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 CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN

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MessageSujet: CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN   CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN Icon_minitimeSam 18 Juil 2009 - 17:38

CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN






L’homme est jésuite, il se présente à Barbato comme étant un familier du Vatican travaillant pour le Saint Siège. D’abord sceptique et méfiant à l’égard de ce contact soit disant « initié », Barbato analyse et vérifie ses références (en se gardant, comme le veut son éthique de journaliste, d’indiquer sa source) : il s’agit bien d’un prêtre jésuite, oeuvrant à la Cité du Vatican.

Après quelques échanges par mails, le journaliste italien demande que leur dialogue se poursuive de vive voix. Malgré le danger, vraisemblablement conscient que cette rencontre est préférable vu l’énormité des révélations qu’il s’apprête à faire, l’homme du Vatican accepte. Deux rencontres ont donc lieu à Rome, en 2001 (voir interview page 58).

Barbato apprend que des dissensions règnent au sein du SIV, un groupe minoritaire désapprouvant la politique conduite à propos de la planète X. À partir de là, il est clair pour Barbato que la démarche du jésuite ne procède pas d’une simple trahison; mais d’une révélation dont l’enjeu est de taille : la survie de notre civilisation.




La « vidéo jésuite »

Avant même leur rencontre à Rome, le contact du Vatican avait fait parvenir à Barbato, en guise de preuve, une bande vidéo - que je nomme la « vidéo jésuite » - destinée à alerter le public. D’une durée d’environ deux minutes, elle évoque l’observation d’un planétoïde couvert d’une atmosphère épaisse (la présumée planète X) se dirigeant vers le système solaire, bien qu’encore en dehors de l’orbite de Neptune.

La bande, que j’ai eu plusieurs fois l’occasion de visionner, est assortie de diverses classifications, dont la « Secretum Oméga », le plus haut niveau de secret du SIV, comparable au « Top Secret Cosmique » (CTS) de l’Otan. Il paraîtrait que l’image a été prise par une caméra embarquée dans une sonde spatiale secrète appelée Siloe.


Le contact de Barbato lui explique que la sonde, commandée secrètement chez Lockheed Martin, est équipée d’une caméra infrarouge sophistiquée ainsi que d’un système de propulsion à impulsion électromagnétique. L’engin a été assemblé à l’aire 51, dans le Nevada, et placé en orbite par un appareil secret hypersonique de type Aurora, dans les années 90.

Selon le jésuite, la sonde Siloe a envoyé des images du planétoïde en octobre 1995 vers un radiotélescope secret, entièrement géré par des jésuites appartenant au SIV, et dissimulé dans une raffinerie de pétrole désaffectée en Alaska. Il précise que le radiotélescope a été construit en 1990 dans le but d’observer les corps célestes inhabituels s’approchant du système solaire.
Quant au planétoïde visible sur la vidéo, le jésuite indique qu’il s’agit de la planète X (la Nibiru des Sumériens; voir NEXUS n° 50, p. 10).




Une très grosse planète

Cette planète massive encore ignorée de l’astronomie moderne produit des perturbations analogues à celles que décelèrent Lowell, dans les mouvements d’Uranus, et Pickering, dans ceux de Neptune. En 1978, James Christie, astronome à l’observatoire de la Marine américaine, découvre Charon, le satellite de Pluton et calcule la masse du couple Pluton- Charon. Au passage, les calculs indiquent la présence probable d’une très grosse planète encore invisible*…

De son côté, Barbato attendra le 30 avril 2005 pour se décider à révéler cette incroyable nouvelle et à montrer la vidéo au public. La projection a lieu au Palazzo délia Provincia, à Pescara, sur la côte adriatique italienne, au cours d’une conférence organisée par la Ufobserver Cultural Association et intitulée : « Ovnis ? La vérité est top secrète : de l’Aire 51 à la Planète X ».

Toutes ces années, Barbato s’est efforcé de rassembler des indices confirmant l’existence de la planète X/Nibiru et du SIV. Concernant ce dernier, il a trouvé des indications historiques explicites importantes dans le livre de Mark Aarons et John Loftus Ratlines (chapitre i). J’ai moi-même trouvé une référence indirecte dans un livre du lieutenant-colonel italien Umberto Rapetto et du journaliste Roberto di Nunzio (L’atlante délie spie, BUR, Milan, 2002). Dans le chapitre V (Lo spionaggio in porpora : il Vaticano), p.89, §2.3 (Le nunziature) il est question d’un certain Robert A. Graham, un jésuite qui fit jadis allusion à l’existence d’un Service Secret du Vatican. S’agit-il de désinformation ou bien de la divulgation progressive d’une information secrète ?




Étranges anomalies dans le système solaire

Parmi tout ce que le jésuite du SIV a raconté à Barbato, deux choses sont, de mon point de vue, inquiétantes : la planète X aurait commencé à faire sentir ses effets sur le système solaire au plus tard au début de 2004 (voir mon interview de Barbato dans UFO Notiziario n°62, avril-mai 2006, p. 40), ce qu’un certain nombre d’indices tend à prouver. D’autre part, le soleil et certaines planètes et satellites du système solaire ont également manifesté des signes anormaux.

Prenons d’abord le Soleil. Avec de la patience, vous pourrez consulter les données enregistrées par le radiohéliographe de Nobeyama (NoRH), un radiotélescope japonais qui fonctionne en tant qu’interféromètre spécialisé pour l’observation solaire (voir la newsletter cosmologique mensuelle Shooting Star du 21 mars 2003,
petit gris http://www.detailshere.com/solar activity.htm).

Dans l’article intitulé « The truth about global warming : it’s the Sun that’s to blâme » [La vérité sur le réchauffement global : c'est le Soleil qui en est la cause], de Michael Leidig et Roya Nikkhah, publié dans le Telegraph de Londres le 18 juillet 2004 ( petit gris http://www.telegraph.co.uk), on peut lire ceci : « Le réchauffement global est enfin expliqué : selon des recherches récentes, la Terre se réchauffe parce que le Soleil brille plus fort qu’il ne l’a jamais fait depuis le dernier millénaire. Une étude menée par des scientifiques suisses et allemands indique que le rayonnement croissant du Soleil est la cause des changements climatiques récents… Le Dr Solanki a déclaré que ce sont à la fois l’accroissement du rayonnement solaire et le niveau des gaz à effets de serre, tels que le dioxyde de carbone, qui contribuent à la modification de la température terrestre, mais qu’il est impossible de dire lequel des deux est prédominant ».

Parmi les planètes et satellites du système solaire présentant des activités atypiques, citons :

Pluton : Selon les astronomes, « bien que son orbite très excentrique l’éloigné en ce moment du Soleil, Pluton connaît un réchauffement de sa mince atmosphère » (voir « SUV sur Jupiter ?- réchauffement du système solaire : les hommes seraient-ils responsables de changements climatiques aux confins du système solaire, ou serait-ce le Soleil ? », sur petit gris http://www.redicecreations.com/specialreports/2006/11nov/solarsystemwarming.html.

Triton : James Elliot, astronome au MIT déclare : «… depuis 1989, Triton (un des satellites de Neptune) subit un réchauffement global ».
petit gris http://www.scienceagogo.com/news/19980526052143data_trunc_sys.shtml.

Mars : En 2001, le JPL (Jet Propulsion Laboratory) de la NASA fit savoir que la caméra de la sonde Mars Orbiter avait observé, au pôle sud de Mars, des changements qui témoignaient d’un changement de climat sur cette planète, petit gris http://mars.jpl.nasa.gov/mgs/msss/camera/images/C02_Science_ rel/index.html.

Jupiter : Le 4 mai 2006, un article qui titrait « De nouvelles tempêtes sur Jupiter laissent supposer un changement de climat » rapportait que « … le télescope Hubble photographie le développement d’une nouvelle tache rouge… » Baptisée Red Spot Jr [Tache Rouge Junior], elle s’est formée après l’apparition de trois tempêtes blanches de forme ovale, dont deux doivent avoir au moins quatre-vingt-dix ans, et qui se sont fondues l’une dans l’autre entre 1998 et 2000.
petit gris http://www.space.com/scienceas-tronomy/060504_red_jr.html.

Saturne : Des images de la sonde Cassini du 11 octobre 2006 montrent un ouragan, dont le diamètre égale les 2/3 de celui de la Terre, qui fait rage au pôle sud de la planète, petit gris http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/6135450.stm.




Alerter l’humanité

Ces événements du système solaire, ainsi que les découvertes troublantes de Cristoforo Barbato, réclament toute notre attention. Ils devraient alerter le public sur l’arrivée de la planète X et sur les problèmes d’exopolitique, à savoir l’implication des gouvernements dans la question des ovnis et la manière dont, jusqu’à présent, les affaires extraterrestres ont été confisquées par les États-Unis, ou un certain gouvernement de l’ombre (sans contrôle de la part du président, du Congrès ou du Conseil national de sécurité).

Je pense que la seule façon de savoir ce qui se passe réellement sur la Terre et dans le système solaire, c’est de soutenir des chercheurs tels que le Dr Steven M. Gréer, le professeur Michael Salla ( petit gris http://www.exopolitics.org), l’historien Richard Dolan, le journaliste Cristoforo Barbato
( petit gris http://www.secretumomega.com) et bien d’autres qui, tous, comprennent l’importance d’élargir les horizons de l’humanité dans toutes les dimensions, tant matérielles que spirituelles. Ce n’est que comme cela que nous aurons une chance d’éviter les luttes fratricides et les horreurs du conflit nucléaire qui nous menace.

En 2001, Cristoforo Barbato rencontre donc le père jésuite qui lui révèle alors la genèse des services secrets du Vatican, les contacts de Pie XII et Jean XXIII avec une certaine race d’aliénigènes, et la scission au sein du SIV entre les partisans du secret et ceux qui, comme lui, estiment urgent de divulguer l’information à l’humanité tout entière.



Barbato : Comment êtes-vous devenu membre du SIV ?

Jésuite : Le SIV se compose de divers éléments, tous reliés à l’Église et constitués, au moins pour le Directorat, principalement de prêtres, dont la majorité sont des jésuites, de moines bénédictins et de nonnes ; au total un peu plus d’une centaine de membres. On pourrait réduire cette estimation, mais il faut prendre en compte toutes les parties du monde où il y a un prêtre ou une religieuse susceptibles d’apporter des informations précises. Certains éléments du SIV viennent du monde laïque et de soixante-six institutions reliées à l’Église ; par exemple des associations humanitaires, des groupes politiques proches du Saint Siège, des mouvements de « jeunes catholiques » et d’autres. Je viens moi-même d’un de ces milieux. En résumé, les membres sont secrètement évalués, dirigés et formés selon des critères précis en vue de certaines fonctions.


B : Pourriez-vous donner plus de détails sur le SIV ; pourquoi a-t-il été créé et depuis quand est-il opérationnel ?

J : La structure est top secrète, mais je peux vous dire qu’elle est organisée de manière analogue à la CIA, au MI6, au KGB, etc. Il n’y a pas de siège officiel, mais on change régulièrement de lieu de réunion, toujours sous le regard de la Cité du Vatican.

Du point de vue chronologique, l’événement qui a déclenché la création du SIV s’est produit aux États-Unis en février 1954. Ce fut la rencontre à Muroc Airfield (future Edwards Air Force Base), en Californie, d’une délégation d’aliénigènes avec le président Dwight D. Eisenhower, en présence de l’évêque de Los Angeles, James Francis Mclntyre. La rencontre fut filmée par des militaires utilisant trois caméras 16 mm placées en des endroits différents et chargées de pellicules couleur. Les opérateurs devaient changer de bobine toutes les trois minutes et les caméras avaient des moteurs à ressorts parce que, en présence des aliénigènes, les moteurs électriques ne fonctionnaient pas. Au total, ils ont tourné vingt minutes de film en sept bobines de trente mètres chacune. À la fin de la réunion, chaque membre de la délégation terrienne prêta serment de ne jamais révéler à quiconque ce qu’il avait vu et entendu. Ne me demandez pas où sont les films, je crois que vous connaissez la réponse…

Quelques jours plus tard, regrettant probablement de s’être engagé dans le secret, Mclntyre partit d’urgence avec l’intention de rencontrer le Pape Pie XII et de l’informer de cet événement incroyable. Mais pour atteindre l’Italie, il fallait qu’il vole d’abord jusqu’à New York, puis de là à Rome, toujours en avion privé. Environ une demi-heure après le décollage de Los Angeles, l’appareil connut quelques difficultés techniques et fut contraint d’atterrir à Sky Haven Airport, à Las Vegas, Nevada, pendant la nuit.

