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 LES ILLUMINATI ET LE VATICAN

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MessageSujet: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeLun 5 Avr 2010 - 15:22

LES ILLUMINATI ET LE VATICAN






Tandis qu'on dit la messe dans la Chapelle Sixtine et qu'on montre aux touristes les travaux de Michel-Ange, dans les profondeurs des entrailles du Vatican, se trouve une grande pièce circulaire avec 13 chambres séparées, chacune menant à une catacombe distincte.

Quand un corps momifié est placé devant chaque embrasure, un jeune enfant est alors brutalement sacrifié avec un long couteau d'or pendant ce que l'on dit être une cérémonie d'introduction secrète pour les nouveaux membres des Illuminati, mieux connus comme le Nouvel Ordre Mondial.

En tant que jeune journaliste indépendant à Rome au début des années 1980, j'ai entendu beaucoup de rumeurs sur ces cérémonies secrètes par des propriétaires de magasins locaux, plusieurs prêtres ivres, deux ou trois clairvoyants locaux ou des cartomanciennes disant la bonne aventure, dont l'un a apparemment conseillé et guidé la carrière cinématographique du célèbre réalisateur italien, Federico Fellini.

Bien qu'étant le produit d'une éducation catholique et diplômé du Lycée Notre-Dame avant de continuer à l'université, je ne peux toujours pas m'empêcher de me demander si ces histoires à propos de violents sacrifices d'enfants étaient réellement vraies.

Tandis que j'étais en mission d'histoire ou en train de couvrir l'annonce papale hebdomadaire, je me rappelle en train de me faufiler autour du Vatican, à une occasion descendre un escalier au niveau du sous-sol, à la recherche de la pièce secrète et des catacombes.

Bien sûr, je n'ai jamais trouvé la pièce secrète ou une embrasure cachée menant aux tombeaux; ma chasse secrète à la Indiana Jones au Repaire de Satan fut interrompue par une garde chargée de la sécurité du Vatican qui m'a escorté au sommet de l'escalier, après que j'aie montré ma carte de presse et dit que j'étais perdu.

« Une seule nuit à cet endroit, et je sais que je pourrai avoir la plus grande histoire de ma vie. », ai-je pensé en moi-même, tandis que je traversais la Place St. Pierre et que je levais les yeux vers les sculptures des 12 Apôtres me regardant depuis le toit du Vatican.

Rome ressemble à une petite ville énorme avec beaucoup de voisinages, fonctionnant comme des douzaines de petits villages dans la ville proprement dite, chacun ayant ses propres sensations et saveurs distinctes.

Ce jour particulier, après avoir essayé de découvrir l'emplacement exact des cérémonies d'initiation secrètes des Illuminati, je me suis arrêté pour du fromage et un verre de blanc dans la première rue étroite, aux pavés ronds, à côté du Vatican, connue en français comme la "Rue des Putains".

Selon les gens du coin, la rue a reçu ce nom plutôt peu commun depuis qu'elle a logé, pendant des centaines d'années, de nombreuses prostituées dont la clientèle principale était les cardinaux, les évêques et les prêtres du Vatican, aussi bien que n'importe quel membre du clergé en visite.

Après la Seconde Guerre mondiale, la prostitution dans la rue se déplaça finalement vers un emplacement plus discret, laissant à présent la place à des magasins engagés dans les affaires lucratives de vente d'attirail religieux, comme des rosaires, des images du Pape et de l'eau bénite.

Tandis que j'étais assis devant un verre de vin et feuilletais les journaux italiens, le titre à la une disait comment le Cardinal Paul Marcinkus, le chef de la Banque du Vatican de 1971 à 1989, était accusé par les autorités italiennes (en 1982) en tant que complice dans la faillite de 3.5 milliards de $ de la Banco Ambrosiano, une institution financière italienne avec des liens proches de la Banque du Vatican.

Bien que j'aie essayé plusieurs fois, sans succès, d'interviewer Marcinkus, puisque qu'il était de ma ville natale de Chicago, l'affaire n'est jamais passée au tribunal en Italie, car les cours ont jugé, de façon malhonnête, qu'en tant qu'« employé du Vatican, il était immunisé contre les poursuites. » La Banque du Vatican a aussi refusé d'admettre la responsabilité légale de la chute de la Banque d'Ambrosiano, mais a vraiment reconnu "la participation morale", en payant 241millions de $ (? 169 millions) à des créanciers.

J'ignorais que cette histoire, la mort en 1978 du Pape Jean Paul 1er, le meurtre du président de la banque, Robert Calvi, trouvé pendu sous le Pont de Blackfriars à Londres, une figure de la Mafia peu connue, nommée Mario Cuomo (pas l'ancien maire de New York) et une femme mystérieuse nommée Maria, aideraient à la mise en place des pièces d'un plus grand puzzle, plus sinistre.

Bien qu'encore incomplètes, les petites pièces de l'énigme, que j'ai découvertes dans les années 1980, mènent toutes à une participation directe des membres des Illuminati/Francs-Maçons, par des groupes comme "P Due", Prieuré de Sion et d'autres, aussi bien que la profonde implication du Vatican, le concentrateur et la pierre angulaire de cette organisation mondiale secrète connue du public comme les Illuminati, mais connue par les membres comme "La Famille"" ou "L'Ordre".

Après l'écriture de plusieurs histoires sur le Scandale de la Banque du Vatican et le voyage à Londres sur l'histoire de Calvi, la découverte de très peu de nouvelles preuves, je n'ai pas beaucoup pensé aux Illuminati et aux sacrifices d'enfants jusqu'à environ une année plus tard, quand j'étais assis sur Via Venato, prenant le café pendant une heure ou deux avec les gens riches et célèbres. Comme un rapide aparté, personne ne me croit jamais vraiment, de toute façon, quand je mentionne qu'une fois, j'ai été assis sur les genoux de Sophia Loren; je laisserai donc cette histoire pour des temps plus heureux.




Mystérieuse Maria


Comme je l'ai mentionné, j'ai chassé l'image horrible d'un sacrifice d'enfant hors de mon esprit jusqu'à ce qu'une femme italienne d'une beauté saisissante, aux cheveux noirs, approchant de la trentaine, nommée Maria, a demandé si elle pouvait se joindre à ma table, en plein air sur Via Veneto.

Rome est une petite ville, comme je l'ai mentionné, apprenant plus tard que Maria voulait désespérément un débouché pour raconter son histoire incroyable, découvrant par la conversation de la rue que j'étais un journaliste américain recherchant des histoires sur les sociétés secrètes et la participation du Vatican.

Maria préfaça son histoire en disant qu'elle ne révèlerait jamais son nom complet, disant que cela signifiait une condamnation à mort immédiate pour nous deux si son identité apparaissait dans les kiosques à journaux, la liant à ce qu'elle appelait "les Élus" ou les Illuminati.

Je me rappelle, d'autre part, que j'avais l'impression de traiter avec un charlatan ou une malade mentale, particulièrement après qu'elle m'ait expliqué graphiquement comment sa participation avec les Illuminati la poussa à faire une tentative de suicide à trois reprises séparées, deux fois par empoisonnement et une fois en se tranchant les poignets, mais chaque tentative exécutée dans une baignoire entourée par des bougies et des bouquets de roses colorées.

J'ai parlé à Maria à trois occasions en prenant des notes copieuses pour un total d'environ cinq heures au même café extérieur, pendant une période de trois semaines, avant d'apprendre par une connaissance mutuelle, environ un mois après notre dernière réunion, qu'elle avait finalement réussi à se suicider.

Cette fois, cependant, elle n'était pas assise dans sa baignoire avec des fleurs, décidant, au lieu de cela, de faire une démonstration publique, en sautant du toit du Vatican au petit matin et en précipitant son corps sur le béton de la Place St Pierre (Piazza San Pietro), après avoir été à côté de la statue de St Pierre.

Bien que j'aie essayé en vain d'obtenir son identité réelle, les histoires du suicide étrange ont été vérifiées, mais, en même temps, dissimulées, tandis que son identité a mystérieusement disparu de la surface de la Terre, de même qu'une possibilité de vendre mon histoire.

Plus de vingt ans ont passé, mais je peux toujours entendre ses mots et voir le visage éperdu de Maria, assise en face de moi au café de la Via Veneto, comme si c'était hier. Au mieux de mon souvenir, ce sont les parties les plus importantes de son histoire de recrutement depuis sa naissance par les Illuminati, une histoire qui est essentiellement morte quand Maria s'est lancée du toit du Vatican.

« Je ne pourrai jamais vous dire mon nom et je viens vers vous seulement en dernier recours », furent les premiers mots de Maria, comme elle paraissait agitée et incertaine, elle faisait la chose juste. Elle a alors dit en italien quelque chose comme « Puissiez-vous pourrir en enfer si vous voliez ma confiance » et je me rappelle me sentir comme si quelqu'un pointait une arme à feu sur ma tête.

Issue d'un milieu aristocratique du nord de l' Italie, elle a continué, comme j'étais capable de comprendre la plupart de ce qu'elle disait, sauf les mots italiens complexes et instruits, et les formes de conjugaison, comme j'ai appris à parler la langue essentiellement dans les rues de Rome avec les gens ordinaires.

À notre première réunion, elle a fouillé profondément dans sa participation avec "la Famille" ou les "Élus", en disant que son contexte aristocratique ne lui laissait aucun choix sur ce sujet. Elle a dit qu'elle était née dans les rangs des Illuminati, éduquée étant enfant comme un des "élus divins" pour gouverner les masses et initiée dans "l'Ordre" à une cérémonie secrète souterraine au Vatican, dans une pièce très semblable au type dont j'avais précédemment entendu parler dans la rue.

Et quand je me suis finalement trouvé assez de courage pour lui demander à propos des sacrifices d'enfant, elle ne put pas en parler, cachant seulement sa tête dans ses mains tandis que les larmes coulaient entre ses doigts.

Le reste de nos discussions furent centrées sur les origines des Illuminati, sa direction centrée au Vatican, sa portée mondiale, ses opérations en Europe, ses branches en Amérique et ses buts éventuels du contrôle de la population et la domination du monde. Je me rappelle comment le SIDA n'était pas mentionné à l'étranger et comment elle m'a embarrassé en disant que les Illuminati ou "les Pères Élus" avaient infligé intentionnellement la maladie sur les masses.

En plus d'être convaincu qu'elle disait la vérité, Maria a aussi dit que les Illuminati, se référant à eux en jurons italiens comme des "dieux porcs", avaient été retranchés pendant des années en Amérique, avec beaucoup de ses leaders parmi les disciples loyaux de "l'Ordre".

Notre dernière conversation devint tout à fait personnelle, déviant loin des noms des figures puissantes de l’Église et de la politique, se concentrant au lieu de cela sur la manière dont les Illuminati dévastaient personnellement la vie de Maria. À ce jour, comme elle prononçait ses derniers mots, j'aimerais avoir dit ou fait quelque chose de plus pour sauver sa vie, mais je ne soupçonnais pas du tout qu'elle arriverait à une fin choquante au Vatican en moins d'un mois.

« Ils ont tué le Pape Jean Paul Ier et il n'est pas mort de causes naturelles. Je ne peux pas vivre comme cela plus longtemps, mais il y a maintenant une sortie. Je suis une âme prise au piège, destinée à déverminer les profondeurs de l'enfer pour tous les maux dont j'ai été témoin et je n'ai rien fait dans ma vie pour l'arrêter », a dit Maria, tandis qu'elle se levait de la table et commençait à s'éloigner.

Comme elle partait, je me rappelle toujours ses derniers mots: « J'ai eu toute la richesse dans le monde, mais je me sens tellement vide et seule. Dieu ait pitié de moi. »

Après la mort de Maria, j'ai commencé à chercher de plus en plus à assembler le puzzle de la participation du Vatican dans les Illuminati, de même que le scandale bancaire, la mort mystérieuse du Pape en 1978 et d'autres histoires liées à Marcinkus, Calvi, le financier Licio Gelli, connu comme le chef de la loge P-2.

Bien que je n'aie jamais pu définir exactement ni vérifier le secret des cérémonies du Vatican, assez d'informations ont émergé pour prouver, au-delà d'un doute raisonnable, que le Vatican fonctionnait comme le centre nerveux des Illuminati, comme la nomination de Jean Paul II révéla qu'il ne mena jamais à terme les ordres finaux des prédécesseurs pour examiner les opérations de la Banque du Vatican, Marcinkus et les liens vers la Mafia et les Illuminati.

Au lieu de cela, Jean Paul II a protégé Marcinkus, a annulé toutes les enquêtes à effectuer par le secrétaire d'État de Jean Paul 1er, le Cardinal Jean Villot, et cacha tous les gens dans la liste de Villot qui devaient être délivrés des devoirs d'Église ou transférés, tous les gens sur la liste soupçonnés d'être les membres de la loge maçonnique P-2 et des Illuminati.




Le Gangster Mario Cuomo


Bien que je ne l'aie pas connu à l'époque, une figure de la Mafia "Camorra" de Naples, nommée Mario Cuomo, qui vivait près de moi dans une petite ville à l'extérieur de Rome et qui fut tué finalement dans une fusillade de gangs, a contribué à sauver ma vie plusieurs fois.

Cuomo, qui conduisait une Maserati, vivait dans une villa énorme, était habillé à quatre épingles et que je connaissais comme investisseur foncier, avait pris l'habitude, chaque fois qu'il me voyait, d'exercer son anglais, me payer le café ou le dîner tout en me disant, en même temps, " quand je jouais avec le feu " quant au meurtre de Calvi et ses liens avec la Mafia et le Vatican.

Son conseil avisé m'a peut-être éloigné de peur de quelques portes où je ne suis jamais entré, mais rétrospectivement, elles étaient des portes probablement dangereuses qu'il valait mieux laisser fermées car je n'en serais probablement jamais ressorti ou n'aurais jamais revu la lumière du jour.




Mises à jour de l'Histoire, Notes et Chronologie Importante :



Cardinal Marcinkus

Il est toujours vivant, disant la messe et vivant à Phoenix en Arizona. Marcinkus porte un passeport du Vatican et est toujours le détenteur d'immunité diplomatique.

Parmi ceux liés à l'assassinat de Calvi et que les autorités italiennes recherchent toujours pour les questionner, Marcinkus a été à l'origine ordonné à Chicago. Étant un moteur et un agitateur dans l'Église, il a été rapidement élevé au Saint-Piège à Rome et a servi au Secrétariat d'État du Vatican.

Il a rapidement monté la hiérarchie de commandement du Vatican depuis le garde du corps papal personnel jusqu'au chef de la Banque du Vatican, une position qu'il a tenue de 1971 à 1989. Là il a travaillé étroitement avec le financier international, Michel Sindona, pour étendre le portefeuille de holdings internationaux du Vatican, transformant l'Institut pour les Travaux Religieux en un abri calme mais fiable pour l'argent douteux et ce que beaucoup ont qualifié "d'argent sale".

La Banque du Vatican, à travers Sindona, a été soupçonnée de blanchir de l'argent d'associés dans le crime organisé, de diriger d'énormes sommes d'argent via Banco Ambrosiano et le Vatican.

La Banque du Vatican a aussi travaillé étroitement avec le gouvernement américain comme un conduit d'argent de couverture aux groupes comme le Syndicat Solidarité en Pologne et d'autres affaires sordides de la C.I.A.. Avec l'aide de Marcinkus, Sindona devait devenir un "homme intérieur de confiance" au Vatican qui jouissait de l'accès unique aux fonctionnaires du Saint-Piège, même le Pape.

Une histoire de 1982 dans l'édition étrangère de Time Magazine avait ceci à dire au sujet de la relation entre Sindona, Calvi et Marcinkus :

« En 1971, Sindona présenta Calvi à Marcinkus. Sindona et Calvi espéraient utiliser Marcinkus pour leurs propres buts et les banquiers et l'ecclésiastique trouvèrent évidemment avantageux de faire affaire ensemble. Bien que la banque du Vatican nie qu'il y eut beaucoup à faire avec Sindona ou Calvi, Opere di Religione (I.O.R. ou la Banque du Vatican) est finalement devenue l'actionnaire quatrième en taille de Banco Ambrosiano, acquérant au cours des années au moins 794.390 parts ou 1,589 % de la réserve de la banque.
Quelques mois après, Sindona et Calvi fondent la banque des Bahamas en 1971, « un M. Paul Marcinkus a été inscrit comme un directeur. « Nous avons beaucoup utilisé son nom dans des affaires », a dit Sindona. « Je lui ai dit clairement que je l'y ai mis parce qu'il m'aide à obtenir de l'argent. »




Le Procès du Meurtre de Calvi

En avril 2005, un truand sicilien, un patron du crime romain et deux autres ont été accusés dans la connexion avec la pendaison en 1982 de Roberto Calvi, un financier surnommé "banquier de Dieu" pour ses liens proches avec le Vatican.

Une histoire de Reuters ajouta :

"Calvi, une fois qu'on a pensé qu'il s'était suicidé, a été trouvé pendu à l'échafaudage sous le Pont de Blackfriars de Londres en juin 1982 avec des briques dans ses poches et 15.000 $ (8.000 livres) sur lui.

"Mais dans la dernière distorsion de la saga, les accusateurs disent maintenant que la Mafia a tué Calvi pour les avoir volés ainsi que le financier italien Licio Gelli. Gelli était le chef de la loge P2 - une vague organisation maçonnique dont les membres comprenaient à une époque des politiciens en vue, des hommes d'affaires et des officiers militaires.

"Le juge a dit que le procès commencera le 6 octobre et impliquera le trésorier de Cosa Nostra reconnu coupable Pippo Calo, le patron du crime romain Ernesto Diotallevi, le financier sarde Flavio Carboni et son ex-petite-amie Manuela Kleinszig.

"L'enquête des accusateurs s'est concentrée sur les millions des dollars qui ont coulé à travers les comptes à l'étranger de la banque dans les semaines précédant la mort de Calvi.

"Peu avant la pendaison de Calvi, la banque qu'il dirigeait à l'époque, Banco Ambrosiano, fit faillite. C'était alors le plus grand groupe bancaire privé de l'Italie et travaillait avec Vatican."

Sans aucun doute, un des personnages les plus étranges dans la saga Calvi, avec des liens avec Marcinkus et Sindona, était Liccio Gelli. Un ancien membre du Bataillon fasciste des Chemises Noires et connecté au régime de Mussolini et à la Division SS de Herman Goering dans la Seconde Guerre mondiale, Gelli a réchappé du conflit et a amassé des énormes sommes d'argent et de l'influence.

Considéré comme le chef de la Loge Maçonnique p-2, il était aussi au courant de l'information sensible sur des centaines de figures politiques, militaires et financières clefs, non seulement en Italie, mais partout en Europe, Amérique Latine et ailleurs, en raison de son accès aux fichiers du service secret italien (OVRA) et probablement au renseignement britannique.

Il était connu communément en Italie que Gelli avait aidé à passer en fraude Klaus Barbie, l'infâme "Boucher de Lyon" en zone de sécurité en Argentine et a même réussi à travailler pour et vendre ses services à la C.I.A. et à l'OTAN.




