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 SVALI PARLE DE LA PÉDOPHILIE ET DE LA TORTURE CHEZ DES ILLUMINATI

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invitée

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Localisation : Tarn

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MessageSujet: SVALI PARLE DE LA PÉDOPHILIE ET DE LA TORTURE CHEZ DES ILLUMINATI   SVALI PARLE DE LA PÉDOPHILIE ET DE LA TORTURE CHEZ DES ILLUMINATI Icon_minitimeJeu 16 Déc 2010 - 6:45

SVALI PARLE DE LA PÉDOPHILIE ET DE LA TORTURE CHEZ DES ILLUMINATI







« Il y a deux ans, mes enfants, qui étaient en visite chez moi, m'ont dévoilé les sévices qu'ils avaient subis auprès de leur père. Je suis aller trouver les services sociaux, mais mon cas fut classé sans suite car la fonctionnaire en place m'a affirmé qu'elle ne croyait pas à la réalité des sévices rituels ! Quand mon ex-mari vint réclamer les enfants, il aurait pu me faire mettre en prison, parce que je ne lui avais pas rendu les enfants. En effet, le tribunal de San Diego avait froidement déclaré qu'il ne croyait pas en la réalité des sévices rituels. Dans tous les cas d'accusation de sévices rituels, les enfants sont confiés à celui des parents qui était accusé d'avoir pratiqué ces sévices ! »

[...]

« Ma plus jeune sœur se rappelle avoir été baillonnée et attachée à un autel de pierre à l'âge de trois ans, pour être violée. Elle se rappelle aussi que notre grand-mère paternelle la conduisait à des amis pour y subir des sévices sexuels entre 3 et 5 ans. Elle est devenue alcoolique à 13 ans, et avait commis 7 tentatives de suicide avant l'âge de 12 ans. L'un de mes frères, plus âgé que moi, ne se souvient absolument de rien de ce qu'il a vécu avant l'âge de 20 ans. Tout son passé est comme un trou noir. Il croit cependant que notre père était un homme pervers et étrange. Ce frère avait essayé de se pendre dans notre garage à l'âge de 8 ans.

Mon frère aîné est toujours en train de déménager. Il a peur de rester plus de quelques mois dans un endroit donné parce qu'il croit "qu'ils veulent l'avoir". Lui aussi a souvent tenté de se suicider pendant son enfance.

Ce ne sont que quelques preuves supplémentaires de ce qui se passe dans ce groupe. Je pourrais aussi citer le fait que mes deux enfants rêvent en Allemand. C'est la langue qu'ils utilisent entre Illuminati. Pourtant, ils n'ont jamais entendu prononcer cette langue !
»

[...]

« Mais je sais aussi qu'il faut absolument mettre fin aux sévices rituels que subissent les enfants. En tant que Chrétienne et en tant que militante contre les sévices rituels subis par les enfants, j'ai décidé de témoigner de ces sévices que font subir les Illuminati en écrivant des articles pour les dénoncer. Je sais aussi que beaucoup de gens très qualifiés ont déjà publié leur témoignage sur ce sujet. Ils pourraient être une ressource supplémentaire intéressante pour vous. »

[...]

« La première chose qu'un enfant doit apprendre de la "famille", ou de "l'Ordre", comme ils l'appellent encore, est la nécessité du secret. C'est la raison pour laquelle vous n'entendez pas beaucoup parler les survivants qui ont réussi à s'en sortir. Les membres de ce groupe ont le bras très long et savent ce qu'il faut faire pour terrifier ceux qui voudraient être un peu trop bavards. On apprend aux enfants à ne pas parler en les terrorisant par des mises en scène macabres. On dit ensuite aux enfants que ceux qui ont subi ces sorts horribles (parfois montés de toutes pièces dans un but "pédagogique") sont des traîtres qu'il a fallu châtier. La vision de ces scènes terribles reste imprimée à vie dans la mémoire de ces jeunes enfants de 3 ou 4 ans. Devenus adultes, même quand ils arrivent à quitter le groupe, beaucoup d'entre eux ne sont pas incités à parler par crainte d'être retrouvés et punis.

