REPTILIENS À MONTAUK
Je n'ai trouvé aucune traduction française de ce témoignage, pourtant très connu aux USA. J'ai donc traduit tant bien que mal une partie, tout en laissant la fin en anglais, faute de temps.Sur la pointe sud-est de Long Island, se trouve le hameau de pêche idyllique de Montauk, NY. Calme et peu habitée durant les mois d'hiver, froide et balayée par les vents, la ville voit sa population augmenter chaque été avec l'assaut des touristes, les pêcheurs et ceux qui ont la chance d'avoir une résidence dans ce village balnéaire pittoresque. Beaucoup de visiteurs viennent pour la journée afin de voir le point de repère historique, le phare de Montauk, commandé par le "Père de notre pays", George Washington.
Mais il ya un côté plus sombre de Montauk que beaucoup ignorent. À la vue du célèbre phare, se trouve une installation militaire abandonnée, connue sous le nom de Camp Hero. Une antenne radar SAGE est posée au sommet d'un grand immeuble abandonné dans le lointain. Les dossiers indiquent que Camp Hero a été officiellement désaffecté et laissé vacant par l'US Air Force en 1969. Il a été rouvert et exploité sans l'agrément officiel du gouvernement américain, et l'utilisation d'une installation souterraine sous la base est entièrement vérifiée et documentée. Beaucoup pensent que c'est ici que le projet Montauk a probalement continué ses opérations clandestines.
Quel est le projet Montauk? Selon Preston Nichols et Peter Moon, les auteurs de
The Montauk Project: Experiments In Time, le projet Montauk «
est le développement et l'aboutissement des phénomènes rencontrés à bord du USS Eldridge en 1943 »;. Ceci est publiquement connu comme "l'expérience de Philadelphie", une série d'expériences menées par la marine des États-Unis impliquant l'invisibilité radar.
«
Selon ces rapports », affirme Peter Moon, «
plus de trois décennies de recherches secrètes et la technologie appliquée s'ensuivit. Des expériences ont été réalisées qui comprenaient le contrôle électronique de l'esprit et celui de populations distinctes. Le point culminant de ce travail a été atteint à Montauk Point en 1983. Ce fut à ce moment que le projet Montauk déchira effectivement un trou dans l'espace-temps vers 1943 ».
Des allégations ont été faites de recherches en cours et d'expérimentations en psychotronique, contrôle de l'esprit par ondes électromagnétiques et de manipulations de l'espace et du temps pour permettre le transport efficace de matière et d'énergie dans d'autres dimensions à travers des "portails" ou distorsions du temps. Ces projets auraient été perpétrées par les efforts conjugués des unités clandestines de la CIA, la NSA, la DARPA et d'autres organismes gouvernementaux entretenant des liens étroits avec le renseignement militaire et des compagnies liées à la défense.
Un accélérateur de particules est prétendu être utilisé pour alimenter des armes à faisceaux de particules et des systèmes radar, tels que des transmissions de fréquences radio à haute tension dans l'ionosphère, tout comme HAARP. Celà constituerait la preuve de l'existence d'accélérateurs de particules sur des emplacements à proximité. Brookhaven National Labs, un centre de recherche à Plum Island et une installation militaire de West Hampton Beach ont été mentionnés comme des sites probables.
Le facteur humainJ'ai essayé de retracer les nombreux incidents, ainsi que les recherches et enquêtes ultérieures, qui montrent mon engagement personnel évident avec le projet Montauk. L'enquête est loin d'être complète... il semble que plus nous fouillons profondément, plus nous en déterrons. J'ai décidé qu'il est plus important d'alerter les autres de la réalité du projet Montauk et, ce faisant, de recueillir de l'assistance nécessaire à la poursuite de la vérité. Bien que certains détails puissent paraître anodins, je les y ai inclus, dans l'éventualité où de futures vérifications seraient nécessaires.
The Sands Of Time C'était la mi-Septembre 1994. Il y avait presque 25 ans que j'avais visité Montauk, NY. En descendant du train, je me demandais toujours pourquoi j'avais ressenti le besoin d'y aller. J'ai tenté de me réconcilier avec et d'atteindre une certaine compréhension de mon implication apparente avec les enlèvements extraterrestres. Je voyais le Dr.Maurice Kouguell, PhD., psychologue clinicien spécialisé dans l'hypnothérapie, afin de m'aider à surmonter l'anxiété provoquée par ces expériences.