Chronologie Importante
(Réimprimé du Financial Post, Victor Golancz Ltd. 1983)


Au début de septembre 1978 : le Pape Jean Paul 1er demande à son secrétaire d'Etat, le Cardinal Jean Villot, d'amorcer une enquête dans les opérations de banque du Vatican.

28 septembre 1978 : Jean Paul 1er présente au Cardinal Villot une liste de personnes qui doivent être transférées, à qui on doit demander leurs démissions ou qui sont réassignées. Toutes les personnes dans la liste sont soupçonnées d'être des membres du groupe franc-maçon "P2". Le remaniement du pouvoir aura des implications majeures pour la structure de pouvoir du Vatican existante et ses transactions financières.

29 septembre 1978 : Jean Paul 1er est trouvé mort dans son lit. Villot publie de fausses déclarations à la presse sur les circonstances entourant la mort, supprime la preuve clef de la pièce de Jean Paul 1er et ordonne que le corps soit embaumé immédiatement sans une autopsie.

Octobre 1978 : Jean Paul II remplace Jean Paul 1er. Aucune des instructions de Jean Paul 1er à Villot avant sa mort n'est effectuée.

21 janvier 1979 : Meurtre du Juge Emilio Alessandrini, le magistrat de Milan examinant les activités de Banco Ambrosiano, dont le directeur, Roberto Calvi, a des liens proches avec Michele Sindona et le Vatican.

20 mars 1979 : Meurtre de Mino Pecorelli, journaliste d'investigation dans le processus de publier des articles exposant l'adhésion et les transactions de "P2" - un groupe puissant de Francs-maçons dont l'adhésion a été impliquée dans les transactions financières du Vatican et dont le fondateur, Lucio Gelli, était profondément lié à Roberto Calvi.

25 mars 1979 : Arrestations de Mario Sarcinelli et Paolo Baffi de la Banque de l'Italie sur fausses accusations. Les deux hommes appuyaient pour l'action sur l'enquête des transactions financières de Roberto Calvi et Banco Ambrosiano.

11 juillet 1979 : Meurtre de Giorgio Ambrosioli après son témoignage concernant les transactions financières de Michele Sindona avec Calvi et d'autres intérêts du Vatican, les activités de P2 et ses membres parmi des cercles puissants du gouvernement et d'affaires et les connexions entre Calvi, Sindona et l'évêque Paul Marcinkus de la Banque du Vatican.

13 juillet 1979 : Meurtre du lieutenant-colonel Antonio Varisco, chef du service de sécurité de Rome, qui examinait les activités et l'adhésion de P2 et avait parlé avec Giorgio Ambrosioli deux jours avant la mort d'Ambrosioli.

21 juillet 1979 : Meurtre de Boris Guilano, superintendant adjoint de la police de Palerme et chef de la Police Judiciaire de Palerme. Guilano avait parlé avec Giorgio Ambrosioli deux jours avant la mort d'Ambrosioli concernant le blanchissage par Sindona de l'argent de la Mafia via la Banque du Vatican en Suisse.

Octobre 1979 : Explosion d'une bombe à l'appartement d'Enrico Cuccia, directeur général de Mediobanca et témoin à la menace de mort de Sindona envers Giorgio Ambrosioli.

2 février 1980 : Le Vatican retire au dernier moment son accord au sujet de la fourniture de dépositions des Cardinaux Guiseppe Caprio et Sergio Guerri et l'évêque Paul Marcinkus enregistrées sur magnétoscope au nom de Michele Sindona à son procès aux Etats-Unis sur les accusations de fraude, conspiration et détournement de fonds en connexion avec l'écroulement de la Franklin National Bank.

13 mai 1980 : Michele Sindona fait une tentative de suicide en prison.

13 juin 1980 : Michele Sindona est condamné à 25 ans.

8 juillet 1980 : Roberto Calvi fait une tentative de suicide pendant qu'il est en prison sur les accusations de fraude, etc. Plus tard sorti sous caution et reconfirmé comme président de Banco Ambrosiano.

1er septembre 1981 : La Banque du Vatican, apparemment à la demande de Roberto Calvi, publie les "lettres de confort" reconnaissant son intérêt de direction et la responsabilité de supposition d'une dette de plus de 1 milliard de dollars d'un certain nombre de banques contrôlées par Calvi.

12 janvier 1981 : Un groupe d'actionnaires à la Banco Ambrosiano envoie une lettre à Jean Paul II décrivant les connexions entre la Banque du Vatican, Roberto Calvi, la P2 et la Mafia. La lettre ne sera jamais reconnue comme reçue.

27 avril 1982 : Tentative de meurtre de Roberto Rosone, directeur général et vice-président de Banco Ambrosiano, qui essayait de "nettoyer" l'opération de la banque.

17 juin 1982 : Roberto Calvi est trouvé pendu à un pont de Londres. Quelques jours plus tard, on découvre un "trou" de 1,3 milliards de dollars dans la Banco Ambrosiano à Milan.

2 octobre 1982 : Guiseppe Dellacha, cadre à la Banco Ambrosiano, meurt en tombant d'une fenêtre de la Banco Ambrosiano à Milan.

23 mars 1986 : Michele Sindona est trouvé mort empoisonné dans la prison italienne dans laquelle il avait été extradé sur les accusations d'ordonner le meurtre de Giorgio Ambrosioli, Albino Luciano et du Pape Jean Paul Ier.


Greg Szymanski





source:
LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Z-amen10http://www.arcticbeacon.com/confessions/16-Jan-2006.html




Autres liens:
LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Z-amen10http://www.arcticbeacon.com/greg/?cat=3
LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Z-amen10http://www.google.com/search?q=vatican+maria&hl=en&domains=www.arcticbeacon.com&sitesearch=www.arcticbeacon.com&ei=MatdTJn_H9GSjAea372PAg&start=0&sa=N


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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeDim 20 Juin 2010 - 5:42

PAPE NOIR DU VATICAN ET NWO









Autre lien:
ordi http://www.tagtele.com/videos/voir/42066





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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeVen 25 Juin 2010 - 8:15

LES BORDELS DU VATICAN






Enrôlées comme religieuses à destination des couvents du monde entier, les jeunes filles du Tiers-monde sont utilisées comme esclaves sexuelles par le corps ecclésiastique.

Des religieuses-prostituées comme ces filles chrétiennes de l'état du Kerala - la réserve "christianisée" des jésuites en Inde - sont envoyées au loin pour en faire des nonnes d'un genre spécial. Quelque-part en Afrique, en guise de promesse du ciel, c'est l'enfer qu'elles découvrent à l'abri de la sainte Église qui les utilise comme bétail sexuel au service de son corps ecclésiastique. On a bien fait voeu de célibat, mais pas de chasteté. Cette hypocrisie empoisonne l'Occident depuis dix-huit siècles et serait même à l'origine de la prostitution moderne. Durant des siècles, ce commerce fut pris en mains par l'Église qui était à la fois cliente et maquereau. La moitié de la population féminine de Rome - la ville de pèlerinage obligée pour tout séminariste - fut réduite à la prostitution à certaines époques de l'histoire.

Pour que ce scandale puisse être connu, il aura fallu que des religieuses-médecins, débordées par l'ampleur de ce crime organisé, se décident courageusement à publier des rapports. Mais, immanquablement, ces rapports destinés au Saint-Siège finissent aux oubliettes avec celles qui les ont rédigés.
Selon l'agence Reuters, "accusé d'entretenir une conspiration du silence autour des cas d'abus sexuels dans les couvents, notamment en Afrique, le Vatican a reconnu l'existence d'une série de scandales, tout en assurant qu'ils étaient limités." Selon un rapport, des prêtres et des missionnaires ont contraint des religieuses à avoir des relations sexuelles avec eux en les violant. Certaines victimes ont été obligées de prendre la pilule, d'autres d'avorter. L'ampleur du scandale a amené Joaquin Navarro-Valls, porte-parole du Vatican, à déclarer que le Saint-Siège était "au courant du problème", mais que celui-ci était "limité à certaines zones géographiques" non précisées.



Conspiration du silence.

Le rapport, qui a été soumis il y a six ans au cardinal Martinez Solamo, préfet de la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et pour les sociétés de vie apostolique, a été rédigé par une religieuse et médecin, Maura O'Donohue. Celle-ci a recensé des cas d'abus dans 23 pays, y compris les Etats-Unis, l'Italie et l'Irlande. Mais elle écrit que la plupart des violences sexuelles commises par des prêtres et missionnaires se sont produites en Afrique, où les religieuses présentent, aux yeux de leurs partenaires potentiels, l'avantage de passer pour être exemptes du virus du sida qui ravage le continent noir.

L'auteur du rapport, qui mentionne des noms, cite le cas d'un prêtre qui avait mis enceinte une religieuse. Après l'avoir forcée à avorter, ce dont elle est morte, c'est lui qui a célébré la messe d'enterrement.

Maura O'Donohue rapporte des cas de nombreuses religieuses tombées enceintes en même temps dans des communautés religieuses africaines, notamment celui d'une supérieure relevée de ses fonctions par son évêque après avoir signalé la grossesse simultanée de 29 de ses soeurs - sans qu'aucune mesure ne soit prise par ailleurs. Selon Marco Politi, correspondant de la Republica au Vatican, ces scandales, qui n'ont commencé à transpirer hors des murs du Vatican qu'il y a peu de temps, ont été portés à l'attention du Saint-Siège à plusieurs reprises au cours de la décennie passée. Sans résultat.

Une autre religieuse, Marie McDonald, supérieure des Missions de Notre-Dame d'Afrique, avait à son tour soumis en 1998 un rapport sur les "abus sexuels et viols commis par des prêtres et évêques". "Que je sache, aucune inspection n'a eu lieu. La conspiration du silence aggrave le problème", a t-elle déclaré. Le Vatican observe la situation mais n'a pris aucune mesure concrète.



Cherchez la secte.

L'Église est beaucoup plus loquace en ce qui concerne les dérives des prétendues "sectes" qui lui font de la concurrence. Il y a environ 25 ans, un prêtre français au sourire immuable, manipulateur et ambitieux, le père Jean Vernette, fut chargé de répandre l'idéologie antisecte par une propagande extrêmement habile et efficace. Selon l'adage "hors de l'Église, point de salut", Jean Vernette et ses amis inquisiteurs ont fourni à l'association antisecte ADFI toute une panoplie d'armes intellectuelles et logistiques pour traquer les "sectes". Après avoir quitté l'ADFI, trop virulente, il peaufine son image de saint homme qui prêche la "tolérance" et "l'évangélisation des sectes".

En réalité, derrière cette langue de bois onctueuse, "évangélisation" signifie guerre totale. Pour l'ADFI, Vernette rédigea la liste des "symptômes de sectarisme" qui est à l'origine de la persécution de milliers de non-conformistes (long temps de lecture et de méditation, changement de régime alimentaire).

Par cette manipulation, l'épiscopat de France nous a fait croire que la secte c'est l'autre, que la pédophilie c'est chez les autres, et que les pratiques mafieuses c'est chez ceux d'en face. Pourtant, dans le seul registre des moeurs, chaque semaine apporte un nouveau cas de pédophilie ecclésiastique en France.

En bon jésuite, le porte-parole du Vatican a trouvé la parade : "Certaines affaires négatives ne doivent pas nous faire oublier la foi souvent héroïque manifestée par une grande majorité de ces hommes et femmes des ordres religieux et du clergé", a- t-il plaidé.

Certes, mais lorsqu'un enfant attrape un mauvais rhume dans une "secte" pas très catholique, le journal La Croix et les bons cathos de l'ADFI n'hésitent pas à crier au "crime contre l'humanité".

Quant à "la foi souvent héroïque", si c'est de l'évangélisation planétaire dont on parle, il aurait mieux fallu pour l'humanité souffrante que les hordes de missionnaires incultes et arrogants qui ont la prétention de sauver l'âme des païens, restent tranquillement à la maison en s'exerçant à un métier honnête.


Joël Labruyère





source:
LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Z-amen10http://www.conspiration.cc/sujets/religion/vatican_bordel_alainp.htm


Dernière édition par invitée le Mar 1 Mar 2011 - 22:52, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeMar 6 Juil 2010 - 21:22






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Détail de la rosace nord de la cathédrale Notre-Dame d’Amiens



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Les svastikas inversées du pavement





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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeMar 3 Aoû 2010 - 21:14

LA VÉRITABLE ORIGINE DE NOËL







Quelle est l’origine de Noël ? De la Bible ou du paganisme ? Quelle est l’origine véritable du Père Noël, du gui, des arbres de Noël, des guirlandes et de la coutume d’échanger des cadeaux ? Plusieurs voudraient « réintroduire le Christ dans la fête de Noël ». Y a-t-Il seulement jamais été ? Voici les réponses étonnantes à ces questions !


Chaque année lorsque l’automne avance, les pensées d’un grand nombre de personnes se tournent vers Noël. C’est le moment où les chrétiens pratiquants doivent se concentrer sur Jésus-Christ. Après tout c’est une période qui Lui est dédiée !

Rudolph, le petit renne au nez rouge, les guirlandes, les arbres décorés, le gui, les échanges de souhaits, la musique de Noël, les marrons grillés ainsi que le Père Noël sont toutes des choses qui sont associées à cette fête. Chacune d’elles apportent à tous ceux qui la célèbrent un sentiment de douce chaleur.

J’ai grandi dans une famille qui observait Noël et pour laquelle c’était un événement très important, année après année. Nous n’oubliions rien de ce qui faisait partie de la fête. Le 24 décembre au soir, la nervosité croissait à chaque minute qui passait. Mes parents allaient jusqu’à faire chauffer du café noir frais pour le Père Noël juste avant de nous envoyer nous coucher. Je me suis toujours demandé comment ils avaient appris que le Père Noël aimait son café noir, juste comme eux-mêmes l’aimaient. Après avoir été au lit, j’avais de la difficulté à m’endormir et j’étais impatient d’arriver au matin afin de découvrir ce que le « Père Noël » m’avait apporté.

Noël est considéré par la plupart comme étant une des plus belles périodes de l’année, celle où les gens en profitent pour donner, pour se rassembler en famille, pour écouter de la belle musique et décorer les maisons, pour manger tous ensemble et même chanter des chants de Noël dans le voisinage (comme ma propre famille le faisait chaque année). Toutes ces coutumes veulent être le reflet de l’adoration que nous avons pour le Christ. Et, sans conteste, c’est ce que la Bible nous dit de faire, n’est-ce pas ?

Les réponses à cette question vous surprendront !

Pourquoi les gens pensent-ils que Noël est merveilleux ? Personnellement, je trouvais cette période merveilleuse. J’ai accepté ce que mes parents m’avaient appris. Je n’avais aucune raison de douter de ce qu’ils m’avaient dit. En fait, ils ne faisaient que m’enseigner ce que leurs parents leur avaient enseigné. Jamais je n’ai remis en question l’origine de Noël !

La plupart des gens ne réfléchissent jamais aux raisons qu’ils ont de croire ce qu’ils croient ou de faire ce qu’ils font. Nous vivons dans un monde rempli de coutumes mais très peu se soucient d’en chercher les origines. Nous les acceptons généralement comme allant de soi. En fait, la plupart des personnes font ce que tous les autres font — parce que c’est aisé et naturel.

Examinons soigneusement les racines de la fête de Noël. Voyons quelles sont les raisons de l’existence des coutumes qui lui sont associées. Pourquoi la fête s’observe-t-elle le 25 décembre ? L’Église apostolique du Nouveau Testament observait-elle cette fête ? Cette brochure est remplie de faits historiques qui, une fois regroupés, permettent d’obtenir une image complète. Évitons les suppositions et n’acceptons que les faits qui peuvent être PROUVÉS !




Origine païenne

En 1990, la commission scolaire de Solon, (banlieue de Cleveland) en Ohio, a interdit les représentations de la nativité ou de Noël sous prétexte qu’elles violaient le principe de la séparation de l’Église et l’État. Les parents, outragés par leur décision, traînèrent la commission devant les tribunaux. Ces personnes se sentaient lésées car, disaient-elles, on volait le Noël qui appartenait à leurs enfants et à la communauté. La Commission perdit sa cause ! Les citoyens avaient plaidé que Noël était une tradition universelle qui ne faisait partie d’aucune religion car elle la transcendait. On jugea que c’était une fête séculière qui faisait partie de toutes les cultures à travers le monde.

La décision de la Cour stipulait que Noël n’avait aucune racine chrétienne ! Par contre, selon l’opinion de la Cour, la lecture de la Bible et la prière étaient évidemment associées au christianisme — une admission toute à fait remarquable ! La Cour conclut que l’observance de Noël et les scènes de nativité pouvaient continuer car elles ne faisaient pas partie réellement du christianisme ni de la religion — mais que la prière et la lecture de la Bible, qui elles sont « religieuses » devaient demeurées exclues des écoles.

Pratiquement tout dans la célébration de Noël a ses racines dans les coutumes et la religion romaines. Lisez ce qu’en a dit un important journal américain (The Buffalo News, 22 novembre 1984) : « La référence la plus ancienne à la célébration de Noël un 25 décembre, est datée du second siècle après la naissance de Jésus-Christ. On croit que les premières célébrations de Noël se tinrent en réaction aux saturnales romaines, un festival des moissons à l’occasion du solstice d’hiver —le retour du Soleil — et pour honorer Saturne, le dieu des semailles. Les saturnales étaient une période plutôt chahuteuse à laquelle s’opposaient fermement les chefs austères de la secte chrétienne encore minoritaire de l’époque. La fête de Noël, dit un érudit, a pris de l’ampleur parce qu’elle servit à remplacer l’adoration du soleil (sun) par l’adoration du Fils (Son). En 529 ap. J.-C.., après que le christianisme fut devenu la religion d’état, l’empereur Justinien fit de Noël une fête officielle. La célébration de celle-ci atteint son summum — certains diront son point le plus bas — pendant la période médiévale lorsqu’elle devint une période de consommation incontrôlée et de festivités encore inégalées. »

Considérez ces citations tirées de l’Encyclopédie catholique, édition 1911, sous la rubrique « Noël ». « Noël n’était pas une des premières fêtes de l’Église…les premières preuves de son existence proviennent d’Égypte. » De plus, « Les coutumes païennes de la période des calendes de janvier se déplacèrent vers Noël. » Sous le titre « jour de la nativité », Origène, un des premiers écrivains catholiques admet. : « …Dans les Écritures, on ne voit personne fêter ou tenir un grand banquet le jour de son anniversaire. Ce ne sont que les pécheurs (comme Pharaon et Hérode) qui tiennent de grandes réjouissances l’anniversaire du jour où ils sont nés dans ce monde » (Partout c’est nous qui traduisons et qui soulignons).

L’Encyclopédie Americana, édition 1956, ajoute : « Noël… ne fut pas observée pendant les premiers siècles puisque l’usage était, en général, de célébrer la mort de personnes importantes plutôt que leur naissance…une fête fut établie pour cet événement (la naissance du Christ) au quatrième siècle. Au cinquième siècle l’Église de l’Ouest ordonna que la fête soit célébrée perpétuellement le jour des rites mithriaques de la naissance du Soleil ainsi qu’à la fin des saturnales, puisqu’il n’y avait aucune certitude quant à la date exacte de la naissance du Christ. »

Impossible de faire erreur sur l’ORIGINE moderne de la célébration de Noël. Nous pourrions citer plusieurs autres sources. Nous y reviendrons plus loin. Commençons par rattacher ensemble certains faits.