Pendant la réparation, un colonel de la US Air Force monta à bord pour s’entretenir avec l’évêque. La conversation dura une vingtaine de minutes au cours desquelles il tenta de dissuader l’évêque de révéler tous les détails de la rencontre à laquelle il avait assisté, car les questions extraterrestres relevaient exclusivement par la USAF. Le militaire précisa que tout ce que désirait le président Eisenhower, c’était un avis sur l’aspect spirituel de la question et un soutien, mais le Saint Père ne devait pas être mis dans le secret. On craignait à l’époque l’infiltration éventuelle du Vatican par des espions soviétiques. L’évêque répondit qu’il avait précisément l’intention d’informer le Pape de cet événement incroyable.

Nous pensons aujourd’hui que la panne de moteur avait probablement été prévue et organisée par les militaires pour provoquer cette rencontre, et cela à l’insu du président Eisenhower. Avant de prendre congé, le colonel rappela à l’évêque les risques d’une divulgation à Rome.

Deux jours plus tard, Mgr Mclntyre fut reçu par Pie XII. Après une profonde méditation sur les implications possibles d’une relation exclusivement militaire avec les aliénigènes, le Pape décida de créer un service secret d’information organisé de façon analogue aux renseignements fascistes, que l’on nommerait SIV, et qui aurait pour mission de glaner toutes les informations possibles concernant les aliénigènes et les données déjà recueillies par les Américains. Il était très important d’assurer une communication ouverte avec le président Eisenhower.

Le SIV fut donc conçu pour acquérir et gérer, en coordination avec les services de renseignements d’autres pays, toute information secrète concernant les aliénigènes et traiter particulièrement des aspects moraux, philosophiques et religieux de la question.



B : Qu’est-ce qui permettait au Pape de croire que les militaires américains seraient prêts à partager des informations aussi sensibles avec le Vatican ? Que penser de l’officier que fit son apparition à l’aéroport de Las Vegas ?

J : Le fait qu’un président ait cherché une aide et un soutien spirituel dans une telle situation, unique dans l’histoire de l’humanité, constitue un témoignage de confiance et d’estime. D’ailleurs Mclntyre et l’archevêque de Détroit, Edward Mooney, devinrent plus tard les principaux coordinateurs de la transmission d’informations vers le Vatican

Les affaires prirent cependant une tournure inattendue lorsque Mclntyre et d’autres membres du SIV furent directement contactés, à l’insu des militaires, par des aliénigènes de type « nordique »4, manifestement amicaux, prétendant venir des Pléiades. Ces gens mirent les contactés en garde contre les autres créatures que les Américains avaient côtoyées dans le désert de Californie. Ces rencontres avec les membres du SIV se produisirent souvent aux Etats-Unis, et par deux fois dans les jardins du Vatican, au voisinage de l’Académie pontificale des Sciences, en présence du Pape PieXII….



B :Le Padre Pio de Pietrelcina a parlé de l’existence d’autres êtres dans d’autres mondes, qui avaient atteint un niveau élevé d’évolution parce qu’ils étaient sans péché… est-ce exact ?

J: Sans aucun doute ! Mais ces êtres vivent sur un plan dimensionnel différent et ce ne sont pas, stricto sensu, des anges ; et d’autre part, les aliénigènes « nordiques », dont je parlais, sont en chair et en os, même s’ils sont beaucoup plus évolués que nous tant spirituellement qu’au plan technologique. Ces créatures ont déclaré avoir trouvé dans l’Église catholique, ou plus exactement dans le message christique, la pure présence divine et ils ont proposé leur co-opération pour le bien de l’humanité. C’est ce qui a convaincu le Pape Pie XII de collaborer avec eux et de les considérer comme de véritables convertis à la foi chrétienne. Le pontife considérait probablement que l’Église universelle devait transmettre son message même à des êtres issus d’autres mondes. Ces aliénigènes entendaient assister, au fil des ans, l’Église de Rome dans toutes ses missions, particulièrement en matière sociale et en politique internationale*.

Par la suite, le Pape Jean XXIII bénéficia du même soutien de ces êtres qui avaient épousé la cause chrétienne, mais il préféra garder le secret, ne faisant allusion qu’à des « interventions angéliques ». Jean XXIII avait en somme hérité des accords de collaboration établis par son prédécesseur entre le Saint Siège et ces aliénigènes amicaux de type nordique. Cet accord secret fut maintenu tout au long du pontificat d’Angelo Giuseppe Roncalli qui, cependant, exprima souvent aux cadres du SIV ses réserves quant à la confiance qu’il fallait accorder à ces êtres. C’est pourquoi nous pensons aujourd’hui qu’une des principales motivations de la convocation du Concile œcuménique du Vatican fut le besoin de prendre les premières dispositions concrètes pour le renouvellement de l’Eglise en vue d’un éventuel et imminent contact.



B : Y a-t-il un rapport entre cette intervention, ou « médiation céleste », et la rencontre présumée de 1963 entre le contacté américain George Adamski et le Pape ?

J : J’allais en parler. Adamski a rencontré le Pape. Il est allé à Saint-Pierre une fois, précisément après que le pape eut décidé qu’il ne fallait plus poursuivre les contacts avec les aliénigènes, même si ceux-ci étaient amicaux. En outre, Jean XXIII refusait que cette relation soit révélée à la population chrétienne. Adamski se présentait comme chargé de mission par les aliénigènes pour tenter d’obtenir du Pape, qui était mourant, un accord définitif. Il apportait en outre un don pour le saint père : une substance liquide qui devait le délivrer de la gastro-entérite dont il souffrait et qui, évoluait en péritonite aiguë. Le pape ne prit pas cette potion et avant de mourir, tenant le crucifix, déclara : « Les bras ouverts de Christ furent l’objet de mon pontificat. Ainsi que vous le voyez, un pontificat simple et humble dont j’assume toute la responsabilité. Je suis satisfait de ce que j’ai fait et de la manière dont je l’ai fait. »

En outre, ce geste de la part des aliénigènes convainquit le Pape mourant, dans le peu d’énergie et de lucidité qui lui restait, que même si les « frères de l’espace » se comportaient avec bienfaisance envers l’humanité, il convenait qu’ils agissent de façon autonome, séparément de l’Église et des activités humaines en général, par la prière et des actes conformes à la loi de Dieu et particulièrement sous la direction du Saint Esprit. La tentative d’Adamski mit fin au contact direct entre ces êtres et le pape ainsi que ses successeurs qui, faisant confiance en la clairvoyance de Jean XXIII, comprirent qu’il ne fallait pas que l’Église etretienne ces contacts.

Dans un manuscrit secret du Pape Jean XXIII à ses successeurs, qui comprend un dossier spécial sur le SIV, est cité un passage de l’évangile de Marc qui expose clairement la position que doit adopter l’Église vis-à-vis des êtres bienfaisants venus d’autres mondes. Marc 9 : 38-412 : « Jean lui dit : “Maître, nous avons vu quelqu’un qui chassait les démons en votre nom et nous l’en avons empêché, parce qu’il ne nous suit pas.” Mais Jésus lui répartit : “Ne l’en empêchez pas. Car il n’est personne qui puisse en même temps faire un miracle en mon nom, et parler mal de moi. Celui qui n’est pas contre nous est pour nous. Et quiconque vous donnera à boire un verre d’eau parce que vous appartenez au Christ, en vérité je vous l’assure, il ne perdra pas sa récompense” ». Cela signifie que les activités supposées positives des aliénigènes qui acceptent le message christique doivent être « bénies » et non contrées, mais maintenues distinctes et parallèles à l’Eglise. Ces êtres doivent être comparés à l’étranger qui porte secours au nom du Christ et ne doit pas en être empêché.



B : Parlons de votre mission dans le SIV…

J : Mes tâches sont purement techniques, la plus importante étant, par exemple, de transmettre des informations très secrètes provenant du radiotélescope du Vatican situé en Alaska et de les acheminer à qui de droit.


B : Un instant, de quel radiotélescope parlez-vous ? Je ne savais pas que le Vatican possédait pareil matériel dans cette région.

J : Le Vatican possède et utilise un radiotélescope qui est à l’avant-garde de la technologie et manipulé seulement par des jésuites. Il est installé dans un parc industriel de stockage de pétrole apparemment à l’abandon, situé en Alaska. Ce complexe constitue un camouflage, parce que les activités qui y sont conduites sont top secrètes et ne sont pas celles, plus officielles, du VATT [Télescope de Technologie Avancée du Vatican] situé, lui, en Arizona.


B : Quand cet appareillage a-t-il été construit, et surtout dans quel but le Vatican utilise-t-il autant d’installations astronomiques dans le monde ?

J : Je peux vous dire qu’il a été construit dans les années 90 dans le but d’observer tous les objets célestes inhabituels s’approchant de la Terre. C’est ce que fait la CIA avec l’un des ses « yeux secrets », le jumeau de Hubble, appelé SkyHole-12 [aussi nommé KeyHole-12 ou KH-12 ; pour plus de détails, voir http://en.wikipedia.org/wiki/KH-12]. Il se trouve qu’au moment des rencontres entre les aliénigènes et Pie XII, le SIV fut informé de l’approche d’un corps céleste habité par des êtres très avancés et très belliqueux. Bref, je savais que ce que je j’allais recevoir à Rome et analyser par l’informatique était très intéressant et extrêmement secret. C’est en analysant certaines données issues du radiotélescope de l’Alaska que nous avons découvert qu’une sonde spatiale du programme d’exploration Siloe, lancé dans les années 90, avait pris un cliché d’une énorme planète s’approchant du système solaire.

Cette information fut captée en Alaska en octobre 1995, et c’est alors que mes problèmes commencèrent. Je me rendis compte que je n’avais pas été désigné pour décoder cette transmission particulière et que la situation devenait dangereuse. À ce moment, mon contact me révéla qu’il y avait, au sein du Vatican, deux factions luttant pour la possession et le contrôle de cette information classifiée bien au-dessus de « top secrète ».



B : Pouvez-vous me donner d’autres détails sur le programme spatial Siloe ? Qui en sont les commanditaires et les opérateurs ?

J : La sonde Siloe a hérité du nom d’un programme d’exploration spatiale initié au début des années 90. Ce programme faisait partie d’un autre, beaucoup plus ambitieux, nommé Kerigma**. Pour le moment, je me contenterai de vous dire que cette sonde fut fabriquée à l’Aire 51 [Nevada, USA], qu’elle a un moteur à impulsion électromagnétique et qu’elle a été placée sur orbite par un avion spatial de type Aurora3. La sonde n’était pas chargée de données de calcul, ni de trajectoire, ni d’indications précises quant à la position de Nibiru, car elle devait s’approcher de la planète, corriger sa trajectoire pour éviter l’impact et revenir dans le système solaire à une position suffisamment proche que pour pouvoir transmettre les données et les images au radiotélescope secret situé en Alaska. Son lancement eut lieu en même temps que la mise en service du radiotélescope et elle fut en mesure d’émettre des images dès 1995.

B : Ce que vous me racontez me fait penser aux théories du chercheur Zecharia Sitchin concernant le retour prévu d’une mystérieuse douzième planète. Connaissez-vous ses œuvres ?

J : Oui, j’en connais les principaux éléments. Le SIV, en collaboration avec Lockheed Martin, a envoyé cette sonde dont j’ai par la suite analysé les images. Ce sont des vues d’un énorme objet céleste dont la présence se fera « sentir » dans notre système solaire tout au plus dans les trois ans après 2001.


B : Comment avez-vous obtenu ces informations ?

