D' après ce que j' ai lu, on a bien envoyé ces hommes sur la Lune; mais étant donné ce qu 'ils y ont vu (la Lune avait déjà été visitée, mais pas par des Terriens), de fausses images "lunaires" ont été diffusées en urgence dans les médias (d'où le manque de fignolage et les gros ratages comme on peut en constater dans la vidéo ci-dessus), afin de garder l' info secrète.
Voici deux articles qui donnent des détails:
LA VOYANCE À DISTANCE
Depuis les années 80, des fuites sur les espions dits « psychiques» du Pentagone, ont été réguliérement publiées par la presse. Mais qu'est ce qu'un espion psychique? C'est un individu reconnu pour ses facultés mentales. Il est capable de se transporter par la pensée dans des endroits plus ou moins éloignés. Il décrit ce qu'il y perçoit, et obtient des informations auxquelles il n'a eu aucun accès ni aucune connaissance préalable. Cela s'appelle la « voyance à distance ». Bien entendu, l'exactitude des informations données par le sujet psi, est vérifiée.
Entre 1969 et 1970, époque de la guerre froide, l'Union Soviétique développait un programme de recherche psychique, allant jusqu'à investir plus de 300 millions de roubles en 1975 dans ce domaine. Alertés, les services secrets américains décidèrent de lancer un programme similaire afin de ne pas se laisser distancer par les Russes. Le but était d'utiliser les facultés psi dans le domaine de l'espionnage militaire et du renseignement. Les résultats des essais financés par la CIA furent si probants que d'autres services ont subventionné par la suite plusieurs projets identiques dans la clandestinité la plus totale.
On peut se demander si de tels programmes sont toujours en cours. Il semblerait que oui, mais à un niveau très secret.
Le 1er décembre 1995, le Washington Post publiait: «
Un programme secret de la DIA (service de renseignement de l'armée américaine), qui a posé de sérieuses questions militaires à une poignée de salariés psychiques à « temps plein », a été reconduit pour des années parce que des recherches similaires ont été poursuivies par l'Union Soviétique, la Chine et certains de nos alliés européens. »
L'ancien directeur de la CIA, Stanfield TURNER, interrogé à ce sujet en 1995, déclare: «
Aucun responsable du Renseignement ne voudra tourner le dos à ce qui pourrait s'avérer être une source précieuse d'informations. »
Ingo Swann, mondialement connu pour ses facultés médiumniques, fut un des premiers à participer au programme secret américain de voyance à distance.
QUI EST INGO SWANN ?
Docteur en parapsychologie, écrivain et artiste peintre, Ingo SWANN a travaillé douze ans aux Nations Unies. Enfant surdoué, il a lu son premier dictionnaire à l'âge de trois ans. Il vit aujourd'hui à Manhattan et continue à explorer les potentialités de l'esprit humain. Il a mis au point une technique de vision à distance contrôlée qu'il a pu expérimenter quand il travaillait pour la CIA, à l'institut de recherche de Stanford. Il forma plusieurs militaires à cette pratique.
Son nouveau livre « Pénétration, la question sur la télépathie humaine et extraterrestre» », paru en 1998 et édité par lui-même (Ingo SWANN Books, PO Box 2875, Rapid City, South Dakota 57709-2875, USA), révèle des secrets étonnants concernant l'activité extraterrestre.
Grâce à la traduction de G.VANQUELEF, nous pouvons aujourd'hui transmettre quelques passages de cette extraordinaire aventure qui aboutit à d'étranges révélations.
UNE VOYANCE À TRÈS GRANDE DISTANCE
Ingo SWANN trouvait que les procédures des tests de voyance étaient répétitives et ennuyeuses. Il suggéra de travailler sur quelque chose de très éloigné, comme une planète par exemple. Les informations qu'il donna sur Jupiter furent corroborées par les satellites envoyés plus tard par la NASA.
Sa technique se révélant de plus en plus fiable, elle suscita un intérêt croissant dans le domaine de l'espionnage militaire interplanétaire.
En 1975 se forma un groupe clandestin, secret et indétectable qui le contacta. Il fut emmené les yeux bandés, dans une base souterraine aux alentours de Washington. On lui demanda de ne rien révéler de ce qui se passerait pendant dix ans. Bien qu'enfermé, il était confortablement installé et ne manquait de rien. L'homme qui dirigeait les opérations lui révéla ses intentions: son objectif était d'aller visiter la face cachée de la Lune pour faire une sorte de mise au point sur l'interprétation de certains clichés photographiques de la NASA, afin de confirmer ses propres conclusions.
