution ne permettrait pas à la Libye d'accéder à la «prospérité», ainsi que les soit disant "rebelles" le prétendaient, et que l'objectif réel est de renverser le gouvernement libyen par une violente révolution. Le NClO prend part à l'organisation de l'insurrection. La chaine de télévision Al Jazeera du Qatar, tous les canaux des médias de l'Arabie saoudite et de l'ouest ont rapporté la publication de cette page sur Facebook afin d'en faire le maximum de publicité. Ainsi informé, des millions de gens ont pu être tenu au courant du soulèvement prévu. Dans différentes villes de la Libye, d'une centaine à plusieurs milliers de personnes sont sorties pour manifester contre le gouvernement. D'autres ont manifesté en faveur du gouvernement affimant leur soutien pour le gouvernement libyen. La propagation de fausses nouvelles par Al-Jazira, des appels anonymes sur les atrocités alléguées du gouvernement contre les manifestants anti gouvernement, ont chauffé l'ambiance de la foule comme la fausse vidéo des forces du gouvernement tirant sur la foule dès le 15 Février.

L'une des plus puissantes fausses allégations contre le gouvernement a été la rumeur propagée par la meurtrière Al Jazeera, Al Arabia, Press TV et les médias occidentaux selon lesquels le gouvernement a utilisé des "merceneries africains" pour écraser le soulèvement. Quand Human Rights Watch a envoyé tardivement Peter Bouckaert sur place pour parler avec les gens "noirs" arrêtés par les «rebelles» en tant que mercenaires et enquêter sur la revendication, il n'a trouvé aucune preuve confirmant les allégations des "rebelles" disant que le gouvernement a utilisé des mercenaires. Au lieu de cela, il a découvert que les 156 personnes "Noires" capturées par les "rebelles" et présentées à lui comme "mercenaires noirs", étaient en fait des soldats réguliers libyens venant du sud de la Libye, région où la plupart des gens sont noirs.

C'est dans les villes à "foyer djihadiste" dans le nord-est de la Libye, Benghazi, Ajdabiya, Al Beida, Derna et Tobrouk, où la justification de leurs actions par des allégations de la présence de faux mercenaires noirs a donné des scènes de lynchage précédés par une chasse à l'homme et toutes les personnes de couleur "noire" ont été arrêtées, maltraitées et tuées par les moyens les plus atroces avec des couteaux. Comme beaucoup de gens dans le pays riche de Libye ont des téléphones mobiles avec des caméras, une foultitude de personnes ont filmé ces crimes et les ont publiés sur les sites des médias sociaux comme signe de victoire.


Voici quelques vidéos montrant certains crimes et atrocités meurtrières contre les "Noirs", commises par des arabes islamistes "rebelles" soutenus par les occidentaux et sous les acclamations de la foule en colère au cours de ces derniers jours dans le nord-est de la Libye.


ATTENTION, VIDÉOS EXTRÊMEMENT CHOQUANTES !!!

Voici une video transférée le 19 Février 2011:


Le but de cette "lettre ouverte au peuple de France" est exactement le même que celui des islamistes qu'elle prétend dénoncer: la préparation de la troisième guerre mondiale en poussant au Djihad contre l'Occident. Ne vous laissez pas tromper par ce discours de sainte nitouche; regardez plutôt qui est vraiment Kadhafi et sa progéniture, les bonnes relations qu'ils entretiennent avec les plus pourries des élites occidentales, et vous comprendrez qu'ils sont au service des mêmes forces et que tout cette opposition apparente est du cinéma (pas pour les victimes de ces crimes planifiés par les deux camps, bien sûr).
étoile 1http://transition888.heavenforum.org/t385-doubles-jeux - post du Mar 21 Sep 2010

Et si la France est mise sous les projecteurs, c'est qu'ils ont l'intention que les islamistes y provoquent des ravages, lors de l'invasion planifiée. Ne comptez pas sur notre armée pour nous défendre; d'une part, "ils" se sont arrangés pour la disperser un peu partout dans le monde; d'autre part, une "voyance" (je chercherai de qui et le mettrai ici) dit que les responsables français trahiraient les militaires de leur propre nation pour faire gagner les envahisseurs.


Suivre attentivement les interventions à venir de la progéniture de Kadhafi sera à mon avis très instructif, à condition de garder à l'esprit qu'ils bossent pour le NWO.






RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ? Droite




« En signe d'apaisement, et à la suite de de l'intervention de Saif al Islam, un des fils de Kadhafi, plus de 900 détenus islamistes essentiellement originaires de cyrénaique, furent libérés; les 110 derniers furent élargis le 16 février 2011. Le lendemain, le 17, le soulèvement de la cyrénaique débuta par un attentat suicide contre une caserne de Benghazi, suivi de l'insurrection encadrée par des djihadistes, vite rejoints par une grande partie de la population qui se souvenait de la répression de 1993. »

Extrait d'un article de La Nouvelle Revue de l'Histoire.