J'ai moi-même participé à beaucoup de ces mises en scène macabres, en tant que formatrice. Je suis donc devenue quelque peu cynique, ce qui explique pourquoi j'ai choisi de parler. Cependant, il m'arrive encore d'éprouver des frayeurs très intenses. Imaginez les réactions d'un jeune enfant de quatre ans enfermé dans un coffre en bois pendant quelque temps, puis enterré dans un trou ! Même s'il n'y reste que quelques minutes, ce sont des minutes qui valent une éternité pour cet enfant ! Ensuite, quand on le libère, on lui dit : "Si jamais tu parles, on t'y remettra, et cette fois, on t'y laissera !" Cet enfant se mettra à crier d'une manière hystérique qu'il ne racontera jamais rien ! C'est ce que j'ai vécu personnellement. À présent, j'ai décidé de briser cette loi du silence que l'on m'avait imposée par ces tortures psychologiques. Parce que je ne veux plus que d'autres enfants connaissent ce que j'ai vécu, ni ce que j'ai vu pratiquer.
»

[...]

« Les Illuminati se vantent du fait que leur meilleure protection réside dans l'ignorance et l'incrédulité de l'opinion publique. Ils savent aussi faire leurs propres campagnes de presse, qui sont très efficaces. Par exemple, je connaissais un journaliste de l'Union Tribune de San Diego (les initiales de son nom sont M.S.) qui écrivait des articles sur les sévices rituels et le contrôle mental. Il faisait partie des Illuminati. Ses articles étaient un modèle typique de la manière dont les Illuminati agissent.

Il faisait des interviews de médecins prétendument considérés comme des spécialistes respectés dans ce domaine. Ces hommes étaient bardés de diplômes. Ils donnaient l'avis rationnel et réfléchi d'un expert, et parvenaient à la conclusion suivante : aucun être humain raisonnable et logique ne peut croire à l'existence des sévices rituels. En outre, pour eux, les médecins et thérapeutes qui traitent les soi-disant victimes de ces sévices rituels ne sont que des charlatans qui profitent du pauvre peuple, de ces pauvres naïfs qui sont exploités par ces gens particulièrement vicieux et intéressés.

Il dénonçait ensuite ceux qui prétendaient que les sévices rituels existaient vraiment, en les faisant passer pour des malades mentaux à l'esprit borné. Il dénonçait aussi le comportement "frauduleux" et "exploiteur" des médecins et thérapeutes qui s'occupaient d'eux. Il les dépeignait pratiquement comme des gens cupides, avides de gain, et plongés dans toutes sortes de délires mentaux. Il dépeignait enfin toutes ces pauvres familles déchirées par ces affreux thérapeutes, accusés d'injecter ces idées de sévices rituels dans la tête de ces pauvres victimes.

Tout cela était emballé dans les commentaires apparemment rationnels, logiques et compatissants d'un membre des services sociaux fédéraux, qui disait combien tout cela était tragique, en concluant qu'il fallait absolument faire quelque chose.

M.S. ne mentionne jamais que les médecins qui s'occupent des survivants de sévices rituels se font très peu payer, et travaillent même gratuitement, pour aider ces gens à briser les chaînes de toute une vie. M.S. n'interviewe absolument jamais les 85 % d'intervenants, dans le domaine psychologique, qui savent que les sévices rituels existent, ou qui croient en leur existence. Il n'interviewe que la petite minorité d'entre eux qui sont d'accord avec ses idées.

Nous savons donc que les médias sont souvent très partiaux !
»

[...]

« Je crois que les médias qui refusent d'admettre les sévices rituels profitent du fait que beaucoup de gens, au plus profond d'eux-mêmes, ne veulent pas connaître la réalité. En fait, comment peuvent-ils admettre que la nature humaine soit aussi foncièrement mauvaise, à moins d'avoir réellement foi en Dieu, ou d'en avoir la preuve irréfutable ? »

[...]

