Pour comprendre la fonction cachée du JUGENDAMT allemand,
le CEED recommande la lecture de deux ouvrages
Le livre de Yves-Marie Laulan 'Allemagne, chronique d'une mort annoncée' aux éditions François-Xavier de Guibert (2004)
Il explique pourquoi l'actuel Gouvernement allemand a ordonné à son administration (justice) - sous couvert du JUGENDAMT - d'arracher systématiquement les enfants des parents étrangers (ou d'origine étrangère) et de tout mettre en oeuvre (même des moyens abjectes) pour que nul enfant et nul mère non-allemande ne quitte le territoire allemand.
Les propos tenus par l'auteur corroborent en tous points les mises en garde prononcées par le CEED à l'encontre d'une Allemagne qui 'vole les enfants des autres'. Si les partenaires de l'Allemagne continuent de minimiser les très graves problèmes des enfants et des familles avec les administrations allemandes et plus encore, quand il en va de leurs propres concitoyens en Allemagne, si ces derniers au surplus faisaient l'erreur de croire que nos voisins ( pouvoir politique, les juristes, la presse, etc ...) seraient guidés par les mêmes convictions et les mêmes principes moraux que dans le reste de l'Union Européenne, alors l'Allemagne dans sa 'démence' judiciaire accentuera ses activités de rapts légalisés d'enfants. Seule une pression sans relâche et un contrôle permanent des décisions de justice familiale allemande permettront de mettre à jour ce qu'il y a lieu de qualifier du plus grand trafic d'enfants organisé par un Etat de l'Union Européenne.
Ce livre nous fait comprendre que sans une réaction très forte des Européens, nous ne vivons aujourd'hui que les frémissents d'une situation explosive qui empire de jour en jour. Au vu des pratiques malhonnêtes, tant généralisées chez les juristes allemands (comme par exemple décider systématiquement de la garde d'enfants par une procédure secrète dont l'un des deux parents est exclu), qu'elles sont devenues norme judiciaire, nous ne savons pas si l'Allemagne se dirige vers une nouvelle dictature, ou si elle s'y trouve déjà.
Reprenons les propos de l'auteur: 'La France conserve encore à l'esprit de nos jours une image largement anachronique et fortement idéalisée de l'Allemagne ... le couple franco-allemand réduit à la fable de l'aveugle et du paralytique ..'
Ajoutons à celà : 'Qui connaît son histoire, sait où se trouve son avenir.'
Lire page 57:
Page 44 - 45:
Ce que l'auteur ne mentionne pas ici est le nombre incalculable d'associations e.V., d'instituts e.V., et récemment de sociétés d'ordre privé (probablement plusieurs dizaines de milliers) qui sous la couverture du 'Kinderschutz' ou de la 'Jugendhilfe' embrigadent les enfants et les jeunes pour les éduquer à convenance du pouvoir politique local.
Il est vrai que tout est fait en Allemagne pour cacher les activités de ces institutions plénipotentiaires, qui agissent en dehors de toute raison humaine et se servent de la Loi pour légaliser le vol et l'exploitation d'enfants de toute nationalité, allemande y compris.
Le JUGENDAMT aujourd'hui en 2007, ainsi que toutes ses associations et organisations connexes et affiliées pratique un régime de terreur (judiciaire) sur les parents et les enfants, au même titre que ce que décrit Marc Hillel dans la première page du second livre que nous vous présentons ci-dessous. CEED a d'énormes difficultés à percevoir une différence entre ce qui se fait aujourd'hui et ce qui se faisait hier.
L'auteur décrit assez bien ce que signifie être parent en Allemagne : être la cible de tous les contrôles de l'administration. Elle attend le moindre refus de 'coopération' (soumission) des parents pour s'approprier leurs enfants et les éduquer à la convenance locale avec la bonne conscience du politique allemand.
Le second livre que le CEED recommande pour comprendre le rôle caché du JUGENDAMT et de toutes ses institutions connexes est celui de Marc Hillel 'Au nom de la race' publié aux éditions Fayard (1975)
L'auteur, qui ne fait pas de distinction précise entre le Lebensborn e.V., le Jugendamt et les institutions paritaires (Caritas, Diakonie, Rotes Kreuz, AWO, etc ) de la jeunesse et de l'enfance, explique le fondement de la politique du vol légalisé d'enfants par l'Allemagne de l'époque.