À Montauk, la saison estivale avait pris fin, et je me réjouissais à l'idée de me détendre en faisant quelques lectures au sujet d'enlèvements aliènigènes, et avec un peu de chance, de trouver quelques réponses. J'ai passé 4 jours à Montauk. Chaque jour qui passait me rendait plus déprimée. Je ne m'aventurais pas plus loin que quelques pâtés de maisons dans les deux sens de mon hôtel. Je ne pouvais pas attendre pour repartir et retournais chez moi le vendredi.
La nuit suivante, après m'être endormie vers minuit, j'ai été brusquement réveillée par la violente vibration de mon lit et de mon corps. Je me sentais comme si j'avais été frappée par un tremblement de terre. Cependant, j'ai soudain senti que je n'étais pas seule. Je ne pouvais rien voir. Je ne sais pas si mes yeux étaient ouverts ou non, mais j'ai senti mon corps tiré du lit. Je me souviens encore de la sensation du drap alors que mon corps était tiré à travers lui. J'ai essayé de crier «
Oh mon Dieu », mais c'est sorti comme un chuchotement. J'ai hurlé dans ma tête, «
Non... je suis toujours réveillée! ». À ce moment là, mes hanches étaient au bord du lit. Je me suis retournée et ai tenté de saisir la tête de lit, de me tirer en arrière. Ce fut la dernière chose dont je me souviens avant de perdre conscience.
Le lendemain matin, je ne me souvenais de rien de tout cela. Plus tard, le soir même, alors que je parlais avec un ami au téléphone, ça m'est subitement revenu à la surface. J'ai rapidement mis fin à la conversation, trop bouleversée pour bavarder et ai changé de lit. C'est alors que j'ai remarqué pour la première fois les marques, 2 ponctions sur ma cuisse gauche. Elles étaient environ à 2 pouces de distance... à mi-chemin entre le genou et le haut de ma cuisse.
J'étais déterminée à avoir un rapport de cette dernière manifestation physique de mes expériences. À l'époque, je travaillais pour Dr D., un interniste. Je lui ai demandé s'il voulait bien regarder ces marques et de me dire si elles étaient effectivement des marques de piqûres. Il les a examinées et a déclaré qu'elles «
semblaient être des marques de piqûres », mais qu'ils étaient «
trop symétriques » et «
comment pouvais-je les avoir et ne pas savoir comment c'est arrivé? ».
J'ai décidé qu'il était temps de lui dire comment c'était arrivé. Après avoir entendu mon histoire, il m'a recommandé de voir un psychiatre. J'ai pris rendez-vous avec un médecin local. J'ai passé près d'une heure à parler de mes expériences au Dr S. . Quand j'eu fini, il m'informa qu'il ne croyait pas en la possibilité que la vie existât ailleurs dans l'univers. J'ai dit qu'il allait me déclarer que je souffrais de terreurs nocturnes et de paralysie du sommeil. Il a souscrit à ce diagnostic. Je lui ai demandé comment il était possible d'avoir des marques de piqûres associées à ce diagnostic. Il n'avait pas de réponse. Je lui ai alors demandé si j'étais névrotique, psychotique ou souffrant de délires. Il a dit non. Je l'ai dit, «
Eh bien peut-être, juste peut-être, que je vous dis la vérité ». Avant de quitter son bureau, je lui ai dit qu'à ce point le mieux qu'on pouvait dire, c'est que nous avions convenu d'être en désaccord. Et que j'espérais que nous pourrions avoir à nouveau cette conversation d'ici 10 ans. J'ai finalement vu le Dr Kouguell au sujet de cet épisode. Les marques de perforation étaient encore visibles et je les lui montrai.
Avant cette expérience, j'avais raconté au Dr Kouguell des comptes rendus partiels de mes rencontres avec une espèce dont j'ai parlé comme "les méchants". Même après régression, j'ai été incapable d'obtenir une image claire de leur apparence dans mon esprit. Tout ce que je pouvais tirer était une image qui ressemblait à un "feuille de plante grasse". J'ai également eu une réaction étrange à une image de silhouette, et une image flash subséquente, d'un alien représenté dans un épisode de "X-Files". J'étais terrifiée. L'image était celle d'une grande créature musclée avec des oreilles prononcées et pointues.