Cela a pris 300 ans avant que l’Église romaine observe Noël et ce n’est qu’au cinquième siècle qu’elle ne devint obligatoire dans tout l’empire en tant que festival officiel en l’honneur du « Christ ».




Le Christ peut-Il être honoré par la fête de Noël ?

La justification la plus fréquente que l’on entend au sujet de Noël est que les gens ont remplacé les vieilles coutumes et intentions païennes en disant que, maintenant, elles sont « centrées sur le Christ. » J’en ai entendu plusieurs dire qu’ils « honoraient le Christ » par leur observance de Noël. Le problème est que Dieu ne dit pas que cela est acceptable à ses yeux. En fait, Il nous commande clairement de ne pas le faire. Observer Noël déshonore le Christ ! Il considère tout ce qui s’y rapporte comme une abomination ! Nous verrons pourquoi bientôt.

Le Christ a dit : « C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes » (Matth 15 :9). Noël n’a pas été ordonné par Dieu. C’est une tradition d’hommes. Et le Christ poursuit, : « Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Mc 7 :9). Chaque année, dans le monde entier, des centaines de millions de personnes font exactement cela !

Nous allons voir que Dieu nous commande clairement, « N’imitez pas la voie des nations ». Or la majorité des gens ne Le craignent pas, mais Dieu leur permet de décider par eux-mêmes. Les êtres humains possèdent le libre-arbitre — libre d’obéir ou de désobéir à Dieu ! Mais malheur à ceux qui ignore la Parole de Dieu !




Le Christ est-Il né un 25 décembre ?

Le Christ est né durant l’automne. Plusieurs croient erronément qu’il est né au début de l’hiver, le 25 décembre ! Ils se trompent.

Voyez le Adam Clarke Commentary, volume 5, page 370, édition New York : « Il était habituel pour les Juifs d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque (tôt le printemps), et de les ramener au bercail au début des premières pluies. » Ces premières pluies commencent entre le début de l’automne et la mi-automne. Si l’on poursuit la citation : « Pendant le temps de leur sortie les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme… le début de la pluie était tôt au mois de marchesvan, ce qui correspond en partie aux mois d’octobre et de novembre (commençant parfois en octobre), nous constatons que les brebis demeuraient à l’extérieur pendant tout l’été. Comme ces bergers n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que, conséquemment, notre Seigneur n’est pas né un 25 décembre, parce que les troupeaux étaient encore dans les champs. Il n’aurait pas pu naître plus tard qu’en septembre, les troupeaux étant toujours dans les champs, la nuit. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le pacage des bêtes la nuit dans les champs est un fait chronologique… Vous pouvez aussi lire les citations des Talmudistes par Lightfooth. »

Luc 2 :8 nous explique que lorsque le Christ est né. « Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux. ». Veuillez remarquer qu’ils demeuraient dans les champs. Ceci ne s’est jamais produit au mois de décembre. Esdras 10 :9-13 et le Cantique des Cantiques 2 :11 montrent que l’hiver était la saison des pluies et que les bergers ne pouvaient demeurer dans les champs la nuit.

Un grand nombre d’encyclopédies stipulent clairement que le Christ n’est pas né un 25 décembre ! L’Encyclopédie catholique confirme directement ce fait. En toute vraisemblance, le Christ est né en automne ! Une longue explication technique prouverait ce point.

Comme nous savons maintenant que la date du 25 décembre n’est même pas proche de la date de naissance du Christ, d’où proviennent donc les festivals associés à cette date ?

Lisez maintenant la citation suivante sous la rubrique « Noël ». « Dans le monde romain, les saturnales (17 décembre) étaient une période de réjouissances et d’échanges de cadeaux. Le 25 décembre était également considéré comme le jour de la naissance du dieu des mystères iranien Mithra, le Soleil de Justice. Le Jour de l’An romain (1er janvier), les maisons étaient décorées de verdure et de lumières, et des cadeaux étaient remis aux enfants et aux pauvres. À ces célébrations étaient ajoutés les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenant du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver, autant païens que chrétiens » (Encyclopédie Britannique, 15E édition, Vol. II, p. 903).

Une dernière référence au sujet du 25 décembre en tant que date de naissance du Christ est nécessaire. Prenez note de l’article paru dans le Toronto Star en décembre 1984, rédigé par Alan Edmonds et intitulé, « Nous devons beaucoup aux druides et aux Hollandais » (partout, c’est nous qui traduisons). La Réforme a quelque peu terni Noël. Déjà à cette époque certains ecclésiastiques politiciens rusés avaient adopté le festival hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Jésus de Nazareth et, y avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre acceptables.

Le 25 décembre n’a pas été choisi parce que c’était la naissance du Christ ou même parce qu’il s’en rapprochait. Cette date fut choisie parce qu’elle coïncidait avec le festival idolâtre et païen des saturnales ! Cette célébration doit être soigneusement examinée. Quoi qu’il en soit, nous ne connaissons pas la date exacte de la naissance du Christ. Bien que Dieu ait pu nous la faire connaître, Il a choisi de la cacher aux yeux du monde !




Qui était Saturne ?

Les citations précédentes ont introduit les saturnales. Examinons plus en profondeur qui était Saturne. Considérons d’abord la citation suivante provenant d’un autre grand journal américain, The Democrat and the Chronicle, Rochester, New York, décembre 1984 : « Le festival romain des saturnales, 17 au 24 décembre, encourageait les citoyens à décorer leurs maisons avec de la verdure et des lumières et à faire des cadeaux aux enfants et aux pauvres. Le festival du 25 décembre, natalis solis invicti ou la naissance du soleil invincible, avait été décrété par l’empereur Aurélien en 274 ap. J.-C. en tant que célébration du solstice d’hiver et plus tard… fut christianisé en tant que date à laquelle était né le Fils de la Lumière. »

Le Dr William Gutsch, président du Musée américain d’histoire naturelle — planétarium Hayden, a confirmé l’origine de Noël par la citation suivante, le 18 décembre 1989, dans le journal de Westchester, The Reporter Dispatch :
« Les premiers Romains ne célébraient pas Noël mais plutôt une fête païenne appelée saturnales. C’était une fête annuelle qui se tenait au début de l’hiver, ou du solstice d’hiver. C’était la période pendant laquelle le soleil avait emprunté le chemin le plus bas au-dessus de l’horizon et où les jours commençaient à rallonger annonçant par cela une autre saison de croissance.
Si plusieurs des ornements des saturnales ressemblent, d’une façon ou d’une autre, à ceux que nous avons aujourd’hui, nous savons maintenant où nous avons emprunté…nos traditions des fêtes. En réalité, on a suggéré que bien que le Christ ne soit fort probablement pas né à la fin décembre, les premiers chrétiens, étant toujours une secte hors-la-loi, avaient changé la date de la célébration de Noël pour celles des saturnales afin de ne pas attirer l’attention sur eux pendant qu’ils célébraient leur propre fête
. »

Les saturnales, bien entendu, célébraient Saturne, le dieu du feu. Saturne était le dieu des semailles parce que la chaleur du soleil était nécessaire pour permettre l’ensemencement et la croissance des cultures. Il était aussi adoré lors de ce festival qui se tenait au plus creux de l’hiver, afin qu’il revienne (il était le « soleil ») réchauffer la terre pour que les semailles de printemps puissent avoir lieu. La planète Saturne a hérité ce nom plus tard car, parmi toutes les planètes, ses anneaux et sa couleur rouge brillant représentait le mieux le dieu du feu !

Virtuellement chaque civilisation possède son dieu du feu ou dieu soleil. Les Égyptiens (et parfois les Romains) l’appellent Vulcain. Les Grecs l’ont appelé Chronos, tout comme les Phéniciens mais ils l’appelaient aussi Saturne. Les Babyloniens l’appelaient Tammuz (en tant que Nimrod ressuscité en la personne de son fils), Moloch ou Baal (comme l’appelaient aussi les druides). Tous ces titres étaient en fait les différents noms de Nimrod. Ce dernier est considéré le père de tous les dieux babyloniens.




Les sacrifices d’enfants.

Veuillez noter la pratique horrible qui est associée à l’adoration du dieu du feu (Nimrod, Saturne, Chronos, Moloch et Baal) dans les références suivantes tirées du livre Les deux Babylones d’Alexander Hislop, p. 231.

« Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce système d’adoration du feu. Nimrod, en tant que représentation du feu dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur…il était, bien entendu, le vrai père de tous les dieux babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que tel. En tant que Père des dieux, il fut, comme nous l’avons vu, appelé Chronos. Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement « dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». (Lempriere Classical Dictionnary, Saturn)…Cette légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu », cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation de Moloch ou Baal, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. « Les Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à Chronos ou Saturne. »

Mais pourquoi les sacrifices humains ont-ils une telle importance dans l’adoration de ce terrible dieu ? Quel bien les êtres humains pouvaient-ils espérer dans le fait de sacrifier leurs propres enfants ? Continuons : « …celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la divinité » et « par ce feu divin toutes les taches dues aux générations précédentes pouvaient être effacées. » C’est la raison pour laquelle ils [ont fait passer par le feu] à Moloch leurs fils et leurs filles (Jér 32 :35). (Partout c’est nous qui traduisons).

Aussi incroyable que cela puisse paraître, des êtres humains séduits croyaient réellement qu’ils plaisaient à leur « dieu » en sacrifiant leurs propres petits enfants innocents. Ils croyaient que le feu les purifiait du péché originel. La doctrine païenne énonçant la nécessité de passer du temps au purgatoire afin de purifier l’âme de tout péché tire son origine de cette croyance !

Qui était Nimrod ?

Nous devons examiner de plus près qui était ce personnage biblique. Nous avons déjà pu constater qu’il était un des faux dieux originaux de l’histoire. Mais que pouvons-nous apprendre de plus ?

Genèse 10 :9 dit de Nimrod : « Il fut un vaillant chasseur devant [à la place de] l’Eternel ». En fait, il a tenté de remplacer Dieu.

Le réputé historien juif, Flavius Josèphe a écrit dans « les Antiquités judaïques » des preuves importantes sur le rôle de Nimrod après le déluge universel. Voyez : « …il [Nimrod] aspirait à la tyrannie…il leur offrit de les protéger contre lui [Dieu] s’il menaçait la Terre d’un nouveau déluge, et de bâtir à cet effet une tour si haute que non seulement les eaux ne pourraient s’élever au-dessus, …Ce peuple insensé se laissa aller à cette folle persuasion qu’il lui serait honteux de céder à Dieu » (Livre I, Chapitre IV, sec 2,3).

C’est sous plusieurs noms que les premiers, et sans doute les plus grands, rebelles ont été adorés au moyen de fausse religion. Israël n’a jamais cessé de servir les nombreux faux dieux que Nimrod représentait.

Ézéchiel 8 :13-14 parle d’une vision au sujet de femmes d’Israël « qui pleuraient Thammuz ». Ce Thammuz (dieu du feu) aurait représenté Nimrod et l’étymologie du mot est absolument fascinante. Tam signifie « rendre parfait » et muz « feu ». La signification est très claire en regard de ce que nous avons déjà appris. Incidemment, pendant la guerre Tempête du Désert, entre l’Irak et le Koweit, Saddam Hussein avait même nommé un de ses missiles « Thammuz ». Il avait certainement compris que la signification du nom impliquait du feu.




Sacrifiés à Moloch.

Voyons comment le peuple de Dieu, Israël, adorait Baal-Moloch une fois qu’il avait abandonné le vrai Dieu : « Ils ont bâti des hauts lieux à Baal dans la vallée de Ben-Hinnom, pour faire passer (par le feu) à Moloch leurs fils et leurs filles : Ce que je ne leur avais point ordonné ; et il ne m’était point venu à la pensée qu’ils commettraient de telles horreurs… », (Jér 32 :35).

Veuillez noter que Dieu Lui-même dit que de telles horreurs ne lui étaient jamais venues à la pensée. « Ils ont bâti des hauts lieux à Baal, pour brûler leurs enfants au feu en holocaustes à Baal : Ce que je n’avais ni ordonné ni prescrit, ce qui ne m’était point venu à la pensée. » C’est pourquoi voici, les jours viennent, dit l’Eternel, où ce lieu ne sera plus appelé Topheth et vallée de Ben-Hinnom, mais où on l’appellera vallée du carnage. (Jér 19 :5-6). Le verset 6 lie la vallée de Tophet et de Hinnom à ce genre de sacrifices. Jérémie 7 :31 lie aussi la vallée de Tophet ou Hinnom aux sacrifices d’enfants. La signification de Tophet est « tambour – tambourin ». On faisait résonner les tambours afin d’étouffer les cris des victimes qui brûlaient dans les flammes.

Prenez note de cette citation par John Milton, auteur du poème « Le Paradis Perdu », au sujet du terrible dieu Moloch : « D’abord s’avance Moloch, horrible roi, aspergé du sang des sacrifices humains et des larmes des pères et des mères, bien qu’à cause du bruit des tambours et des timbales retentissantes le cri de leurs enfants ne fût pas entendu lorsqu’il les passait par le feu devant cette sinistre idole. » Bien entendu, plusieurs diront qu’ils ne sacrifient pas leurs enfants à Moloch aujourd’hui, mais poursuivez. (Partout c’est nous qui traduisons).

Dans le Nouveau Testament, Étienne, le martyr, fut lapidé à mort, au moins en partie parce qu’il avait accusé ceux qui l’écoutaient de l’adoration de cette idole malveillante (Actes 7 :43).

Lorsque le roi Josias, un juste, hérita du trône en tant que roi de Juda, il détruisit tous les autels de la vallée de Tophet (ou Hinnom — la même vallée que le Christ compara au feu de la géhenne dans Mc 9 :43-49) peu après avoir été couronné. Il avait réalisé tout le mal des pratiques qui se tenaient à cet endroit.




Les druides et les sacrifices humains.

Plusieurs ont entendu parler des druides. Peu savent qui ils étaient ou ce qu’ils étaient. Nous ferons allusion à eux plus bas et verrons ce qui les relie à certaines pratiques de Noël bien connues. Nous devons d’abord établir quel était leur rôle dans les sacrifices humains.

Jules César est une des sources d’information les mieux connues sur les druides. Ce qui suit est tiré de l’Encyclopédie Britannique. Cette citation, sous la rubrique « Druides », explique clairement qui ils étaient : Druides, la classe instruite des anciens Celtes, dont le nom signifie Connaître (ou Trouver le chêne). On dit qu’ils fréquentaient les forêts de chênes et agissaient en tant que prêtres, enseignants et juges. Les archives les plus anciennes au sujet des druides proviennent du troisième siècle av. J.-C…Les druides étaient en charge des sacrifices publics et privés et plusieurs jeunes hommes allaient vers eux pour être instruits. Ils jugeaient toutes les querelles privées et publiques et prononçaient les sentences…La principale doctrine des Druides était l’immortalité de l’âme…(ils) offraient des victimes humaines pour ceux qui étaient gravement malades ou en danger de mort dans les batailles. D’énormes paniers d’osier étaient remplis d’hommes vivants pour être ensuite brûlés. Bien que les druides choisissaient préférablement des criminels, ils sacrifiaient aussi des victimes innocentes, si nécessaire.

L’Ancien Testament est rempli de condamnations prononcées par Dieu à l’endroit d’Israël pour avoir pratiqué les coutumes des nations qui les entouraient. Nous rassemblons des faits importants qui sont en train de révéler une image atroce.




Le rôle du cannibalisme.

Une autre vérité à propos de l’origine de Noël a rapport au mot moderne cannibale. Cette pratique a ses racines dans l’une des fonctions principales de tous les prêtres de Baal. Le mot hébreu pour « prêtre » est Cahn.

Voyez maintenant la citation suivante tirée de l’ouvrage « Les Deux Babylones » d’Alexander Hislop, page 232. « C’était un des principes de la loi mosaïque, un principe qui découlait sans aucun doute de la foi des patriarches, que le prêtre devait partager tout ce qui était offert en tant que sacrifice d’expiation (Nombres 18 :9-10). Donc, les prêtres de Nimrod (Baal) avaient aussi l’obligation de manger les victimes des sacrifices humains, et c’est ainsi qu’est né le mot « Cahna-Bal », prêtre de Baal, dans notre propre langue pour désigner ceux qui mangent de la chair humaine. »

Personne ne peut ignorer cette réalité. Il est également vrai que la plupart des civilisations possèdent une tradition qui inclut le cannibalisme. Voyez cette affirmation du New York Times. « Quelle est la signification du cannibalisme ? » par Erik Eckholm. « Le cannibalisme a, par le passé, à la fois fasciné et repoussé virtuellement chaque société connue, incluant celles qui sont réputées l’avoir pratiqué. »

Le même article poursuivait en démontrant que la plupart des civilisations attribuaient une signification divine à une telle pratique.




Qu’en est-il du mythe du Père Noël ?

Avez-vous déjà pensé que vous pourriez être en train de faire passer vos enfants par le feu, les sacrifier, (d’une manière différente toutefois) en observant la fête de Noël, tout en essayant sincèrement de mettre « l’emphase sur le Christ » ?

Les parents soutiennent qu’ils doivent observer tout le mythe de Noël à cause de leurs enfants ! Les traditions de Noël se concentrent principalement sur les enfants qui deviennent le centre de pratiquement tout ce qui se déroule. Je le sais car j’ai fêté dix-sept Noël. Ma sœur aînée, mon jeune frère et moi recevions beaucoup et donnions très peu à cette occasion, et tout commençait par le mensonge à propos du Père Noël.

Il y a de cela quelques années, un prêtre du New-Jersey dit aux élèves de sa classe du dimanche que le Père Noël était un mythe. L’indignation des parents et de ses superviseurs fut instantanée. Il venait de « tuer le Père Noël ». Il avait « détruit la tradition familiale » ! Il avait « usurpé l’autorité familiale, » disait l’article. Il fut censuré par ses supérieurs pour avoir été « trop zélé et insensible. »

Son crime ? Avoir dit la vérité !

Selon « l’Encyclopedia of World History » de Langer (article Santa), le nom de ce personnage était un surnom commun de Nimrod en Asie mineure. C’était aussi le même dieu du feu qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et le même dieu du feu pour qui des enfants étaient brûlés et mangés lors des sacrifices humains pratiqués par ceux qui jadis avaient été le peuple de Dieu.

Aujourd’hui le nom de Santa Claus vient de « Saint Nicolas ». En 1809, Washington Irving fut responsable d’avoir transformé le sévère et vieil évêque original en un nouveau et « joyeux St-Nick » dans son Knickerbocker History of New York. (La plupart des traditions de Noël de l’Amérique sont encore plus récentes que cela). L’expression anglaise « Old Nick », que l’on retrouve d’ailleurs dans le dictionnaire, est depuis longtemps reconnue comme un surnom du diable.