Il est édifiant de constater que les objectifs et les méthodes employées aujourd'hui par les administrations, le Jugendamt, les institutions paritaires, les églises sont quasiment identiques, à l'exception peut-être de la justification raciale d'alors. Ajourd'hui ce sont les pseudo-experts (soi-disant psychologues) qui donnent une couverture 'médicale' pour justifier les rapts organisés par l'Etat allemand.
Voici, extrait de ce livre, une première page que l'on pourra réécrire à l'identique, dans quelques années, si l'Europe ne prend pas garde à ce qui se prépare en Allemagne. Ici il est question de "soeurs brunnes", en fait d'employées du Jugendamt et de ses organismes paritaires. Aujourd'hui, ce sont toujours des femmes entre 45 et 60 ans, généralement sans enfants, qui s'affairent à prendre les enfants des autres.
Elles téléphonent au juge, qui leur envoie par fax dans l'heure une ordonnance de référé conférant la garde de l'enfant au Jugendamt, sans bien entendu que les parents n'aient pu se défendre. Si les parents ne veulent pas 'céder' leurs enfants, la police intervient. Les enfants sont emmenés de force.
Par la suite, ce sont les équipes de pseudo-pschylogues (Gutachter) et autres pseudo-sociologues (Dipl-Soz. FH), qui avec l'aide d'avocats spécialisés pour voler les enfants (Verfahrenspfleger) prennent le relais. Tout n'est plus question que de temps. Les enfants disparaisent à jamais.
Les enfants et les parents réfractaires sont punis : Les jeunes enfants (ceux que l'on peut encore former 'médicalement') sont envoyés en psychiatrie (voir pour exemple video Haase min. 3:22), les grands enfants sont envoyés dans des camps le plus loin possible de leurs parents, afin de rompre tout contact (voir pour exemple la video de Lara min 01:00 ).
Tout est fait pour étouffer par tous les moyens cette politique ignoble.
Les allemands s'en donnent les moyens; ils menacent en permanence quiconque (journalistes, avocats) ose révéler une affaire de ce nature. Ils dépensent des budgets colossaux (35 milliards d'euro en 2007) pour financer ces Lebensborn modernes et ne négligent aucun moyen de propagande pour faire du JUGENDAMT une bonne institution, alors qu'elle sert principalement le contrôle politique de la famille et de la justice familiale.
Voir à ce titre le refus systématique de toute expliciation du JUGENDAMT. Pourtant il est institution exclusivement politique et non judiciaire ! Haase min 5:40 -:- Manuela min 19:27 -:- Christian min 25:06 -:- Uwaga min 5:40
La seconde page que nous avons selectionnée ci-dessous, nous fait frémir une fois de plus.
Qui connait et comprend les méthodes employées aujourd'hui par les administrations allemandes se rendra vite compte, qu'elles ont proprement les mêmes ambitions que ce que faisaient les allemands au siècle dernier;
Le premier objectif du JUGENDAMT est toujours de couper l'enfant de son parent non-allemand par le truchement de la langue. Un enfant qui ne parle plus la langue de ses parents pendant quelques mois aura rapidement des difficultés à maintenir des liens ( au téléphone) avec son parent non-allemand et sa grande famille qui est à l'étranger.
Voir à ce titre un reportage remarquable, tourné par la télévision polonaise UWAGA . Les parents que vous y verrez sont ceux que le JUGENDAMT décrit comme des parents 'déficients' ou criminels.
Le second objectif du JUGENDAMT et de ses aides de camps est d'humilier le parent, jusqu'à ce dernier cesse toute volonté de récupérer son enfant. Tout est fait, soigneusement programmé, pour humilier; voir les explications ignobles que donne Carla (min. 1:23 et surtout min. 5:00). L'objet de ces humiliations insoutenables ont un but bien précis : dégager les administrations allemandes de toute responsabilité dans le vol légalisé de l'enfant (et de sa germanisation ultérieure, car là est le réel objectif). Il s'agit de faire porter cette responsabilité à un parent qui se rebelle ou qui ne se rebelle pas.
Dans premier cas, le JUGENDAMT justifie le vol de l'enfant par le fait que le parent ne 'coopère' pas (die Eltern kooperieren nicht) ou n'accepte 'l'aide' proposée (die Eltern haben die Hilfsmassnahmen nicht angenommen), en clair ne se soumette pas à l'ordre du politique allemand local.