C'est donc un des fils Kadhafi qui a fait libéré des détenus islamistes; et aussitôt après, l'insurrection débute.

Et sa soeur dénonce le rôle des réseaux islamistes en Libye! No comment...


Dernière édition par invitée le Dim 21 Juil 2013 - 15:57, édité 18 fois
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MessageSujet: Re: RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ?   RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ? Icon_minitimeLun 18 Juil 2011 - 17:00

LES TERRORISTES INTERNATIONAUX VONT-ILS AIDER LES ÉTATS-UNIS
À CONSTRUIRE « LE GRAND MOYEN-ORIENT » ?






RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ? 163046065

Cet article de Peter Iskenderov Ph.D., expert associé de recherche principal à Institut d’études slaves de l’Académie des sciences de Russie de la Strategic Culture Fondation, a été publié dans International Affairs Magazine.


Le dénommé « printemps arabe », qui a commencé comme une vague d’émeutes anti-gouvernementales en Tunisie et en Égypte, se développe maintenant en pleine conformité avec le scénario américain, son but principal étant de remodeler la géopolitique, que l’administration Bush a décrit comme le plan du « Grand Moyen-Orient ».

L’accent est mis sur le maintien de l’instabilité dans cette région à travers sa division territoriale progressive. En cas de succès, les alliés des États-Unis en Europe de l’Ouest pourraient avoir une chance de contrôler les ressources énergétiques énormes et les routes énergétiques, empêchant ainsi d’autres pays d’avoir leurs propres zones d’influence sur les territoires s’étendant du Maroc et de l’Algérie à l’Indonésie de l’ouest et aux Philippines. Cette tactique a été précédemment utilisée avec succès dans les Balkans.

Une nouvelle stratégie de sécurité nationale dévoilée par l’administration américaine prouve que nous sommes entrés dans une nouvelle phase de la révolution arabe. Le premier assistant de Barack Obama pour la lutte antiterroriste et la sécurité intérieure, John Brennan, a déclaré que Washington allait approfondir les liens avec les gouvernements du Yémen, de la Somalie, de Irak, du Pakistan, et de l’Afrique du Nord. Puis la secrétaire d’État américaine, Hillary Clinton, a expliqué de quels « gouvernements » ils voulaient parler: L’Association des Frères musulmans, ou plus simplement l’organisation islamiste des « Frères musulmans », qui cherche depuis longtemps le pouvoir en Égypte, est l’un d’entre eux. « Nous sommes ouvert… au dialogue avec ceux des membres des Frères musulmans qui veulent parler avec nous » , a déclaré Mme Clinton (voir sur le site de CNN également), sans mentionner toutefois les racines de ce groupe terroriste et ses liens avec Al-Qaïda, ainsi que l’embargo américain sur tout contact avec les Frères. Mais maintenant, les officiels américains sont autorisés à coopérer avec les membres de ce parti islamiste qui a été fondé en 1928 avec l’objectif principal de réclamer la « destinée manifeste de l’Islam, un empire, qui s’étend de l’Espagne à l’Indonésie ».


Un scénario semblable que l’Occident met désormais en œuvre en Libye. Là, les États-Unis ont choisi de coopérer avec le Groupe islamique combattant en Libye (GICL), fondé en 1970 comme une faction radicale contre le régime de Mouammar Kadhafi. Au milieu des années 1990, le GICL a rejoint Al-Qaïda, et leur unité a été officiellement confirmée en 2007. En date d’aujourd’hui, le GICL a une sorte d’aile politique – le Mouvement Islamique Libyen pour le Changement qui est à la recherche de leadership dans l’opposition à Benghazi et reçoit le soutien actif des États-Unis, de la France, et de l’OTAN. Une coopération entre l’Occident et les islamistes est également très active en Syrie, où les groupes radicaux sont censés jouer un rôle crucial dans le renversement du régime de Bachar al-Assad.

Il est important de mentionner ici quelle avait été l’attitude de l’Occident envers le développement de l’armée albanaise de libération du Kosovo (UCK). En 1998, lorsque le conflit du Kosovo échappait au contrôle de la communauté internationale, l’émissaire américain spécial pour les Balkans de l’époque, Robert Gelbard, déclara que l’UCK était « un groupe indubitablement terroriste ». Toutefois, cela n’a pas empêché Washington de coopérer avec elle, tout en essayant de renforcer ses positions au Kosovo et partout dans les Balkans. Après tout, l’ancien secrétaire au Foreign Office, Robin Cook, qui était également derrière la « nouvelle architecture du Kosovo », aurait dit que « les rebelles de l’UCK étaient aussi cruels que tous les autres insurgés dans l’histoire ». Aujourd’hui, ces « insurgés » peuvent être trouvés à Benghazi, ils sont membres de différents groupes islamistes. Il est probable que leurs noms ont été mentionnés au cours du récent sommet de l’Union africaine, lorsque la France a été avertie que les armes qu’elle fournissait à la région pourraient être saisies par Al-Qaïda.