J : Je dispose d’une autorisation de supervision de ce qu’on appelle le Secretum Oméga. C’est le plus haut niveau de secret du Vatican, l’équivalent au Top Secret Cosmique de l’Otan. Celui-ci est divisé en trois niveaux d’informations : depuis le Secretum Oméga degré III, le moins détaillé, jusqu’au Secretum Oméga degré I, le plus complet. Ma mission était d’initier les nouveaux membres du SIV et de les entraîner à l’usage des systèmes de communication de l’organisation.


B : Comment les données recueillies par le radiotélescope sont-elles envoyées en Italie ?

J : La compagnie américaine de télécommunication Sprint International possède des radios et des antennes paraboliques situées au nord et au sud de l’Italie et deux satellites géostationnaires avec lesquels elles sont en liaison. Cette compagnie a un contrat particulier avec le SIV et une fréquence d’émission/réception de données chiffrées utilisant, depuis 1994, des algorithmes et une cryptographie personnalisés. Avant cette date, le SIV utilisait un système cryptographique inventé par une société suisse ; il a été abandonné parce qu’un membre de cette société l’a secrètement vendu à des Israéliens. Je ne puis vous donner davantage d’information technique pour l’instant.


B : J’aimerais que vous me parliez d’un légat de l’Église bien connu, Monsignor Balducci, qui a publiquement abordé le thème des extraterrestres. Ce prélat connaît-il le SIV et agit-il de concert avec eux ?

J : Le Père Balducci a fait des études et mené sa recherche de façon tout à fait autonome sans suivre un programme pré-existant. Il n’a jamais été empêché ; au contraire, on l’a plutôt encouragé.


B : Vous permettez… À vous entendre, il semblerait qu’il y ait un programme de divulgation. Et ne serait-ce pas pour cela que vous avez décidé de me rencontrer et de me communiquer ces informations ?

J : Du point de vue du système, nous sommes en pleine dissidence, mais nous savons que des événements vont se produire qui affecteront tous les êtres vivants de cette planète, personne n’y échappera. L’humanité vit une période particulière de son histoire, des circonstances intimement liées à des événements clés annoncés dans l’Apocalypse. Il importe que l’humanité se rallie entièrement au message de salut et de rédemption du Christ, que Saint Paul a appelé kerigma, un message que Jean-Paul II essaye de répandre dans toutes les nations. Pensez-vous que le pape ne connaisse pas l’imminence de ces événements ? [cette interview a eu lieu avant la mort du pape Jean-Paul II].


B : Mais que sait le pape de tout cela, particulièrement si l’on se souvient de sa déclaration passionnée de 2000***?

J : Deux groupes s’opposent au sein du Vatican : l’un d’eux préconise la divulgation et est soutenu sans réserve par Wojtila [Jean-Paul II] ; l’autre tente de bloquer par n’importe quels moyens toute information. Certains membres de cette faction font partie de groupes de pouvoir occultes qui, par exemple, contrôlent le marché du pétrole et influencent de nombreux secteurs de l’économie internationale dans le seul but d’étouffer l’information sur le développement des sources alternatives d’énergie, dites « énergie libre ». Ceci a été confirmé par l’affaire « Gardian » [Canada, 1989-91], spectaculaire mais peu concluante, du groupe ufologique CUFORN [Canadian UFO Research Network], qui fit sensation mais dont les photos de présumés aliénigènes n’ont pas été montrées.

De toute façon ces documents exposent une réalité : les opérations complexes de manipulation-désinformation dépassent souvent la fantaisie la plus folle. Le sommet de toutes ces organisations occultes appartient au Gouvernement de l’Ombre, et n’est connu que sous l’acronyme SVS.



Luca Scantamburlo

Traduction : André Dufour




source : NEXUS n°51




Site de Luca SCANTAMBURLO:
petit gris http://www.angelismarriti.it/ANGELISMARRITI-ENG/home-ENG.htm


Dernière édition par invitée le Sam 30 Avr 2011 - 21:02, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN   CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN Icon_minitimeVen 16 Juil 2010 - 19:58

LE RETOUR DE LA PLANÈTE X
Luca Scantamburlo







CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN Luca110]



Kerry Cassidy (KC) : Bonjour, je suis Kerry Cassidy de Project Camelot et nous sommes ici avec Luca Scantamburlo.

Luca Scantamburlo (LS) : Superbe prononciation. Très bien. [rires de Kerry]

KC : Nous sommes très heureux d'être ici avec lui en Italie, nous ne pouvons pas dire où. Nous allons couvrir des sujets très intéressants. Luca est un journaliste accompli. Il est en contact avec Cristoforo Barbato et nous sommes très intéressés par ce qu'a à dire Cristoforo Barbato. Luca a écrit des articles sur ce que Barbato a dévoilé. Cette connexion vaticane nous intéresse ainsi que tout ce que vous pouvez nous dire là-dessus.

LS : Mon nom est bien Luca Scantamburlo, je suis né en Italie, j'ai 33 ans et je suis diplômé en journalisme. Ces 2 ou 3 dernières années, j'ai écrit plusieurs articles sur des affaires controversées, les Ovnis, la présence possible d'extraterrestres sur Terre et dans le système solaire. L'un de mes articles, une interprétation, a été publié dans «Nexus New Times», la revue bimensuelle publiée en Australie.

KC : Pourriez-vous nous dire comment vous êtes entré en contact avec Cristoforo Barbato ?

LS : Oui. Cristoforo Barbato est né à Naples en 1972, mon premier entretien avec lui a eu lieu en 2002 alors qu'il était rédacteur pour un magazine national «Stargate magazine» – là, sur l'étagère du dessous, il y a quelques copies – le magazine italien dont il était le rédacteur en chef.


Sur la gauche il y a une copie du magazine «Extra Terrestere», une sorte de tabloïde.
[Kerry le prend] Oui, celui-ci Kerry. Ce magazine n'existe plus, il était l'un de ceux qui parlait des Ovnis et autres phénomènes liés.

Je suis désolé de ne pas avoir un exemplaire d'un autre magazine, «Stargate», pas «Stargate Magazine», car dans celui-là Barbato a écrit plusieurs articles sur le Troisième Secret de Fatima.

A cette époque je ne lisais pas ces magazines, je ne les connaissais même pas et en 2002 j'ai demandé à Barbato s'il était intéressé par l'un de mes articles. Il l'a publié en 2002, ainsi qu'un autre en 2003, puis le magazine s'est arrêté en 2003. Cristoforo Barbato n'était donc plus rédacteur en chef, il avait perdu ce travail et était rentré chez lui.

Et vous savez, nous ne nous sommes pas rencontrés à cette époque. Nous avions juste nos échanges par e-mails et par téléphone. Et ce qui est arrivé ensuite, en 2005... J'ai lu un article sur les recherches de Cristoforo Barbato. Cet article parlait d'une vidéo montrée au public pour la première fois en avril 2005 à Pescara, une ville importante sur la côte adriatique.

J'étais très intéressé parce que, dans l'article, le rapport disait que cette vidéo venait d'un insider du Vatican qui avait contacté Cristoforo Barbato en 2000, l'année 2000. Et après quelques contacts, Cristoforo Barbato obtint cette vidéo. Il l'a montrée au public pour la première fois en 2005, mais elle n'était pas sur Internet. C'était une vidéo de deux minutes.

J'ai donc envoyé un mail à Cristoforo Barbato en lui demandant s'il y avait une chance de pouvoir la visionner car, comme je vous l'ai dit, elle n'était pas disponible. Et il m'a répondu : « Ah oui, vous pouvez venir à une conférence. J'ai été invité à une conférence à Santa Maria Magdalena », c'est le nom d'un petit village italien.
« Et à cette occasion, nous pourrons nous rencontrer et vous aurez la possibilité de voir la séquence. Parce que je ne vais pas la montrer à tout le monde. Quand je l'ai reçue, c'était sous des conditions très strictes. »


KC : Barbato a-t-il vraiment gardé le silence sur ses contacts depuis plusieurs années avec cet initié du Vatican...

LS : Oui.

KC : ...avant qu'il ne dise quoi que ce soit ?

LS : C'est ... ah, vous sous-estimez un aspect important là ! Un peu de chronologie pour comprendre ce qui s'est passé... En 2000, il a reçu les premiers messages par courrier (à Rome, courrier ordinaire) et par e-mail. Et bien sûr il était très sceptique. Au début, cet homme se disait initié du Vatican et peu à peu une relation s'est tissée entre eux. Et bien sûr, même au début ce « Gorge Profonde » lui a livré beaucoup d'informations. Mais Barbato n'était pas satisfait parce que ... vous savez mieux que moi Kerry, Bill... que… [longue pause]...le monde des initiés, ce monde de l'intérieur, est très dangereux parce qu'il est très difficile de distinguer la vérité de l'information erronée. Il n'était donc pas satisfait et lui a demandé un rendez-vous.

J'imagine que pour l'initié, c'était une requête difficile parce que, s'il était réel et non pas un imposteur, il risquait sa vie et peut-être celle d’autres personnes, mais malgré tout cela le meeting a eu lieu. Et plus d'une fois.


KC : Plus d'une fois. Savez-vous où la réunion s'est passée ?

LS : Oui, parce que Barbato a rendu cette information publique. Les deux premiers meetings ont eu lieu en 2005 à Rome dans un espace public, je ne sais pas où. Barbato ne me l'a jamais dit. Bien sûr, je le comprends.

Bill Ryan (BR) : [hors du champ de la caméra] J'imagine que Cristoforo a dû demander à sa source : « Pourquoi me dites-vous cela ? »

LS : Oui. Oui...cette question est même venue dans l'interview que j'ai eue avec Cristoforo Barbato, l'interview qu'il m'a donnée et publiée en avril 2006 dans le mensuel italien «UFO Notiziario». Nous avons fait cette interview quelques semaines avant, c'était une interview écrite, je ne pouvais pas le rencontrer et je lui ai posé cette même question : Pourquoi l'initié faisait-il une chose pareille ?

La réponse se trouve dans les paroles du jésuite : Celui-ci et quelques uns de ses collègues font partie d'une structure de renseignement, une agence de renseignement fantôme, parce qu'officiellement le Vatican n'a pas de service de renseignement. Lui-même et quelques collègues ont dû avoir... peut-être un... problème moral, je pense. Ils savent que les évènements qui se produiront tôt ou tard dans les prochaines années toucheront toutes les créatures sur Terre. Personne n'en sera exclu.


BR : Toutes les créatures.

LS : Toutes les créatures, cela veut dire à toutes les latitudes de la planète.

KC : Mm, hm.

LS : Je pense qu'ils avaient un problème d'éthique. Il y a une histoire semblable dans la tradition grecque. C'est le problème d'Antigone vous savez. Il y a une loi. Si vous la respectez, vous prenez le risque de souffrir en votre qualité d'humaniste. Vous devez donc faire un choix : suivre les lois, les règles et détruire votre propre sens humaniste; ou alors enfreindre les règles.

KC : Donc ce jésuite est venu. C'est un jésuite ?

LS : Oui. Il est sorti de sa réserve uniquement avec Cristoforo Barbato. Mais lui et ses collègues l'ont choisi. Ils ont choisi la personne et cette personne est Cristoforo Barbato.

KC : Ils l'ont choisi parce qu'il était un journaliste respecté, et pour...

LS : Pour de nombreuses raisons, oui.

KC : Et à cause... en Italie...

LS : Oui. C'est une raison certaine. Mais les autres sont que Cristoforo Barbato était jeune. Vous savez, les jeunes sont plus courageux, parce qu'en vieillissant vous avez plus de responsabilités, une famille peut-être, et une réputation. Alors... finis les scoops.

KC : Cristoforo avait quel âge quand il a été approché en l'an 2000 ? Le savez-vous ?

LS : Il est né en 1972, il avait donc 28 ans.

KC : Ah !

LS : Maintenant, il y a probablement d'autres raisons. Plus d'une. À mon avis, Cristoforo Barbato est une personne loyale, vous ne pouvez pas le corrompre. C'est ce que je pense. Et il est très strict. Peut-être parce qu'il est honnête.