« Les Illuminati sont pédophiles. Ils torturent des petits enfants et abusent d'eux. Ils leur enseignent dès leur plus jeune âge à devenir eux-mêmes des criminels. Rien que cela devrait être absolument stoppé ! »

[...]

« Si vous aviez pu entendre les sanglots d'un enfant torturé, brutalisé ou violé par des adultes, ou les hurlements de terreur d'un enfant soumis à des sévices psychologiques, vous feriez n'importe quoi pour arrêter ces violences ! Ils utilisent des enfants qui n'ont parfois pas plus de trois ou quatre ans pour tourner des films pornographiques. Ces enfants sont battus jusqu'au sang s'ils refusent. On force des petits qui commencent à peine à marcher à assister à des brutalités. On leur donne ensuite un fouet en leur demandant de frapper eux-mêmes les victimes, sinon ils seront eux-mêmes fouettés. Souvent, les enfants hésitent, refusent de le faire, et les adultes présents frappent ces enfants, jusqu'à ce qu'ils obéissent. De grosses larmes coulent sur leurs joues et ils font à contrecœur ce que les adultes leur commandent. C'est d'une cruauté insoutenable !

Ils mettent un collier électrique autour du cou de petits enfants et leur envoient une secousse électrique s'ils tentent de s'échapper. On les traite comme des animaux. Les adultes et les autres enfants qui assistent à cela se moquent d'eux et rient à gorge déployée. Ces pauvres enfants vont vomir dans un coin, de peur et de dégoût pour eux-mêmes.

Ce sont des souvenirs que tous les survivants qui ont quitté les Illuminati gardent au fond de leur cœur. C'est pour cette raison que j'écris et que je témoigne contre ces gens, pour les dénoncer. Je prie de tout mon cœur pour qu'ils puissent être arrêtés. J'aimerais bien me débarrasser de ces souvenirs, mais ils sont là. J'aimerais bien ne plus avoir ces images gravées dans ma mémoire, mais elles ne partent pas.
»

[...]

« Depuis leur enfance, ces gens subissent toutes sortes de tortures atroces visant à leur apprendre à obéir sans discuter. »

[...]

« Les gens ne deviennent pas des assassins comme cela. On leur a soigneusement et progressivement appris à surmonter l'horreur que l'on ressent naturellement quand on tue un autre être humain. Ce processus d'apprentissage commence dès l'enfance chez les Illuminati. Ils obligent les enfants à apprendre à tuer.

Voici comment ils font. C'est ainsi qu'ils ont agi envers moi-même :

Ils prennent un enfant de deux ans et le mettent dans une cage en métal reliée à des électrodes. Ils lui font subir des chocs électriques sévères.

Ils le font sortir de la cage et lui mettent un chaton dans les mains. Puis ils lui ordonnent de tordre le cou du chaton. L'enfant pleure et refuse, en général.

Ils remettent l'enfant dans la cage et l'électrocutent jusqu'à ce que l'enfant perde presque connaissance.

Ils font à nouveau sortir l'enfant de la cage et lui ordonnent une nouvelle fois de tuer le chaton. L'enfant va se mettre à trembler de tous ses membres et à pleurer, mais il va tuer le chaton par crainte de la torture. Puis il va aller vomir dans un coin, pendant que l'adulte le félicite d'avoir "fait du bon travail".

Ce n'est que la première étape. On donne ensuite à l'enfant des animaux de plus en plus gros à tuer, à mesure qu'il grandit. Puis on lui ordonne de tuer un bébé, soit au cours d'un "exercice de réalité virtuelle", soit réellement.
»

[...]

« Ils ne font aucune différence entre l'amour et la haine. Quand ils torturent leurs propres enfants, ils leur disent : "Je fais cela parce que je t'aime !" Pour eux, la plus grande preuve d'amour est de rendre leurs enfants forts, capables de diriger et de progresser dans le groupe, par tous les moyens possibles.