CONTACT PSYCHIQUE SUR LA LUNE
Les premières visions furent celles d'une falaise noire entourée d'un sable fin et blanc reproduisant les traces d'un gros tracteur. Plus loin lui apparurent une sorte de cratère ainsi qu'un étrange brouillard vert et lumineux émis par deux rangées de gros phares sur une tour. D'autres tours identiques semblaient construites sur des supports étroits et minces. Dans le cratère se trouvait une autre tour très grosse et très haute.
Lors de l'expérience suivante surgirent des machines, des lumières de différentes couleurs, des constructions étranges qui ressemblaient à des ponts ou des arches, des dômes de diverses tailles, des formes rondes avec des fenêtres. Il pouvait voir toutes sortes d'objets comme des longs tubes, des tracteurs motorisés, des obélisques, de grandes plate-formes, des structures croisées.
Ingo SWANN fit des croquis de tout cela.
Des abris étaient creusés dans les parois et les fonds des cratères paraissaient être des mines. Il y avait des filets sur certains cratères, des maisons dans lesquelles vivaient des gens qui avaient la même apparence que les humains. Ils semblaient creuser dans une colline. Quelques-uns eurent soudain l'air de s'apercevoir de la présence d'Ingo SWANN et pointèrent le doigt dans sa direction. Repéré, il cessa immédiatement l'expérience car il aurait été dangereux que son lieu d'émission télépathique et d'observation soit localisé.
De telles révélations confirmèrent les conclusions des services secrets. Ainsi non seulement il y avait des ET sur la Lune, mais ils étaient capables de détecter un sondage psychique et de savoir d'où il venait. Cela voulait dire qu'ils étaient dotés de hautes facultés psychiques, bien supérieures à la télépathie telle que nous la connaissons sur Terre.
L'expérience étant terminée, Ingo SWANN quitta la base secrète et rentra chez lui.
CONFIRMATIONS DES VISIONS
Incapable d'oublier cette affaire, Ingo SWANN se mit à douter de ce qu'il avait vu. Contrairement à ce qui se passait d'habitude, rien ne semblait pouvoir lui donner la preuve de ce qu'il avançait.
C'est environ un an plus tard que lui fut envoyé le livre de George LÉONARD: «
Ils n'étaient pas seuls sur la Lune »(éditions Belfond, coll. Initiation et connaissance). L'auteur affirme et démontre, preuves à l'appui, à partir de photographies officielles de la NASA, que la Lune est habitée.
Les astronautes de la NASA l'ont constaté, mais ils ont été pendant longtemps obligés de respecter la loi du silence. Certains viennent seulement de sortir de leur obligation de réserve . N'oublions pas que la divulgation des informations concernant les ET entraînaient des punitions sévères: amendes allant jusqu'à 10 000 dollars, 10 ans de prison, transfert ou détention sur des bases militaires éloignées; sans oublier des menaces plus insidieuses sur les membres de la famille.
LÉONARD écrit: «
Mon livre est le résultat d'une véritable enquête policière et d'années de recherches considérables. J'ai étudié, scruté des milliers de photographies de la NASA; j'ai eu d'innombrables conversations avec les membres des équipes de programmes spatiaux: il faut obliger le gouvernement américain et la NASA à dire toute la vérité ..... »
Le livre de LÉONARD avait des implications énormes. Il regorgeait de descriptions de structures reconstituées d'après les photographies. Ingo Swann les compara avec ses dessins et fut frappé de la ressemblance avec ses propres croquis. Des constructions en formes de tours ont été plusieurs fois photographiées par la NASA et apparaissent sur un document appelé Lunar Orbiter III 84 M. La photo HR1033 prise par Lunar Orbiter S, sur la face cachée de la Lune, montre clairement un énorme objet cylindrique stationné sur la Lune.
Fred STECKLlNG, dans ses livres « We discovered Alien bases on the Moon» et « Someone else is on the moon », publie également des photographies de la NASA qui accréditent cette idée et renforcent la certitude qu'il y a des bases ET sur la Lune.
UNE CONVERSATION ÉDIFIANTE
Lors des vols Apollo, certains échanges entre lesastronautes et la Terre, décrivant des structures parfaitement organisées sur le sol lunaire, passèrentà travers la censure. Christopher CRAFT, ancien directeur de la base de lancement de Houston durant les missions Apollo sur la lune a révélé une conversation entre les astronautes.
