Le récit du consultant gouvernemental Ingo Swann concernant des activités extraterrestres clandestines tenues sur la lune prend une toute nouvelle tournure, maintenant que les documents de la CIA sur le programme
STAR GATE qui ont été rendus publics confirment plusieurs de ses affirmations.
Ceci est l'étrange et véridique récit du travail Psychique effectué par Ingo Swann pour le compte du gouvernement Américain dans différentes agences, incluant la CIA et la DIA, et de ses allégations personnelles sur l'existence d'une opération clandestine mystérieuse avec laquelle il est entré en contact pendant l'apogée des expériences financées par la CIA au Stanford Research Institute (allégations maintenant confirmées par la publication par la CIA d'environ les deux tiers des documents existants sur
STAR GATE).
Si l'on doit en croire Ingo Swann - et ceci provient d'un homme avec un niveau d'accès top-secret qui, pendant ses journées de travail, informait et entraînait des officiers de l'Armée de l'Air Américaine, de la Defense Intelligence Agency, de l'INSCOM, et de plusieurs autres agences trop nombreuses pour toutes les mentionner - il y a bien une part de vérité dans les rumeurs voulant qu'une vie intelligente d'un autre monde travaillerait en coulisses ici-bas sur Terre. D'après le témoignage de Swann tiré d'un livre rare et épuisé auto-publié en 1998, non seulement ils sont déjà ici, mais ils construisent quelque chose sur la face cachée de la lune.
Et ils ne sont pas amicaux.
La vérité est plus étrange que la fiction, et cette histoire projette assurément les limites de l'imagination jusque dans la réalité. Pour Ingo Swann, le tournant menant au monde des déceptions et des mensonges des opérations clandestines majeures et à leurs requêtes étranges pour la surveillance psychique de la Lune et au-delà, a eu lieu au début 1975. Lorsque Swann a publié son récit en 1998, la plupart des documents classifiés de la CIA et de la DIA concernant le programme secret
STAR GATE étaient toujours inaccessibles au public. Alors que ce texte est sous presse, en été 2006, plus de 80 000 pages de documents sont à portée de main ici, à Starstream Research, incluant les résultats des test médicaux et psychologiques conduits sur M. Swann, liés à son implication dans les expériences financées par la CIA pendant qu'il travaillait au SRI, le Stanford Research Institute, dans les années 1970.
Le Programme STAR GATE de la CIA
Au début des années 1970, des inquiétudes ont commencé à faire surface dans les différentes agences de renseignement au sujet d'un possible retard sur l'Union Soviétique dans le domaine de la guerre psychique. À l'insu de la population générale, les Soviets étaient occupés à explorer les frontières de la science : l'utilisation de l'ombre noire du monde du paranormal à fin d'espionnage.
Les aptitudes de Swann étaient suivies depuis un moment, mais elles ont véritablement attiré l'attention du pouvoir en place à Langley avec l'enregistrement par des équipements de tests très sensibles d'une apparente perturbation créée par la projection mentale de Swann. En plus d'influer sur les données sortantes de cet instrument sensible, Swann a été en mesure de fournir une description de base de l'appareil qu'il n'avait jamais vu auparavant.
Dans une lettre datée de 27 juin 1972, le Dr. Hal Puthoff du SRI écrit : "
À la suggestion de Russell Targ, je vous écris au sujet d'une observation faite en laboratoire qui impliquait un certain Ingo Swann, un artiste de New York… Une intéressante facette du succès de l'expérience est que Ingo a été en mesure de plutôt bien décrire ce à quoi l'intérieur de l'appareil ressemblait, apparemment avec une quelconque forme d'observation directe." Même si le nom a été suupprimé du document, il semble fort probable que le destinataire de cette lettre était la CIA. Apparemment, un appui à l'intérêt du Dr. Puthoff pour les interactions mentales de Swann avec l'équipement de tests a suivi peu de temps après.
Parmi les documents du
STAR GATE se trouve un mémorandum technique du Stanford Research Institute (SRI), daté du 22 février 1973, préparé par le Dr. Hal Puthoff et Russell Tag, portant le Numéro de Contrat 1471(S)73 et étiqueté CIA/ORD #1416-73.