Dans Apocalypse 2 :6 et 15, la Bible traite du sujet de la « doctrine des Nicolaïtes ». à propos de laquelle le Christ dit qu’il la hait. Analysons le terme Nicolaïtes. Cela signifie « disciple de Nicolas ». Nikos signifie « conquérant, destructeur ». Laos signifie « peuple ». Les Nicolaïtes sont donc ceux qui suivent le conquérant ou destructeur — Nimrod. Si jamais vous aviez cru qu’observer Noël est une coutume chrétienne sans conséquence, alors permettez à ces vérités de s’imprégner dans votre esprit.




Les Écritures permettent-elles les échanges de cadeaux ?

Les marchands disent régulièrement que 60% de leur chiffre d’affaires se réalisent pendant la saison de Noël. Cela représente l’achat d’un nombre extraordinaire de cadeaux. Plusieurs croient que la coutume de donner des cadeaux provient de l’exemple des « trois rois mages » (la Bible ne dit pas combien ils étaient) faisant des dons au Christ. Est-ce bien vrai ? D’où vient cette coutume, et qu’en dit la Bible ?

La Bibliotheca Sacra, volume 12, pages 153-155, dit : « L’échange de présents entre amis est une caractéristique de Noël et des saturnales, et a du être adopté des païens par les chrétiens comme le montre clairement l’avertissement de Tertullien. »

Comme tout autre aspect de Noël, la vérité brutale est que même cette soi-disant coutume chrétienne ne vient pas de la Bible. Ironiquement, les gens aiment croire qu’ils suivent l’exemple des rois mages faisant des présents au Christ alors qu’en fait, ils se donnent des cadeaux presqu’exclusivement l’un à l’autre ! Quelle hypocrisie ! Le Christ est complètement oublié.

En fait la Bible enseigne que les chrétiens ne doivent pas observer les anniversaires de naissance. Plusieurs passages illustrent ce principe clairement. (Lisez notre article « Les anniversaires de naissance sont-ils des célébrations chrétiennes ? ») Que penseriez-vous si vous aviez été invité pour fêter votre anniversaire et, qu’une fois sur place, vous constatiez que tous s’échangent des cadeaux sans se préoccuper de vous ? Cela semblerait plutôt ridicule ! Si cela arrivait vous diriez que les gens sont égoïstes en vous oubliant de la sorte. La vérité est que la plupart des gens font des cadeaux aux autres à Noël simplement parce qu’ils s’attendent à en recevoir eux-mêmes !

Retournons brièvement aux « rois mages » qui ont fait des présents au Christ. Les passages qui décrivent cela se retrouvent dans Matthieu 2 : 1-11. « Jésus étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent : Où est le roi des Juifs qui vient de naître ?… Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent ; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe. »

On croit d’une façon générale que ces présents étaient des cadeaux d’anniversaire pour « l’enfant Jésus ». Mais est-ce bien ce que la Bible dit ? Absolument pas ! En premier lieu, on doit noter qu’ils ont donné les présents à Jésus. Ils ne se tenaient pas devant lui en s’échangeant des cadeaux ou en en donnant à d’autres. Les présents Lui furent donnés. De plus, ils arrivèrent bien après son « anniversaire de naissance ». Ceci est une raison supplémentaire pour laquelle ce ne pouvait être des « cadeaux d’anniversaire. »

Une des plus anciennes coutumes de l’Orient est d’offrir des cadeaux lorsque quelqu’un se retrouve en présence d’un roi. Ces personnes savaient qu’elles étaient en présence du « Roi des Juifs ». La Bible cite plusieurs exemples de personnes envoyant des cadeaux aux rois ou leur remettant en arrivant en leur présence. C’est une coutume courante de nos jours lorsqu’un ambassadeur ou d’autres personnes se retrouvent en présence d’un dirigeant du monde.

En dernier lieu, notez ce que dit le « Adam Clarke Commentary » volume 5, p. 46, à propos de ce qui s’est réellement passé à cette occasion : « Verset 11. Ils Lui offrirent [des présents].Les gens de l’Orient n’approchent jamais des rois ou des personnages de renom sans avoir un présent dans leurs mains. On peut souvent remarquer cette coutume dans l’Ancien Testament, et elle a toujours cours en orient de nos jours ainsi que dans certaines îles nouvellement découvertes des mers du sud. » Des présents étaient couramment faits aux rois.

Quoi de plus simple ?




L’origine de l’arbre de Noël

Aucune brochure au sujet de Noël ne serait complète sans une explication à propos de « l’arbre de Noël ». Jusqu’à maintenant nous n’avons qu’effleurer le sujet. L’arbre de Noël moderne a eu son origine en Allemagne. Mais les Allemands l’ont eu des Romains qui, eux, l’ont eu des Babyloniens et des Égyptiens.

Ce qui suit démontre ce que les Babyloniens croyaient à propos de l’Origine de l’arbre de Noël : « Une vieille fable babylonienne parle d’un arbre « toujours vert » qui était sorti de la souche d’un arbre mort. La souche était le symbole de Nimrod, mort, le nouvel arbre symbolisait Nimrod revenu à la vie en la personne de Thammuz ! Chez les druides, le chêne était sacré, chez les Égyptiens c’était le palmier, et chez les Romains c’était le sapin que l’on décorait avec des fruits rouges pendant les saturnales ! »(Walsh, Curiosities of Popular Customs, p. 242).

Le livre de Frederick J. Haskins intitulé « Answers to Questions dit : « L’arbre de Noël provient d’Égypte et son origine date d’une période bien antérieure à l’ère de Noël ». Saviez-vous cela… que l’arbre de Noël a précédé de longtemps le christianisme ?

La majorité des coutumes de Noël ne sont pas mentionnées dans la Bible. La raison principale étant, bien entendu, qu’elles ne viennent pas de Dieu. Elles ne font pas partie de la façon dont Il veut que les gens L’adorent. L’arbre de Noël par contre est directement mentionné dans la Bible ! Lisez Jérémie 10 :2-5 : « Ainsi parle l’Eternel : N’imitez pas la voie des nations…Car les COUTUMES des peuples ne sont que VANITE. On coupe le bois [l’arbre] dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’argent et de l’or, on le fixe avec des clous et des marteaux, pour qu’il ne branle pas. Ces dieux sont comme une colonne massive [un palmier], et ils ne parlent point ; on les porte, parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas (comme dieu), car ils ne sauraient faire aucun mal, et ils sont incapables de faire du bien. »

C’est une description de l’arbre de Noël moderne. Dieu y réfère en disant « la voie des nations ». D’une manière aussi directe, il commande à Son peuple de ne pas « [imiter] … la voie des nations ». Il dit que ces coutumes ne sont que « vanité ». Le verset 23 affirme d’une façon remarquable et puissante : « Je le sais, Ô Eternel ! La voie de l’homme n’est pas en son pouvoir ; Ce n’est pas à l’homme, quand il marche, à diriger ses [propres] pas. » Dieu doit enseigner aux gens la façon de vivre. Ils ne sont pas capables de comprendre par eux-mêmes ce qu’il faut faire.

Le 10e chapitre de Jérémie ne permet pas de croire, comme certains ont voulu le suggérer parce qu’il est dit qu’ils ne sauraient faire mal, que ce ne soit pas vraiment défendu d’avoir un arbre de Noël. Dieu condamne l’élévation d’arbres (de Noël) païens en l’ordonnant clairement !




L’origine des couronnes, de la bûche et du gui.

L’Encyclopedia Americana dit : « Le houx, le gui, la bûche de Noël…sont des vestiges de l’ère pré-chrétienne. » Autrement dit, du paganisme ! La bûche (de Noël) faisait partie d’un rite Teuton d’adoration de la nature.

Le livre de Frederick J. Haskins ajoute : « Les autorités croient que l’utilisation des couronnes de Noël tire leur origine des coutumes païennes de décoration d’édifices et des endroits de culte pendant la fête qui se tenait pendant la même période que Noël. »

L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Celastrales », révèle l’origine des couronnes : « Les païens d’Europe apportaient dans leurs demeures des gerbes, offrant ainsi aux êtres féériques des bois un refuge pendant la dure période hivernale. Pendant les saturnales, la fête hivernale romaine, des branches de houx étaient échangées en gage d’amitié. Les premiers chrétiens romains auraient apparemment utilisé le houx en tant que décoration pendant la période de Noël. »
Il existe des douzaines de types de houx. Presque tous se présentent sous une variété mâle ou femelle comme la « Blue Prince et Blue Princess », ou la « Blue Boy et la Blue Girl » ou la « China Boy et China Girl ». Les plantes de houx femelles ne peuvent porter de fruits à moins qu’un plant mâle à proximité les ait pollenisées. Il est aisé de voir pourquoi la couronne de houx a été adoptée dans les rituels païens en tant que signe d’amitié et de FERTILITÉ !

Noël ne serait pas complet pour certains à moins d’échanger « un baiser sous le gui ». Cette coutume païenne allait de soi lors d’une nuit de festivités tenue dans un esprit d’ivrognerie. Tout comme aujourd’hui, les « baisers » étaient échangés au tout début des célébrations des saturnales, ou, de nos jours, de Noël. Je n’oublierai jamais l’obligation à laquelle j’étais tenu d’embrasser la mère de mes amis en entrant dans chacune de leur maison le jour de Noël. C’était la première chose que nous faisions. Je détestais cela, mais c’était quelque chose qu’il « fallait faire » !Le gui était supposé avoir des pouvoirs de guérison spéciaux pour ceux qui « s’amusaient » en dessous.

L’Encyclopédie Britannique, sous la rubrique « Santalales » dit : « Le gui européen est supposé avoir eu une signification rituelle spéciale lors des cérémonies druidiques et possède toujours, dans le folklore d’aujourd’hui, un statut particulier, en tant que gui de Noël, qui nous vient du temps des Anglo-Saxons ». Le gui est un parasite qui vit sur le chêne. (Rappelez-vous que les druides adoraient les bocages de chênes). Les anciens Celtes (associés aux druides) avaient pour habitude de donner du gui en tant que remède aux animaux stériles afin de les rendre fertiles. Sa signification en langue celte est toujours : « la plante qui guérit tout ».

Tout comme le gui, les fruits de houx étaient considérés sacrés pour le dieu soleil. La « bûche du soleil » originelle (sun log) en est venue à être appelée la bûche de Noël (yule log) simplement parce que le mot « Yule » (bûche) signifie « roue », symbole païen qui depuis longtemps représente le soleil.
Quelle que soit la culture, l’origine de la fête est la même. Seuls certains symboles diffèrent selon les cultures. Voici ce que dit l’Encyclopedia Universalis au sujet de Noël : « Fête solennelle de la naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré le 25 décembre dans toutes les Églises chrétiennes depuis le IVe siècle. À cette époque, cette date était alors celle de la fête païenne du solstice d’hiver appelé « Naissance (en latin, Natale) du soleil », car celui-ci semble reprendre vie lorsque les jours s’allongent… ». (« Natale » est la racine du mot Noël).




Mélanger l’adoration du vrai Dieu et les fausses pratiques.

Le mot moderne pour expliquer le mélange de fausses pratiques païennes et l’adoration du vrai Dieu est syncrétisme. Quiconque faisait une telle chose dans l’ancien Israël était mis à mort (Lévitique 18 :21, 29) ! C’était très sérieux !

II Rois 17 :33 nous donne un aperçu de la façon dont la nation d’Israël pensait et croyait, dans son esprit, adorer Dieu : « Ainsi ils craignaient l’Eternel, et ils servaient leurs dieux d’après la coutume des nations d’où on les avait transportés. »

Avez-vous bien saisi ceci ? Oui, ils craignaient Dieu pendant qu’ils servaient d’autres dieux. Pas étonnant que le verset qui suit immédiatement (34), dise qu’en réalité «, « ils ne craignent POINT l’Eternel » selon la voie qu’il a prescrite. Voilà la façon dont Dieu voit les gens se comporter aujourd’hui, malgré tout ce qu’ils peuvent penser de leurs actions en copiant d’anciennes pratiques païennes !

Le verset 30 dit que tout cela avait été appris au contact des « gens de Babylone » (parmi d’autres) dont le dieu principal, nous nous en souviendrons, était Nimrod, — Baal ou Moloch —, qui nous le savons maintenant, était la même personne.

Constatez jusqu’à quel point l’avertissement de Dieu est spécifique dans Deutéronome 12 :29-31, et la raison pour laquelle Il les avertissait ! « Lorsque l’Eternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi… et que tu te seras établi dans leur pays, garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant toi. Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même. Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Eternel, ton Dieu ; car elles servaient leurs dieux en faisant TOUTES LES ABOMINATIONS qui sont odieuses à l’Eternel, et même elles brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. »

Plusieurs autres versets, semblables à Deutéronome 12, devraient être étudiés. Voyez Exode 34 :10-17 ; 23 :23-33 ; Lévitique 20 :22-26 ; Deutéronome 20 :13-18, etc. Le véritable Dieu savait que servir d’autres dieux menait toujours à leur sacrifier les enfants !

Deutéronome 12 :32 dit clairement que Dieu ne veut pas que nous mélangions Ses voies avec quelque fausse voie. « Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne ; vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. »

Voilà les PAROLES CLAIRES que Dieu adresse à tous ceux qui disent qu’ils peuvent mélanger les coutumes horribles du paganisme tout en conservant « l’emphase sur le Christ. »




Les pratiques païennes de l’ancien Israël dans les coutumes modernes.

Deutéronome 12 :2-4 précise un contexte important. Dieu y dit clairement : « Vous détruirez tous les lieux où les nations que vous allez chasser servent leurs dieux, sur les hautes montagnes, sur les collines, et sous tout arbre vert. … vous brûlerez au feu leurs idoles [bocages], … Vous n’agirez pas ainsi à l’égard de l’Eternel, votre Dieu. »

Veuillez prendre note des références aux « arbres verts » et aux « bocages ». Il y a au-moins dix versets semblables dans l’Ancien Testament mentionnant les arbres verts » en association avec l’idolâtrie. Les historiens croient que le terme « vert » se réfère à ce qui demeure vert toute l’année, autrement dit, les arbres à feuilles persistantes !

À nouveau, examinons encore de près l’histoire et l’origine de quelques coutumes des saturnales encore pratiquées aujourd’hui. Voici une citation à donner le frisson et qui provient du Dictionary of Greek and Roman Antiquities, « Oscilla », 3e édition, volume II. « …tous s’appliquaient à fêter et à être joyeux, des présents étaient échangés entre amis, les foules remplissaient les rues en criant : « Voilà les saturnales ». Selon le poète païen Virgil, une offrande était présentée sous un arbre vert décoré. Des figurines et des masques, appelés oscilla, étaient suspendues dans l’arbre, tout comme dans les arbres de Noël d’aujourd’hui. L’histoire admet…qu’il n’y a aucun doute que ces oscilla représentassent les vestiges de sacrifices humains… »

Est-ce que toutes ces choses vous semblent familières ? Des cadeaux, des chants dans les rues, des arbres verts, des décorations, des offrandes au pied de l’arbre, des réjouissances, festoyer. Elles peuvent sembler merveilleuses mais elles représentent des choses vraiment horribles.

Les oscilla modernes ressemblent à de petits « anges » joufflus lorsqu’ils sont suspendus dans l’arbre. Quand j’étais jeune, je plaçais ces petits « bébés anges » dans l’arbre moi-même. Du moins je croyais qu’ils étaient des « bébés anges ». Quelle erreur je faisais ! Pensez-vous que quiconque parmi vos connaissances se rend compte de ce qu’ils sont ? Bien sûr que non — mais cela n’enlève pas le sérieux de la chose ni ne les rend moins mal aux yeux de Dieu !

Un paganisme flagrant dans l’Église.

Une autre source permet de démontrer comment tout ceci en est venu à faire partie des coutumes observées « innocemment » par des millions de personnes — tout en étant loin d’être « innocent » aux yeux de Dieu. Lisez maintenant la citation de l’Encyclopédie Britannique, 15è édition, volume 10, pages 1062-63 : « La chrétienté…par un processus complexe et graduel…devint la religion officielle de l’empire (romain).
Pendant un certain temps, les pièces de monnaies ainsi que d’autres monuments continuèrent de lier les doctrines chrétiennes avec l’adoration du soleil, pratique à laquelle Constantin s’était adonné auparavant. Mais même après cette période, le paganisme romain continua d’exercer d’autres influences permanentes, petites et grandes. Le calendrier ecclésiastique a conservé un grand nombre de souvenirs des festivals pré-chrétiens, notamment Noël, qui inclut un mélange d’éléments des saturnales et de l’anniversaire de Mithra. Mais plus encore, le branche dominante de la chrétienté occidentale doit à la Rome ancienne sa discipline qui a été le garant de sa forme et de sa stabilité.
»

Une autorité aussi réputée que l’Encyclopédie Britannique qui admet, pour tous ceux qui voudront bien le lire, que ce sont les saturnales et la Rome ancienne qui ont défini la « discipline, la stabilité et la forme » de la chrétienté occidentale !

Ceci est une admission pour le moins renversante !

Voici une autre citation très forte, sous la rubrique « Christmas » du New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge, qui révèle la façon dont ce festival idolâtre et païen s’est infiltré dans le monde « chrétien ». (Partout dans le texte, c’est nous qui traduisons).

« À savoir jusqu’à quel point la date du festival dépendait de la fête de Brumalia (25 décembre), qui suivait immédiatement les saturnales (17 au 24 décembre) et, qui célébrait le jour le plus court de l’année et fêtait le « soleil nouveau »…ne peut être déterminé avec précision. Les saturnales et la fête de Brumalia étaient trop profondément implantées dans les coutumes populaires pour être mis de côté par l’influence chrétienne…Le festival païen avec ses réjouissances et ses émeutes était si populaire que les chrétiens du temps furent heureux d’avoir une excuse leur permettant de continuer sa célébration avec peu de changement dans l’esprit de la fête comme dans la façon de la célébrer. Les prédicateurs chrétiens de l’Ouest et du Proche-Orient ont protesté contre cette frivolité déplacée avec laquelle l’anniversaire de la naissance du Christ était célébré, alors que les chrétiens de Mésopotamie accusèrent leurs frères de l’ouest d’idolâtrie et d’adoration du soleil parce qu’ils avaient accepté comme chrétien ce festival païen. »

Une source additionnelle révèle comment l’église romaine a absorbé Noël en tant que célébration officielle. L’Encyclopédie Britannique, édition 1946, dit : « Noël ne faisait pas partie des premiers festivals de l’église…Certains Latins, aussi tôt qu’en 354, ont peut-être transféré l’anniversaire du 6 janvier au 25 décembre qui était alors une fête mithriaque…ou l’anniversaire du SOLEIL invincible…Les Syriens et les Arméniens, qui retinrent le 6 janvier, accusent les Romains d’adoration du soleil et d’idolâtrie, soutenant…que la fête du 25 décembre avait été inventée par les disciples de Cérinthus… »

C’est de cette façon qu’un festival païen, célébré longtemps avant la naissance du Christ, fit son chemin jusque dans la chrétienté reconnue.

Saviez-vous qu’au dix-septième siècle, même les Puritains de la Nouvelle-Angleterre savaient à quel point Noël était mauvais ? Ils en ont défendu l’observance par une loi, en 1659, dans toute la colonie de la Baie de Massachussets. C eux qui l’observaient étaient passibles d’amendes et de la prison. Cela prit 200 ans (1856) avant que les gens cessent de travailler le jour de Noël à Boston. Les Puritains en connaissaient l’origine et la considéraient comme « païenne et comme une fête papiste idolâtre ».