ARMSTRONG et ALDRIN, et le contrôle sur Terre:
- Les Astronautes: «
Il y a des trucs immenses ...Ce n'est pas une illusion d'optique, personne ne va le croire !... »
- Contrôle de Huston: «
Quoi? Que se passe-t-il ? Répétez vos informations »
- Les Astronautes: «
Ils sont en bas. On a vu des visiteurs. Ils sont restés un moment à observer nos instruments... Ils sont alignés de l'autre coté du cratère... »
Des centaines d'opérateurs radio munis d'un équipement VHF puissant captèrent également cette conversation.
Nous sommes depuis longtemps victimes de la désinformation dans tous les domaines. Il est grand temps de se poser des questions.
Alors comment se fait-il que plus aucun astronaute n'ait été envoyé sur la lune depuis 1973 ?
Comment se fait-il qu'après un tel succès, les programmes se soient soudain arrêtés alors qu'en 1980 les scientifiques et les porte-parole de la NASA voulaient établir des bases sur la lune? L'excuse du manque de financement n'est pas valable. Le coût
du programme Apollo représentait moins de 1% du budget!
Se pourrait-il que la lune soit le territoire d'une civilisation qui ne souhaite pas se laisser envahir par n'importe qui, en particulier les terriens réputés pour leur agressivité et leur manque de maturité psychique?
extrait de "HORIZONS VIRTUELS" n° 6
Peu de gens se demandent pourquoi les programmes Russes et Américains pour « coloniser» la Lune ont été stoppés après des exploits chargés de tant de promesses concernant la conquête de l'espace. On comprend mal pourquoi des investissements aussi colossaux ont abouti sur une impasse totale.
CE QUI A ÉTÉ CENSURÉ
Durant l'évènement fascinant du débarquement de l'homme sur la Lune avec Apollo ll, une aventure incroyable attendait les cosmonautes : une flotte de vaisseaux Extra-Terrestres était sur l'emplacement exact du débarquement et attendait les Terriens. C'était le 2 juillet 1969.
Mais, pourquoi se produisit-il un silence de 15 minutes dans les transmissions télévisées? Pourquoi encore et toujours la censure et la conjuration du silence?
Dans la revue Vénézuélienne « Elite» N.2366 on a pu lire: «
...Après l'expérience de Cooper au-dessus des Îles Haweï, les cosmonautes américains reçurent l'instruction de ne pas parler de ces choses par radio, mais de les réserver pour la conférence secrète qui aurait lieu au sujet de cette entreprise.»
Mais les ondes reçues des radio-amateurs de l'Amérique de Nord donnèrent des phrases surprenantes au sujet des premiers moments d'Amstrong et Aldrin sur la surface lunaire.
En effet, les phrases prononcées par Amstrong furent supprimées par la NASA, lors de la transmission télévisée de l'arrivée d'Apollo ll sur la Lune.
LA CONVERSATION SECRÈTE AVEC HOUSTON
A un moment donné, probablement lorsque Armstrong et Aldrin revenaient vers le module après leur promenade lunaire, a eu lieu cette conversation :
- «
Qu'est-ce que c'était? Bon sang, qu'est-ce que c'était? C'est tout ce qu'on veut savoir. Ces choses sont énormes ! Enormes ! Enormes je vous dis ! Non, ce n'est pas à cause du champ de distorsion ! C'est incroyable.... »
Depuis Houston, les contrôleurs essayent de calmer es astronautes. La sécurité s'est déjà chargée de déloger de la salle decommunication tout le personnel non indispensable. En même temps, le système de sécurité dit de« boucles» (cycle de deux minutes entre l'émission et la réception du message) permet à la NASA de disposer de ce même temps pour vérifier ce qui se passe sur la Lune et pour calmer les astronautes sans que le reste des mortels soit au courant.
- «
Qu'est-ce qui vous arrive ? Mais bon sang, qu'est-ce qui vous arrive ? »
Les astronautes visiblement nerveux bafouillent dans leurs communications .
- «
Ils sont sous la surface »
- «
Qu'est ce qui ne va pas? Contrôle à Apollo 11... »
- «
Roger, roger... Nous allons bien mais nous avons découvert des visiteurs. Oui, ils sont restés ici un certain temps si on en juge par leurs installations. »
- «
Ici contrôle. Confirmez votre dernier message. »
- «
Je suis en train de vous dire qu'ici il y a d'autres vaisseaux spatiaux. Ils sont l'un à côté de l'autre, à la file, sur le côté le plus éloigné du bord du cratère ».