"
Un programme d'analyse de champs bio-magnétiques a été lancé en juillet 1972 par une expérience préliminaire avec M. Swann. Dans ce travail, en utilisant un magnétomètre isolé, M. Swann a apparemment démontré une capacité à augmenter et à réduire à volonté le champ magnétique situé à l'intérieur d'un autre champ magnétique superconducteur. Cette expérience faisait usage d'une installation existante et nous avons confiance dans le fait que M. Swann n'avait aucune connaissance précédente que ce soit de l'appareillage ou de notre intention dans cette expérience."
Un mémo d' août 1972 destiné au Directeur du TSD/BAB à la CIA note que, " … [nom retiré]
et quelqu'un nommé [nom retiré]
du département des Sciences Naturelles [de la CIA] prévoient un voyage le 11 août sur la côte ouest où ils rencontreront Ingo Swann et auront la chance de l'observer étirer son sphincter… les Sciences Naturelles planifient la formation d'un comité de coordination pour travailler sur les ESP et les données qui nous arrivent…"
Lorsque nous avons contacté l'ancien officier des Sciences Naturelles de la CIA dont le nom avait été retiré, il a confirmé l'authenticité du document mais a nié avoir quelconque connaissance des allégations de Swann.
Un brouillon de mémo non daté provenant du Directeur Député Pour Les Opérations William Colby et adressé au "Directeur de la Centrale des Renseignements", révèle la nature clandestine de l'implication de la CIA dans la recherche sur les sujets humains :
"
Récemment, deux individus, M. Uri Geller et M. Ingo Swann, semblent avoir démontré certaines de ces capacités sous des conditions de laboratoire contrôlées. Les capacités de ces individus (qui ne sont pas au courant de l'implication de l'Agence) sont soumises à une sérieuse enquête scientifique qui est en partie soutenue par le projet mentionné plus haut."
Une source anonyme, travaillant dans l'industrie de l'énergie alternative et des transports, a récemment commenté que "
en fait, ils ont commencé à s'intéresser à Swann lorsqu'il a vu par RV [Remote Viewing- Faculté de voir à distance grâce aux aptitudes psychiques] certaines de leurs voûtes souterraines secrètes et ce qu'elles contenaient. C'est à ce moment qu'ils ont approché le SRI parce qu'ils étaient véritablement effrayés de la réalité que représentait le Remote Viewing en tant qu'arme aux mains des Soviets."
Basé sur les archives disponibles sur
STAR GATE, personne ne semble avoir considéré que toutes ces manifestations de l'impossible étaient de fortes indications d'interférence dans les affaires humaines par une intelligence supérieure avec des technologies plus puissantes à sa disposition. Mais avaient-ils véritablement oublié de considérer cette voie? Le récit du livre de Swann suggère que quelqu'un se tenant dans l'ombre portait une attention particulière à tout ceci; quelqu'un dont le pouvoir et l'accès aux informations comprenait le travail souvent super-secret effectué au SRI.
Starstream Research a été en mesure de retracer les résultats des tests médicaux et psychologiques de Swann à partir de documents du SRI, même si les sujets des tests n'étaient identifiés que par S1 à S6. Un des mémos de la CIA n'avait pas été censuré au niveau des noms des participants, et il a été relativement simple d'utiliser un processus d'élimination de sexe et d'âge pour déterminer l'identité d'Ingo Swann et de Pat Price, deux des principales stars des débuts au SRI.
D'après les documents officiels, Swann était presque en tout point parfaitement normal. Il n'était certainement pas du genre à se raconter des histoires, ainsi que les tests le confirment.
Au cours des premières années de financement par la CIA des études au SRI, l'équipe de recherche a montré des inquiétudes que le KGB Soviétique soit intéressé par le travail qu'ils effectuaient et gardaient toujours à l'esprit qu'ils pouvaient être un jour kidnappés, ou pire encore. La paranoïa de la Guerre Froide était à son paroxysme lors des premiers pas de la recherche sur l'espionnage psychique.
M. AXELROD
Le début des expériences psychiques de Swann, financées par la CIA, vers le mystérieux et sombre inconnu, a commencé par son recrutement par un homme qui se faisait appeler "M. Axelrod".