Zbigniew Brzezinski a une fois appelé les territoires d’Afrique du Nord, du Moyen-Orient, du Caucase, d’Asie centrale les « Balkans eurasiens ». Il a dit que ces « Balkans eurasiens » étaient situés des deux côtés de la voie de transport majeure, qui était censé relier les régions les plus riches de l’Eurasie avec les meilleures zones industrielles de l’Ouest et les zones les plus éloignées de l’Est qui sont géopolitiquement importantes. Aujourd’hui, les tactiques employées autrefois dans les Balkans sont largement appliquées presque partout dans le monde. S’il y a un siècle les conflits plus épineux dans les Balkans ont été réglés par les superpuissances « comme leurs revendications territoriales dans les Balkans, la Méditerranée et le Moyen-Orient », maintenant nous assistons à une chose différente: les scénarios des Balkans servent de point de départ pour le processus de remodelage d’une immense région riche en ressources énergétiques.

(Les opinions exprimées dans cet article reflètent celle de l’auteur et pas nécessairement celles de l’agence de nouvelles RIA Novosti. RIA Novosti ne peut se porter garante des faits et des citations mentionnées dans cet article)

Source: en.rian.ru





source:
cligno étoile http://infoguerilla.fr/?p=11061#more-11061



Les dirigeants de ces "terroristes islamistes" sont tout simplement des Illuminati et n'ont de musulmans que le nom. Ils sont aussi musulmans que les Jésuites sont chrétiens, que les lamas tibétains sont bouddhistes, ou que les dirigeants sionistes sont juifs. Voir, par exemple, origine des "Frères Musulmans", celle de la "république islamiste" d'Iran,... etc Et, comme d'habitude, des gens du peuple, sincères, les suivent en pensant que les leaders de ces groupes défendent leur foi.

Ils n'aident pas les États-Unis, car ce ne sont pas les États-Unis qui décident quoique ce soit. Ils sont juste les "gendarmes", le bras armé. Svali en a parlé longuement: les États-Unis reçoivent leurs ordres d'Europe. Et encore, il s'agit des Illuminati qui s'occupent de la géopolitique et de l'économie. Parce qu'au-dessus d'eux, il y a le sommet "occulte", les "magiciens noirs" de la "Grande Fraternité Blanche"; et ceux-là, ils sont issus du monde entier (certaines lignées de la noblesse européenne, Vatican, Tibet, Turquie,...).

Ce « Grand Moyen-Orient », c'est tout simplement le fameux "Califat" des soi-disant prophéties de l'Islam. Je dis soi-disant, car il est évident que c'est un rajout des adorateurs de Baal; jamais, au grand jamais, Mohamed n'a mentionné, ni même vaguement évoqué, de tels évènements dans le Coran. Califat à la tête duquel on trouvera le "mahdi", autre innovation sataniste dans laquelle Ahmadinejad joue un rôle primordial, qui conduira des fidèles vers le « Grand Califat Mondial ». Donc, extermination des Juifs d'Israël et invasion de l'Occident QUE NOS ÉLITES LAISSERONT SE PRODUIRE. Les fresques de l'aéroport de Denver sont sans ambiguïté sur le rôle alloué au monde musulman.

Ce projet n'a rien à voir avec le contrôle des ressources énergétiques par les USA, qui sont appelés à être détruits, et les Illuminati les contrôlent déjà. Ils sont tous copains comme cochons - enfin, aussi copains que des requins peuvent l'être entre eux; mais pour leur survie et garder le contrôle de l'humanité, ils sont capables d'être unis, oui - et, les frontières, c'est pour nous, pas pour eux. Ce projet est directement lié à la troisième guerre mondiale et au projet Blue Beam. Et la Russie et la Chine y participent pleinement, mais en douce, tout en mettant tout ça sur le dos de l'Occident et en faisant semblant d'y être opposées. Tout ça fait partie du jeu.