KC : Je vois, très bien. Ok. Il est évident qu'il a fixé la barre très haut pour ce jésuite... il insistait... En premier lieu il a pris un certain temps pour lâcher l'histoire. Ensuite, il l'a vérifiée.

LS : Parce qu'il n'était pas convaincu. Il a conduit de nombreuses recherches pour les vérifications. Le jésuite [NDT : il sera parfois appelé « Gorge Profonde » par la suite, ce qui n'est pas lié à « Gorge Profonde Premier » qui a contribué au renvoi du président Nixon] lui a donné beaucoup d'informations, il lui a donné des photos, une séquence de vidéo, pas sur un CD ni un DVD. Nous sommes en 2000, il a reçu un paquet par la poste, dans le courrier et à l'intérieur, il y avait une cassette VHS.

KC : Euh...euh. Il l'a essayée ?

LS : Il l'a digitalisée, mais pas avec du matériel professionnel, la qualité de la vidéo n'est pas au top. Je pense aussi que si nous pouvions voir l'original, si nous avions cette chance, nous aurions peut-être plus d'informations sur la validité de la séquence elle même. Parce que nous parlons de la séquence d'une soi-disant observation dans l'hyper-espace, où bien sûr, la lumière visible est pratiquement nulle.


Note importante : Luca Scantamburlo déclare que la séquence sur la planète X
montrée dans cette vidéo n'est PAS le film original donné à Barbato par
le jésuite, mais est une copie très proche ou une reproduction de l'original.



KC : Et qu'est-ce cette vidéo nous montre ?

LS : Oui. La séquence... il semble qu'elle montre un planétoïde inconnu à l'astronomie moderne, à la connaissance officielle de l'astronomie moderne. Cela a été publié et c'est important, je veux dire qu'il y a deux visions distinctes côte à côte.

KC : Ok. Et ça a été filmé à partir de quel vaisseau spatial ?

LS : Avec une caméra sur une sonde spatiale qui appartient secrètement au Vatican, d'après Gorge Profonde. Le nom de la sonde serait : Siloe. Siloe est un nom biblique que vous trouvez dans la Bible plusieurs fois, dans le Nouveau Testament. Je ne me souviens pas où exactement mais, de toute façon, c'est une histoire sur ce qu'a fait Jésus Christ dans le passé en Palestine. Il y avait un aveugle, est-ce bien cela ? Il ne voyait pas et Jésus Christ a fait quelque chose, il lui a dit :
« Tu peux aller maintenant à la source Siloe, lave-toi les yeux là bas et tu recouvreras la vue. » C'est ce que l'homme...


KC : En anglais, nous dirions « Silo » ?

LS : Oui. Silo. L'orthographe c'est S-I-L-O-E. Siloe est un lieu de Jérusalem qui est sacré pour les chrétiens. Cette sonde spatiale ferait partie du programme spatial.

KC : Qui ? Qui a construit cette soi-disant sonde spatiale ?

LS : Cette soi-disant sonde spatiale aurait été produite dans l'aire 51 au Nevada par Lockeed Martin.

KC : Ah, ok. Cette information vient-elle de Gorge Profonde ?

LS : Oui. Mais le point principal, ce que je veux souligner, c'est qu'avant la première rencontre entre Cristoforo Barbato et ce jésuite, Barbato a vérifié ses antécédents. Et même au cours de la première rencontre, car le jésuite lui avait apporté des preuves de ses références. Barbato, qui avait toujours des doutes, n'en avait plus sur son identité. On ne parle pas ici de la preuve de la séquence vidéo, des autres photos et de toute l'histoire. Ce que Barbato connaissait sans aucun doute, c’était l'identité de ce Gorge Profonde. Il en connait le nom, le prénom, et ses antécédents. Bien sûr, il a eu à protéger la source de l'information à cause des renseignements.

KC : Bien. L'organisation, l'organisation secrète dont ce jésuite est membre, fait partie d'un service d'espionnage clandestin du Vatican. Quel en est le nom ?

LS : Barbato a reçu cette information. L'agence de renseignement serait le Servizio Informazioni del Vaticano, le service de renseignement du Vatican. Et le nom de code serait : S-I-V, d'après l'expression italienne.

Mais ce qui est très intéressant, c'est ce que Barbato a trouvé par la suite aux États-Unis, dans un essai d'histoire écrit par John Loftus et Mark Aarons – le nom de l'essai est Ratlines – et il s'y trouve une référence à cette agence, avec l'expression exacte que le jésuite a donnée à Barbato – Servizio Informazioni del Vaticano. Vous pouvez le vérifier dans n'importe quelle édition de ce livre Ratlines. Il a même été publié en Italie, je l'ai lu de mes propres yeux.


KC : Euh…euh.

LS : Barbato s'en est aperçu après.

KC : Bien. Ok, mais quelle est la signification de Secretum Omega ?

LS : Secretum Omega serait, d'après le Gorge profonde de Barbato, le niveau le plus élevé d'autorisation secrète dans ce service. Secretum Omega est divisé en trois niveaux.

KC : Ok. Ce jésuite était un membre du niveau le plus élevé ?

LS : Oui. Il était l'un des membres le plus... Oui. Je ne sais pas lequel. Je ne me souviens pas quel était le niveau parce que... [fait des gestes de ciseaux avec ses mains]... il faut couper là... parce que… désolé.

KC : D'accord !

LS : C'est très difficile pour moi vous savez.

KC : Reprenons à partir de là. Donc le jésuite est un membre du plus haut niveau, probablement, du SIV Secret.

LS : Oui. C'est ce que j'ai compris. Oui, il en était un membre actif à l'époque.

KC : Mais là, vous dites « était ». Est-ce que Barbato a eu une information disant qu'il avait quitté ce Service ?

LS : [Gros soupir] Je ne sais rien là-dessus.

KC : Je vois.

LS : Ce que je sais sans aucun doute, c'est qu'ils ont été en contact pendant quelques années au moins mais je ne pense pas qu'ils le soient toujours.

KC : Ok.

LS : De plus, il a fait son travail. Il en a même fait plus que prévu puisqu'il s'est rendu à une rencontre proposée par Barbato et, vous savez, c'est quelque chose qu'ils... à laquelle ils n'avaient peut-être pas songé. Voyez-vous, habituellement, quand vous avez un Gorge Profonde, quand vous avez un initié, quand vous avez une source de renseignements, la plupart du temps, vous ne connaissez pas son identité. Presque toujours. [Soupirs]

Si il y a quelqu'un du Vatican qui a fait cela, bien sûr avec l'accord d'autres personnes, vous ne pouvez pas imaginer qu'une seule personne qui appartienne à ce Service si haut placé... [choisit ses mots avec précaution]... une telle agence ... vous savez, qui n'est pas une agence d'un État ordinaire, nous parlons du Vatican.

Le Vatican est un petit état mais c'est une tradition, une réputation. De plus, l'importance... C'est un état au sein duquel se côtoient la politique et la foi. Ensemble, et...


KC : Donc cet homme est sorti de l'ombre secrètement. Il a l'appui d'autres personnes du Vatican ?

LS : Je ne sais pas de combien, mais j'imagine plusieurs.

KC : Ok.

LS : Ils sont en minorité, bien sûr, car ce n'est pas la position officielle du Vatican.

KC : Bien. Et ils disent qu'il y a une planète dans le système solaire qui s'approche de nous...

LS : Qui s'approche de nous.

KC : De la Terre.

BR : Est-ce une planète, Luca, ou bien un gros corps céleste ?

LS : Question intéressante.... Barbato savait... parce que nous avons eu des conversations là-dessus, de nombreuses discussions, ce qu'il savait sans aucun doute est ce que le jésuite lui avait dit, à savoir que ce planétoïde qui semble venir dans le système solaire serait – et selon le jésuite, est – la fameuse Planète X ou, l'ancien dieu Nibiru. Et Marduk selon les babyloniens.

Donc, Planète X est l'expression scientifique pour un objet qui devrait être là-bas. Mais officiellement à ce jour il n'y a pas de preuves. Je veux dire... des preuves indirectes, il y en a, mais des preuves directes, officiellement, d'après les observatoires, il n'y en a pas. Officiellement. Mais il y a des preuves indirectes qu'il y a quelque chose.

Le jésuite a indiqué que ce planétoïde EST la planète sumérienne. Les sumériens appelaient Nibiru la Planète du Croisement. Tout le monde a entendu parler de ça parce que le célèbre historien russe, Zécharia Sitchin, qui vit à New-York, a écrit de nombreux ouvrages sur le sujet. Le jésuite a dit à Barbato que le planétoïde EST la planète Nibiru.


BR : Savez-vous quel nom ils lui donnent au Vatican ? Leur nom pour Nibiru ?

LS : Non, je ne sais pas. J'ai des idées là-dessus. Si vous consultez dans le Nouveau Testament, le livre de Jean, le Livre de L'Apocalypse, le dernier livre de la Bible, il y a un passage dans lequel se trouve une référence à ce corps céleste. Si vous considérez ce livre, pas seulement sous l'angle métaphysique ou du point de vue d'un avenir qui implique des états spirituels, si vous le considérez comme un livre avec... je veux dire... [cherche les termes appropriés]... Comment pourrais-je dire ?... Des évènements futurs ?

KC : Des prophéties.

LS : Des prophéties. En gardant la symbolique du langage. Si vous comprenez ce livre dans ces termes, il y a un passage étrange avec un certain mot. Ce mot est : «Absinthe». [Wormwood] Il pourrait y avoir une connexion avec ce phénomène étrange. Je parle du phénomène céleste. Parce que si je me souviens bien, dans ce passage, le livre nous parle d'une étoile singulière qui apparaitra. Sa couleur est rouge. Son nom est Absinthe. Mais pour en revenir à votre question je n'ai aucune idée du nom qui lui est donné dans cette agence secrète.

KC : Ok. Alors pouvez-vous nous dire quelles sont les références du jésuite ? Autrement dit, qu'a-t-il dit à Barbato en dehors du fait qu'une planète approchait ?

LS : Oui. Il l'a confirmé.

KC : Est-ce que c'était lié au Troisième Secret de Fatima ? Nous savons que Barbato a écrit des articles sur le sujet auparavant.

LS : Oui, oui. L'une des raisons pour laquelle le jésuite et ses collègues ont DECIDE de contacter Barbato est bien à cause de ses articles publiés en 2000 dans le magazine mensuel «Stargate», ses articles portaient sur le 3ème Secret de Fatima, particulièrement d'après les recherches portugaises de Fina d'Armada et de son co-auteur qui est historien.

Leur livre porte un titre étrange : «L'intervention extraterrestre de Fatima». Vous pouvez facilement le trouver sur Internet.
[titre anglais : «The Apparitions of Fatima and the UFO Phenomena»]

Et à cette époque, en 2000, il y a eu une conférence de presse tenue par le Vatican pour la révélation officielle du 3ème Secret; et si vous lisez la révélation, il y a la vision d'un évêque vêtu de blanc qui meurt avec d'autres chrétiens.

Mais il n'y a aucun signe de cataclysmes mondiaux sur la Terre. Voici le livre d'un journaliste renommé, Antonio Socci,
[il prend un livre sur l'étagère] il a écrit un livre dont le titre italien : «Quarto Segreto di Fatima», signifie : «Le Quatrième Secret de Fatima». Ça ne veut pas dire qu'il y a un 4ème secret, c'est un jeu de mots, mais appuyé d'une forte preuve qui indique qu'une partie du secret n'a pas encore été rendue publique. Selon le livre d'Antonio Socci et d'après ses recherches, le secret écrit par Sœur Lucia Dos Santos comprenait deux parties.

La première est la soi-disant vision rendue publique et la version officielle donnée par le Vatican en 2000. Selon l'auteur, il y aurait une autre partie du secret qui n'est pas révélée. Et celle ci serait l'explication de la vision.


KC : Ok. La vision était celle d'un évêque en blanc... avec des gens... des chrétiens qui meurent.

LS : Qui meurent d'une façon terrible, terrible.

KC : Une mort terrible.

LS : Ils ne meurent pas de causes naturelles. Ils meurent parce que quelqu'un est en train de tuer, les tue.