Ceux qui changent les temps et la Loi.

Le prophète Daniel (7 :8) parle d’une « petite corne » à propos de laquelle le verset 25 du même chapitre dit « …prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très Haut, et il espérera changer les temps et la loi ». Cette petite corne est une grande autorité religieuse qui tente d’imposer sa propre conception des dates et des célébrations sur un monde sans méfiance en remplacement des instructions claires de Dieu.

Le mot hébreu utilisé pour « changer » signifie « transformer, altérer ou fixer ». Le mot traduit par « temps » signifie « occasions désignées, époques, moments ». Le mot hébreu traduit par « loi » signifie « décrets ou loi de Dieu ». Cette phrase fait référence à une autorité qui tente de transformer des occasions désignées et des époques définies dans la loi de Dieu. Noël est certainement un exemple important qui illustre comment une telle chose a été faite. Les instructions de Dieu ont été remplacées par les traditions des hommes.

La citation suivante révèle comment cela s’est produit. Elle provient également de l’Encyclopédie Britannique sous la rubrique « Christianisme ». « Ainsi, la liturgie de Pâques a été développée davantage dans l’Église orthodoxe d’orient, et celle de Noël davantage dans l’Église catholique romaine…Le calendrier chrétien est une des institutions chrétiennes les plus répandues. La semaine de sept jours et le rythme des festivals chrétiens ont été acceptés même par les pays les moins chrétiens. Malgré de nombreuses tentatives énergiques d’introduire des semaines de travail variables, la semaine de sept jours avec le dimanche de congé n’a pu être éliminée même dans les pays communistes ayant une vue athée du monde. Même dans les cercles et organisations athées du monde, les fêtes chrétiennes jouissent d’une popularité incontestée en tant que jours de congé, spécialement Noël. »

En vérité, ce sont les « politiciens ecclésiastiques » auxquels nous avons fait référence plus tôt qui ont cherché à imposer le calendrier « chrétien » moderne à un monde inconscient. Ce sont ces « leaders » qui ont « pensé changer les temps et la loi. »




Le dangereux pouvoir des mensonges.

Un des noms de Satan est Destructeur (Apocalypse 9 :11). Nimrod-Saturne-Moloch-Baal, tout comme Satan, est un dieu du feu qui détruit et dévore nos petits enfants.

Le vrai Jésus-Christ n’a jamais été et ne sera jamais « dans » Noël ! On ne peut Le remettre là où Il n’a jamais été. Le « dieu de ce siècle », Satan (II Cor 4 :4) a toujours été dans Noël. Il en est l’auteur !

Le vrai Dieu nous commande de l’adorer « en esprit et en vérité » (Jn 4 :23-24). Cela ne cadre pas avec le grand mensonge de Noël et du Père Noël que tous les enfants croient si volontiers.

I Tim 4 :2 avertit ceux qui « enseignent hypocritement des faussetés », « portant la marque de la flétrissure (grec : cautériser) dans leur propre conscience ». Les parents peuvent « brûler » leurs propres enfants, leur laissant une profonde cicatrice, avec la supercherie et le mensonge de Noël !

On ne peut donner l’excuse du grand nombre de personnes qui observent Noël car Satan, qui est appelé « père du mensonge » et « meurtrier dès le commencement » (Jn 8 :44), « a séduit toute la Terre » (Apoc 12 :9) ! Trouvez et lisez ce verset. Et reconnaissez aussi le fait que Noël est sans contredit un témoignage de cette grande séduction.

Par contre le Christ fait référence à Son Église en tant que « petit troupeau », (Lc 12 :32). Plusieurs autres versets illustrent aussi cela. Cette Église ne possède pas un grand nombre de fidèles comme les grandes dénominations chrétiennes bien établies de ce monde.




Que devriez-vous faire ?

Finalement, examinons ce que Dieu dit à Son peuple de faire et comment il devrait éduquer ses enfants.

Rappelez-vous Jérémie 7 :31 qui rapporte la condamnation d’Israël par Dieu pour avoir brûlé leurs enfants dans la vallée de Tophet. Huit versets plus tôt, Dieu avait clairement dit ce qu’Il exigeait : « Mais voici l’ordre que je leur ai donné : Ecoutez ma voix, et je serai votre Dieu, et vous serez mon peuple ; marchez dans toutes les voies que je vous prescris, afin que vous soyez heureux. Et ils n’ont point écouté… Ils ont suivi … les penchants de leur mauvais cœur »

Les êtres humains ne veulent pas obéir à Dieu (Romains 8 :7). Ils préfèrent suivrent leurs propres « penchants ». Ils ne comprennent pas que Dieu veut que leur vie se déroule « bien ». Il veut que le bonheur, la joie et les bénédictions coulent dans leur vie. Toutes ces choses seraient le résultat d’une telle obéissance.

Dieu a inspiré Moïse afin qu’il prévienne les parents de la sérieuse responsabilité qu’ils doivent assumer dans la façon d’éduquer leurs enfants. Remarquez les instructions données dans Deutéronome 6 :1, 6-7, 20-21, 25 : « Voici les commandements… que l’Eternel, votre Dieu, a commandé de vous enseigner, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession… Et ces commandements, que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras… Lorsque ton fils te demandera un jour : Que signifient ces préceptes, ces lois et ces ordonnances, que l’Eternel, notre Dieu, vous a prescrits ? tu diras à ton fils : Nous étions esclaves de Pharaon en Egypte, et l’Eternel nous a fait sortir de l’Egypte par sa main puissante. Nous aurons la justice en partage, si nous mettons soigneusement en pratique tous ces commandements devant l’Eternel, notre Dieu, comme il nous l’a ordonné. »

Dieu délivra Israël d’Égypte —de l’esclavage — des coutumes du monde qui les entouraient et Il leur a révélé Sa Loi. Il ne veut pas que Son peuple retourne aux traditions, coutumes et façons dont Il les a délivrés.

Lorsque toutes ces traditions, truffées de symbolisme d’adoration des anciens dieux païens, inventés par les hommes, sont enseignées, cela ne constitue pas de l’adoration envers le vrai Créateur.




Nous ne savions pas que Noël provenait de Babylone.

À deux reprises dans Matth 7 :16 et 20, Jésus a dit : « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits ». Tout ce que les gens font ou disent de bien ou de mauvais produit des fruits. Les fruits de Noël sont terribles. Cette période est celle pendant laquelle domine l’adultère, la solitude, la jalousie, l’ivrognerie et la conduite dangereuse au volant, les controverses familiales (et pire), sans compter les dettes qui s’accumulent et ne peuvent parfois pas être payées avant le mois de mars. Ce problème est si important que toutes les églises rapportent que leur revenu, ironiquement, chute pendant cette période alors que les gens « récupèrent » de toutes leurs dépenses.




Le véritable « esprit de Noël ».

Le prophète Ésaïe fut inspiré d’écrire, « Crie à plein gosier, ne te retiens pas, élève ta voix comme une trompette, et annonce à mon peuple ses iniquités, à la maison de Jacob ses péchés ! » (És 58 :1). C’est ce que je viens de faire. Vous venez de lire la pure vérité au sujet de l’Origine réelle de Noël. Que ferez-vous ?
La citation qui suit provient de la brochure intitulée « La simple vérité au sujet de Noël », écrite par M. Herbert W. Armstrong. Elle résume la brochure que vous venez de lire.
« Noël est devenue une saison commerciale. Cette fête est financée, exploitée, maintenue en vogue par un déploiement inouï de campagnes publicitaires les plus intenses de l’année…[où] vous voyez un Père Noël de mascarade dans plusieurs magasins. Des flots de réclames nous tiennent en haleine et nous trompent sur le « merveilleux esprit de Noël ». La presse, qui vend les annonces, imprime des éditoriaux flatteurs, en langage fleuri, exaltant la saison païenne, et son « esprit ». Un public crédule en est tellement inoculé, que beaucoup s’offensent quand on leur dit la vérité ! Ainsi se crée, année après année, « l’esprit de Noël », non point pour honorer le Christ mais pour vendre des marchandises. C’est caractéristique de toutes les mystifications de Satan qui se donne les apparences d’un « ange de lumière » et se montre sous un faux aspect de bonté ! Chaque année cette débauche commerciale effrénée engloutit des sommes qui se chiffrent par milliards de dollars et pendant ce temps l’œuvre du Christ en souffre. Cela fait partie du système économique de Babylone ! »

Nous avons proclamé être une nation chrétienne mais nous vivons dans Babylone tel que prophétisé dans la Bible ; et nous ne nous en rendons pas compte : « Sortez du milieu d’elle mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayiez point part à ses fléaux » — maintenant près de sévir — tel est l’avertissement qui nous est adressé dans Apocalypse 18 :4. [C’est nous qui soulignons]

Cette année, au lieu de vous livrer à ce commerce de cadeaux, pourquoi ne mettriez-vous pas cet argent au service de l’œuvre de Dieu ?


David C.Pack


Traduit par Jean Richard





source:
diable 3 http://www.thercg.org/fr/brochures/ttooc-fr.html


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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeJeu 5 Aoû 2010 - 14:49



Les Jésuites sont en fait une famille. Avec une descendance. Une descendance reptilienne Nephilim. Ils sont définis par la noirceur. Ils sont le VATICAN NOIR, le véritable pouvoir occulte derrière l'Église Catholique.

Ensuite, lorsque les reptoïdes envahiront avec un petit groupe, nous nous retournerons tous vers le pape pour la réponse et l'homme préparé.

Peu importe qui ils offriront comme homme, il sera l'Antéchrist, en PERSONNE. Un aspect de la Bête en forme Hybride, mi-reptilien et mi-humain.

Il vient pour assassiner le monde.



Don Bradley

étoile 1 http://transition888.heavenforum.org/t300-textes-extraits-du-blog-de-cbswork


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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeSam 7 Aoû 2010 - 12:50










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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeVen 17 Déc 2010 - 1:20

LA PORNOGRAPHIE PONTIFICALE






Charlemagne nous a fourni l'occasion de rencontrer un pape accusé « d'adultère et de scélératesses de toutes sortes ». Il y a là de quoi étonner un catholique du XXème siècle, familier avec des papes au-dessus de tout soupçon: Jean-Paul II, Jean XXIII, Paul VI, Pie XII et quelques autres du même genre sérieux. Ne dit-on pas: sérieux comme un pape ? Il n'en fut pas toujours ainsi: le trône pontifical a été maintes fois occupé par des hommes ambitieux, dévoyés et cruels. Les papes actuels considèrent la papauté comme une théocratie, mais, selon le cardinal Baronius (1538-1607), elle a un jour mérité le nom peu flatteur de pornocratie. Je parlerai de la papauté médiévale sans rien emprunter à des auteurs amateurs de scandales ou anticléricaux .

Tout d'abord, l'évêque de Rome n'a porté le titre de « pape » qu’à la fin du IVe siècle; en 384, précisément. Inusité en Occident, « pape » était le titre courant des évêques d'Orient. Des évêques d'Occident le porteront avant qu’il ne soit réservé à l'évêque de Rome. Pendant plus de trois siècles, on parla de l'évêque de Rome comme on parlait de l'évêque de Carthage, de Lyon ou d'Alexandrie. Quand on fait de saint Pierre le premier pape, on commet un anachronisme: saint Pierre a été évêque de Rome.

De plus, jusqu'en 769, un évêque ne changeait pas de diocèse: une règle en vigueur dans l'Église interdisait le transfert du poste d'évêque de Lyon ou d'Alexandrie au poste d'évêque de Rome. Le futur évêque de Rome pouvait être un prêtre, un diacre, voire un simple laïc, mais ni un évêque ni une femme. En 236, par exemple, il fallait élire un évêque de Rome. On proposait des candidats à la foule... Eh oui ! à la foule, quand une colombe blanche vint se poser sur la tête d'un certain Fabien, un simple laïc. Le peuple y vit un signe du ciel, et Fabien fut choisi. Un synode tenu en 769 décida de barrer aux laïcs la route de la papauté, mais ce règlement fut enfreint comme à peu près tous les autres du genre. C'est en 882 seulement que, pour la première fois, un homme déjà évêque devint évêque de Rome et pape. Ce faisant, on dérogeait à une règle strictement observée jusque-là.

Dans l'histoire de la papauté, les relations de parenté ne manquent pas d'étonner: on y parle souvent de père, de fils, d'oncle, de cousin, de neveu. Par exemple, Innocent I —, fils du pape Anastase (399-402), succède à son père sur le siège épiscopal de Rome. Il l'occupera de 402 à 417. Ou encore: Félix, fils d'un prêtre, était père de famille quand il devint pape, et il eut un arrière-petit-fils célèbre, le pape saint Grégoire le Grand. Autre exemple: le sous-diacre Silvère, fils du pape Hormisdas, succéda au pape Agapet, lui-même fils d'un prêtre. Enfin, Théodore Ier, élu pape en 642, était fils d'évêque.

En 498, le Moyen Âge est à peine commencé, l'Église se retrouve de nouveau — ce n'était pas la première fois — avec deux papes, Symmaque (498-514) et Laurent. Un concile se réunit pour déterminer qui des deux est légitime, mais sans succès. On décide donc de recourir à l'autorité civile. À ce moment-là, c'est un barbare, aux yeux des Romains, Théodoric, qui règne sur l'Italie. Cet Ostrogoth, qui a trempé dans l'hérésie d'Arius, se prononce en faveur de Symmaque. Son choix n'a rien de théologique: Symmaque est opposé à tout rapprochement avec Byzance, ce qui plaît à Théodoric, qui ne tolérerait aucune intervention en Italie de l'empereur romain d'Orient. Mais Laurent ne courbe pas la tête: les partisans des deux papes se font la guerre jusqu'à ce que Laurent se retire, en 505, à la demande de Théodoric.

En 526, Théodoric impose aux Romains un pape selon son cœur. Grâce à l'influence de sa fille, son choix porte sur un diacre, Félix, un excellent candidat. Pour éviter les secousses provoquées par les élections papales, Félix croit sage de désigner son successeur, l'archidiacre Boniface. Le clergé lui fait savoir qu’il ne renonce pas à son droit d'élire le pape, et il choisit Dioscore d'Alexandrie. Encore une fois, Rome a deux papes, car Boniface a été sacré évêque lui aussi. Cependant, Dioscore meurt trois semaines après son élection; le problème est résolu: le choix de Félix prévaut, et l'Église a comme pape Boniface II.

Lui aussi veut désigner son successeur. Il réunit tous les prêtres et leur fait jurer de choisir Vigile comme prochain évêque de Rome. Le pouvoir civil intervient et exige un nouveau synode. Boniface II admet qu’il a commis un abus de pouvoir. Vigile, qui a vu la papauté lui filer entre les doigts, guette l'occasion. L’impératrice de Constantinople, Théodora, va la lui fournir. La puissante dame a des comptes à régler; Vigile est son protégé, et elle le veut pape. Le pape régnant, Silvère (536-537), va en payer le prix. On lui fait un procès; il est condamné, et Vigile devient pape. Il reste un détail à régler: Silvère n'est pas mort... Vigile manœuvre pour que l'importun soit mis sous sa « protection » et il prend les moyens de briser sa résistance. Silvère abdique, et Vigile le laisse tout simplement mourir de faim. Ce Vigile, premier pape assassin, mais non le dernier, sera pape de 537 à 555.

Un événement majeur dans l'histoire de la papauté médiévale, c'est la formation des États pontificaux et l'accession du pape à la souveraineté temporelle, avec tous les problèmes qui en découleront. Les Lombards menacent Rome, qui ne peut attendre aucun secours de Byzance, avec laquelle elle est en conflit. Le pape Étienne II se tourne donc vers les Francs. Il traverse les Alpes et vient supplier Pépin le Bref de lui porter secours. Pépin s'engage à remettre au pape les terres qu’il arrachera aux Lombards. En 755 et 756, il accomplit sa promesse. Les États pontificaux sont nés. Jusque-là, devenir évêque de Rome excitait peu la cupidité. Désormais, le pape est un roi, et son trône est convoité par de nombreux et féroces aspirants. Chaque nouvelle élection va être un drame.

Le jour même de la mort du pape Paul 1er (757-767), le duc Toto de Népi nomme lui-même son propre frère, Constantin, un simple laïc, comme successeur. Il trouve trois évêques qui acceptent de le consacrer: c'était le nombre requis pour faire un pape. Pendant un an, Constantin essaie en vain de se faire agréer comme pape légitime par Pépin le Bref Des notables réussissent finalement à s'emparer de ce pape, lui crèvent les yeux et l'enferment dans un couvent. La souveraineté temporelle du pape commençait à porter ses fruits véreux.

Le roi des Lombards tente alors sa chance. Son choix porte sur un moine nommé Philippe. Le jour même de son intronisation, le pauvre Philippe est renversé et rentre vivement dans sa cellule pour ne pas se faire crever les yeux, arracher les oreilles et couper le nez, comme il est d'usage en pareille circonstance. Le lendemain, le parti favorable aux Francs élit un prêtre sicilien, Étienne. Devenu pape, il réunit vite un synode, qui décrète que seul un prêtre ou un diacre pourra dorénavant devenir pape. Ce décret, auquel j'ai déjà fait allusion, barrait aux laïcs la route de la papauté, déjà barrée aux évêques, mais, comme bien d'autres décrets, il ne sera pas toujours respecté.

Un siècle plus tard, l'Église est dirigée par un pape violent et vindicatif, Jean VIII (872-882). Parce que le duc de Naples a refusé de lutter contre les Sarrasins, Jean VIII use de représailles: il fait trancher la tête de vingt prisonniers napolitains. Juste retour des choses, il connaîtra lui-même une fin affreuse. L’un de ses proches lui offrit à boire une coupe de vin empoisonné. Comme le poison tardait à agir, on eut recours au marteau et on lui fracassa le crâne. Cette tragédie inaugurait l'une des époques les plus sombres de la papauté: de 882 à 1045.

Daniel-Rops la décrit ainsi: « À la cruauté l'orgie se mêle, dans des conditions qui découragent le récit, que les scandales du temps des Borgia [XVIe siècle] égaleront, mais ne dépasseront pas. Et, comme aux jours [des Borgia], tenant bien leur rôle dans ces tragédies shakespeariennes, des femmes occupent le devant de la scène, belles, ambitieuses, dissolues, aussi habiles à user de leurs charmes qu'à administrer le poison . » L’influence de ces femmes est telle sur la papauté et sur les papes que le bon peuple murmure: « Nous avons des femmes pour papes ! » Daniel-Rops pense que c'est de là que naquit la légende, absurde selon lui, de la papesse Jeanne.

Le premier pape de cette période, Étienne VI, n’occupa le trône pontifical que pendant un an — 896-897 —, mais ce court règne le rendit tristement célèbre. Son prédécesseur, Formose, était un homme d'une pureté de mœurs rare à l'époque, d'une grande austérité de vie, mais d'une ambition que n’assouvirait rien d'autre que le souverain pontificat. Le 18 septembre 891, il atteint son auguste but, mais il réalise bientôt que le bonheur parfait n'est pas de ce monde.