Un mémorandum archivé de la CIA daté du 21 janvier 1975 documente l'évolution du programme du SRI juste avant l'apparition d'Axelrod :
"
En 1972, des rapports d'activités paranormales au SRI documentées par le Dr. H. Puthoff et M. Targ sont parvenues à l'Agence. Les contrats originaux étaient [censuré] OTS/APB et [censuré] ORD/TC. Un petit contrat de type bon de travail a été initié par [censuré] avec la permission du Dr. S. Gottlieb, D/OTS. Ce contrat prévoyait l'administration par le SRI de tests de laboratoires contrôlés, effectués sur M. Ingo Swann, un artiste de la ville de New York possédant ce qui est affirmé être des capacités paranormales. M. Swann a été testé et a fourni des résultats significatifs sous des conditions contrôlées."
Nous mentionnerons seulement que le Dr. Sidney Gottlib, D/OTS, était lourdement impliqué dans les expérimentations du LSD de la CIA sur des sujets humains non-consentants, à l'intérieur d'un projet appelé MK-ULTRA.
Vers fin février 1975, les relations de Swann avec la mystérieuse opération intéressée par l'activité extra-terrestre ont été initiées par un appel téléphonique d'une connaissance haut placée, qui l'a averti d'un contact à venir avec un véritable homme de l'ombre.
Quelques semaines plus tard, un appel est arrivé à 3 heures du matin, exigeant la présence de Swann à Washington, D.C..
Le mystérieux contact de M. Axelrod a dirigé Swann à travers une série de rendez-vous secrets tenus à différents endroits. Lors de la première rencontre, Swann a reçu l'instruction d'attendre au Musée d'Histoire Naturelle Smithsonien, jusqu'à ce qu'il soit contacté de nouveau par les exécutants d'Axelrod. Dans une scène digne d'un film Hollywoodien, Swann a été soumis à une fouille corporelle complète pendant qu'il roulait en voiture vers un point de rencontre secret. Pour empêcher Swann de connaître l'emplacement du repère souterrain secret d'Axelrod, un capuchon noir a été placé sur sa tête.
Inutile de préciser qu'à cet instant, l'esprit de Swann tourbillonnait, se demandait dans quoi il pouvait bien avoir mis les pieds.
Les étranges tenants et aboutissants du recrutement de Swann dans les opérations clandestines de l'espionnage psychique culmineront éventuellement en un contact physique rapproché avec ce qui semble être une machine d'origine extra-terrestre.
Qui était ce M. Axelrod? Un groupe légendaire d'initiés gouvernementaux profondément obscurs, mis en lumière par la "fuite" d'une série de documents (contrairement aux documents du
STAR GATE qui ont été officiellement rendus publics par la CIA), est connu sous le nom de
MAJESTIC. Notre source anonyme s'est interrogée sur la possibilité que le mystérieux M. Axelrod de Swann ait été impliqué dans ce soit-disant groupe
MJ-12 MAJESTIC que le FBI affirme tout simplement provenir de faux documents qui traitent d'OVNIS.
Même si le FBI affirme que les différents documents du
MAJESTIC sont des faux, une autre de nos sources du monde du renseignement a récemment suggéré que les documents fabriqués pourraient avoir été utilisés pour transmettre de véritables informations aux Russes.
L'entente et les motivations de M. Axelrod pour le recrutement de Swann étaient purement verbales : il n'y avait aucune trace sur papier; pas d'ententes de non-divulgation fournissant d'autres arguments confirmant que le personnel d'Axelrod pourrait avoir été sous une couverture non-officielle (Non-Official Cover - NOC) - leur existence serait démentie par les gens au pouvoir si la nature de leurs activités devait être révélée.
Swann a découvert rapidement que les intérêts principaux d'Axelrod étaient loin d'être Terrestres. En plus du potentiel offert par la Visualisation à Distance [Remote Viewing] de la surface lunaire, Axelrod avait aussi une fascination pour le concept de télépathie, le partage de pensées dans une interface consciente.
La présomption que la race humaine soit tombée sous le contrôle d'une intelligence supérieure avec des technologies avancées était aussi fortement confirmée par l'exactitude de l'argumentation autour de la simulation : toute interaction entre une entité "naturelle" et une intelligence beaucoup plus développée impliquait automatiquement que la simulation faisait maintenant partie du portrait. L'interface entre un esprit-humain et un esprit-extra-terrestre en tant que scénario complexe de simulation n'avait pas encore été complètement évalué dans la littérature financée par la CIA disponible à l'époque.