KC : Quelqu'un.

LS : Oui, des soldats si je me souviens bien.

KC : D'accord. Alors est ce que Barbato a écrit ça quand il a parlé du 3ème Secret de Fatima ?

LS : Malheureusement, je n'ai pas les copies des magazines.

KC : Euh...euh, l'attention du jésuite a bien été attirée par cela.

LS : Oui. Vous avez saisi. [photo des 3 enfants de Fatima sur l'écran] Barbato n'était pas convaincu que ce message était bien le message écrit par Sœur Lucia. Il semble qu'il contienne de vingt à vingt cinq lignes en portugais. De 20 à 25 lignes et si vous faites attention à la version officielle, il y a une contradiction entre... parce que la version officielle du Troisième Secret de Fatima est plus longue.

Nous savons que Sœur Lucia a beaucoup écrit sur le 3ème Secret, peut-être des notes sur la vision et peut-être quelques lignes sur l'explication de la vision. Nous parlons de ce que la Sainte Vierge Marie lui a dit en 1917, à Fatima au Portugal. Nous apprenons aussi d'après ce livre, ces recherches historiques, que Lucia, l'une des 3 enfants, avait beaucoup de mal à coucher sur papier le secret parce qu'il contenait peut-être des choses difficiles à accepter.

Quand vous faites attention aux autres secrets, le Premier et le Second portent sur des guerres, la perte de la foi, la montée du communisme en Union soviétique. Nous parlons là d'évènements planétaires. Il est donc très étrange que le 3ème secret soit la mort d'un évêque sur des marches. Ça n'a pas beaucoup de sens selon moi. Mais...

Les articles écrits par Barbato portaient même sur la présence d'un autre enfant qui fut témoin de l'étrange phénomène ces jours-là à Fatima. Si ma mémoire est bonne, elle s'appelait Carolina Carriera. Les enfants témoins étaient donc quatre et non trois. Je veux dire que devant la foule, où un miracle a eu lieu, se tenaient trois enfants. Mais il y en avait un autre, le quatrième témoin.

Mais le plus important est la contribution du livre portugais écrit par Fina d'Armada. Selon Joaquim Fernandes et Fina d'Armada, les auteurs de cet excellent livre publié au Portugal en 1982, sur la présence extraterrestre possible à ce moment là, il y avait un autre enfant mêlé à ce phénomène.

De plus et c'est l'élément le plus important, qu'ont-ils fait ? Ils ont vérifié la transcription originale de ce qu'ont DIT les enfants au début. Une autre chose que je veux clarifier, c’est que je ne dis pas que la Sainte Vierge existe. C'est très important. Nous avons eu tellement d'apparitions en Europe, en France et en Italie voyez-vous. Je suis même sûr que vous connaissez les apparitions présumées de Medjugorje, dans l'ancienne Yougoslavie.


KC : Ok, il y a certainement des visions et des apparitions comme vous dites, qui évoquent la Vierge Marie. Tout est possible si c'est généré par les E.T.

LS : Il s'est certainement passé quelque chose. Parce que dans la dernière apparition, vous avez des milliers et des milliers de personnes qui sont témoins du prétendu « Miracle du Soleil ». Et bien sûr, d'un point de vue astronomique, le soleil... Rien n'est arrivé au Soleil. Peut-être que quelque chose est venu du ciel et ressemblait à un soleil sans être le Soleil. Il y avait beaucoup de journalistes, des témoins, ils ont écrit des articles pour les journaux portugais. Il s'est passé quelque chose à ce moment là, mais quoique...

KC : Qu'ont dit les enfants ? Vous disiez qu'ils ont vérifié le témoignage d'origine des enfants, alors quelle était la différence ?

LS : Oui. Les auteurs du livre portugais ont vérifié les papiers d'origine, où les mots d'origine apparaissent. Et ils ont compris qu'au début les impressions des enfants étaient qu'il y avait une créature étrange d'apparence féminine et qu'elle ne bougeait pas ses lèvres. Elle avait l'air d'avoir 14 ou 16 ans. Ce n'était donc pas une femme, c'était une adolescente.

KC : Ok.

LS : Elle avait quelque chose dans les mains comme une lance. Elle avait une robe, une drôle de robe, un drôle de revêtement et elle ne ressemblait pas à la Vierge Marie, mais cela ne signifie pas que la Vierge Marie n'existe pas, bien sûr.

KC : C'est donc ce qu'a écrit Barbato ?

LS : Barbato a étudié le bouquin portugais. Ce livre n'est pas publié en Italie, en italien. Barbato a étudié l'original.

KC : Ah… merveilleux !

LS : De toute façon, à cause de ceci et d'autres considérations que Barbato aurait faites en se basant sur d'autres avis d'hommes d'église, de théologiens, de prêtres, qui n'étaient pas si... si satisfaits de la version officielle, Barbato a écrit d'autres articles. Et vous savez...

KC : Il fallait donc capter l'attention des jésuites et cela explique pourquoi ils l'ont choisi ?

LS : Oui, ils le surveillaient même avant.

KC : Je vois. Et vous le savez parce qu'ils lui ont dit ?

LS : Oui. Je pense que oui. C'est ce que j'ai compris via mes contacts avec Barbato.

KC : Ok. Et nous allons lui parler aujourd'hui, n'est-ce pas ?

LS : Oui.

KC : Bien. Nous avons donc cette énigme. Nous avons le 3ème Secret de Fatima. Nous avons Barbato qui est choisi...

LS : Excusez-moi si je vous interromps.

KC : Je vous en prie.

LS : Ce qui est bizarre, c'est que Barbato n'a donné aucune information sur le 3ème Secret de Fatima. Il n'y a pas un seul mot du 3ème Secret. [soupirs] C'était peut-être un choix fait par les jésuites. C'était peut-être un choix fait par Barbato.

Bon, de toutes façons, à mon avis, il pourrait y avoir un rapport entre cette planète qui est un envahisseur, qui ETAIT un envahisseur dans notre système solaire dans les temps anciens et qui vraisemblablement fait partie maintenant de notre système solaire et le Troisième Secret de Fatima.


KC : Vous dites que vous faites la connexion mais que le jésuite ne l'a pas faite ?

LS : Non. Il n'y a pas un seul mot de Barbato, qui est le lien vous savez. Barbato a fait un travail exemplaire avant que la vidéo sorte, mais...

KC : Ok. Alors vous dites que c'est une sorte de... une synchronisation, vous comprenez ?

LS : Oui

KC : Deux évènements qui arrivent…

LS : Barbato est... à mon avis, Barbato est tout à fait conscient de ce qui se cache derrière le 3ème Secret de Fatima. Tout d'abord parce que...

KC : Parce qu'il sait...

LS : Parce qu'il a étudié le sujet vous savez. Par exemple ce livre [il prend le livre de Socci] est très important parce qu'il ne mentionne pas Cristoforo Barbato, mais il mentionne Malachi Martin. Un ancien jésuite très célèbre aux Etats-Unis parce qu’il... a participé à l'émission «Coast to Coast»...

KC : Oui, absolument.

LS : Avec Art Bell.

KC : Très respecté.

LS : Et il est mort en 1999.

KC : Exact.

LS : Mais il a fait quelque chose pour le Troisième Secret de Fatima. Il n'était plus jésuite à l'époque. Il travaillait au Vatican dans les années 60. Il était l'un des assistants d'un cardinal, donc à mon avis, il avait la possibilité de s'impliquer dans les aspects secrets des affaires vaticanes. Et bien, dans ce livre, Antonio Socci écrivit quelques lignes sur Malachi Martin et il n'est pas très convaincu de ses témoins et de son témoignage. Mais de toute façon, c’est important parce que Malachi Martin est mentionné dans le livre alors que les recherches de Cristoforo Barbato ne le sont pas. Malachi Martin est mentionné à cause des affirmations faites lors de l'émission «Coast to Coast». Les recherches de Cristoforo Barbato ne sont pas mentionnées.

Le livre mentionne ce que Malachi Martin a dit à Art Bell pendant l'émission, sur quelque chose qui s'approchait de nous, selon les propres mots de Malachi Martin et c'est un point très important.


KC : Et qu'est ce qui s'approche de nous selon Malachi Martin ? Le savez-vous ?

LS : Oui, je me souviens. J'ai lu la transcription de ses paroles, je peux vous le lire. Mais de toutes façons...

KC : D'accord. Nous pouvons mettre les mots sur l'écran...

LS : Oui, je peux vous le dire. Le point important, c'est la construction d'un nouveau télescope par le Vatican sur le Mont Graham, en Arizona. C'est un site d'astronomie important géré par le Vatican en collaboration avec l'Université d'Arizona. Cela s'appelle «Le Télescope de Technologie Avancée du Vatican». C'est dans le domaine public, ils ont un site web, et ce télescope a un miroir d'un diamètre d'environ 1,8 m. C'est cher. Quelques millions de dollars.

KC : Pourquoi est-ce important ?

LS : Parce que c'est plutôt étrange de construire un télescope de technologie avancée quand l’objectif principal de votre état est de conserver la foi, la foi catholique vivante. Donc, la question posée par Art Bell à Malachi Martin était : « Pourquoi font-ils ça, Père ? »

Et la réponse de l'ancien jésuite était, si je me souviens bien: « Parce que ceux qui sont dans les plus hautes sphères du Vatican et de la géopolitique savent que ce qui s’approche vers nous pourrait être d'une importance cruciale dans les 5 ou 10 prochaines années. » Fin de citation. Cela fut dit en 1997, nous sommes en 2008.

Vous savez que le problème est que nous faisons face à des changements climatiques radicaux. Quand vous cherchez dans les articles scientifiques, ceux sur le climat, il n'y a pas qu'une version, il y a plusieurs avis. Nombreux sont les scientifiques qui disent: « Oui il y a des changements radicaux, le climat change. Nous sommes coupables à cause de la pollution... »


KC : Oui. Ils disent aussi – et vous savez, nous avons interviewé David Wilcock et Richard Hoagland à ce sujet – que les planètes les plus éloignées se réchauffent.

LS : Oui. En fait Richard Hoagland, si je me souviens bien, est l'auteur du premier article écrit en 2003 sur les changements climatiques planétaires dans le système solaire. On peut le lire sur son site «Enterprise Mission».

KC : Exact.

LS : C'était en 2003. Un point très important de la conversation entre Gorge Profonde (le jésuite du Vatican) et Barbato : ce jésuite a dit que cette planète, la soi-disant planète X, Nibiru, commencerait... aurait commencé à affecter le système solaire à partir de l'année 2004. Et c'était en 2000 ou 2001.

KC : Alors pourquoi Barbato a-t-il gardé le silence jusqu'en 2005 ? C'est bien en 2005 qu'il a publié ?

LS : C'était en 2005, oui. Il a parlé en avril 2005 lors de la conférence à Pescara, tenue par une association locale: «UFO Observer». A l'époque il n'avait pas encore vérifié la source des informations, malgré ses vérifications des antécédents, ses vérifications des études de Zécharia Sitchin. Voici le dernier livre de celui ci sur les «Earth Chronicles», il parle de la Fin des Jours.

KC : La Fin des Jours.

LS : Oui. Donc Barbato a fait beaucoup de recherches sur l'information que le jésuite lui a donnée.

KC : Ça lui a donc pris tout ce temps pour être certain que c'était ok.

LS : Je pense aussi qu'il craignait un peu les retombées de cette histoire... [sourit] Vous avez interviewé Bob Dean, le Sergent Major retraité.

KC : C'est exact.

LS : Et il a utilisé une expression que j'aime tellement pour tout ce qui touche aux extraterrestres, sur la présence possible des extraterrestres dans notre système solaire. Il a dit : « Cette histoire, c'est de la dynamite ».

Je suis entièrement d'accord avec lui ! Cette histoire est de la dynamite parce que si Nibiru existe, premièrement c'est une menace pour nous tous à cause de son orbite; si c'est l'orbite décrite dans les textes anciens de Mésopotamie; si c'est une orbite de comète. Cela signifie qu'à un moment donné, cette planète sera proche du Soleil et proche des autres planètes. Et si sa masse est plus importante que la masse de la Terre, nous pourrions avoir beaucoup de problèmes.