Si un responsable repère une fillette et veut faire d'elle une prostituée, les parents de cette fillette seront très heureux de la lui confier, car ils savent qu'elle atteindra une "meilleure" position dans le groupe. Tout en continuant à enseigner à leurs enfants que "la trahison est l'idéal le plus élevé", et qu'il ne faut jamais faire confiance à personne !

Je me rappelle avoir subi des centaines de trahisons. Ils me disaient, au moment où je souffrais : "Voilà ce qu'il y a dans le cœur de l'homme !" Ils pensaient m'enseigner quelque chose de très important qui m'aiderait dans la vie. En un sens, ils avaient raison, car tous les membres de ce groupe sont méchants et vicieux. Ceux qui sont naïfs sont impitoyablement piétinés et blessés. J'ai connu quelques parents qui voulaient épargner certaines "formations" trop dures à leurs enfants parce qu'ils les aimaient. Mais ils étaient souvent écartés sans pitié par les familles dirigeantes, qui considéraient ces parents comme des "faibles", incapables d'enseigner correctement leurs enfants.
»

[...]

« Le Docteur Timothy Brogan était professeur à l'Université George Washington. Il était spécialiste en neuropsychologie et l'un des principaux formateurs parmi les Illuminati de la région. Il était aussi un ami proche de Sidney Gottlieb, l'un des "amis" de ma mère.

Il pouvait se montrer très gentil, mais aussi très cruel. Il me prenait sur ses genoux, m'appelant sa "petite", et il me félicitait chaleureusement quand je me "comportais bien". Il m'a appris à jouer aux échecs et me lisait des morceaux de littérature. Il me disait que j'étais sa "fille adoptive" et qu'il était fier de moi. Nous avions des discussions intellectuelles jusque tard dans la nuit et c'est lui qui m'a transmis ses idées en matière de styles de direction et de formation. Les activités des Illuminati ne sont pas toutes cruelles et inhumaines. Cet homme pouvait faire preuve d'affection et d'amour. Je jouais avec ses enfants qui étaient plus âgés que moi. Il répondait patiemment à mes questions concernant la science, la géographie et d'autres thèmes. J'étais complètement liée à lui, ce qui me rendait particulièrement insupportables les tortures et les sévices sexuels qu'il me faisait aussi subir.
»

[...]

« La programmation mentale offre aux Illuminati un moyen idéal pour atteindre ces objectifs. Chez les Illuminati, les "programmeurs" sont d'ailleurs appelés "formateurs", car ils croient réellement qu'ils ne font pas subir des sévices aux gens qu'ils programment, mais qu'ils sont en train de "former" les générations futures. Tous leurs formateurs croient sincèrement que leur activité est bonne, et qu'ils "éduquent" et "fortifient" ainsi leurs enfants, en leur permettant de développer pleinement toutes leurs "potentialités latentes".

Certaines de ces méthodes existent depuis des centaines d'années, et peut-être même depuis des millénaires.
»

[...]

« Une autre méthode consiste à faire subir à l'enfant des électrochocs et à le mettre sous hypnose profonde. On lui commande alors de ne se rappeler de rien de ce qu'il verra ou entendra, et que ces choses ne seront que des "mauvais rêves". Comme l'enfant désire ardemment oublier, il ne demande qu'à accepter ce conditionnement.

On utilise aussi souvent toutes sortes de tortures psychologiques: on fait subir à l'enfant un enterrement fictif, on l'enferme dans une cage, on lui fait subir des expériences d'abandon, on le suspend dans le vide sous un pont, etc… On finit par le sauver de ces situations extrêmement traumatisantes, mais on lui dit que s'il parle, on ne le sauvera plus.