Le développement mental personnel est en grande partie un assemblage d'expériences et de simulations basé sur des millions d'années de développement collectif. Le concept de "télépathie", ou d'interface esprit à esprit, est un artifice introduit pour regrouper plusieurs simulations individuelles, chacune avec leur point de vue unique sur le même environnement naturel : dans un réseau télépathique, le monde "extérieur" intègre l'individu à l'intérieur d'un tout indivisible.
Peut-être y avait-il un inconfort inconscient général et une peur induite par l'évidence qu'une intelligence supérieure semblait avoir développé un moyen d'interagir directement avec le cerveau humain et les fonctions supérieures de l'esprit et de la conscience, en tant que forme de communication, ou pire encore, en tant que méthode de contrôle de l'esprit. Une fois qu'une forme de communication directe cerveau à cerveau était une réalité acceptée, la prochaine hypothèse logique était la possibilité d'un réseau d'esprits reliés entre eux dans une genre "d'Internet cosmique".
Des recherches récentes utilisant la technologie d'Imagerie par Résonance Magnétique (MRI) fonctionnant actuellement dans le domaine médical pour observer l'état d'un cerveau humain et faire correspondre cet état à des comportements bien précis est un exemple de méthode primitive d'interfaçage entre l'esprit et la machine. L'idée qui circule dans les cercles gouvernementaux ces temps-ci est d'utiliser le MRI pour identifier les terroristes qui ont l'intention de semer le chaos et la destruction en détectant leurs pensées. Dans une affaire du même genre, l' Americain Civil Liberties Union a soulevé des inquiétudes concernant le fait que de tels appareils sont une intrusion dans la vie privée et qu'ils pourraient même déjà avoir été utilisés pour interroger des présumés terroristes.
Avec quelques millions ou plus d'années supplémentaires pour perfectionner leur technologie, on ne peut que se demander quel genre d'appareils a pu se développer dans le cerveau/esprit d'une civilisation extra-terrestre.
Axelrod a questionné Swann sur son travail au SRI, en particulier sur la méthode psychique qui a plus tard été nommée Visualisation à Distance Coordonnée [Coordinate Remote Viewing]. De quelle façon cela fonctionnait? Au départ, Axelrod limitait les discussions aux pouvoirs de l'esprit collectif et discutait d'adressage "mémoire". Est-ce que des Remote Viewers accédaient déjà à l'ordinateur universel de l'esprit? Trente ans avant de récentes et très sérieuses discussions scientifiques sur la possibilité que l'humanité puisse exister dans une simulation de la réalité, Axelrod interrogeait déjà Swann sur un souvenir stocké de tous les mondes possibles et de leur différents déroulements, et, bien sûr, sur un moyen d'accéder à cette potentielle base de donnée de la réalité invisible. Des conversations de tables ont aussi porté sur la télépathie : la communication d'esprit à esprit, quelque chose auquel la DIA s'est beaucoup intéressée un peu plus tard, tel que le démontre les documents sur
STAR GATE.
Rapidement, les discussions se sont orientées vers le Remote Viewing expérimental de la planète Jupiter effectué par Swann qui avait récolté des données concrètes, comme l'existence d'anneaux autour de la planète. Axelrod était intéressé par le "voyage" de Swann sur Jupiter, une tentative de vérifier s'il pouvait physiquement découvrir des détails inconnus sur la géante gazeuse qui pourraient ensuite être confirmés par le vaisseau spatial Pioneer de la NASA.
Il a ensuite demandé, "
Ingo, que sais-tu de la lune?"
Base Lunaire : Luna Occulte
Swann a rapidement accepté de recevoir 1000 $ par jour de compensation pour Visualiser à Distance la lune.
Axelrod a remis à Ingo une série de coordonnées lunaires. Inconnues de Swann, les coordonées lunaires ciblées, environ une dizaine d'emplacements différents, allaient l'amener face-à-face, ou plutôt esprit à esprit, avec ce qu'il a rapidement compris être une présence extra-terrestre inconnue.
Swann a "vu" avec les yeux de son esprit des cratères dans la noirceur et en a conclu qu'il devait visualiser la face cachée de la lune, celle qui est toujours à l'opposé de la Terre. En établissant le "contact" psychique avec la surface lunaire, Swann est d'abord tombé sur ce qui semblait être des traces de roues d'engin méchanique. La confusion l'a envahi jusqu'à ce que Swann réalise qu'il "voyait" de l'activité intelligente et des structures sur la lune.