Et à cause de son centre magnétique, j'imagine. En fait, il y a... un comportement bizarre de l'activité solaire. Et comme par hasard, mais je ne crois pas au hasard, ce cycle solaire, ce cycle 24, sera à son maximum vers les années 2011, 2012. Ça ne vient pas de moi, ni du jésuite, ni de Barbato, ça vient de prévisions scientifiques faites par les employés de la NASA.


BR : Il faut que je demande : Qu'a dit le jésuite en termes d'information pure et dure sur l'orbite de ce planétoïde, sur sa taille, et sa nature ? Est-ce une planète cailloux ou bien une géante gazeuse comme Saturne ? Ou bien...

LS : La planète a été décrite par Zécharia Sitchin. Nous avons une atmosphère et nous avons la possibilité de vie à la surface. C'est la planète décrite par les sumériens.

BR : C'est ce que le jésuite a dit ?

LS : Oui. C'est Nibiru. Mais il en a dit plus sur le programme spatial qu'ils auraient... que le Vatican aurait en secret. Nous parlons du programme spatial «Siloe». Le Programme Siloe ferait partie d'un programme plus important dont le nom est «Kerigma». Kerigma est un mot grec. Qui signifie : proclamation, annonciation.

LS : J'ai ici une copie du magazine italien, «Notiziario UFO». Cristoforo Barbato a écrit un rapport, publié dans ce magazine en 1996. Ce magazine n'existe plus. Le sujet de ce rapport était la guerre des étoiles, celle de la NASA.

L'article comprenait les confirmations d'Adriano Forgione, d'Alberto Mancinelli, et d'Umberto Telarico. Vous devez vous en souvenir, c'était sur la vidéo prise par la navette spatiale «Discovery» dans laquelle vous voyez quelque chose qui apparait... qui essaie de détruire un Ovni, en dehors de l'atmosphère, avec des « cailloux brillants ».
[montre le magazine : photo de l'espace, courbure de la Terre et un vaisseau]

KC : Oui. C'est la séquence STS.

LS : 1991. Voici un autre rapport écrit par Cristoforo Barbato en 1997. C'est une interview téléphonique avec Bob Dean, le sergent-major retraité de l'armée américaine.

KC : Ah ! Merveilleux ! Oui.

LS : Et j'ai aussi une copie du magazine qui contient mon interview avec Cristoforo Barbato, sorti en avril 2006. C'est la revue «UFO Notiziario», le principal magazine aujourd'hui.

Je veux vous montrer un cliché de l'introduction à la séquence jésuite parce qu'on y voit une classification particulière. En haut, il y a 3 lettres, S-V-S, ce qui reste mystérieux à ce jour. Même maintenant, Barbato refuse d'en parler.


CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN Luca210

Et puis, en dessous, il y a les premières lettres du programme spatial principal, qui n'est pas une position officielle du Vatican, bien entendu. Selon le jésuite les premières lettres KE, signifient «Kerigma», le programme spatial principal du Vatican.

Puis vous avez SI, les premières lettres de la sonde spatiale qui a été lancée au début des années 1990. Son nom est Siloe, la sonde qui a effectué le film du jésuite. La «vidéo du jésuite» est le nom que j'ai donné à cette séquence controversée. Puis, vous avez l'année en lettres romaines, l'année où les données ont été envoyées à un radio télescope en Alaska.


KC : Oui. Le télescope en Alaska...

LS : C'est une autre information, parce qu'officiellement...

KC : Ok. Ce télescope appartient aux jésuites ?

LS : Aux jésuites qui font partie du SIV, le «Servizio Informazioni del Vaticano». Bien sûr nous parlons d'une information classifiée selon le jésuite. Et officiellement, nous avons le Télescope de Technologie Avancée en Arizona, dont la mission est d'aider les jésuites à faire des recherches scientifiques sur l'hyper espace et l'Univers.

Et voici une autre photo, qui n’était pas dans le domaine public, et que le jésuite a donnée à Barbato.


KC : De l'Aurora ?

LS : Oui. [gros plan d’un vaisseau de forme triangulaire].


CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN Luca310

Selon le jésuite, cette photo a été prise par l'équipage de la navette spatiale en 1992 si je... ah, non, en 2002 si je me souviens bien. C'est une preuve que le jésuite a donnée à Barbato.

Voici une autre preuve qui n'était pas dans le domaine public jusqu'à ce que le magazine la publie en 2006.
[montre des photos de revue de 2 insignes d'un télescope, le dessin supérieur annoté « Hubble »] Il y a celle-là, le télescope Hubble, c'est une sorte de... comment appelez-vous ces décors ajoutés sur le verre, en anglais ?

KC : Une décalcomanie ?

LS : Pour le verre.

BR : Un insigne.

LS : Oui, pour mettre sur la combinaison. Et puis il y a celui ci: «Keyhole 12, Super Spy in Space» [Trou de serrure 12, Super espion spatial] Regardez les deux initiales que nous avons ici. [montre le 2ème insigne]

KC : NASA et CIA

LS : NASA et Agence Centrale du Renseignement.

KC : Oui.

LS : Ça n'était pas dans le domaine public jusqu'à ce que Barbato l'obtienne. Et ces deux hommes ici, bien sûr, tout le monde les connait, devrait les connaitre: c'est le président Dwight Eisenhower et cet homme-là, c’est James Francis McIntyre, l'ancien évêque de Los Angeles. Et le jésuite a confirmé à Barbato que cet homme-là était bien présent à Muroc en février 1954 parce qu’Eisenhower voulait une aide spirituelle pour prendre une décision au nom de l'humanité.

Il y avait déjà des rumeurs sur cette prétendue réunion de février 1954 entre une délégation terrienne et une soi-disant délégation aliène, extérieure à notre monde. C'est très important, c'est la première fois que nous avons un "Gorge Profonde" du Vatican qui affirme: « Oui, ce meeting a eu lieu. Oui, James Francis McIntyre y a participé ».

De plus, le jésuite a confié à Barbato que les jours suivants, James Francis McIntyre violait les règles. Parce que bien sûr, l'administration américaine (nous parlons des leaders présents à cette réunion) avaient prévenu l'évêque : « Vous êtes ici à la demande d'Eisenhower, vous n'avez pas l'autorisation d'en parler, même pas au Saint Père ».

Mais, McIntyre en avait décidé autrement et s'est rendu à Rome quelques jours plus tard, pour tout raconter au Pape qui en fut très choqué. Selon le jésuite, cet épisode a été la raison principale de la création de ce soi-disant service secret, le «Servizio Informazioni del Vaticano», ou SIV.

Cependant, selon l'essai historique découvert par Barbato, Ratlines, cette agence secrète était déjà en place auparavant... pendant la seconde guerre mondiale. L'on pourrait donc penser : Les dires de ce jésuite ne sont pas fiables. Mais d'un autre coté, il était peut être convaincu d'avoir dit la vérité. Qui sait ?

L'élément significatif, c'est que cette expression : «Servizio Informazioni del Vaticano», utilisée par le jésuite, est déjà présente dans un ouvrage historique rédigé par l'ancien avocat John Loftus et le journaliste Mark Aarons.


KC : Vous voulez dire que ce jésuite avait une autre idée de la date et du but de la formation de cette organisation, n'est-ce pas ? En d'autres termes, vous dites que selon l'histoire...

LS : Il y a une contradiction. Barbato l'a également remarquée.

KC : Pouvez-vous l'expliquer ? Quelle contradiction exactement ?

LS : Bien sûr. Pensez à la genèse de la CIA.

KC : Oui.

LS : L'Agence Centrale de Renseignement est née en 1947. Avant, il y avait un autre service secret. Avec un autre nom: «Office of Strategic Service». Pourquoi a-t-il changé de nom, de structure, de hiérarchie ? Ce que Barbato tend a montrer dans l'un de ses articles, c'est que le service secret du Vatican avait été créé pour d'autres raisons et puis cet évènement extraordinaire qui eut lieu en février 1954 en Californie a changé les raisons de garder un tel service.

Il y a un autre problème, d'autres êtres qui viennent d'autres régions de l'univers sont ici sur Terre. C'est une menace, pas seulement pour l'humanité, mais avant tout pour la foi des chrétiens, des catholiques, et même pour l'existence du Vatican. C'est une question à prendre en considération. L'une des raisons était de garder un service secret pour éviter, vous savez... pour…
[cherche ses mots]

KC : Pour maintenir le secret ?

LS : Non. Pour avoir l'occasion de savoir ce que les services secrets étrangers pourraient apprendre sur ces créatures. C'est ce que j'ai compris. C'est ce que Barbato m'a dit. C'est ce qui est publié. Le Saint Père était très inquiet. Et en même temps, selon le jésuite, d'autres créatures venant d'autres régions de l'Univers, ont commencé à établir des contacts avec le Vatican, avec le SIV, le «Servizio Informazioni del Vaticano». Quelques réunions ont eu lieu dans les jardins du Vatican, avec d'autres créatures et le même Pape.

KC : Quand était-ce ?

LS : Probablement dans les années cinquante. On parle bien des années cinquante.

KC : C'était après la réunion avec Eisenhower ?

LS : Après.

KC : Après.

LS : Vous avez au moins deux races en même temps. Selon les archives, il y a au moins deux races, l'une d'elles est la race qui a conduit la réunion sur la base Muroc, devenue par la suite Edwards Air Force Base.

Et seulement quelques mois plus tard, vous avez une autre race, qui ressemble aux humains, nous ne pouvons pas les différencier de nous-mêmes, et ils ont eu des contacts avec l'administration américaine. Je parle des gens qui devaient savoir.

Puis, ils ont eu des contacts avec le Vatican et ces êtres ont dit: « Vous devez faire très attention avec ces autres créatures ».

Ceci a son importance, parce qu'habituellement, quand quelqu'un parle du prétendu meeting de février 1954, il est sous entendu que ces êtres étaient simplement des créatures comme nous. Oui, peut être qu'ils étaient humanoïdes, mais ils étaient différents.

Il existe au moins une autre race, d'apparence humaine beaucoup plus marquée que la leur. Et celle ci était très inquiète des accords secrets signés – secrètement – entre l'administration Eisenhower et cette race.


BR : Le jésuite a-t-il dit tout cela à Barbato ? Ou bien est-ce votre propre résumé de la situation ?

LS : C'est ce que le jésuite a confié à Barbato. Barbato l'a dit dans l'interview et même dans l'autre… dans la conférence de presse qu'il a tenue en 2005, lorsqu'il a présenté la vidéo du jésuite au public. C'était la première fois que cette vidéo était montrée au public.

KC : Ok. Quelle a été la réaction du Vatican lorsque Barbato a sorti son histoire ?

LS : Aucune réaction.

KC : Aucune ?

LS : Pas de réaction.

KC : Barbato a-t-il été menacé ?

LS : Pas à ma connaissance.

KC : Ok.

LS : Je ne sais pas ce qui s'est passé. À mon avis il n'y a pas eu de menaces à son égard de la part du Vatican.

KC : Mais, quand même... vous êtes journaliste. Vous avez dû lui demander s'il avait été menacé ? Vous même avez eu des coups de fil menaçants, n'est-ce pas ?

LS : J'ai eu quelques problèmes avec ma connexion Internet, beaucoup d'intrusions informatiques, beaucoup d'attaques informatiques. Et le mois dernier, une petite campagne de désinformation a commencé contre moi-même et ma réputation. Je peux vous dire que ces gens jouent avec le feu car je ne suis pas un imbécile. Je ne suis peut-être pas un journaliste célèbre mais je ne suis pas idiot pour autant. Cette petite campagne de désinformation contre ma réputation est la petite pièce d'un grand puzzle qui m'indique que j'ai touché des sujets sensibles.

Permettez-moi vous dire une chose sur la menace aliène: j'ai beaucoup de respect pour le Dr. Steven Greer et pour ce qu'il a fait; c'est un travail extraordinaire. Comme le vôtre ! Je suis toujours surpris quand des gens persévèrent dans leurs efforts en dépit de toutes les difficultés.