Alors que j'étais présente à un congrès OVNI dans le New Jersey en Mars 1995, je suis arrivée en retard à la conférence et au diaporama présentés par Leah Haley. Le diaporama était déjà en cours quand je me suis assise. Après quelques minutes, est apparue sur l'écran une image qui m'a faite paniquer et devenir si anxieuse que j'ai dû quitter la salle. L'image qu'elle avait dessinée était celle d'un être reptilien qu'elle avait rencontré lors d'une abduction. Elle montrait les oreilles pointues que j'avais vu sur l'épisode d'"X-Files". Plus tard, j'ai réalisé que c'était ce que j'avais dessiné pour le Dr Kouguell. L'image de la "feuille de plante grasse" était la forme distincte des oreilles de l'alien.
J'avais commencé à entendre parler d'une opération secrète appelée le Projet Montauk. Je suis devenue très intéressée d'en apprendre davantage à ce sujet parce que j'avais vécu si près de Montauk. Je lus les 3 livres écrits par Preston Nichols et j'avais des sentiments très inquiets à propos de cette histoire. Pourquoi étais-je attirée par ce lieu? Pourquoi je ressentais le besoin d'apprendre tout ce que je pouvais? Dans un des livres, il y a une image de Duncan Cameron. Le visage était si familier pour moi... Je savais que j'avais eu une conversation avec lui à un moment... et me suis alors rendue compte que ça avait été par télépathie ! Mais je ne pouvais pas me rappeler ce dont la conversation avait été le sujet, ni quand elle avait eu lieu.
Louise, une amie, et moi avions prévu d'assister à une conférence OVNI dans CT en Octobre 1995. J'ai suggéré que puisqu'elle prenait la voiture de NY pour venir me prendre pour la conférence, pourquoi ne pas venir quelques jours plus tôt et nous visiterions Montauk. Elle a immédiatement accepté.
Dès notre arrivée à Montauk, nous remplimes la fiche de notre chambre d'hôtel, et partimes pour Camp Hero. Nous avons essayé différents points d'entrée, mais tous avaient des barrières de sécurité et des panneaux indiquant "entrée interdite". Nous avons finalement trouvé un accès sur une route secondaire, juste avant le phare. C'était une zone située juste au sud de la base, sur la plage. La route que nous parcourions se terminait à une aire de stationnement sur une falaise surplombant l'océan. L'antenne radar était visible depuis ce point, mais c'était trop loin pour marcher jusque là-bas.
Louise se sentait très malade et mal à l'aise là-bas. Pour une raison que j'ignore, j'ai été attirée vers la falaise. Je me tenais là au le bord, juste à guetter au-dessus de la plage et de l'océan pendant environ 10 minutes. Je me sentais tellement attirée vers cet endroit... pourquoi? ... quelle raison possible pourrait-il y avoir? Je n'avais jamais été là avant. Pourquoi je me sentais clouée sur place? Il se faisait tard, et Louise et moi voulions essayer une nouvelle route avant que nous nous en arrêtions là.
En revenant en direction de la ville, nous avons tourné au Montauk Old Highway. Selon la carte que nous avions, cette route devait aller dans Camp Hero. Il y avait aussi des notations sur la carte de zones où quelqu'un avait "senti un vide" et des sentiments très inquiétants.
Pendant que nous conduisions le long de la route, Louise et moi ressentions toutes les deux ce "vide". Ce fut l'une des plus étranges sensations que je n'aie jamais ressenties. La seule façon dont je peux le décrire, c'est l'absence de sentiment de vie, comme si rien ne vivait dans cet espace. Je voudrais pouvoir être plus précise. Une fois passé ce vide, le terrible sensation de menace nous a frappé très fort. La route a pris fin abruptement dans une impasse. Louise voulait retourner à l'hôtel, mais j'ai insisté parce que je savais que nous étions près de l'antenne radar et je voulais examiner juste un peu autour.