Dans les profondeurs d'un cratère, il a observé un brouillard vert éclairé par des bandes de lumières artificielles montées sur de très grosses et hautes tours. Swann a été troublé de réaliser que "quelqu'un ou quelque chose" semblait, selon ses propres observations psychiques, construire une base sur la lune.
Swann avait été impliqué dans une opération interplanétaire et avait été amené aux installations souterraines de M. Axelrod afin qu'il puisse rendre compte des activités extra-terrestres de façon non-conventionnelle. Swann en a déduit que Axelrod et compagnie avaient reçu le mandat d'espionner psychiquement la base extra-terrestre lunaire parce que les extra-terrestres avaient été plus ou moins amicaux vis à vis de la curiosité humaine de type conventionnelle.
Lorsque Ingo a ressenti qu'il avait été psychiquement "reconnu" par deux des habitants d'allure humanoïde de la base lunaire, il a demandé à savoir s'il pouvait être en danger.
Axelrod a été très évasif sur le sujet.
"
J'ai passé les quelques mois qui ont suivi à me demander si les Extra-terrestres allaient me retrouver et me faire frire le cerveau."
Après avoir été relevé de son travail aux installations souterraines, Swann est rentré chez lui et a fait des croquis de ce dont il pouvait se souvenir des sessions d'Axelrod et les a mis en sécurité jusque vers la fin des années 1990. Ils sont reproduits dans son livre. Le croquis est daté du 14 mars 1975.
Un documentaire télé récent, "
Appolo 11 : The Untold Story"
[Appolo 11 : l'histoire non-racontée] pourrait ajouter un appui supplémentaire au récit de Swann sur la base lunaire . L'astonaute d'Apollo 11, Buzz Aldrin, a rapporté que l'équipage avait vu un OVNI pendant leur mission historique pour amener un homme sur la lune. "
Il y avait quelque chose au loin, mais assez près pour être observé, et qu'est-ce que cela pouvait être d'autre? Bien sûr, nous n'étions pas pour nous mettre tous trois à nous laisser aller, Hey, Houston, nous avons cette chose qui avance à nos côtés et nous ne savons pas ce que c'est. Et vous?"
M Axelrod avait un accès jusqu'à l'intérieur du SRI. À l'époque du premier contact, les archives du
STAR GATE prouvent que Swann était toujours officiellement non-informé que les expériences et essais effectués au SRI étaient tenus sous la direction de la CIA. Pris dans sa plus simple expression, le récit de Swann pourrait être interprété comme le transfert d'informations concernant des recherches financées par la CIA vers une organisation d'origine inconnue pour une période de temps d'une durée d'au moins quelques années.
À un certain point, Swann s'est vu demander de relayer à Axelrod les développements des résultats des études psychiques tenues au SRI. Dans un exemple classique de grand espionnage, Swann a reçu l'ordre d'écrire le numéro 65 sur une pièce de papier lorsqu'ils auraient atteint un pourcentage de réussite de 65% en Visualisation à Distance, de façon à en avertir Axelrod. On ne peut que se demander si cela représentait la preuve d'une brèche de sécurité au SRI, ou s'il s'agissait simplement d'une méthode pour vérifier la loyauté de Swann.
De La Lune, Avec Amour
À un certain moment, vers la fin de l'été 1976, Swann a effectué plusieurs voyages entre le SRI et Los Angeles pour passer du temps avec des amis. Il ne le savait pas encore, mais il était sur le point de rencontrer les agents d'Axelrod encore une fois. Pendant une sortie des plus ordinaires dans un supermarché d'Hollywood, il a été attiré par une femme ultra-sexy. Alors qu'il se tenait près de la beauté fatale, il a ressenti un "choc électrique" dans tout son corps qui lui a donné la chair de poule et lui a fait dresser les poils. Swarnn a interprété cette alarme psychique comme un signal que quelque chose n'était pas normal chez cette femme.
En fait, il en a déduit qu'elle devait être une extra-terrestre.