Le Dr. Steven Greer a fait un boulot formidable en 2001 quand il était le président de la conférence du Club de la Presse Nationale de Washington. Il y avait plus de vingt témoins mêlés au passé des affaires ufologiques et extraterrestres. Encore aujourd'hui, Steven Greer dit qu'il est convaincu, par ses propres informations, qu'il n'y a pas de menace aliène.

Il faut que je vous dise... Voyez là, derrière moi
[montre des photos]... il y a des photos d'un homme qui est mort. Il est mort en 1996. Janvier 1996. Je parle de Phil Schneider. Ce type était un initié. Son ex-femme, Cynthia Drayer, essaie toujours de faire ouvrir une enquête sur le décès de son ex-mari à cause des circonstances mystérieuses de sa mort. Schneider a donné beaucoup de conférences pendant quelques années; il disait: « Oui, il y a des races extraterrestres qui sont bienveillantes, au moins deux d'entre elles ». Et: « Mais je suis désolé, mais il y en a d'autres dans l'univers qui ne sont pas des gens biens, vous savez ». Il n'utilisait pas ces termes-là, mais il donnait beaucoup d'informations. Et c'était un initié; il n'était pas le seul.

Il y en avait un autre, Bill Cooper, Milton William Cooper, qui a travaillé pour la Navy et pour l'Air Force. Il a donné de nombreuses conférences jusqu'en 1989. Une réalité quelque peu différente de celle du Dr. Greer ressort de ses discours, sans dire qui a tort, qui a raison, c'est la perspective de la présence aliène dans notre système solaire qui diffère.

C'est à dire qu'il y a... il y a des initiés qui ont des témoignages différents. Donc, comme ça n'a pas de sens, vous vous tournez vers autre chose. Et bien non. Je suis désolé. Il faut tout prendre en considération.


KC : Ok, mais le jésuite, a-t-il parlé de tout ça à Barbato ?

LS : Oui, oui, oui. Il a dit tout cela et c'est passé dans le domaine public lors de son interview, celle qu'il m'a accordée. Il rapportait que le jésuite lui avait confié que cette race extraterrestre qui se trouverait sur ce planétoïde approchant, est une race guerrière. Il a peut être utilisé un autre mot... mais la signification est bien la même. Race belliqueuse.

KC : A-t-il utilisé le terme "Anunnaki" ?

LS : Si je me souviens bien, oui. Aucun doute. Il a identifié cette race avec celle qui était adorée en Mésopotamie il y a des milliers d'années. Les Anunnakis, qui veut dire : « ceux qui du ciel, sont venus sur la Terre. » Il n'y a aucun doute là-dessus d'après le jésuite. Et c'est pourquoi cette histoire, c'est de la dynamite. Parce que ça ne change pas seulement la perspective de l'humanité dans l'univers, mais si elle est exacte, il existe une menace causée par l'effet du passage de cette planète; ce n'est pas seulement à cause de la présence de cette race sur notre planète dans le passé et de leurs activités sur Terre.

BR : A-t-il expliqué comment vous pouvez avoir des habitants sur une planète qui passe le plus clair de son orbite dans l'extrême froid de l'espace où aucune vie ne peut...

LS : Oui, oui, bien sûr. C'est une question intéressante et perspicace. [montre la photo sur le bureau] C'est une photo qui appartient à l'observatoire de la marine américaine, elle se trouve sur le site web de la Navy. Le gentleman à droite, c'est Robert Sutton Harrington, un astronome qui a travaillé dans cet observatoire. À gauche, c'est son ancien collègue, James Christy, l'auteur de la découverte de Charon en 1978, l'un des satellites de Pluton.


CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN Luca410

BR : Qui était Robert Sutton Harrington ?

LS : Robert Sutton Harrington était un astronome impliqué dans la recherche sur la Planète X. Il a écrit plusieurs articles sur l'existence possible de cette planète dans notre système solaire. Zecharia Sitchin, l'auteur de ce livre: «La Fin des Jours - Armaggedon ou les Prophéties du Retour», lui a rendu visite à l'observatoire de la Navy en 1990. Ils avaient parlé de la présence possible d'une autre planète pas encore découverte.

Et à cette occasion, Robert Sutton Harrington avait discuté de la possibilité de vie sur cette planète. Malgré sa distance et son atmosphère épaisse, il avait dit:
« Oui, la vie y est possible ».

Maintenant, j'ajoute quelque chose: si cette planète existe et si elle est l'ancienne planète adorée par les Sumériens et l'autre civilisation, la Mésopotamie, cela signifie que cette planète est venue dans le système solaire comme un envahisseur. Ce qui veut dire que, dans un passé très ancien, cette planète ne faisait pas partie de notre système solaire. Et cela pourrait expliquer les particularités de notre système solaire. Voyez Uranus, comment elle tourne et l'inclinaison de son axe sur l'écliptique, sa rotation n'est pas expliquée par les astronomes.

Vous devez supposer qu'une collision se soit produite dans le passé. Si c'est le cas, les évènements racontés dans les textes anciens comme «The Seven Tablets of Creation», «The Enuma Elish», «Atra Hasis» et qui sont considérés comme des mythes par les historiens sont peut-être survenus en réalité. Zecharia Sitchin a été le premier chercheur à le suggérer. Ce sont les restes des annales historiques qui nous sont parvenus au travers des légendes et de la cosmogonie.

Harrington parlait d'une vie possible sur cette planète. Malheureusement il est mort en 1993. Il était employé par le gouvernement.


KC : Et vous nous avez dit que Zecharia Sitchin a suggéré que Harrington soit mort subitement dans des circonstances discutables ?

LS : J'ai eu la chance d'interviewer Zecharia Sitchin l'été dernier, en 2006, pour le magazine italien «UFO Notiziario», et dans ses notes – c'était une interview écrite – il disait à quel point il avait été choqué d'apprendre que cet homme jeune et en bonne santé – Harrington – était mort si soudainement. Il n'impliquait rien dans ses notes, juste quelques points de suspension... Il était très surpris que l'homme qu'il avait interviewé en août 1990 soit mort. Harrington était un scientifique brillant, il avait 50 ans. Selon une biographie, il est mort d'un cancer.

Cette biographie, écrite par l'un de ses collègues, le Dr.Worley, est disponible sur le site de l'Observatoire de la Navy et selon ce qui y est écrit, à la fin de sa carrière, Robert Harrington avait perdu tout intérêt pour la recherche de la Planète X.

Mais si vous lisez avec attention les articles que Robert Harrington a écrit durant sa carrière, vous avez l'impression inverse. L'un de ses derniers articles date de 1999 et, si je me souviens bien, il était toujours convaincu que la planète X existait quelque part en dehors de notre système solaire.

La différence entre leurs deux hypothèses est que celle d'Harrington se concentre plus sur une orbite qui n'est pas celle d'une comète. Zecharia Sitchin, quant à lui, est convaincu que l'orbite de Nibiru est bien cométaire, selon ses études des textes anciens qui en apportent la preuve.


KC : Ok. Pouvons-nous... revenons à l'information du jésuite.

LS : Je suis sûr que vous vous demandez s'il y a une date, si le jésuite a donné une date probable.

KC : Ok.

LS : Pas de date. Le plus gros de l'information donnée par le jésuite se trouve dans le domaine public, sur le site web de Barbato, sur le mien, dans le magazine «Nexus New Times», parce que l'interview…

KC : Parce que ça n'était pas dans le domaine public ?

LS : Je ne sais pas. Je ne peux pas répondre à la question. Il y a quelques petites choses. Tout d'abord les trois lettres étranges sur les tampons de classification que l'on peut voir dans l'introduction de la vidéo du jésuite. Ces trois lettres : SVS, sont un mystère depuis des années jusqu'à ce jour. Barbato ne veut pas en parler. C'est son propre choix.

Il y a un autre mystère, ce que le jésuite a confié à Barbato sur la nature des Anunnakis. Encore un sujet sensible.


KC : Que voulez-vous dire « sur la nature des Anunnakis » ?

LS : Et bien, à quoi ils ressemblent, leur histoire. Lisez «The lost Book of Enki» de Zecharia Sitchin. Il n'y a aucun commentaire de Sitchin. Non, juste une traduction du texte ancien. Vous lisez ce texte et vous voyez que l'histoire antique de ces dieux en Mésopotamie est une histoire truffée de guerres, des peuples d'Anu... puis, surviennent des moments de générosité, de bonté. La guerre, la paix, la guerre, la paix.

KC : Mais dites-moi, vous savez que Barbato a eu des informations données par le jésuite, qu'il n'a pas rendues publiques.

LS : Oui. Il me l'a dit.

KC : Est-ce qu'il est troublé par ces informations ?

LS : Ah, j'imagine assez que même si la moitié de cette histoire est vraie, ne serait-ce que la moitié, nous pourrions avoir des problèmes, lui, moi-même, tout le monde. À un certain moment, si vous assemblez toutes les preuves... et je parle de points de vue scientifiques, vous seriez étonnée, c'est loin de ce à quoi vous pouvez vous attendre. Même les politiques... récemment des politiciens japonais, il y a quelques mois, ont parlé des ovnis. Ils ont dit quelque chose sur la présence extraterrestre. Trois, je parle de trois politiciens japonais en tant que citoyens, qui ont parlé devant un journaliste. Le ministre de la défense, de la défense extérieure, un des leaders japonais, même le ministre de l'éducation a dit quelque chose. La même semaine !

Je pense donc qu'il y a une bonne possibilité de... comment dit-on... Vous connaissez le mythe de la boîte de Pandore ? Et le problème se pose : est-ce que les gens sont prêts ? Pas pour la vérité, mais pour lui faire face de façon responsable. Car si cette vérité se fait connaitre, nous devrons prendre des décisions sur les actions à mener.


BR : Mais nous avons deux situations complètement différentes décrites ici. D'une part la présence d'un grand corps céleste qui approche – quoi qu’il puisse être – provoquant des effets sur le soleil et d'autres effets, si son orbite approche de la Terre... les problèmes de changements terrestres, des effets de résonance sur la croûte terrestre, toutes sortes de choses comme ça.

L’autre situation que vous semblez décrire est celle où cette planète pourrait être habitée, c’est l'autre possibilité dont vous parlez. Et nous devons poser cette question car les lecteurs se la posent, cela parait impossible que cette planète puisse abriter la vie; comment des êtres pourraient-ils vivre sur une planète alors que sa température est d’environ de -200 °C... Et le soleil ne serait qu'un minuscule point brillant dans le ciel ? Il ferait complètement sombre.


LS : Vous avez parfaitement raison.

BR : Et si votre planète est assez massive pour causer des problèmes majeurs à l'échelle géophysique, ce sera une géante gazeuse ou peut-être même ce que les astronomes appellent une naine brune. C'est à dire une sorte de demi-étoile, ce n'est pas réellement une planète.

LS : À mon avis, si Nibiru existe, elle est venue comme un envahisseur dans notre système solaire. Ce qui veut dire que dans des temps anciens, elle appartenait à un autre système solaire, à un autre soleil. Vous savez, les gens voient l'univers comme un endroit tranquille. Pas du tout. Nous en avons une drôle de perspective.

L'univers est un endroit violent. C'est à cause de notre perception du temps que nous ne voyons pas les évènements qui ont lieu dans le système solaire. Mais parfois, il se passe quelque chose et on dit : Oh, peut-être que l'univers est un peu différent, le système solaire est violent à ses heures. Par exemple, il y a quelques années, une comète en morceaux s'est écrasée contre Jupiter, la comète Shoemaker-Levy 9.

Si, il y a des milliards d'années, cette planète faisait partie d'un autre système, et qu'à cause de l'explosion de l'étoile, elle est devenue une géante rouge, il se peut qu'ensuite il y a eu une autre transformation qui lui aurait fait quitter son système solaire. C'est pourquoi la gravitation solaire pourrait l'affecter.