Et les soi-disant informateurs comme Meyssan, Collon, Fulford,... jouent leur rôle dans cette mise en scène.
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MessageSujet: Re: RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ?   RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ? Icon_minitimeSam 22 Oct 2011 - 18:51

L'AGENDA ILLUMINATI SUIT SON COURS







Je n'ai pas continué à commenter l'évolution des "révolutions" colorées en cours dans les pays musulmans, car, comme ce topic l'avait expliqué dès le départ, elles suivent exactement le plan illuminati:

  • former le royaume n°7 en mettant des islamistes, faux musulmans, au pouvoir afin d'en faire le "califat" des "prophéties" de l'Islam; prophéties créées de toutes pièces par les satanistes, puisque jamais Mohamed n'a parlé d'un retour du califat, ni d'un mahdi, ni d'un retour du Messie, ni d'un califat mondial. Il y a de nombreux indices qui suggèrent que ce califat mondial n'est rien d'autre que le Nouvel Ordre Mondial.
    étoile 1 http://transition888.heavenforum.org/t489-islam-fondamentaliste-religion-mondiale-unique-du-nwo

  • provoquer la colère, la haine, la soif de vengeance,... des Musulmans contre l'Occident en vue des guerres civiles et de la troisième guerre mondiale à venir. Et là encore, de nombreux indices suggèrent qu'ils laisseront gagner le camp Monde Musulman/Chine/Russie.
    étoile 1 http://transition888.heavenforum.org/t604-pourquoi-la-chine-construit-elle-des-villes-geantes-inhabitees
    étoile 1 http://transition888.heavenforum.org/t655-laeroport-international-de-denver-et-ses-fresques



TUNISIE

Les Tunisiens vont voter demain, et la victoire du parti Ennahda est tout à fait prévisible. Non pas que les Tunisiens soient majoritairement pour les islamistes, au contraire: les sondages ne donnent qu'environ 20% d'intentions de vote en faveur de ce parti. Mais ils se sont arrangés pour proposer un seul parti islamiste, sur 48 listes, tandis que du côté démocratique/laïc, les voix des électeurs non islamistes seront complètement dispersées, ce qui permettra la victoire du parti de Ghannouchi. Ca fait partie des tours de passe-passe utilisés par les illuminati pour permettre à un courant minoritaire de remporter des élections.

Alors, bien sûr, les anti-islamistes pourraient se regrouper pour faire barrage aux islamistes, et ce serait tout à fait légal; mais d'une part, il est certain qu'une partie de ces partis anti-islamiques sont dirigés par des pro-NWO qui ne feront rien pour entraver le plan illuminati, d'autre part, le leader d'Ennahada a déjà montré à quel point il était respectueux de la volonté populaire:


Le parti islamiste Ennahda met en garde contre un risque de manipulation des résultats

Ennahda est donné favori des intentions de vote des élections de dimanche 23 octobre. Ce mercredi 19 octobre, Ennahda a mis en garde contre un « risque de manipulation des résultats » et menacé de faire descendre ses partisans dans la rue en cas de fraude. Après 30 ans d’interdiction, il dit donc clairement aujourd’hui qu’il n’acceptera pas qu’on lui vole une victoire.

C’est une mise en garde très claire d’Ennahda: en cas de fraude le parti fera descendre ses militants dans la rue. « Nous ferons tomber jusqu’à dix gouvernements, s’il le faut », a même annoncé Rachid Ghannouchi. Le leader islamiste évoque une hypothétique manipulation sachant qu’il fait peur à certains de ses concurrents.

Rachid Ghannouchi rappelle que les sondages le donne en tête. « Nous avons la majorité des voix », dit le leader islamiste sûr de lui. Il prévient aussi qu’il n’appréciera pas que des partis se rassemblent pour lui faire obstacle au cas où il remporterait l’élection « ce serait un coup de force contre la démocratie », dit-il. Rachid Ghannouchi se dit cependant ouvert à un gouvernement d’union nationale pour assurer un consensus maximum durant la transition.

Cette remise en cause de la transparence du scrutin a immédiatement provoqué une réponse de deux grands partis, le PDP et Ettakatol qui ont renouvelé leur confiance à l’instance qui organise les élections et qui rappellent que les alliances font partie du jeu démocratique.

Les déclarations de ce mercredi ont en tout cas montré qu’Ennahda n’entendait pas se laisser doubler dans la course au pouvoir. Mais en étant sur la défensive, le parti fait preuve aussi d’un manque de sérénité dont s’étonnent certaines formations politiques.

cligno multicolore http://www.rfi.fr/afrique/20111019-elections-tunisie-le-parti-islamiste-ennahda-met-garde-contre-risque-manipulation-r


***

Après les intimidations du parti Ennahda, tollé dans la classe politique

Rached Ghannouchi a averti, mercredi, que son parti n’acceptera pas les résultats s’il s’avère qu’il y a manipulation l Les acteurs politiques ont condamné les propos de Ghannouchi, considérés par les uns et les autres comme source de fitna, ou encore une manière insidieuse d’influer sur les électeurs.