Après sa mort, ses nombreux et cruels ennemis lui font un procès, auquel ils exigent qu’il soit présent en personne, ou plutôt en macchabée ! On retire du tombeau qu'il occupait depuis neuf mois le cadavre du vieux pape, on réussit tant mal que bien à l'asseoir sur une chaire, et un diacre, horrifié du rôle qu'on lui impose dans le spectacle, est chargé de répondre au nom du mort. Le pape Étienne VI, successeur de Formose, préside la sinistre assemblée.

Écoutons Daniel-Rops : « Une cérémonie abominable suivit, où le mort fut dégradé, dépouillé des vêtements pontificaux auxquels collaient les chairs putréfiées, jusqu'au cilice que portait ce rude ascète ; les doigts de sa dextre [main droite] furent coupés, ces doigts indignes [selon ses juges], qui avaient béni le peuple. » À la fin du procès, on jette le corps dans un tombeau profane, parmi les corps des étrangers. Mais ce n'est pas assez pour les plus enragés, qui retirent le cadavre pour le jeter dans le Tibre. Il se trouva des gens pour s'indigner d'une telle monstruosité. Le pape Étienne VI fut renversé lors d'une émeute, emprisonné, puis étranglé dans sa cellule. Quant au pauvre Formose, il fut réhabilité; son cadavre, rejeté sur la rive par les eaux compatissantes du Tibre, fut ramené en procession à Saint-Pierre. La légende rapporte que, sur son passage, les statues des saints s'inclinaient pour le saluer.

Augustin Fliche fait commencer avec Serge III, pape de 904 à 911, la période la plus triste de l'histoire de la papauté. Ce n’est pas à dire qu’il considère comme décent l'épisode qui précède. Au nom de Serge sont associés les noms de Théophylacte, l'homme le plus influent de Rome à l'époque, le nom de sa femme, Théodora, et celui de leurs deux filles, Marozie et Théodora. Marozie, femme très influente à Rome, disposait de la tiare à son gré. C'est cette période — 904 à 935 — que le cardinal Baronius désigna du nom de pornocratie.

Jean X, pape de 914 à 928, a été porté au pontificat par la femme de Théophylacte, Théodora. Elle aussi détenait le pouvoir d'asseoir un homme sur le trône de saint Pierre comme de l'allonger dans son lit. Se croyant en sécurité avec l'appui de la mère, Jean X chercha à ruiner l'influence de Marozie. Mal lui en prit: Marozie provoqua une émeute, le Latran, résidence des papes de 313 à 1304, fut envahi, et Jean X fut étouffé sous un coussin.

Le gouvernement de Rome, par Albéric, fils de la célèbre Marozie, coïncida avec un assainissement temporaire de la papauté, soit de 936 à 955, année de la mort d'Agapet II. À la mort de ce dernier, le fils d'Albéric coiffa la tiare et prit le nom de Jean XII. Son âge ? 15 ans, 18 ans ? Moins de vingt, semble-t-il. Il fut pape de 955 à 964, et l'un des plus scandaleux. Comme Caligula, il nomma sénateur son cheval préféré; il sacra évêque un mignon de dix ans; il paya avec des calices et des ciboires les services de prostituées. Bref, sous Jean XII, le Latran était un bordel.

Désireux de reconquérir des terres arrachées aux États de l'Église, Jean XII fait appel au roi d'Allemagne. Nouveau Charlemagne, Otton descend en Italie et entre à Rome en triomphateur. Le 2 février 962, Jean XII lui confère la couronne impériale. Le « Saint Empire romain germanique » est fondé. Dix jours plus tard, le nouvel empereur remet au pape un document qui rappelle deux exigences formulées en 824: 1) l'obligation d'obtenir l'assentiment de l'empereur d'Allemagne avant de sacrer un pape ; 2) le devoir pour tout nouveau pape de prêter à l'empereur le serment de fidélité. La papauté est sous tutelle.

À peine le couple impérial a-t-il quitté Rome que Jean XII cherche des alliés contre Otton. Il n'a pas de veine: ses messagers sont interceptés. De plus, des rapports sur les mœurs du pape incitent Otton à revenir à Rome en novembre 963. Jean XII avait déjà déguerpi avec les trésors de l'Église... Otton en a marre: il fait jurer aux Romains de ne plus jamais élire de pape sans son accord et, le 4 décembre 964, il démet Jean XII de ses fonctions.

Le jour même, il fait élire un nouveau pape pour prendre la place de Jean XII, toujours vivant. Le nouveau pape est un laïc, en dépit de la décision prise en 769, qui l'interdit formellement. En 24 heures, on fait gravir à ce laïc tous les échelons de la hiérarchie et on l'installe sur la chaire de Pierre sous le nom de Léon VIII. Des mécontents cherchent à le renverser, mais, malheureusement pour eux, l’Empereur, encore à Rome, a tôt fait de mater la rébellion, puis il repart pour l'Allemagne.

Averti de ce départ, Jean XII revient à Rome. Léon VIII a le temps de fuir à son tour, mais ceux de ses partisans qui tombent sous les griffes de Jean XII ont les yeux crevés, les oreilles arrachées et le nez coupé. Quand Otton en est informé, il reprend, indigné, le chemin de Rome pour châtier le monstre, mais, avant son arrivée, un mari revenu de voyage plus tôt que prévu trouve quelqu'un dans le lit de sa femme. Après l'avoir assommé, il arrache les couvertures, reconnaît Jean XII, l'empoigne et le jette par la fenêtre.

Léon VIII, qui avait été le choix de l'empereur en 963, avait fui devant Jean XII et s'était réfugié à la cour d'Allemagne. À la mort de Jean XII, il y réside toujours, mais les Romains l'ignorent et élisent un nouveau pape, Benoît V. Léon VIII rentre à Rome et fait valoir ses droits à la papauté. Comme il avait l'appui de l'Empereur, c'est le pauvre Benoît V qui prit le chemin de l'Allemagne.

Depuis la mort de Léon VIII, en 964, les Romains réclamaient le retour d'Allemagne de leur pape Benoît V, qui vivait en résidence forcée à Hambourg. Otton fit la sourde oreille et, en 965, leur imposa Jean XIII, un fils de la célèbre Théodora la Jeune. Deux mois plus tard, les Romains se révoltent sous les ordres de Pierre, le préfet de la ville; ils prennent d'assaut le Latran, capturent le pape et l'enferment dans un cachot, hors de la ville. Mais Jean XIII réussit à s'évader et se réfugie auprès d'Otton.

En novembre 966, Jean XIII rentre à Rome; Otton arrive le mois suivant. Le châtiment des révoltés débute: on pend, on crève des yeux, on bannit. « Quant à Pierre, l'instigateur de la révolte, le pape le fit pendre par les cheveux à la statue équestre de Marc Aurèle. Après ce supplice, il le fit exhiber à travers la ville, nu sur un âne, tourné vers la queue de l'animal à laquelle était attachée une clochette. Après l'avoir ridiculisé de diverses manières, on l'exila en Allemagne . » La haine des Romains pour ce pape féroce monte d'un cran, puis les dévore pendant six ans, car Jean XIII ne meurt qu'en septembre 972.

Son successeur, Benoît VI, est encore un protégé de l'empereur Otton le Grand (912-973), mais ce dernier meurt quelques mois plus tard — en 973. Un certain Crescentius, devenu très influent à Rome, s'empare alors du pape, l'enferme au château Saint-Ange et fait élire l'un de ses protégés, qui prend le nom de Boniface VII. Benoît VI étant toujours de ce monde, Boniface VII a un problème de légitimité, qu'il résout en étranglant de ses mains le pauvre Benoît VI. Les Romains se révoltent devant tant de cruauté, et Boniface VII doit se tapir dans le château Saint-Ange. Quand l'assaut y est donné, il réussit à s'échapper en emportant tout ce qu'il peut du trésor de l'Église. Comme il n'est pas un protégé de l'empereur d'Allemagne, il va se réfugier à Constantinople et attendra pendant dix ans l'heure de rentrer à Rome et de se rasseoir sur le trône pontifical.

Boniface VII étant un pape illégitime, Benoît VII, qui lui succède après sa fuite, sera considéré comme le successeur de Benoît VI. Pendant neuf ans, il travaillera à assainir l'Église. À sa mort en 983, Jean XIV lui succède, mais l'empereur Otton II (973-983) décède sur les entrefaites. Voilà venue l'heure qu’attendait Boniface VII. Il rentre à Rome, fait emprisonner Jean XIV et le laisse mourir de faim. Ce meurtrier de deux papes mourra assassiné durant l'année, et l'on traînera son cadavre dans les rues de Rome.

Le successeur de Jean XIV prit le nom de Jean XV. Il régnera pendant onze ans. Un règne qui, comme les précédents, ne fut pas de tout repos. Quand Jean XV meurt, l'empereur Otton III est en Italie. Il use de son influence pour faire élire son chapelain et cousin de 24 ans, un petit-fils d'Otton le Grand, qui prend le nom de Grégoire V. Mais il y a un autre Crescentius qui entend rester le maître à Rome. Dès le départ d'Otton, il met le pape en fuite et installe sur le trône pontifical un antipape, Jean XVI.

Dès qu'il l'apprend, Otton revient à Rome, capture Crescentius, qu'il fait décapiter au sommet du château Saint-Ange. L'antipape en fuite est rattrapé par les soldats de l'empereur, qui lui crèvent les yeux, lui coupent le nez et lui arrachent les oreilles. On le présente dans cet état à Grégoire V, qui le fait promener sur un âne à travers Rome avant de l'enfermer dans un couvent.

Il se trouvait, évidemment, beaucoup de gens pour déplorer que des « vicaires du Christ » déshonorent ainsi leur fonction. Par exemple, au concile de Saint-Basle de Verzy en 991, l'évêque d'Orléans prend la parole. Il parle d'abord de Jean XII, « plongé dans le bourbier des débauches », puis de Boniface VII, « tout rouge du sang de ses prédécesseurs ». Il conclut en ces termes : « Est-ce à de tels monstres, gonflés d'ignominie, vides de science divine et humaine, que les innombrables prêtres de Dieu répandus par tout l'univers, distingués par leur savoir et par leurs vertus seront légalement soumis ? En conséquence, patientons au sujet des souverains pontifes autant que nous le pourrons et, en attendant, cherchons l'aliment de la parole divine partout où il nous est possible de le trouver. » Le bon évêque ne pensait pas que son discours améliorerait les choses, et il ne les a pas améliorées.

En avril 1024, Benoît VIII décède. Son frère, un simple laïc, encore une fois, malgré le décret qui l'interdit depuis 769, paie le gros prix et se fait élire. En un jour, on lui fait gravir, comme à Léon VIII en 964, tous les degrés de la hiérarchie jusqu'au souverain pontificat, qu’il assumera sous le nom de Jean XIX. Après huit ans de règne, cet incomparable « vendeur du temple » décède et c'est un autre assassin qui le remplace, Benoît IX.

On dit de Benoît IX (1032-1046), qu’il avait 12 ans quand il coiffa la tiare, mais les mœurs et les crimes qu’on lui attribue en supposent davantage: probablement trente. Il fit refleurir au Latran les mœurs qui avaient déshonoré ce palais au temps de Jean XII: les aventures galantes alternent avec les actes de cruauté. C'est avec lui que se termine, en 1046, la période la plus sombre de l'histoire de la papauté, que Daniel-Rops décrivait ci-dessus.

Le pontificat de Benoît IX fut pour l'Église l'époque des plus lamentables événements. Au lieu de s'assagir en vieillissant, ce monstre devenait de plus en plus odieux. « Encore s'il n'eût cédé qu'au démon de la luxure ! mais, violent et brutal, il ne reculait, au dire de ses contemporains, devant aucun crime. » Vers la fin de 1044, une violente insurrection éclate dans Rome. Assiégé au Latran, Benoît IX réussit à s'enfuir. Dès janvier de 1045, Silvestre III est élu pour succéder au pape déchu, mais les frères du déchu ne voient pas la situation du même œil. Ils chassent Silvestre III et réinstallent Benoît IX au Latran pour un second pontificat. Pour peu de temps. Jugeant sa situation de moins en moins confortable et désireux de se marier, Benoît IX donne sa démission.

Benoît IX avait pour parrain un prêtre vertueux nommé Gratien. Il lui proposa d'abandonner le souverain pontificat en sa faveur à la condition qu'une pension convenable lui soit assurée. « Acte fut dressé, paraît-il, de cette étrange convention, où certains [...] voudront voir un achat en bonne et due forme de la charge pontificale. » Foncièrement optimiste, Gratien ne voyait que le beau côté de la transaction: d'une part, il débarrassait l'Église de son filleul, indigne de la tiare; d'autre part, il ne voyait aucun mal à lui assurer une pension qui lui permette de vivre. Et c'est ainsi que le pieux parrain de Benoît IX devint le pape Grégoire VI. Son accession au trône pontifical suscita beaucoup d'espoir chez les chrétiens, exacerbés par les crimes pontificaux.

Mais Grégoire VI n’avait pas reçu l'aval de l'empereur d'Allemagne. Henri III décide donc de se rendre en Italie à l'automne de 1046 pour régler le cas de Grégoire VI qui, à ses yeux, n'est pas légitime. Grégoire VI vient à la rencontre d'Henri III, qui le prie de convoquer un concile, dont il fixe le lieu et le moment: Sutri, avant Noël. Grégoire VI aurait simplifié les choses en remettant sa démission; comme il ne le fit pas, on le déposa, et l'empereur Henri III put choisir son pape. Ce fut un évêque allemand, le premier des « papes allemands », qui prit le nom de Clément II. Il ne régna que neuf mois et demi.

Qui refait surface ? Nul autre que l'infâme Benoît IX, qu'on avait perdu de vue depuis qu'il avait démissionné pour prendre épouse. Avec la connivence de gens influents, Benoît IX se réinstalle au Latran, mais il a trop d'ennemis pour que ce troisième pontificat dure longtemps. L’empereur germanique, Henri III, est mis au courant. On lui propose des candidats. Entre autres, Grégoire VI, que certains lui reprochent d'avoir déposé, mais l'Empereur fait à sa tête. Le jour de Noël 1047, il désigne l'évêque de Brixen. En route vers Rome, sa répugnance pour la papauté croît de jour en jour; n’en pouvant bientôt plus, il rebrousse chemin et rentre en Allemagne. L’empereur réitère son ordre. Benoît IX disparaît comme par enchantement, et l'évêque de Brixen devient pape sous le nom de Damase II. Vingt-trois jours plus tard, le 9 août 1048, il meurt. Tout était à recommencer, mais la mort de Benoît IX allait faciliter les choses: on ne le verrait pas une quatrième fois sur le trône de saint Pierre.

En décembre de la même année, une délégation de Rome arrivait à Worms, où résidait l'Empereur, et lui « demandait un pape ». L’évêque désigné par Henri III prit le chemin de Rome avec des sentiments d'évêque et non de pape. « Il ne se considérerait comme pape que si le consentement du clergé et du peuple romain le portait sur la chaire de Pierre. » Devenu pape, il prend le nom de Léon IX (1049-1054), un excellent pape. Que l'empereur désigne le pape le dégoûtait. C'était une pratique ancienne, et l'on s'était habitué aux ingérences du pouvoir civil dans les affaires de l'Église, mais un mouvement de contestation prenait de l'ampleur.

On attendait de Léon IX qu'il guérisse les deux plaies qui faisaient de l'Église une véritable lépreuse: la simonie et le nicolaïsme. La simonie est plus connue. Elle consistait « dans le trafic des choses saintes contre une valeur pécuniaire, argent ou objet appréciable en argent ». On s'achetait un évêché, une abbaye ou une paroisse comme on s'achète un commerce, un terrain ou une voiture. Le nicolaïsme porte d'autres noms familiers: luxure, impureté, désordre des mœurs. J’y reviendrai.

Les Normands vont assener un dur coup à la réforme entreprise par Léon IX. Bien installés dans le sud de l’Italie, ils énervent le Pape, qui décide, de concert avec l'empereur de Byzance, de leur donner une sévère leçon. Léon IX lève une petite armée et en prend le commandement, mais les Normands apparaissent avant que l'armée byzantine n'ait eu le temps de se joindre à celle du Pape. Ils veulent négocier; le « général » Léon IX les traite avec arrogance. Le combat s'engage, son armée est écrasée, et il est fait prisonnier.

Dix mois plus tard, après avoir accordé aux Normands tout ce qu'ils exigent pour sa libération, Léon IX reprend, malade et en litière, le chemin de Rome. Humiliée, la chrétienté se demande si c'est bien la place d'un pape de commander une armée. Un mois après sa libération, Léon IX meurt. L’Église lui a conféré l'auréole des saints. Depuis deux siècles, aucun pape n'était monté sur les autels; on comprend pourquoi.

Le synode du Latran, en avril 1059, vote un décret qui réserve au collège des cardinaux, créé par Léon IX, l'élection du pape. Le peuple, le clergé et l'empereur d'Allemagne devront se contenter d'approuver. Un moindre mal, ce décret, et non le bien absolu, car un cardinal peut être un simple laïc, très jeune: on en connaît de 13, 14 et 15 ans, plusieurs de moins de 20 ans. Lors d'un conclave tenu en 1605, le cardinal jésuite Robert Bellarmin s'indigna de voir que trois membres du Sacré Collège qui n'avaient pas vingt ans obtenaient des votes. Mais le décret réservant au collège des cardinaux l'élection du pape fut bafoué par celui-là même qui l'avait proposé au synode, le cardinal Hildebrand, qui devint le célèbre Grégoire VII, dont il sera question dans le chapitre sur la simonie et le nicolaïsme. Pendant les funérailles de son prédécesseur, Hildebrand tord le bras des cardinaux en provoquant les acclamations de la foule, qui le réclame comme pape: Vox populi, vox Dei.

On n'en finirait plus si l'on voulait relever tout ce qui s'est passé d'incroyable dans l'histoire de la papauté. Notons, en passant, le nom de Nicolas Breakspeare, puisqu'il est le seul Anglais à s'être assis sur le trône de saint Pierre, sous le nom d'Adrien IV (1154-1159). Fils d'un prêtre qui s'était dérobé à ses responsabilités paternelles, Nicolas avait traversé la Manche et, presque mort de faim, avait été accueilli dans un monastère. Le petit moribond était du bois de pape; de bon pape.

En 1304, les cardinaux doivent choisir un successeur à Benoît XI. Onze mois d'affrontement entre le parti français et le parti italien n'ont donné aucun résultat. Le roi de France, Philippe le Bel, informé que l'archevêque de Bordeaux est un candidat sérieux, le fait venir et conclut un marché: l'archevêque repart avec l'appui du monarque. Dès que la nouvelle parvient à Pérouse, où les cardinaux sont réunis, l'archevêque de Bordeaux devient Clément V. Trois semaines après l'élection de son pape, Philippe le Bel lui enjoint de nommer dix cardinaux: un Anglais, neuf Français. L’élection du prochain pape en sera facilitée... Clément V. bien qu'évêque de Rome et pape, installe sa cour à Avignon en 1309. Ses six successeurs devaient y résider jusqu'en 1378. Quand Jacques de Molay, le grand maître des Templiers, du haut de son bûcher, a convié au jugement de Dieu, dans l'année même, trois hommes qui avaient entraîné sa perte, il a nommé le roi Philippe, le chevalier Guillaume de Nogaret et le pape Clément.