KC : Ok. J'aimerais vous poser une question. Nous voulons savoir ce que vous appelez de «difficile» dans ce que le jésuite a dit à Barbato. C'est un chercheur très prudent et il a certainement des bases scientifiques. Il a écrit des articles scientifiques. Il a dû poser des questions précises au jésuite, comme : comment est-ce possible ? Connaissez-vous les autres preuves que le jésuite lui aurait données en dehors de la vidéo qui montre...

LS : Il lui a donné des photos.

KC : Oui.

LS : [montre la photo de l'Aurora] Celle-ci. Il lui a donnée.





à suivre PAGE 2


Dernière édition par invitée le Sam 30 Avr 2011 - 21:32, édité 18 fois
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MessageSujet: Re: CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN   CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN Icon_minitimeVen 16 Juil 2010 - 19:59

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KC : Mais lui a-t-il transmis des données scientifiques ?

LS : Je ne le pense pas, mais les données scientifiques sont sous nos yeux parce que... Je vous ai dit que Robert Sutton Harrington était un astronome intéressé par la Planète X. Il n'était pas le seul. Il y a aussi Patrick Moore, le célèbre scientifique astronome. Il a juste écrit quelques lignes sur la Planète X. Mais ce qu'il a écrit... Quand vous lisez ce que cet astronome anglais a écrit sur le sujet, vous vous dites : Oui, l'existence de cette planète est possible.

Et il y a d'autres personnes qui sont assez intéressées. Par exemple, il y a quelques semaines, le «New Scientist», l’un des principaux magazines anglais, a publié un article sur cette possibilité. L'article mentionne les travaux récents d'un physicien et astronome brésilien. C'est un scientifique italo-brésilien qui travaille maintenant au Japon. Il a un doctorat en Sciences de la Terre et Sciences Planétaires à l'université de Kobe; il travaille sur la probabilité de la planète X.

Et puis... juste une minute.
[se lève et prend un livre] Voici un livre publié en 1926 et réédité plusieurs fois depuis. C'est l'édition de 1944. Le titre: «Éléments d'Astronomie». Écrit par : Edward Arthur Faith, professeur d'astronomie au collège de Carleton. J'ai acheté ce livre aux États-Unis, en Floride. Page 221, il y a quelque chose sur Pluton. Je vous le lis ; il parle de la masse de Pluton qui n'était pas connue au siècle dernier avant 1978 lorsque Christie et Harrington ont découvert Charon. Je cite: « La Masse est incertaine » [la masse de Pluton] « mais selon Wiley la masse est à peu près équivalente à celle de la Terre ». Ils pensaient donc que la masse de Pluton était la même que celle de la Terre.

[Il lit] « Si la masse est plus importante, elle ne peut pas être la source de la perturbation que Lowell a trouvée pour Uranus »... (Lowell est l'auteur de l'expression "Planète X")... « Il est donc possible qu'une planète beaucoup plus massive reste à découvrir. Les recherches continuent à l'observatoire Lowell ».

C'est un livre scientifique. La masse de Pluton est inférieure à celle de la Terre, très inférieure. C'est une donnée scientifique.


BR : Le problème est que le terme "Planète X" est utilisé de différentes façons selon les astronomes. Certains parlent d'une planète inconnue et d'autres veulent dire la dixième planète qui se trouve actuellement au-delà de Pluton ou de Charon.

LS : Il y a des milliers de corps célestes au delà de Pluton, ils appartiennent à la Ceinture de Kuiper.

BR : Oui.

LS : Le problème est le suivant : parlons-nous d'un corps céleste qui revient dans notre système solaire en tant que comète ? Ou bien parlons-nous d'un corps céleste plutôt énorme ? Voyez-vous ?

BR : Oui.

LS : À l’extérieur du système solaire. C’est là la question principale.

BR : Oui. Mais vous n'avez pas répondu à la question, je dois le dire, car les lecteurs ne vont pas manquer de le remarquer. Alors comment la vie peut-elle exister...

LS : Oui.

BR : ...sur cet objet aussi éloigné du Soleil ?

LS : Comment allons-nous sur la Lune ? Parce que nous avons développé la technologie spatiale. Les vols spatiaux. Je veux dire... si d'autres races extraterrestres ont atteint un bon niveau de technologie, et disons en passant qu'ils ne se détruisent pas comme nous le faisons sur notre planète, parce que nous n'arrivons pas à contrôler ses ressources. S’ils sont capables de survivre après avoir dépassé le seuil critique d'une destruction totale, ils peuvent survivre dans n'importe quelles conditions. Ils peuvent... établir des habitats souterrains. Ils peuvent construire des vaisseaux-mères.

Sous des conditions naturelles, la réponse est: non. Pas pour la vie intelligente comme la nôtre. Mais sous des conditions artificielles, sous la surface de la planète, là, oui. Nous nous sommes développés et sommes une civilisation très sophistiquée. Nous atteignons nos satellites, nous envoyons des sondes dans l'hyperespace, nous pouvons voler dans notre atmosphère et au delà de celle-ci. Ce sont des réponses possibles à votre question.

Si cette race vient d'un autre système stellaire, ils ont survécu, peut-être sous la surface, et ils ont de nombreux avant-postes, peut-être même dans notre système solaire, ou bien Mars, ou les satellites de Jupiter. Peut-être ont-ils des relais ici sur Terre en ce moment même.


KC : Ok.

LS : C'est un problème politique, ce sont des questions politiques.

KC : Exact.

BR : Dans la séquence du jésuite, on voit clairement un objet de petite taille. On dirait une petite lune ou un vaisseau, ou bien...

LS : Le problème, c'est que les clichés sont... les plans... ça n'est qu'une séquence, donc c'est plan par plan. Nous parlons de milliers de clichés. Mais les mouvements de cet objet ne sont pas ceux d'un satellite, parce que tout d'un coup, cet objet mystérieux apparait... et après quelques secondes, disparait.

Alors, si les clichés sont réels, si c'est une observation réelle en hyperespace d'un planétoïde, cela veut dire que nous avons affaire à la possibilité d'un vaisseau spatial qui est capable de se matérialiser et se dématérialiser. La question est : est-ce une vidéo authentique ou un faux ?


[Il rit] Barbato nous a dit avoir vérifié les références de son informateur, de son Gorge Profonde, [parle lentement et avec emphase] il est réellement jésuite en poste au Vatican.

BR : Le jésuite a-t-il dit ce qu'était cet objet ? Ou bien Barbato a-t-il dû deviner ?

LS : Je ne sais pas.

BR : Une autre question. Connaissez-vous Bill Deagle ? Son témoignage ?

LS : Bill Deagle ?

BR : Deagle. Bill Deagle.

LS : Non, désolé.

BR : Ok. Laissez-moi résumer la raison de ma question clairement. Il dit... et il a travaillé à l'intérieur, pour le gouvernement américain pendant de nombreuses années, et maintenant, c'est un lanceur d’alerte. Il dit que les jésuites sont au sommet de la pyramide de toutes les agences de gouvernement du monde. Il parle du Projet Oméga. Et il dit aussi que les jésuites gèrent et contrôlent le Télescope du Pôle Sud qui existe justement pour observer l’approche de l’objet. Avez-vous des informations là-dessus ?

LS : Barbato a gardé le silence sur un aspect de toute cette affaire. Je suis étonné qu’aucun ufologue, aucun chercheur présumé, ne veuille conduire d'enquêtes. Je peux comprendre bien sûr. J'ai écrit beaucoup d'articles, mais je n'ai jamais rien écrit sur la discussion que nous avons ici. Je parle des trois lettres que nous voyons sur l'introduction de la séquence du jésuite : SVS.

Si je me souviens bien, après l’interview que Barbato m’a accordée en septembre 2006 sur son entretien avec le jésuite, Barbato a commencé à la diffuser sur son site Internet. Il disait que le noyau de toutes les sociétés secrètes en ce moment sur notre planète est le SVS. Personne n'a jamais écrit une seule ligne sur le sujet. Barbato n'a rien dit de plus, parce que... je le comprends, c'est un sujet très délicat...


KC : Qu’est-ce que c'est, de toute façon ? Si vous savez quelque chose là-dessus, ce SVS ?

LS : Je n'en ai pas la moindre idée. Mais je peux vous dire une chose. Pensez aux recherches du Dr. Steven Greer. Il disait très souvent que nous détruisons notre planète parce que notre technologie est basée sur la combustion fossile. Nous les brûlons. Il y a peut-être une intelligence extraterrestre qui a découvert une autre énergie, nous pourrions donc stopper la crise énergétique.

Pourquoi, jusqu'à ce jour, les énergies alternatives n'ont-elles pas leur place dans notre société ? Parce que les intérêts à conserver les choses ainsi sont absolument colossaux.

Est-il possible qu'il y ait quelque chose qui ne veuille pas que les énergies libres nous soient familières ? Oui, bien sûr ! Et pensez-vous que ces personnes agissent de façon secrète, ou bien qu’elles agissent d’une façon publique ? Bien sûr que non. Si elles le faisaient...


KC : Steven Greer n'a-t-il pas dit dans son livre...

LS : Oui.

KC : Son dernier livre...

LS : Oui.

KC : Quelque chose sur les jésuites ? Qu'il avait été approché par une personne...

LS : Oui. Il a fait une rencontre dans le passé, il l'a écrit dans l'un des chapitres de: «Hidden Truth, Forbidden Knowledge» (Vérité cachée, connaissance interdite), si je me souviens bien du titre. Il raconte qu'au début des années 1990, il a eu une réunion, et l'un des insiders du «monde noir» lui avait dit: « Si je veux en savoir plus, je dois parler à des jésuites ». Et ceci est sorti APRÈS le témoignage de Barbato. C'est donc une confirmation indirecte de ce que Barbato nous a dit. Je suis très étonné que Steven Greer n'ait rien dit au sujet du témoignage de Barbato.

Il y a une autre précision que j'aimerais apporter. Il se peut que cette possible structure SVS puisse être ce fameux gouvernement de l'ombre, vous savez ? Combien de personnes parlent d’un gouvernement de l’ombre ? Qui sont ces gens ? Peut-être que pour la première fois, nous avons une preuve qu'il existe bien.

Et permettez-moi de vous dire autre chose. Ce film, d'après ce que j'ai compris, a été... comment dire... intercepté par le jésuite qui a contacté Barbato. Et cette structure SVS n'est pas légale.

Si un service secret existe au Vatican, voyez-vous, il existe en secret, mais c'est une institution légale. Si l'administration du Vatican a créé un service secret, ils ont fait cela dans le passé, pape après pape... Vous imaginez le nombre de dossiers qui sont préparés pour le pape suivant. Nous parlons bien d'une structure secrète qui est parfaitement légale.

Mais supposons que quelque part, une autre structure ait été créée, comme ce prétendu SVS... Oui. Peut-être. C'est l'une des raisons des actions du jésuite et de ses collègues.

Ecoutez, nous avons plusieurs problèmes. Le premier est l'arrivée de la planète X, le second est que des gens ont décidé de faire quelque chose. Dans tous les pays du monde, nous doutons de ce que les gens savent réellement. Peut-être que ces gens-là sont responsables de la situation que nous avons à affronter maintenant. Peut être, et c'est mon point de vue, que le 11 Septembre est lié à ceci.

Je ne peux imaginer que les seules raisons pour lesquelles les États-Unis d'Amérique qui perdent tant de leurs garçons, des hommes jeunes, des soldats, permettent au hasard de tuer tant de civils, et perdent leur réputation aux yeux du monde entier... Je ne peux pas imaginer que les seules raisons soient économiques, et liées, voyez-vous, au profit sur l'énergie fossile. Non. Ce n'est pas possible. Bien sûr, il y a beaucoup d'argent en jeu. Mais, vous savez, je suis sûr que le 11 Septembre, la Planète X et cette structure probable sont les pièces d'un grand puzzle. C'est mon opinion.






source:
cligno étoile http://projectavalon.net/lang/fr/luca_scantamburlo_interview_transcript_1_fr.html
cligno étoile http://projectavalon.net/lang/fr/luca_scantamburlo_interview_transcript_2_fr.html






FIN







CONFESSIONS D'UN AGENT SECRET DU VATICAN Tinfbar