Quel sens donner aux menaces, à peine voilées, prononcée par le leader d’Ennahda à la veille du rendez-vous électoral ? Rached Ghannouchi a averti, mercredi, que son parti n’acceptera pas les résultats s’il s’avère qu’il y a manipulation.
Ces déclarations ont soulevé un tollé dans la classe politique à Tunis et forcé Beji Caïd Essebsi à faire une mise au point claire lors de son discours prononcé jeudi soir devant les membres de son gouvernement. Caïd Essebsi a souligné énergiquement que douter de l’indépendance et la probité de l’instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) et de son président, Kamel Djendoubi, n’est pas permis, rappelant que l’administration n’a aucun lien avec l’organisation des élections, si ce n’est fournir la couverture sécuritaire.

Les autres acteurs politiques ont condamné les propos de Ghannouchi, considérés par les uns et les autres comme source de fitna, ou encore une manière insidieuse d’influer sur les électeurs. Le président du Parti tunisien du travail (PTT) va jusqu’à exiger de Ghannouchi de demander pardon auprès des Tunisiens pour ses déclarations, jugées « irresponsables et dangereuses pour un chef de parti qui menace de soulever la rue tunisienne au lieu de l’encadrer ».

Si nous perdons, les élections seraient truquées. Voici en substance ce qu’a dit Ghannouchi. Mais derrière l’arrogance et la vanité, beaucoup voient peur et inquiétude chez Ennahda. Pour l’avocat et secrétaire général de la Ligue tunisienne de citoyenneté, Fakher Gafsi, ces déclarations tombent à pic en produisant l’effet contraire visé peut-être par Ennahda auprès de l’opinion publique. Selon lui, les mots de Ghannouchi expriment en outre une anticipation sur la défaite désormais possible. En effet, l’assurance démesurée affichée durant l’été a cédé au doute au sein du mouvement islamiste en quelques mois, et ce, pour diverses raisons.

Neji Khachnaoui, éditorialiste à l’hebdomadaire Saw Ech Chaâb (la voix du peuple), organe central de l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), explique qu’Ennahda a revu à la baisse ses ambitions électorales de 30 à 20% en quelques mois et le discours de jeudi exprime la peur de perdre. Avis partagé par Yousra Fraws, avocate et militante de gauche, qui ajoute que les Tunisiens ont beaucoup appris sur Ennahda en quelques mois à travers ses positions sur des questions auxquelles tiennent beaucoup les Tunisiens, notamment celles qui touchent à leur mode de vie.

Les actes de violence commis par les salafistes ont joué aussi contre Ennahda en participant à créer une distance entre les Tunisiens et la mouvance islamiste, affirment encore nos deux interlocuteurs. Khachnaoui en veut aussi pour preuve la chute des ventes du quotidien Al Fadjr, lié à Ennahda, lui qui trônait en tête des ventes il y a à peine quelques mois. Jusqu’au 24 juillet (première date fixée pour ces élections), Ennahda était donné favori pour ces élections et lui-même ne ratait pas l’occasion pour afficher ostensiblement son assurance de remporter haut la main les élections.

Mais le report du rendez-vous, auquel Ennahda était opposé, a joué en sa défaveur en offrant aux Tunisiens un temps court mais précieux pour mieux connaître le fond et les véritables intentions du parti islamiste. Les principales formations démocratiques ont joué aussi un rôle dans la sensibilisation de l’opinion publique sur le double discours d’Ennahda, notamment à travers les médias et le travail de proximité. Mais cette appréhension est-elle une simple vue de l’esprit de la part d’intellectuels coupés de la réalité sociale, surtout dans la Tunisie profonde et celle des banlieues défavorisées ? Wafa Fraws, militante de la LTDH, activant dans la zone de Douar El Hichar, affirme que dans cette banlieue pauvre, Ennahda n’a pas d’ancrage, contrairement aux apparences.

Pour elle, le mouvement de Ghannouchi a su investir dans des quartiers populaires, mais son influence n’est pas absolue et se limite à un nombre de zones. L’universitaire, Mehdi Abdeljawed, ne mise pas beaucoup lui non plus sur ce parti.
Pour lui, « le handicap d’Ennahda réside dans sa méconnaissance de la société tunisienne et la sous-estimation de la classe politique qui a milité des décennies durant contre la dictature ». Abdeljawed ajoute que « la tentative d’Ennahda d’adapter son discours n’a pas réussi avec les jeunes surtout, qui jugent sur pièce et ont connaissance des expériences islamistes malheureuses en Algérie, en Egypte et même en Libye actuellement ».