J'ai grimpé sur un tas de copeaux de bois et ai traversé quelques petites broussailles. Environ une centaine de pieds dans les broussailles, la route goudronnée continuait. Je l'ai suivie jusqu'à une clairière et elle était là, juste en face de moi... l'antenne radar. Je suis retournée à la voiture, où Louise attendait, et ai attrapé la caméra vidéo. Je suis retournée par le même chemin, filmant à mesure que j'avançais. Après le tournage de l'antenne du radar, j'ai ressenti la sensation étrange que j'avais été surveillée. La sensation était très forte et très effrayante. Je voulais courir vers la voiture, mais j'ai eu peur de tomber. Je suis partie aussi vite que je pouvais. Louise et moi sommes retournées à l'hôtel.
Nous sommes allées au lit vers minuit, mais j'ai continué à lire jusqu'à environ 1h30. Quelque part entre 03h-03h30 deux d'entre nous avons toutes les deux été réveillées par un bruit fort. Le détecteur de fumée dans notre chambre d'hôtel s'était déclenché et aucune de nous ne pouvait arriver à l'éteindre. Nous avons finalement pris contact avec un employé de l'hôtel qui nous a informées que le détecteur de fumée ne fonctionnait pas avec une batterie... il était directement connecté au système électrique de la pièce. Pour l'éteindre, il fallait aller à la boîte à fusibles située sur le côté du mur du placard et fermer les interrupteurs avant de trouver celui qui lui est connecté. Nous avons essayé tous les interrupteurs en vain. Même fermer l'interrupteur principal, qui coupe le courant à la salle entière, n'a pas éteint le détecteur de fumée. Un employé d'entretien de l'hôtel est venu dans notre chambre et a essayé de couper l'électricité ... le détecteur continuait à fonctionner. Il a finalement dû retirer le détecteur de fumée du mur et couper les fils afin de le désactiver. Le lendemain, nous avons convenu qu'aucune de nous ne voulions retourner à la base. Nous étions toutes les deux trop effrayées.
Deux semaines plus tard, je devais assister à un congrès OVNI dans Mobile AL. Je suis descendue quelques jours plus tôt pour sortir un petit peu toute seule. Ce fut à cette époque que les flashbacks ont commencé. Tout d'abord, le visage du reptilien, proche du mien, accompagné d'un son rauque. Je savais que l'image reptilienne était lors de mon... viol? Mais quand? où? Je n'avais pas les réponses. Puis j'ai vu une image de voyage dans une jeep militaire, à travers de hautes herbes et du sable, sur des collines, des soldats portant des treillis (marron/beige/noir) et des bérets noirs. J'avais aussi rappelé un souvenir d'être immergé dans un certain type de fluide... plus lourd que l'eau. Je n'arrêtais pas d'entendre des sons étouffés de gens qui parlent et me souvint d'être en train de crier: «
Je ne peux pas vous entendre. » Ces flashbacks continuèrent à me hanter, mais je ne pouvais me souvenir d'aucun autre détail. Ce fut pendant la période après mon retour de Mobile que je me suis rappellée une expérience étrange à Montauk en 1970. Quand j'étais interrogée au sujet des périodes de "temps manquant", j'ai toujours dit que je n'en avais aucune. Mais je me suis soudain souvenue que j'en avais ! Pour une raison quelconque, je n'en avais eu aucun souvenir jusqu'à ce moment. Lors d'une visite à ma tante et l'oncle camping à Ditch Plains à Montauk, j'avais disparu pendant 2-3 heures et mon oncle s'en souvenait! Mon souvenir de la première partie de ce jour-là avait toujours été très clair. Ma mémoire de la dernière partie de la journée a toujours été vague et floue.
J'avais rendez-vous avec Dr. Kouguell cette semaine et je devais régresser à ce jour en 1970 pour voir ce qui s'était réellement passé. J'ai dit au Dr.Kouguell que je sentais qu'il devait me faire régresser aussi profondément qu'il le pouvait... il a accepté.
Le texte suivant relate mes souvenirs sous hypnose: session du 11/9/95
Nous roulions dans la voiture, sur la route de Montauk. Je suis assise à l'avant avec ma mère. Mes frères et sœurs sont à l'arrière. Papa est au travail. Maman est si heureuse que nous allions à Montauk ! Uncle B. est son demi-frère... ils viennent de se rencontrer il y a quelques années, à l'enterrement de leur père naturel.