On force l'enfant à assister à la torture ou à l'assassinat (réels ou fictifs) de certains "traîtres" qui "ont parlé". À l'âge de quatre ans, on m'a ainsi forcée à assister à la torture d'une femme à qui l'on a arraché la peau alors qu'elle était encore vivante. Son "crime" était d'avoir parlé à une personne étrangère des "affaires de famille". Le fait de "parler" à une personne étrangère au groupe est considéré comme l'un des crimes les plus graves que l'on puisse commettre. La mort d'un traître est l'une des choses les plus horribles que l'on puisse imaginer. On le crucifiera par exemple la tête en bas, mais il existe bien d'autres tortures tout aussi épouvantables. Quand on force des jeunes enfants à assister à de telles scènes, ils ne les oublient plus. Ils sont à jamais convaincus que le meilleur moyen pour eux d'éviter un sort semblable et de continuer à vivre, est de ne jamais rien dévoiler de ce qui se passe dans la secte.
»

[...]

« Parmi ces exercices, on peut citer: un entraînement militaire et des jeux guerriers, des marches, des jeux de rôles, comme celui du "gardien et du prisonnier", des expériences traumatisantes, comme la privation de nourriture, de boisson, ou de sommeil, l'abandon de l'enfant pendant des périodes de longueur variable, et l'assistance obligatoire à des brutalités et des sévices. L'enfant doit apprendre à rester complètement silencieux pendant tous ces exercices. Il doit tout supporter sans discuter ni se plaindre. Si l'enfant crie, on le punit très sévèrement et on lui dit que c'est de la "faiblesse". On apprend à l'enfant à craindre ses propres émotions, car il est rapidement puni, sans aucune miséricorde, chaque fois qu'il les exprime. »

[...]

« Dans ce groupe, le fait d'être jeune signifie toujours que l'on subit beaucoup de sévices et de mauvais traitements. En grandissant, les enfants peuvent enfin commencer à se soulager sur les autres de la rage accumulée en eux par toutes les violences qu'ils ont subies. Ils commencent alors à s'identifier aux adultes tortionnaires, puisqu'ils sont eux-mêmes moins torturés. »

[...]

« L'enfant est soumis à des tortures et des traumatismes variés, afin d'annihiler toute personnalité propre, jusqu'à ce que l'enfant obéisse instantanément à tout ce qui lui est ordonné. Si l'enfant se comporte bien, il est félicité et cajolé. Sinon, il est sévèrement puni. L'enfant apprend vite qu'il est bien moins pénible de manifester le comportement désiré. »

[...]

« D'où provient leur argent ?

- De l'industrie de la pornographie, qui concerne à la fois les adultes et les enfants. Dans le monde entier, la pornographie génère d'énormes richesses. Ces richesses sont souvent obtenues aux dépens des petits enfants, pour alimenter les appétits de ceux qui ont de l'argent à dépenser. Les Illuminati demandent souvent à leurs membres de "prêter" leurs enfants pour des séances de pornographie, dès leur plus jeune âge. J'ai entendu parler de jeunes enfants de trois ans utilisés dans ce but. On conduit les enfants dans un studio privé, en général situé dans la maison d'un membre. Ce n'est que la première étape d'une terrible existence, où ces enfants sont voués à la pornographie jusqu'à ce qu'ils deviennent des adultes.
Souvent, on drogue ces enfants pour les rendre plus dociles. Ils sont récompensés s'ils font "bien leur travail". On leur donne des bonbons, on les félicite et l'on s'occupe d'eux. Quand j'étais adolescente en Virginie, on m'a demandé d'assister à quelques sessions d'information sur ces activités pornographiques des Illuminati. Des formateurs aident ces enfants à se créer un certain nombre de "personnalités secondaires" qui acceptent de collaborer pleinement à ces activités très lucratives. Ces personnalités sont ensuite droguées pour leur faire plus facilement accepter ces activités.

Les gens qui produisent les vidéos ou les séries photographiques sont en général des Illuminati placés dans des positions subalternes, ou même des gens qui ne font pas partie des Illuminati. Des "courtiers" spéciaux font connaître l'identité des parents qui acceptent de "fournir" leurs enfants.

- De la prostitution. Comme pour la pornographie, il s'agit d'une industrie qui rapporte énormément d'argent. On utilise des enfants comme des adultes, à peu près de la même manière.
»


Svali

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