Par ailleurs, Ennahda ferait l’objet de conflits internes, ajoute ce dernier, entre deux ou trois tendances qui s’opposent, d’où le report de son congrès à plusieurs reprises. En dépit de ces avis qui relativisent le poids d’Ennahda, le pronostic reste difficile en l’absence de sondages crédibles et surtout face à l’inconnue que représente l’électeur tunisien moyen.

cligno multicolore http://www.elwatan.com/international/tunisie-apres-les-intimidations-du-parti-ennahda-tolle-dans-la-classe-politique-22-10-2011-144375_112.php



On peut également craindre des fraudes électorales. Notamment en France où environ 600 000 Tunisiens seront appelés à voter. « L’élection se tient sur trois jours. Où vont dormir les urnes, qui va se charger de la surveillance ? » interroge un jeune Tunisien, conseiller en communication de candidats qui se présentent en France. « Il reste de nombreux points obscurs. J’espère que ce n’est qu’un simple problème d’organisation et pas un manque de volonté politique. » Questions d'autant plus légitimes que des faits troublants se sont déroulés au marché de Belleville: les islamistes qui y faisaient campagne pour leur parti Ennahada ont expulsés par la force les partis concurrents en les traitant de "koufars" (mécréants, infidèles), et la police est intervenue; mais ce ne sont pas les auteurs de violence qui ont été pénalisés, puisque ces derniers ont pu continuer à monopoliser le débat, tandis que les militants des partis concurrents ont été enjoints de quitter les lieux !!!








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Dernière édition par invitée le Dim 18 Déc 2011 - 14:26, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ?   RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ? Icon_minitimeDim 23 Oct 2011 - 19:17

SIX ANS AVANT LA CHUTE DE BEN ALI, WASHINGTON
PRÉPARAIT DÉJÀ LA CARTE ISLAMISTE POUR LA TUNISIE






Le complot américano qatari est en marche, grâce aux pétrodollars de la chi5a moza et al jazeera, ennahdha va gagner les prochaines élections, un travail qui a commencé il y a déjà 6 ans.

Take a beeeeeeeeeeeeeeer



Le 23 octobre prochain, les Tunisiens seront appelés à élire une assemblée constituante. Une centaine de partis politiques sont en lice, dont 92 créés dans la Tunisie post-Ben Ali. Le parti de Rached Ghannouchi, Ennahdha semble bien positionné et se prononce pour le maintien des élections à la date annoncée. Il faut dire que ce parti a le vent en poupes. Ses atouts: sa popularité et le soutien discret de Washington. En effet, les Etats-Unis entretiennent des relations avec les islamistes tunisiens dit "modérés" depuis des années, c’est-à-dire avant le départ forcé du dictateur; un départ souhaité, faut-il le rappeler, par les américains.



Redwan Masmoudi, l’homme du rapprochement

C’est grâce à cet ingénieur tunisien installé aux États-Unis, que les premiers contacts ont pu être établis entre des diplomates américains et des représentants de mouvements islamistes tunisiens. Financé entre autres par le département d’État américain, Masmoudi fonde en 1999, le Centre for the Study of Islam & Democracy (CSID), genre de think thank qui prône le dialogue entre laïcs et islamistes.

Dès 2005, il commence à mettre en relation des diplomates américains avec des leaders islamistes. Il réussit même à introduire, en 2006, une envoyée spéciale américaine dans la résidence surveillée de Hamadi Jebali, actuel secrétaire général du parti Ennahda.

Parmi les autres personnalités tunisiennes importantes approchées par Washington par le truchement du CSDI, on peut citer Slaheddine Jourchi, vice président de la Ligue tunisienne des droits de l’homme, Saïda Akremi, représentante des avocats au sein de la Haute Commission pour la réalisation des objectifs de la révolution, ou bien encore, Zied Toualatti, l’une des figures importantes d’Ennahda



Le voyage "politique" de Hamadi Jebali à Washington

Invité à participer à un forum organisé par le CSDI- encore lui -, le 9 mai à Washington, le secrétaire général d’Ennahda revient de ce voyage le planning bien calé.

En effet, selon nos informations, Jebali a pu décrocher des rendez-vous décisifs avec Joe Libermann, une voix écoutée au Sénat américain, ainsi qu’avec deux anciens candidats aux présidentielles, le républicain John Macain et le démocrate John Kerry. Auparavant, il a pu de se rendre au département d’État pour s’entretenir avec Margaret Nardi, directrice de l’office of Maghreb affairs. Que du beau monde.



Washington veut un AKP bis en Tunisie

Rached Ghannouchi se veut l’homme de l’apaisement et du consensus et répète à l’envi que son parti Ennahda veut rassembler les Tunisiens sans exclusion aucune.

Un discours qui séduit forcément les américains, d’autant que Ghannouchi ne cache pas sa sympathie pour le Parti pour la justice et le développement ou l’AKP turc - un modèle pour Ennahdha - et son inspiration des expériences des partis chrétiens-démocrates européens.

Mais pourquoi se contenter d’un seul parti islamiste, quand on peut en avoir deux. Sans doute aussi se serait pour Washington un moyen de faire jouer la concurrence au cas où l’un des deux tourne casaque. Dès lors, outre Ennahda, les diplomates américains accordent une attention particulière à l’Alliance nationale pour la paix et la prospérité (ANPP), la jeune formation de Skander Rekiki, un ingénieur formé aux États-Unis aux techniques du "storytelling", la communication politique à l’américaine, qu’il veut importer en Tunisie.