Grégoire XI fut le dernier pape français d'Avignon. Cardinal à 17 ans, grâce à un oncle pape, Pierre-Roger de Beaufort est élu, dès le premier jour, par un conclave composé de cardinaux français, à part trois italiens et un anglais. À 40 ans, ce cardinal n’est encore que diacre. Ce n’est pas la première fois, on le sait, qu’un homme deviendra prêtre, évêque et pape en l'espace d'une journée ou tout au plus d'une semaine.

Influencé par une religieuse dominicaine, Catherine de Sienne, Grégoire XI décide de rentrer dans son diocèse, Rome, dont il est l'évêque en tant que pape. Il le regrettera amèrement et, sur son lit de mort, se reprochera d'avoir accordé foi à des « prophéties de femme » ! Le peuple de Rome souhaitait ardemment le retour du pape, car l'exploitation des pèlerins constituait la principale source de revenus de la ville : une année sainte était plus payante que des jeux olympiques...

Au passage des cardinaux, qui se rendent au conclave pour donner un successeur à Grégoire XI, le peuple hurle: « Un Romain ou un Italien », sous-entendu : « Pas un autre Français », car il va reprendre le chemin d'Avignon. Après les hurlements de la foule, c'est la foudre qui frappe la salle du conclave, puis les lances des soldats dans la porte. C'en est trop. Terrorisés, les cardinaux s'empressent d'élire l'archevêque de Bari, un Napolitain. N'étant pas cardinal, l'archevêque est absent. On va le chercher, et il devient pape sous le nom d'Urbain VI, le 18 avril 1378.

Urbain VI se montre d'une arrogance inqualifiable envers les cardinaux, surtout envers les cardinaux français. Exaspérés, ces derniers se réfugient à Anagni puis, le 9 août, s'adressent à toute la chrétienté pour lui expliquer que l'élection d'Urbain VI, s'étant déroulée dans un climat de terreur, est invalide. Le 20 septembre, les treize cardinaux français élisent un nouveau pape, Robert de Genève, qui prend le nom de Clément VII. Même s'ils n'ont pas participé au vote, les cardinaux italiens reconnaissent Clément VII. Il ira s'installer à Avignon. De 1378 à 1449, l'Église aura deux papes et, pendant un certain temps, trois... C'est cette période dramatique de la papauté qui est passée à l'histoire sous le nom de Grand Schisme d'Occident.

Un concile tenu à Pise en 1409 condamne les deux successeurs d'Urbain VI et de Clément VII, qui ont inauguré le Grand Schisme, les dépose, puis en élit un nouveau, Alexandre V. Les deux condamnés n'acceptent pas leur sentence, et l'Église se retrouve avec trois papes ! L’antipape Alexandre V ne régnera qu'une année et sera remplacé par l'antipape Jean XXIII. Bref, de 1378 à 1449, il y aura trois papes pendant six ans; deux pendant 56 ans; un seul pendant neuf ans, soit de 1430 à 1439.

Eugène IV, qui régnait alors, est accusé et condamné au concile de Bâle (1431-1449). Le 25 juin 1439, le concile le suspend de ses fonctions et il élit, pour le remplacer, un laïc veuf, père de neuf enfants. Le 24 juillet 1440, ce laïc est couronné pape et il prend le nom de Félix V. Le lendemain, on l'ordonnera prêtre et, assisté de ses deux fils, il chantera la messe. Si faux que l'assistance rira à s'en tenir les côtes. Le 7 avril 1449, Félix V remet sa démission aux pères du concile de Bâle, et l'Église n'a plus, enfin, qu’un seul pape, Nicolas V. Quant à Félix V, il passait de pape à cardinal, obtenait une importante pension et d'autres avantages. On ne lui creva pas les yeux ni ne lui arracha les oreilles.

Quand le Moyen Âge prend fin, le siège de Pierre est occupé par Nicolas V, un homme digne de la fonction, mais la situation est désolante. De passage à Rome, le cardinal allemand Nicolas de Cuse confiera à un ami: « Tout, absolument tout ce qui se passe ici dans cette Cour me dégoûte. Tout y est pourri. » Hélas ! une hirondelle ne fait pas le printemps, et Nicolas V ne fera pas le printemps de la papauté: de nombreux corbeaux noirs se jucheront par la suite sur le siège de Pierre.

La fin de ces calamités ne viendra pas de l'intérieur. Pour recouvrer la santé, un malade doit souvent recourir à la médecine. L'empereur Napoléon sera le premier chirurgien de la papauté. En 1808, il l'ampute des États pontificaux, qu'il incorpore à son empire; en 1809, le drapeau tricolore flotte sur le château Saint-Ange. Au lieu de chanter le Te Deum, le pape Pie VII excommunie « tous les brigands qui ont fait main basse sur le patrimoine de Pierre ». Napoléon essaie en vain de lui faire comprendre que la papauté est enfin libre des soucis temporels, qui l'ont empêchée de s'occuper des âmes. Le congrès de Vienne devait restituer au pape presque toutes ses terres. Pour un temps: les Piémontais réussiront là où Napoléon avait échoué. En 1870, ils s'emparent de Rome, et le pape Pie IX se déclare prisonnier au Vatican. Pourtant, jamais un pape n'avait été aussi libre. Ses successeurs le seront enfin tous, et ce seront de grands papes : Léon XIII, Pie X, Benoît XV, Pie XI, Pie XII, Jean XXIII, Paul VI et Jean-Paul II.

Je n’ai relevé qu'un petit coin du voile, mais cela suffit, je pense, pour ébranler l'opinion courante qui imagine des papes puissants et autoritaires; des papes austères, émaciés par les jeûnes et les veilles. En réalité, la plupart étaient à genoux devant les pouvoirs civils, et les mœurs d'un bon nombre laissaient beaucoup à désirer. « J'ai prié, dit Jésus à Pierre, pour que ta foi ne défaille pas. » Sa foi et celle de ses successeurs; il n'a pas prié pour que leur conduite soit digne de la fonction. Jésus a dit aussi : « Je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin du monde. » Il est présent, mais il n'intervient pas de façon autoritaire: il laisse les salauds commettre leurs saloperies.




source:
LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Z-amen10http://classiques.uqac.ca/contemporains/blais_martin/sacre_moyen_age/sacre_moyen_age.pdf
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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeMar 18 Jan 2011 - 0:55





LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Great_10
strass 1 http://www.one-evil.org/acts_holocaust/acts_vatican_holocaust.htm




LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Great_11
strass 1 http://www.one-evil.org/acts_holocaust/acts_vatican_holocaust_part_2.htm




LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Master10
strass 1 http://www.one-evil.org/acts_holocaust/acts_vatican_holocaust_part_7.htm


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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeVen 6 Juil 2012 - 17:44

TÉMOIGNAGE DE SVALI SUR LA CÉRÉMONIE D'ALLÉGEANCE
AUX ILLUMINATI DANS LES SOUS-SOL DU VATICAN






GS: So you reached the age of 12, and then you’re told by your parents you’re going to an induction ceremony in the Vatican.

SV: Yes.

GS: Can you tell us how that happened and what occurred at that ceremony when you went there?

SV: (deep breath, voice becomes stressed) Okay. Um, this isn’t easy to talk about, as you know.

When I was twelve, I was flown over to Germany. And I was at, I’ll call them the German Fathers’ house, over there. And, there was some preparation for a few days, beforehand, and I was told that there would be a very important ceremony. And it was considered a sealing ceremony at that point. And basically I was told a little bit about what I was expected to do during the ceremony.

When we got there, we went through the Vatican. Underneath the Vatican there is a large room that I described to you when we talked before. It has 13 catacomb chambers leading into it. And what they do is as you go down these steps into the room, you can see that it’s circular, so they’re all rounded. They bring out the mummies from the catacombs. And they set them beside each one [each of the 13 catacomb chambers], and they say “That’s the spirit of the Fathers watching over the ceremony.”

During the ceremony, there was a large table in the center of the room. It was on top of this huge golden pentagram. They had a ceremony there..


GS: So how many kids, how many other children were with you being inducted into the Family or the Order, as they call it?

SV: There were two other children at that point. But there were several adults too.

GS: Okay.

SV: See, the Church also brings in adults to swear their allegiance, too, just so you know. I was told, and I don’t know if this is true, that if you want to rise to a certain position within the Catholic Church hierarchy, you do have to go through that ceremony as well.

GS: Okay, so you’re down in this room. Your parents weren’t present.

SV: No. No. The German Father and the French Father were.

GS: Okay, and at that point tell our listeners what you witnessed.

SV: (pause, additional voice stress) Well, there was a table. It looked like dark glass in the center of the room. It was made out of a stone, but it was very shiny and darkened black. It may have been something like obsidian or onyx, I’m not sure. This was the only time I’ve seen stone like that.

Around the corners it had these gold channels that, you know, collect fluids. A little boy was placed in the center of the table and drugged. I think he was drugged, because he was very quiet. He didn’t move or say anything.


GS: This was a little three or four-year-old boy, right?

SV: Yes. Yeah. Yeah.

GS: Then they continued to do a child sacrifice.

SV: Yes, they did. Yes. I told you about that before. Yeah.

GS: Now afterwards, quite, what an unbelievable experience for a youth, a 12-year-old. What went through your mind when that happened?

SV: I was terrified! I mean, I was absolutely horrified. I… I… I… I can’t describe the terror you feel when you go through something like that.

GS: And do you remember the words they were saying as this was going on?

SV: (pause) The man was in scarlet – he was speaking in Latin. And basically he was saying, “Please accept the sacrifice on this day.” And then he said, “This sacrifice will seal the ceremony.” And then he did it.

Again, I was so terrified that…
(sighs) Have you ever been in a situation where your heart’s racing, but you can’t do anything? You’re just kind of sitting there, and you’re kind of fading in and out?

GS: Well, I can remember as a youth being frightened, but I don’t think I’ve ever…

SV: (crosstalk) No. All right.

GS: … had anything quite like what you’ve had.

SV: Imagine your heart rate going up to about 220. You can’t move. You’re kind of shaking, but you’re trying not to show it.

GS: Mm hm.

SV: It was horrible. Actually, I keep thinking inside, “I can’t wait ’till it’s over. I can’t wait.” You don’t say this, but inside you’re just saying over and over, “I can’t wait ’till this is over. I can’t wait ’till this is over. I can’t wait ’till it’s over.”

GS: Mm hm.

SV: Afterwards, the man in scarlet, he had a huge golden ring on his hand. He came over to the center of the room. Each of the people that were swearing that day had to go forward and kneel before him and kiss his ring, and swear my allegiance to the New Order, to the New World Order for all… until my death.

GS: Hm. Now at that point you were escorted out.

SV: Yes. Yeah. After the ceremony was all over. I mean, the other people also did theirs as well. They had to swear their allegiance too.

GS: And they were the same age as you?

SV: The two children were, but there were also three adults that went forward and did the same. And afterwards, we were told (slowly and precisely) : “May the same to you or worse occur should you ever break this oath.”

GS: Hm. So it’s basically… whew! Imagine at that age, what [this would do]. And you weren’t really prepped for this, were you? You were told there was a ceremony, but you didn’t expect anything like this, from what I’ve gathered talking to you.

SV: It was very difficult to go through, just because the sense of horrific oppression down there was the worst I’ve [ever felt.] I’ve gone through some ceremonies in my life in the Illuminati, you do go through them. But I have to say that in my experience this was the worst, just because… I can’t explain the amount of darkness in that room. It was just pure evil. And unless you’ve ever been in a… seen a person… it was just horrible.

It wasn’t just what happened, but just… I mean, the oppression. And I’m a Christian now, and I know the difference between when there is evil present – oppression – or when God’s love is present, which is joy and peace. That’s the exact opposite of what there was in that room.


GS: Now you know what I find quite interesting about this? About 25 years ago, I was a reporter and a freelance writer in Rome, and I spent six years there. I walked through the Vatican many, many times… hundreds of times. I covered the papal addresses, things like that.

During that time I was there during a Vatican scandal, which involved the Church bank and other things… members of the Illuminati, the Freemasons. I was approached by a woman, Maria Vendital (ph), and I’ll never forget this. Rome’s a small town. People knew I was covering stories about the secret societies, things like that. I had to ask people.

Well, this woman came up to me and told me similar stories. She wasn’t quite as specific because she couldn’t handle it without breaking out crying, and tried to commit suicide twice because she couldn’t get out of the Illuminati. She was a member, born into it from a very wealthy northern Italian family. She told me basically the same ceremony took place with her.

And so, when I started talking to you, I wanted to relay that to you, and also to relay to my listeners that I also heard about this, 25 years ago, from a woman by the name of Maria, and several other people in Italy that I talked to. I was never able to locate or really, probably for my own safety, ever find out what happened.

But again, Svali’s corroborating a story that I heard about 25 years ago. We’ll get back after the break with this incredible story of a member who is now out of the Illuminati, out of the group and safe, on the Republic Broadcasting Network.


[commercial break - Resume at 23]

GS: Okay, we’re back on the Investigative Journal. I’m your host, Greg Szymanski. We’re talking to Svali, a member of the Family, the Order, the Illuminati, for thirty years.

Svali, you leave the induction ceremony. You walk out into the Vatican courtyard with one of the fathers, I believe. What did he tell you then?


SV: At that point he just told me to never forget. He told me that I had performed well during the ceremony because I didn’t scream or pass out or anything like that. He said “You did very well,” and he was pleased. Then we stayed at a home nearby. It must have been a local person. I didn’t know them. We spent the night there before we went back to Germany.

GS: Okay, and what about the other people during the ceremony. How did they handle themselves? Do you remember?

SV: (sighs) I’m going to say, unfortunately, I was so… when you’re in that kind of situation, the last thing you’re thinking about sometimes is what the other people are doing. (Laughs) I was just so trying not to lose it myself. I do know that no one screamed or shouted or anything like that. Everyone was quiet. I think to say ‘dead silence,’ is, unless the person was spoken to, true – or unless they had to go forward and kiss the ring.

(...)

SV: Sure. At the top levels, it’s in Rome. That’s the power center or the heart of the Illuminati, where the power base is. And that’s why all leadership must swear fealty in Rome, because that’s considered the core of, the spiritual center of the Universe. That’s how they view it.


étoile 1 http://transition888.heavenforum.org/t81-temoignage-de-svali-ex-illuminati-repentie - posts du Mar 20 Oct 2009 - 22:44 et 23:12




Deux nouveaux témoins affirment avoir vu le pape Benoit XVI - Joseph Ratzinger - ainsi que le cardinal hollandais

« J’ai vu Joseph Ratzinger assassiner une petite fille dans un Château Français à l’automne 1987 », relate le témoin, qui était un participant régulier dans un culte rituel de torture et d’assassinat d’enfants.
« C’était affreux et horrible, et cela n’a pas seulement eu lieu une fois. Ratzinger participait souvent. Lui et [le cardinal catholique hollandais] Alfrink et [le fondateur du Bilderberg] le Prince Bernhard étaient parmi les hommes les plus importants qui participaient. »

Ce nouveau témoin confirme les faits relatés par Toos Nijenhuis, une femme hollandaise qui a témoigné publiquement le 8 mai dernier avoir vu de ses yeux des faits similaires de crimes impliquant Ratzinger, Alfrink et Bernhard.

étoile 1 http://transition888.heavenforum.org/t817-snuff-movies-et-sacrifices-d-enfants-aux-pays-bas-temoignage-de-toos-nijenhuis


Dernière édition par invitée le Jeu 31 Oct 2013 - 18:26, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeJeu 10 Jan 2013 - 18:55

LES "RATLINES"
Réseaux d’exfiltration nazis du Vatican





Les réseaux d’exfiltration nazis désignent les filières d’exfiltration utilisées par les nazis et les fascistes fuyant l’Europe à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ces filières conduisaient essentiellement vers des abris sûrs situés en Amérique latine, en particulier en Argentine, au Paraguay, au Brésil, au Chili et également au Moyen-Orient, principalement en Égypte. D’autres destinations peuvent avoir inclus les États-Unis et le Canada.

L’évêque catholique Alois Hudal était le recteur du Pontifico Instituto Teutonico Santa Maria dell’Anima à Rome, un séminaire pour prêtres autrichiens et allemands, et le Directeur Spirituel des Allemands résidant en Italie. Après la fin de la guerre en Italie, Hudal devint actif dans le ministère des prisonniers de guerre et des internés germanophones détenus dans des camps en Italie. En décembre 1944, le Secrétariat d'État du Vatican reçut la permission de désigner un représentant pour « visiter les internés civils germanophones en Italie », une tâche qui fut assignée à Hudal.

Hudal se servit de cette position pour aider des criminels de guerre nazis à s’échapper. Parmi ces derniers figuraient Franz Stangl, commandant de Treblinka, Gustav Wagner, commandant de Sobibor, Alois Brunner, responsable du camp d’internement de Drancy près de Paris et chargé des déportations en Slovaquie à destination des camps de concentration allemands, et Adolf Eichmann – un fait sur lequel il s’ouvrirait plus tard sans manifester de remords. Certains de ces hommes recherchés étaient détenus dans des camps d’internement. Dépourvus de papiers d’identité, ils étaient le plus souvent enrôlés dans les registres du camp sous de faux noms. D’autres nazis se cachaient en Italie et s’adressèrent à Hudal lorsque son rôle dans l’aide aux fuyards devint connu dans les communautés nazies. Dans ses mémoires, Hudal écrivit au sujet de ses actions: « Je remercie Dieu qu’Il m’ait permis de visiter et de réconforter beaucoup de victimes dans leurs prisons et camps de concentration et de les avoir aidé à s’enfuir avec de faux papiers d’identité. »

Il expliquait qu’à ses yeux, « La guerre des Alliés contre l’Allemagne n’était pas une croisade, mais la rivalité des complexes économiques pour la victoire desquels ils avaient combattu. Ce prétendu business… utilisait des slogans tels que démocratie, race, liberté religieuse et christianisme comme appâts pour les masses. Toutes ces expériences furent la raison pour laquelle je sentis qu’il était de mon devoir après 1945 d’orienter mon travail de charité essentiellement vers les anciens nazis et fascistes, et plus particulièrement vers les prétendus criminels de guerre. »

Selon ce qu’écrivent Mark Aarons et John Loftus dans leur ouvrage Unholy Trinity, Hudal fut le premier ecclésiastique catholique à se consacrer à la mise en place de filières d’exfiltration. Aaron et Loftus prétendent que Hudal fournissait aux bénéficiaires de sa charité de l’argent pour les aider à s’échapper et, chose plus importante, des faux documents incluant des papiers d’identité délivrés par l’organisation du Vatican pour les réfugiés (Commissione Pontificia d’Assistenza).