L'expérience "électrique" de Swann est loin d'être inhabituelle. De telle choses ont été rapportées dans plusieurs cas d'activités paranormales. Starstream Research a récemment été contacté au sujet d'une mutilation animale qui produisait un effet similaire "de choc" lors d'un contact physique avec la carcasse. Nous avons eu connaissance d'autres cas impliquant des appels téléphoniques provenant des voix étranges aux timbres mécaniques, et lors de contacts personnels avec d'autres humains qui auraient eu des expériences paraphysiques.
Swann a eu peu de temps pour réagir toutefois, alors que sa stupeur s'est transformée en panique.
En regardant au bout de l'allée où il se situait, il a aperçu deux des agents d'Axelrod, de véritables
Hommes en Noir, habillés non pas en veston-cravate comme le personnage joué par Will Smith, mais plutôt comme Arnold Schwarzenegger dans "Le Terminator", vêtus de jeans noirs, de bottes, et de vestes de cuir. Ils observaient l'étrange femme d'un autre monde. Swann a quitté rapidement l'endroit, sachant qu'Axelrod l'appellerait sous peu.
La reprise du contact téléphonique avec Axelrod a été loin d'être ordinaire. D'abord, Swann a reçu un mystérieux appel d'une femme-agent, le dirigeant vers un autre téléphone. L'appel s'est terminé par un silence sec, suggérant que la ligne téléphonique avait été sous écoute et ensuite coupée.
Une fois qu'il eu atteint le téléphone désigné, Swann s'est engagé dans une conversation décousue avec Axelrod, lui posant des questions sur l'étrange femme sexy du supermarché.
Axelrod l'a averti : "
Je me sens obligé de vous dire qu'elle est véritablement dangereuse."
Apparemment, Swarnn a pensé que l'avertissement d'Axelrod avait confirmé sa pire crainte. Non seulement il y avait des extra-terrestres sur la lune, mais ils avaient des agents ici sur Terre, parmi les gens ordinaires. Si on doit en croire Axelrod, ils doivent être évités à tout prix.
"Attendez-vous à un contact"
Axelrod s'est renseigné sur les progrès du travail effectué en Remote Viewing au SRI.
Axelrod a dit à Ingo, "
nous avons une tâche spéciale". Il avait besoin de savoir à quel moment Swann atteindrait un taux d'exactitude de 65 pour cent.
Axelrod a ordonné à Ingo de placer une feuille de papier ordinaire avec le numéro 65 d'inscrit, sous son couvre-bureau, dans une pièce sécurisée au SRI, une fois que le but aurait été atteint.
Dans son livre, Swann spéculait sur les possibilités "
Mais qui était donc cet Axelrod et ses agents/hommes de bras ? La CIA, le KGB, le Mossad, le M-5, des agents militaires ultra-secret?"
"
Et un matin, lorsque j'ai soulevé mon couvre-bureau, mes poils se sont dressés de nouveau sur mes bras. Le signal (la pièce de papier où était inscrit 65)
avait disparu. À sa place, se trouvait une poudre fine et poussiéreuse dans laquelle un doigt avait tracé les mots :
"Attendez-vous à un contact." Swann poursuit : "
Le résultat du "contact" promis a été que si j'avais encore un doute quelconque à savoir s'ils existaient véritablement, de tels doutes allaient rapidement se dissiper. J'ai failli me faire tuer pendant le processus."
"Le contact attendu est venu en juillet 1977, quelques jours après que j'aie découvert le message dans la poussière."
Swann a été surpris de voir M. Axelrod se tenir au milieu de la salle à manger du SRI. Après un bref entretien avec Axelrod dans les toilettes des hommes, Swann a été amené à la Jeep de Axelrod qui se trouvait en stationnement.
Axelrod a conduit Swann à un Lear Jet qui attendait à l'aéroport de San Jose et l'a informé qu'ils pourraient avoir une opportunité de voir un OVNI, "
de passablement près".
Après plusieurs heures de vol, l'avion a effectué un atterrissage sans lumière sur une piste non éclairée. Ce fut suivi d'un trajet en voiture de deux heures dans des montagnes froides et sombres. Swann a remarqué que le camion s'est déplacé même après que le moteur du véhicule ait semblé s'être tu.
Une fois qu'ils ont eu atteint leur destination, Axelrod, Swann et les deux agents d'Axelrod ont grimpé à pieds jusqu'à l'endroit prévu.
Axelrod a donné des instructions à Swann : "
Ne faites qu'observer, on parlera plus tard… Ne bougez pas à moins que je ne vous le dise. Ils détectent très facilement la chaleur, le bruit et le mouvement."