A présent c'est le tour des contrôleurs de Houston (toujours d'après l'enregistrement apocryphe) de manifester une certaine nervosité ...
- «
Répétez, répétez! »
- «
Ces choses sont énormes, messieurs, énormes! Oh Dieu! C'est à ne pas y croire! Je vous dis qu'il y a d'autres astronefs, ils sont alignés de l'autre côté du cratère. J'ai les mains qui tremblent tellement que je n'arrive pas à... »
- «
Filmer? »
- «
Oui, ces maudites caméras fonctionnent mal ici, en haut... »
- «
Vous avez réussi à filmer les gars ? »
- «
Nous n'avons plus de films. Nous avons trois prises des OVNIS ou comme vous voudrez les appeler... Il se peut que le film soit voilé »
Les dirigeants de la NASA et de l'USAF se pressent autour du poste de communication du centre de contrôle et demandent au contrôleur d'ordonner aux astronautes de réunir un maximum de preuves sur les extraterrestres.
- «
Ici contrôle, ici contrôle, êtes-vous sur le point de partir ? Que signifie ce remue-ménage ? De quels OVNIS parlez-vous ? Expliquez-vous ! »
- «
Ils sont posés là, sur la lune; ils nous observent! »
- «
Faites des photos, toutes les photos que vous pourrez! Vous filmez? »
- «
Oui les miroirs sont installés mais ces êtres peuvent venir demain et les emporter... Quelle que soit leur forme ce sont, sans aucun doute, des vaisseaux spatiaux. »Tout cet incroyable message d'Amstrong fut enregistré sur la bande sonore de la transmission télévisée.
PRÉSENCES SYSTÉMATIQUES DANS L'ESPACE
Il ne faut pas oublier que les radio-amateurs d'Amérique du Nord captèrent une alarme d'Apollo 13 au cours de laquelle les cosmonautes affirmèrent être suivis par un objet volant non identifié, peu avant qu'une mystérieuse explosion n'endommage
irrémédiablement le module de service.
Nos astronautes savent très bien « qui » sont ceux qui les ont suivis pendant leurs vols spatiaux, et qui sont les « forces divines » les ayant aidés dans les adversités de leur science encore embryonnaire ! Adversités qui les auraient amenés à une mort certaine.
Les astronautes auraient peut-être préféré ne pas revenir sur la Terre où une Humanité aux connaissances très restreintes les attendait. Ils ont été suspectés de maladies inconnues possibles et mis en quarantaine avec lavage mental ...
En effet, un bon nombre d'entre eux, descendus du vaisseau avec un sourire angélique et une joie radieuse comme s'ils venaient d'arriver du Paradis, pleins de volonté à communiquer, furent aperçus après la quarantaine terminée, avec un aspect triste, fatigué, désespéré, même Aldrin qui avait dit avoir rencontré Dieu. Mais, au juste, qui était-il donc ce Dieu?
Comment peuvent-ils nous parler, ces Frères à la patience sans limites?
Leur aide accompagna tous les vols spatiaux, sauvant souvent les astronautes d'une mort certaine.
Le 21 juillet 1961, Grisson nie avoir actionné le dispositif d'ouverture du portillon de la capsule. Le dispositif explosa mystérieusement durant la phase de récupération, sauvant la vie de l'astronaute.
Le 20 février 1962, John Glenn est accompagné pendant 6000 kilomètres par des milliers de particules lumineuses et pendant la rentrée, la capsule risque de glisser et ricocher sur l'atmosphère, et se perdre dans l'espace; mais depuis le hublot postérieur, l'astronaute voit un globe de feu suivre la capsule. Sa déclaration est censurée et lui coûte l'éloignement des vols spatiaux.
Les découvertes archéologiques en différents endroits de la Terre ont démontré clairement que, depuis les temps de la pré-histoire, des Etres avec une tenue « spatiale» atterrissaient sur notre planète, et les peintures que nos ancêtres nous ont
léguées témoignent de cette réalité. La science moderne a tiré l'idée de combinaisons de nos astronautes des statuettes Dogon retrouvées au Japon, lesquelles, comme nous le savons, étaient munies d'un globe à charnières, inconnues jusqu'à hier mais adoptées aujourd'hui par nos pilotes spatiaux.
extrait de "HORIZONS VIRTUELS" n° 28