Dans le second cas, le JUGENDAMT justifie le vol de l'enfant par le fait que le parent est incapable d'élever son enfant (die Eltern sind Erziehungsunfähig). Les parents déspérés, se retrouvent vite isolés; on ne critique pas le JUGENDAMT en Allemagne. Puis, ces parents qui ont tant cru en leur justice de propragande, comprennent qu'ils ont été bernés, en premier lieu par leur avocat, qui bien sûr est de la partie. Ils perdent souvent rapidement leur argent (payé aux avocats, aux experts psychotiques), leur travail, puis leur position sociale. Les mères se retrouvent en psychiatrie (ce qui est excellent pour le business allemand) et les pères commencent à boire; il est quasiment impossible de se soustraire à ce système parfaitement huilé, hautement perfectionné. Ce sont toujours les parents qui ont tort, jamais l'administration, qui en collaboration très étroite avec les juristes allemands, ne font que leur devoir.
Le troisième objectif du JUGENDAMT et de ses aides de camps est la germanisation (Eindeutschung) des enfants arrachés à leurs parents par le JUGENDAMT et sa troupe de pseudo-experts psychiatriques. Après avoir coupé l'enfant de sa langue maternelle, puis des relations régulières avec son parent non-allemand (ou réfractaire au système d'endoctrination du JUGENDAMT), l'enfant est placé dans un foyer, accueilli ou adopté par une famille de 'bons allemands', souvent des enseignants [ voir video de Lara min 15:00 ] ou des personnes travaillant dans ces associations de la soit-disant "protection de l'enfance" ou encore de "l'aide à la jeunesse", que le Gouvernement actuel recrute par petites annonces dans les journaux, en promettant un bon salaire, des avantages et surtout des points retraite.
Les administrations actuelles font tout pour que ne soit jamais révélé l'adresse de l'enfant. La Meldebehörde (appellée aussi Einwohnermeldeamt) - administration de la domiciliation obligatoire - et le Standesamt - Etat Civil - coopèrent activement et refusent de donner des informations aux parents des enfants disparus.
Voir à ce titre, le document obtenu, après beaucoup beaucoup d'obstination du CEED, dans le cas d'un enfant enlevé en Allemagne, caché par le Sterni-Park (l'une des innombrables organisations dont l'objet est de dissimuler l'origine des enfants) et pour lequel l'administration refusera de donner le moindre détail: Kergus Meldebehörde .
C'était par ailleurs le rôle du JUGENDAMT, qui au sortir de la guerre était placé sous le contrôle du Ministère de l'Intérieur (de la police) pour écarter les parents étrangers qui venaient en Allemagne récupérer les enfants que le JUGENDAMT - les soeurs brunes - leur avait volé quelques mois ou années auparavant.
Enfin, la troisième page ci-dessous est époustouflante de modernisme, voir en bas à droite :
'Il faut placer les parents de ces enfants ... devant l'alternative de donner leurs enfants (dans ce cas, ils ne procréeront sans doute plus d'autres enfants ou ... d'émigrer en Allemagne pour y devenir de loyaux nationaux ' -
C'est exactement ce qui se passe aujourd'hui avec les parents à qui le JUGENDAMT retire au moins l'un des enfants sans raison objective, parce qu'ils ont déclaré par mégarde vouloir rentrer au pays après leur divorce d'un allemand, qu'ils refusent les vaccinations, les programmes scolaires, qu'ils n'ont pas la bonne religion, etc... Aujourd'hui, en 2007, plus aucune mère d'origine étrangère ne peut plus quitter le territoire allemand accompagnée de ses enfants, dès lors que l'administration allemande a appris ses intentions.
'La meilleure prise que l'on peut avoir sur eux [les parents] est justement l'amour qu'ils portent à leurs enfants, dont l'avenir et l'instruction dépendent de leur loyauté [envers l'Allemagne] '
C'est exactement ce qui se passe aujourd'hui; si les parents ne 'coopèrent' pas avec le JUGENDAMT (ne se soumettent pas) alors leurs enfants, privés d'amour, n'apprendront rien. Les allemands qui les recueilleront eux s'enrichiront.
source:
http://www.jugendamt-wesel.com/COMMUNIQUE_PRESSE_Kalina/livres.htm
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