Par ailleurs, l’un des fondateur de l’ANPP - cela ne s’invente pas - est l’avocat Moncef Barouni, patron de l’association tuniso-américaine et ex-président de la chambre de commerce tuniso-américaine.

Conclusion ? Alors que Paris essayait se sauver les meubles de Ben Ali, Washington lançait déjà en 2005 son casting pour le remplacer.


Rédaction Algerie-Focus.Com




source:
cligno étoile http://www.rap125.com/2011/08/06/six-ans-avant-la-chute-de-ben-ali-washington-preparait-deja-la-carte-islamiste-pour-la-tunisie



Ce blog contient une mine d'infos édifiantes, notamment sur le financement d'Ennahada, son "islam modéré" et sa vision de la démocratie.
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MessageSujet: Re: RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ?   RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ? Icon_minitimeJeu 17 Nov 2011 - 22:25

LE FUTUR PREMIER MINISTRE DE TUNISIE
APPELLE AU «SIXIÈME CALIFAT INCH'ALLAH» !







RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ? 941419-1117167


Aïe, ça commence à faire beaucoup ! Les petites ou grosses phrases des pontes du nouveau régime islamiste se succèdent à une telle allure que les Tunisiens commencent à se demander à quelle drôle de sauce démocratique Ennahda va les manger. Après les insultes aux mères célibataires, « infamie pour la Tunisie et un pays arabo-musulman » comme l’éructait la délicate députée Souad Abderrahim pourtant réputée modérée, c’est le futur premier ministre islamiste, Hamadi Jebali en personne, qui s’est offert un prêche doré sur tranche salafiste à l’occasion d’un grand meeting, le 13 novembre. C’était à Sousse, en présence d’une représentante du mouvement palestinien Hamas, Houda Naïm. Filmé et enregistré par plusieurs medias, Hamadi Jebali a notamment déclaré lors d’un discours lyrique, modulé et scandé comme une incantation: « Mes frères, vous vivez un moment historique, un moment divin, une nouvelle étape civilisationnelle dans un nouvel Etat si Dieu le veut, dans un sixième califat Inch Allah… » Le discours, abondamment cité, a immédiatement circulé sur le web, déclenchant l’affolement d’une multitude d’internautes. Aucune réaction politique n’a cependant été encore signalée, mais on espère que les partis modernistes vont se réveiller dans les heures qui viennent. Leurs électeurs, en tous cas, ceux du Pôle démocratique comme ceux d’Ettakatol de Mustapha Ben Jaafar, sont dévorés par la colère et l’inquiétude. Un vrai cauchemar pour ces marcheurs de la révolution ! L’idée qu’un « sixième califat » puisse succéder, au nom de la démocratie, à la dictature de Ben Ali semble relever d’une sinistre farce.

Le chargé de communication d’Ennahda, Samir Dilou, qui sera probablement en charge d’un ministère important - peut-être celui des affaires étrangères - dans le futur cabinet, est conscient que la promesse extatique d’Hamadi Jebali fait peser de nouveaux doutes sur la véritable nature des islamistes tunisiens. Dilou s’est donc donné un mal fou pour préciser que le discours « n’était pas un discours mais un serment destiné à rappeler les valeurs de modestie et d’humilité qui étaient celles du califat d’Omar Ibn Abdelaziz… » Un serment ? C’est pire ! Omar Ibn Abdelaziz, qui a régné à Damas au 8ème siècle, s’est distingué par sa volonté d’appliquer la charia dans toute sa rigueur. La perle de l’Orient, comme on appelait alors Damas, était une cité brillante et joyeuse: le calife fit fermer les débits de boisson et son zèle de serviteur de Dieu le conduisit à sévir même contre les hammams qui faisaient alors la célébrité de la ville. Les bains publics, véritable bénédiction hygiénique et esthétique en ces temps lointains, constituaient selon lui des lieux de perdition.

Le fait que le prochain Premier ministre tunisien se réfère au règne de ce saint homme n’est donc pas très encourageant pour la Tunisie du XXIème siècle et Samir Dilou ne nous rassure pas beaucoup avec ses explications. D’autant que le discours-serment d’Hamadi Jebali se révèle à tiroirs. L’évocation d’un « sixième califat » peut en effet s’inscrire dans une continuité plus récente. Dans l’histoire islamique, le « cinquième califat » (et non le cinquième calife) c’est le califat ottoman. Celui qui fut aboli par Ataturk le 3 mars 1924. Une nouvelle ère commençait dans la Turquie de Mustapha Kemal et tous les journaux du Caire titrèrent ce jour-là « Adieu l’Orient ! ». Or nous savons que cette étape laïque s’est fanée depuis que Recep Tayyip Erdogan gouverne la Turquie. Ce Premier ministre islamiste a manifesté empathie religieuse et solidarité financière à ses frères tunisiens d’Ennahda.