Ces documents du Vatican n’étaient pas réellement des passeports et, par eux-mêmes n’étaient pas suffisants pour permettre un voyage outre-Atlantique. Ils constituaient toutefois la première étape dans une chasse aux documents. Ils pouvaient par exemple être utilisés pour obtenir un passeport de personne déplacée de la Croix-Rouge internationale (CRI), passeport qui pouvait ensuite être utilisé pour obtenir des visas. Le CRI aurait dû effectuer des contrôles de vraisemblance sur les passeports des demandeurs. Selon les informations recueillies par Gitta Sereny auprès d’un haut responsable de la branche romaine du CRI, Hudal pouvait également utiliser sa position d’évêque pour demander au CRI des papiers « établis selon ses spécifications ». Les sources de Sereny font également état d’un trafic illicite actif de documents du CRI volés ou falsifiés à Rome à cette époque.

Selon des rapports déclassifiés des services de renseignement américains, Hudal ne fut pas le seul ecclésiastique apportant de l’aide aux nazis à cette époque. Dans le rapport La Vista déclassifié en 1984, l’agent du Counter Intelligence Corps (CIC) Vincent La Vista expliqua comment il avait facilement pu s’arranger pour que deux faux réfugiés hongrois puissent obtenir de faux documents du CRI au moyen d’une lettre rédigée par un Père Joseph Gallov. Gallov, qui gérait un organisme charitable, soutenu par le Vatican, au profit des réfugiés hongrois, ne posa aucune question et écrivit une lettre à son « contact personnel à la Croix Rouge Internationale qui délivra alors les passeports ».

Selon Aaron et Loftus, les opérations menées à titre privé par Hudal portaient sur une petite échelle par rapport à ce qui allait se produire par la suite. La principale filière d’exfiltration romaine était gérée par un petit, mais influent, réseau de prêtres croates, membres de l’ordre des Franciscains, sous la direction du Père Krunoslav Draganović. Ce dernier avait organisé une filière hautement sophistiquée, dont le quartier général se trouvait au séminaire San Girolamo degli Illirici à Rome, mais qui disposait de liens à partir de l’Autriche jusqu’au point final d’embarquement à Gênes. Au départ, la filière se concentra sur l’aide aux membres du mouvement fasciste croate Oustachi, le plus notable étant Ante Pavelic qui avait été dictateur durant la guerre.

Aarons et Loftus précisent que les prêtres actifs dans la chaîne comprenaient le frère Vilim Cecelja, ancien Vicaire militaire détaché aux Oustachis, basé en Autriche où beaucoup de réfugiés nazis et Oustachis restaient cachés, le frère Dragutin Kamber, basé à San Girolamo; le frère Dominic Mandic, dont on dit qu’il était un représentant officiel du Vatican à San Girolamo et aussi "Économiste Général" ou trésorier de l’ordre des Franciscains – Aarons et Loftus prétendent qu’il fit valoir cette position pour mettre la presse franciscaine à la disposition de la filière et Monseigneur Karlo Petranovic, basé à Gênes.

Cecelja prenait contact avec ceux qui se cachaient en Autriche et les aidait à franchir la frontière italienne; Kamber, Mandic et Draganovic leur trouvaient du logement, souvent dans le monastère lui-même, pendant qu’ils se chargeaient de réunir les papiers nécessaires; finalement, Draganovic téléphonait à Petranovic à Gênes pour lui communiquer le nombre de couchettes nécessaires sur des bateaux en partance pour l’Amérique du Sud (voir ci-dessous pour l’opération à son extrémité sud-américaine).

Les opérations de la filière Draganovic étaient un secret de polichinelle au sein de la communauté du renseignement et des cercles diplomatiques à Rome. Dès août 1945, les commandants alliés à Rome posaient des questions relatives à l’utilisation de San Girolamo comme abri pour les Oustachis. Un an après, un rapport du département d’État des États-Unis daté du 12 juillet 1946 donnait une liste de neuf criminels de guerre, incluant des Albanais et des Monténégrins ainsi que des Croates plus d’autres « qui ne sont pas réellement abrités dans le Collegium Illiricum (càd. San Girolamo degli Illirici), mais qui par ailleurs jouissent du support et de la protection de l’Église ». En février 1947, l’agent spécial du CIC Robert Clayton Mudd rapportait que dix membres du cabinet Oustachi de Pavelic vivaient soit à San Girolamo ou au Vatican lui-même. Mudd avait infiltré un agent au sein du monastère et confirmait qu’il était « truffé de cellules de collaborateurs Oustachis » gardés par des « jeunes en armes ». Mudd rapportait également: « Il fut en outre établi que ces Croates voyagent à destination du Vatican et en reviennent plusieurs fois par semaine dans une voiture avec chauffeur dont la plaque d’immatriculation porte les initiales CD, "Corpo Diplomatico". Le véhicule prend en charge ses passagers au Vatican et les décharge à l’intérieur du monastère de San Geronimo. En raison de son immunité diplomatique il est impossible d’arrêter cette voiture et de vérifier qui en sont ses passagers. »

Mudd concluait comme suit: « Le support de Draganovic à ces Quislings croates le lie définitivement au plan du Vatican consistant à protéger ces nationalistes ex-Oustachis jusqu’à ce qu’ils soient en mesure de leur procurer des documents leur permettant d’émigrer en Amérique du Sud. Le Vatican mise sans aucun doute sur les forts sentiments anticommunistes de ces hommes envisage de les infiltrer en Amérique du Sud par tous les moyens disponibles en vue de contrer la diffusion de la doctrine rouge. Il a par exemple été rapporté de source sûre que le Dr. Vrancic est déjà parti pour l’Amérique du Sud et qu’il est prévu qu’Ante Pavelic ainsi que le Général Kren doivent partir bientôt vers la même destination en passant par l’Espagne. Il se dit que toutes ces opérations ont été négociées par Draganovic en raison de son influence au Vatican. »

L’existence de la filière de Draganovic est admise par l’historien du Vatican Frère Robert Graham, qui déclara à Aarons et Loftus: « Je n’ai pas de doute que Draganovic était extrêmement actif dans l’exfiltration de ses amis oustachis croates. ».

Dans le cadre de sa fonction de visiteur apostolique aux Croates emprisonnés, Draganovic dépendait hiérarchiquement de l’évêque Giovanni Battista Montini, à l’époque secrétaire chargé des affaires extraordinaires au Secrétariat d’Etat du Vatican et qui allait plus tard accéder à la papauté sous le nom de Paul VI. Certains témoignages laissant entendre que Montini aurait été au courant des actions de Draganovic et les aurait approuvées ont récemment émergé dans un tribunal de San Francisco ou un recours groupé de survivants de l’Holocauste contre la Banque du Vatican est toujours en cours (mai 2007). Un des témoins dans cette affaire est William Gowen, un ancien agent de renseignements de l’armée américaine basé à Rome au cours des années qui suivirent la guerre et chargé d’enquêter sur la filière Draganovic. Son témoignage n’a pas été publié officiellement, mais une copie en a été obtenue par le journal israélien Haaretz qui a publié en janvier 2006 un article accusant Montini sur la base des preuves de Gowen. Selon l’article du Haaretz:

« " J’ai enquêté personnellement sur Draganovic qui m’a dit qu’il faisait rapport à Montini ", a souligné Gowen. Ce dernier a rapporté qu’à un certain moment, Montini apprit, apparemment du chef de l’antenne de l’OSS à Rome, James Angleton, qui entretenait des relations avec Montini et le Vatican, les recherches menées par Gowen. Montini se plaignit de Gowen à ses supérieurs et l’accusa d’avoir violé l’immunité vaticane en ayant pénétré dans des bâtiments appartenant à l’Eglise, comme le Collège Croate, et d’y avoir enquêté. Le but de cette plainte était de gêner l’enquête. Dans son témoignage, Gowen déclara également que Draganovic aida les Oustachis à blanchir les trésors volés avec l’aide de la Banque du Vatican: cet argent fut utilisé pour soutenir financièrement ses activités religieuses, mais également pour fournir des fonds en vue de l’exfiltration des chefs Oustachis au travers de la filière. »



Les services de renseignements américains sont impliqués

Un rapport du service de renseignement de l’armée américaine établi en 1950 et désormais déclassifié, rédigé par le "IB Operating Officer" Paul Lyon du 430ème CIC, relate en détail l’histoire des exfiltrations au cours des trois années précédentes. C'est ce même 430ème corps du Counter Intelligence Corps (CIC), basé en Autriche, qui employa certains criminels de guerre, dont le SS flamand Robert Jan Verbelen. C'est ce dernier qui recruta un ex-officier nazi de haut rang chargé de contrefaire les sceaux provinciaux requis pour les papiers d'identité.

Selon ce rapport, à partir de ce moment les forces armées américaines elles-mêmes avaient commencé à utiliser le réseau de Draganovic pour évacuer leurs propres visiteurs. Comme le signale le rapport, il s’agissait de « visiteurs qui avaient été sous la garde du 430ème CIC et subi les processus prévus par les directives et règlements applicables et dont le maintien de la résidence en Autriche constituait une menace pour la sécurité ainsi qu’une source possible d’embarras pour le Général commandant les forces américaines en Autriche, car le Commandement soviétique s’était rendu compte de leur présence dans la zone d’occupation américaine en Autriche et, dans certains cas, avait requis que ces personnes soient remises à la garde des autorités soviétiques. »

Cela signifie qu’il s’agissait en l’occurrence de criminels de guerre ou de traîtres provenant des zones occupées par l’Armée rouge – légalement, les forces américaines étaient tenues de les livrer aux Soviétiques pour être jugés. L’arrangement conclu avec Draganovic impliquait d’amener les visiteurs à Rome. « Draganovic se chargeait de toutes les phases de l’opération après que les personnes sont arrivées à Rome, tels que la fourniture de documents italiens et sud-américains, visas, timbres, arrangement pour le voyage par terre ou par mer. » Les services de renseignement américains utilisèrent ces méthodes en vue de mettre la main sur d’importants scientifiques ou stratèges militaires nazis, pour autant qu’ils n’aient pas encore été réclamés par l’Union soviétique, au profit de leurs propres centres de science militaire aux États-Unis. Beaucoup de scientifiques nazis furent employés par les États-Unis, notamment ceux récupérés au travers de l’opération Paperclip.



Les filières du Proche et Moyen-Orient

Après la guerre, des milliers de nationaux-socialistes rejoignirent l'Irak, la Syrie et surtout l'Égypte entre 1948 et 1951 où ils ont mené des activités relatives à la politique et à la sécurité.

En 1967, l’historien Kurt Tauber a décrit la situation qui était celle de l’Égypte de Nasser: « … En plus des dons de la Gestapo et de la SS, il y avait aussi un grand besoin d’autres aptitudes sur le Nil. On nous dit que d’anciennes recrues de Goebbels, initialement sous la supervision du défunt Johann von Leers, jouent un rôle important dans l’appareil de propagande antijuif et antisioniste de Nasser. À ce propos, nous entendons les noms de Werner Witschale, du Baron von Harder, de Hans Appler et de Franz Buensche. Mais un passé d’agent de la Gestapo, de la SS et des services d’espionnage n’empêche pas d’accéder à des carrières attractives au ministère égyptien de la propagande. Walter Bollmann, chef nazi des services d’espionnage en Grande-Bretagne avant la guerre, et plus tard, commandant SS, a servi dans la lutte contre la guérilla et les opérations antijuives en Ukraine; Louis Heiden, officier SS qui fut transféré au bureau de presse égyptien durant la guerre, Franz Bartel, "vieux combattant" et officier dans la Gestapo; Werner Birgel, officier SS de Leipzig; Albert Thielemann, dirigeant SS en Bohème; Erich Bunz, Major dans la SA et expert dans la question juive; et le capitaine SS Wilhelm Boeckler, qui participa à la liquidation du Ghetto de Varsovie – sont tous réputés s’être occupés de propagande antijuive pour le compte de Nasser… »

Le cas de Johann von Leers est exemplaire à ce sujet. Membre dirigeant de la NSDAP à la fin de 1929, colonel SS, rédacteur de Der Angriff, auteur de différentes études d'anthropologie, le professeur d'université von Leers fut l'intime collaborateur de Joseph Goebbels, lequel lui confia la direction du Nordische Welt, organe de la Société pour la préhistoire et la protohistoire germanique. Après dix-huit mois d'internement dans un Lager anglo-américain, Von Leers réussit à fuir en Argentine, où il dirigea un journal en langue allemande. À la chute de Péron, il se mit à l'abri en Égypte; là, il se convertit à l'islam et prit le nom de Omar Amin. Von Leers organisa au Caire l'Institut de recherche sur le sionisme, dirigea des émissions radiophoniques écoutées dans tout le monde arabe, se chargea d'une importante collection de textes islamiques destinés au public allemand et donna vie à diverses initiatives éditoriales et de propagande. En Égypte, von Leers devint un ami proche de l’ancien Mufti de Jérusalem, Muhamad Hadj Amîn al-Husaynî.

Parmi ceux qui devinrent musulmans et qui exercèrent des fonctions d'un certain niveau dans l'État égyptien, citons: Joachim Daeumling, ex-chef de la Gestapo de Düsseldorf, qui réorganisa les forces de police en Égypte sous la responsabilité d'Otto Skorzeny; William Boeckler (Abd el-Karîm), ex-capitaine de la Gestapo, qui assuma une charge au service d'information; l'ex-SS Wilhem Berner qui entraîna les fedayin palestiniens; l'ex-SS-Gruppenführer A Moser (Hasan Suleymâm), qui occupa un poste d’instructeur militaire; l'ex-commandant de la garde du corps de Hitler Léopold Gleim (an-Nâsir), qui alla former les cadres des services de sécurité; Louis Heiden (al-Hâj), ex-membre de l'Office central de sécurité du Reich, qui traduisit Mein Kampf en arabe.




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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeSam 16 Fév 2013 - 22:35

THE SATANIC VATICAN






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MessageSujet: Re: LES ILLUMINATI ET LE VATICAN   LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Icon_minitimeVen 25 Oct 2013 - 9:15

LE VATICAN, LA CITY DE LONDRES ET LE DISTRICT OF COLUMBIA





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Certains demanderont pourquoi avoir oublié Wall Street ? Réponse: Wall Street est au service de ces trois entités nommées, Wall Street est à la botte, comme tous les gouvernements… Le nœud de vipères est constitué historiquement et dans l’ordre chronologique du Vatican, de la City de Londres (état dans l’état) et du District of Columbia yankee.

– Résistance 71 –



Les Cités-États du Vatican, du District of Columbia et de la City de Londres forment un empire inter-connecté.

Ces trois CORPORATIONS Cités-États contrôlent le monde économiquement via la corporation financière de la City de Londres, militairement via le Washington District of Columbia et spirituellement via le Vatican.

  • Elles ne paient aucun impôt.

  • Elles ne sont sous aucune autorité nationale.

  • Elles ont leur propre drapeau indépendant.

  • Elles ont leur propres lois séparées.

  • Elles ont leur propre force de police.

Elles ont des identités totalement indépendantes du reste du monde. Les trois étoiles qui sont sur le drapeau du District of Columbia se réfèrent aux trois Cités-États, une pour chaque Cité de l’Empire.


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Ce triangle géostratégique sert de base de pouvoir pour l'équipe qui dirige le monde.




Washington DC


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Le président des États-Unis Obama, comme les autres avant lui, opère en tant que “roi vassal” prenant ses ordres de la “City of London” via le Royal Institute of International Affairs [RIIA, plus connu sous le nom de Chatham House; il est l'équivalent du CFR en Grande-Bretagne et à l'origine du CFR aux USA.].

La constitution du District of Columbia fonctionne sous la loi romaine tyrannique connue sous le nom de “Lex Fori” qui ne ressemble en rien à la constitution des États-Unis. Lorsque le congrès vota la loi de 1871, il créa une entreprise distincte connue sous le nom d’États-Unis/US [NdT: et non pas États-Unis d’Amérique/USA] et un gouvernement corporatiste pour le District of Columbia. Cet acte de trahison a permis au District of Columbia de fonctionner comme une entreprise en dehors de la constitution originale des États-Unis d’Amérique et en dehors des meilleurs intérêts des citoyens américains.




City of London Inc.


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Devenue un état souverain en 1694 lorsque le roi William III d’Orange privatisa et détourna la Banque d’Angleterre vers les banquiers privés. En 1812, Nathan Rothschild torpilla le marché boursier anglais et prit alors le contrôle frauduleux de la Banque d’Angleterre.

Aujourd’hui, la Cité-Etat de Londres (City) est le centre financier mondial et le kilomètre carré et demi le plus riche de la planète.

Elle abrite:
  • La Banque d’Angleterre contrôlée par Rothschild.

  • Lloyds of London.

  • Le London Stock Exchange.

  • Toutes les banques britanniques.

  • Les succursales de 384 banques étrangères.

  • 70 banques américaines.

  • L'ensemble des journaux et les maisons d'éditions.

  • Le QG mondial de la franc-maçonnerie.

  • Le QG du cartel monétaire mondial connu sous le nom de “THE CROWN" (LA COURONNE).

Elle ne fait pas partie de la ville de Londres ni de l’Angleterre ni du Commonwealth britannique.




Le Vatican Inc.


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La fortune collossale du Vatican inclut d’énormes investissements avec les Rothschild en Grande-Bretagne, en France et aux États-Unis, et avec de très grosses entreprises pétrolières et de l’armement comme la Shell, BP et General Electric.

LE STOCK DE LINGOTS D’OR MASSIF du Vatican vaut des milliers de milliards, et il est entreposé à la Banque d’Angleterre contrôlée par les Rothschild et à la Réserve Fédérale américaine.

L’église catholique est la plus grosse puissance financière, accumulatrice de richesses et propriétaire foncière existante au monde, possédant plus de biens matériels que n'importe quelle banque, entreprise, fond de trust géant et gouvernement, où que ce soit sur la planète.

Le pape, qui est le dirigeant visible de cette fortune mondiale colossale, est l'un des hommes les plus riches du globe.

Alors que les deux tiers de l’humanité vit avec moins de 2$ par jour et un cinquième du monde est sous-alimenté ou meurt de faim, le Vatican accumule la richesse mondiale, profite inlassablement de ses investissements sur le marché boursier, et, dans le même temps, prêche la charité.

Durant la seconde guerre mondiale, le Vatican fut critiqué pour son soutien à Hitler et son régime Nazi. À ce jour, le Vatican est toujours l'objet d’une enquête pour le pillage de l’or nazi provenant des comptes bancaires suisses des victimes l’Holocauste Juif.

Ces cinq dernières décennies, plus de 1500 prêtres et évêques ont été identifiés pour avoir agressé sexuellement des dizaines de milliers de jeunes garçons et filles au sein de leurs congrégations religieuses et leurs orphelinats.
    1- Pourquoi cette INSTITUTION PLEINE AUX AS prêche-t-elle les valeurs spirituelles, la pauvreté et la chasteté, alors que des cardinaux, des prêtres et des évêques couvrent leurs crimes d’abus sexuels ?

    2. Pourquoi l’Église a-t-elle combattu et s'est-elle opposée aux demandes de dédommagement de ses victimes traumatisées sexuellement, émotionnellement et spirituellement ?

Article original: cligno multicolore  http://peoplesconference.org/empire_of_the_city.htm
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~





source:
LES ILLUMINATI ET LE VATICAN Z-amen10 http://resistance71.wordpress.com/2013/10/22/le-coeur-de-lempire-le-vatican-la-city-de-londres-et-le-district-of-columbia
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