Swann, Axelrod, et les deux agents ont observé et attendu. Au-dessus d'un petit lac, un brouillard gris a commencer à se lever. Swann était abasourdi alors que le brouillard a été soudainement baigné de couleurs lumineuses. Des rayons lumineux mauve, rouge et jaune étaient projetés silencieusement dans toutes les directions.
Puis un objet est soudainement apparu, devenant lentement visible au dessus des eaux du lac. Swan a décrit l'objet comme triangulaire, presque de la forme d'un diamant.
"
D'après ce dont je me rappelle, la chose ne s'est pas "transportée", Elle a GRANDIT à l'endroit exact où elle est apparue"
Avec l'arrivée de l'objet un énorme vent s'est mis à tournoyer dans les airs, causant la chute au sol de plusieurs branches et cocottes de pin. Swann écrit que des "
rayons lasers rouge-rubis" ont commencé à être tirés par l'engin qui semblait toujours croître en dimension, même s'il demeurait stationnaire au dessus du même endroit sur le lac. Swann a estimé la largeur de l'objet, une fois complètement visible, à environ 90 pieds de largeur.
Des rayons lasers ont touché les arbres, et dans la commotion des chutes de pins et des pulsations de basses fréquences, Swann a été poussé hors de danger par les agents d'Axelrod. Un rayon a fendu les branches de l'endroit qu'ils avaient quitté en urgence une seconde auparavant. Regardant en arrière tout en quittant les lieux pour jeter un dernier coup d'œil, Swann a noté que l'eau du lac était aspirée par l'objet étrange.
Swann écrit "
J'étais véritablement pétrifié par une terreur qu'il y a peu de mots pour décrire".
Au retour à la piste de décollage, Swann a aperçu un avion de courrier USA-Alaska. Il en a donc déduit qu'ils devaient se trouver au nord de l'Alaska.
Axelrod a expliqué : "
Notre mission va bientôt se terminer et le travail sera poursuivi par d'autres, pour des raisons stratégiques de sécurité…"
"
La semaine prochaine, vous serez convoqué pour un examen de santé complet, probablement officiellement en relation avec le statut médical des membres de votre équipe de travail. Nous voulons simplement nous assurer que vous n'avez subi aucun dommage. Les physiciens qui effectueront les examens seront des docteurs ordinaires qui n'ont aucune connaissance de notre existence."
Swann mentionne qu'il a subi une blessure à la jambe alors qu'il regardait l'OVNI. Il nous reste toujours à trouver une quelconque mention de cette information des les documents du
STAR GATE.
D'après Swann, "
la dernière fois que j'ai vu M. Axelrod c'était à l'aéroport de San Jose, et c'est ainsi que se termine mon récit de rencontres avec lui et ses missions secrètes extra-souterraines."
Sur le Grill et au-delà
Un mémo de la CIA rendu public portant sur la situation au SRI, daté du 2 novembre 1978 et en provenance de Hal Puthoff, affirme : "
Juste une petite note. Pour ce que qui en est, Swann a maintenant un niveau d'accès Top Secret auprès du DoD [Département de la Défense]".
En effet, Swann avait été entraîné au plus profond de plusieurs programmes militaires secrets et à accès limité, une conséquence des succès de la recherche psychique au SRI. Le tournant a été le passage du travail expérimental vers les programmes opérationnels, et les connaissances et les capacités de Swann allaient devenir la référence pour plusieurs. Dès 1984, il entraînait du personnel militaire pour en faire des espions psychiques de métier.
Le rôle de la CIA s'est transformé de commanditaire majeur et bien informé à celui de "client de services", alors que les différents éléments des services militaires du Département de la Défense ont pris la direction des opérations.