Nous sommes donc en plein dans « la nouvelle étape civilisationnelle » appelée de tous ses vœux par le frère Hamadi Jebali. Dans ce contexte « le sixième califat » incarnerait la résurrection des valeurs déboutées par Kemal Ataturk, grand inspirateur de Habib Bourguiba, père de la Tunisie moderne, et détesté des islamistes.

On comprend que nos amis Tunisiens soient inquiets. Tout ça pour ça ?


Martine Gozlan
Mercredi 16 Novembre 2011



source:
cligno étoile http://www.marianne2.fr/martinegozlan/Tunisie-Le-futur-Premier-ministre-appelle-au-sixieme-califat-Inch-Allah-_a24.html




Et bien oui, tout ça pour ça ! Tout ça: ces "révolutions" en Lybie, en Tunisie, en Égypte, et les autres pays à venir, organisées par les Illuminati. Pour ça: mettre des islamistes - faux Musulmans, tout comme les leader sionistes sont de faux Juifs - à la tête de ces pays, les réunir ensuite en califat (royaume n°7), y mettre le "mahdi" à sa tête afin de cautionner l'avènement de l'Antichrist, l'invasion de l'Occident et le Grand Califat Mondial qui ne sera rien d'autre que le NWO.
étoile 1 http://transition888.heavenforum.org/t489-islam-fondamentaliste-religion-mondiale-unique-du-nwo


Dès le début, en janvier, on pouvait le deviner (voir le premier post du topic). Et le plan de la Bête progresse inexorablement...


Que les véritables Musulmans se réveillent, préviennent les autres et se protègent des fanatiques dont ils seront les premières victimes !
Que les Israëliens fuient la Palestine avant qu'il ne soit trop tard ! Ils sont destinés au sacrifice.
Que les Français s'éloignent des villes et des principaux axes routiers, s'équipent pour protéger leur famille, ne cèdent pas aux sirènes des sites identitaires - à la solde des Illuminati eux aussi - poussant à la guerre civile, ne répondent pas à l'appel du gouvernement lors de l'invasion - gouvernement qui les trahira et les mènera délibérément au massacre.


Dernière édition par invitée le Ven 24 Aoû 2012 - 22:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ?   RÉVOLUTIONS COLORÉES AU MAGHREB EN VUE D'UN CALIFAT ILLUMINATI ? Icon_minitimeVen 24 Aoû 2012 - 22:12

LES HORREURS DU NAZISLAMISME








Selon de nombreux rapports de sources d’informations arabes, ainsi que de WorldDaily Net et de l’Algemeiner, les Frères Musulmans d’Égypte ont commencé ce mois-ci à crucifier les adversaires du Président récemment installé dans le pays, Mohammed Morsi. Selon des comptes-rendus de médias égyptiens, le 8 août une foule importante de “sympathisants” des Frères Musulmans ont fait le siège le bâtiment d’un média pour répondre avec colère aux critiques de Morsi consolidant son pouvoir par le limogeage de plusieurs dirigeants militaires clés et faisant réécrire la Constitution et d’autres projets de loi par les Frères Musulmans.

Le site égyptien El Balad écrit que : « des milliers de sympathisants des Frères Musulmans ont attaqué les bureaux du groupe de médias October 6, ont frappé Khaled Salah, le rédacteur en chef du journal indépendant et laïc Youm 7, et empêché le journaliste de On TV, Yusif al-Hassani d’entrer dans l’immeuble, et ils ont terrorisé les employés ».

Quand les partisans du journaliste Tawfik Okasha se sont rassemblés devant le Palais présidentiel, ils ont été assaillis par une foule de Frères Musulmans « qui les ont attaqués avec les bâtons, des couteaux, des cocktails Molotov, et qui en ont crucifiés plusieurs sur des arbres, provoquant la mort de deux personnes et des dizaines de blessés », selon El Balad.

Okasha avait soulevé la colère des Frères Musulmans en diffusant une vidéo montrant un musulman apostat assassiné par une foule criant « Allahu Akbar » (…)

Al Azhar, une institution musulmane dominante en Égypte, a lancé une fatwa, en réaction [à ces événements], appelant à plus de violence et d’assassinats pour stopper les manifestations prévues contre les Frères Musulmans.

Plusieurs sites arabes confirment que les crucifixions ont été constatées par un correspondant de Sky News.

Pour les musulmans “modérés” et les Coptes, l’avenir s’annonce menaçant.


D.H.

Source : Political Outcast




source:
cligno étoile http://www.christianophobie.fr/breves/des-crucifixions-en-egypte-vous-plaisantez-pas-du-tout







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