Un résumé des activités produit à la demande du Comité des Appropriations du Sénat via une Action Dirigée Congressionellement affirme :
"
Pendant la période entre 1975 et 1979, les éléments des services du DoD suivants supportaient la recherche psychique : [Note : Les différents programmes ont plus tard été regroupés sous un projet appelé FLAMME DU GRILL - GRILL FLAME] Le programme de la Marine Américaine avait pour but d'évaluer les capacités d'un individu à percevoir des stimulations lors de Visualisation à Distance…
Le Centre de Renseignement National de L'Aviation de l'Armée de l'Air, anciennement la Division de Technologies Étrangères (Foreign Technology Division - FTD), a initié son programme en se questionnant à savoir si le phénomène existait vraiment et s'il pouvait être utilisé pour obtenir des renseignements stratégiques… L'effort de recherche du [nom de l'agence censuré] portait sur l'utilisation du Remote Viewing pour recueillir des informations…"
D'un intérêt potentiel au récit d'Ingo Swarnn, le rapport continue :
"
Le Centre de Commandement de Recherche et Développement en Missiles de l'Armée Américaine (MIRADCOM) a mis sous contrat le Stanford Research Institute (SRI) d' août 1977 à 1978. Le travail a été effectué sous le financement de la Missile Intelligence Agency (MIA). Le but du programme du MIA était de déterminer si certains individus sélectionnés pouvaient interagir avec, et influencer, par des moyens mentaux seulement, de l'équipement électronique sensible…"
Curieusement, le programme du MIRADCOM a débuté en août 1977, un mois après la rencontre présumée de Swann avec la machine extra-terrestre en Alaska. Le principal objet de recherche était les perturbations à distance, communément appelées Psychokinésie, ou l'effet de l'esprit sur la matière, qui pourrait être utilisé d'une quelconque façon pour saboter les systèmes de contrôle des missiles nucléaires. De tous les candidats potentiels testés au SRI, c'est Swann qui a présumément perturbé avec le plus de succès les équipements sensibles d'expérimentation et qui a réussi à visualiser à distance l'intérieur de l'appareil.
Le rapport poursuit : "
De mai à septembre 1979, le SRI a assisté le MIRADCOM dans le développement d'équipements ultra-sensibles de mesure pour leurs expériences… les Systèmes d'Activité Analytique du Matériel de l'Armée (AMSAA) ont étendu les grandes lignes de recherches orientées applications qui avaient déjà été mises en marche par d'autres organisations… Pendant cette même période de temps, le Centre de Commandement de Renseignement et de Sécurité de l'Armée Américaine (USA INSCOM) s'est aussi questionné à savoir si le Remote Viewing pouvait être utilisé pour l'acquisition de données."
Le rapport note également que "
Pendant la période où les organisations du Service du DoD étaient impliqués, la DIA a aussi fait progresser certains aspects de la psycho-énérgétique [Visualisation et perturbations de l'esprit à distance]. Ses activités étaient restreintes, toutefois, à des aspects clairement reliés à l'évaluation de menaces et à la collecte de données. La DIA a mis sous contrat le SRI pour former des individus à la pratique du Remote Viewing et a financé des essais avec des experts du Remote Viewing pour acquérir des renseignements sur d'anciens sites Soviétiques d'intérêt opérationnel."
Y a t'il quelque chose à déduire en regardant de plus près toutes les différentes agences mentionnées dans les documents officiels, qui pourrait aider à identifier M. Axelrod et ses opérations clandestines? Une des possibilités implique les nombreux rapports de malfonctionnement de missiles nucléaires lorsque des UFO auraient approchés les zones de lancement. Cela se définit sans aucun doute comme une brèche importante pour la sécurité nationale. Peut être y avait-il des inquiétudes que la visite des OVNIS dans différentes bases aériennes soit reliées aux observations faites pendant les différentes missions spatiales, comme les révélations récentes que la présence d'un OVNI aurait marqué le déroulement de la mission Apollo 11?
Il est possible que les endroits ciblés sur la Lune aient été choisis en fonction d'observations d'OVNIS faites par les astronautes. Il est alors facilement concevable que quelqu'un puisse avoir décidé qu'il valait la peine de tenter de recruter Swann, déjà reconnu pour ses capacités de Visualisation à Distance utilisées sur des installations terrestres super-secrètes, pour qu'il jette un coup d'esprit sur le paysage lunaire pour y observer ce qui s'y déroulait dans la noirceur.
Les fans de la série télévisée "
The X-Files" vous diront que "
La vérité se trouve ailleurs".
Pour l'agent psychique bien réel Ingo Swann, la vérité est toujours dans sa tête, et il n'en parle maintenant plus.
Note : des informations additionnelles et de la documentation sont disponibles sur le site web de Starstream Research, www.starstreamresearch.com.source:
http://www.evolutionquebec.com/site/nom/lunelove.html