Nous arrivons à Ditch Plains, le camping où ils séjournent est à Montauk. Je traîne un peu, parle avec tout le monde, décide alors de changer de maillot de bain (un deux pièces), mais mon short est par dessus mon slip de bain. Cela est si ennuyeux. Je vais regarder autour du camping
Je marche vers l'est, un peu, et après un certain temps que je traverse le campement d' un groupe de surfeurs. L'un d'eux semble familier... c'est M. ! Le frère aîné de F. ! Je m'arrête pour dire bonjour. M. me demande si j'ai déjà vu F., je dis que non. Il dit que F. est en train de surfer, je décide de descendre au bord de l'eau et d'aller le chercher. Je m'assois sur le sable du rivage, à regarder 5-6 surfeurs. Enfin, je repère F. Il est tellement beau ! Quand il émerge de l'eau, je me lève et commence à marcher dans sa direction. J'espère qu'il m'a remarquée. Comme je m'en approche, il me voit. Il m'appelle par mon nom et me fait signe. Je m'avance et nous nous embrassons. Bonjour ! Il demande ce que je fais à Montauk, et je le lui dis. Il demande si je veux faire un tour dans une heure environ. Il a des choses à faire et doit retourner au camping; est ce que je peux l'y retrouver ? Formidable !
Cette heure passe si lentement. Je suis au terrain de camping avec F. et nous commençons à marcher vers l'est. On marche un peu moins d'un mile. Il ya une falaise juste devant et nous marchons dans les dunes pour trouver un endroit tranquille. Il y a de la haute herbe de dune derrière nous. F. a une serviette, et nous nous asseyons dessus . Nous finissons allongés l'un contre l' autre. Il embrasse si bien.
Soudain, j'entends un bourdonnement puissant, comme beaucoup d'abeilles. Je me redresse et F. aussi . Qu'est-ce que cela ? Quelque chose ne va pas ! Je regarde F. et il peut l'entendre aussi. Nous nous sommes recouchés sur le dos, toujours à côté l'un de l'autre. Pourquoi fais-je celà ? Nous devrions nous enfuir ! J'essaie de crier à F. que nous devrions sortir là. Mais je ne peux pas parler... Je ne peux pas bouger ! J'ai si peur... Je veux ma mère !
Il y a un bruit comme si une voiture venait... le son devient plus proche, s'arrête ensuite. Le bourdonnement est plus fort maintenant. Même si j'ai peur, mon corps est sans réaction. Debout, sur ma gauche, un homme vêtu d'un uniforme de soldat baisse son regard sur moi . À ma droite, il y a un autre soldat; il donne un coup de pied dans la jambe de F. «
Il est hors de çà »; dit-il. «
Mike, vous le prenez dans la jeep » dit le chef sur ma gauche. «
Ok, Terry », dit le gars à ma droite. Il y a 2 autres gars avec eux, mais je ne connais pas leurs noms. Terry est très bronzé, les cheveux sombres et a des lunettes noires. Les autres semblent être plus équitables. Mike et un autre gars ramassent F. et Mike l'emporte, comme le font les pompiers. Ce n'est pas Terry qui me ramasse, c'est un autre .
Nous sommes sur le siège arrière d'une jeep, roulant vers le nord à travers les dunes et les hautes herbes. Il y a une grande colline devant. C'est si surnaturel ! La colline bouge... seulement une partie. Celà ressemble à une porte dans la colline. Elle se déplace vers l'avant puis à ma droite. Nous entrons. Il y a une autre jeep garée sur ma gauche. Deux autres hommes dans le même uniforme avec le béret noir sont à l'intérieur. Ils tous ont des fusils ! Je ne peux toujours pas parler, mais mon corps fait ce qu'ils veulent. On m'aide à sortir de la jeep. F. est entre 2 gars qui l'aident à marcher. Terry et quelqu'un me prennent entre eux et je peux aussi marcher. Cet endroit ressemble à un garage ou quelque chose comme ça. Nous passons par une porte. C'est brillant dans ce vestibule. Nous tournons à droite. F. est juste devant moi. Au vestibule suivant, F. continue à aller tout droit avec 2 gars, mais nous, nous tournons vers la droite et marchons quelques mètres jusqu'à une porte d'ascenseur. Terry a une carte de crédit et la met dans une fente à côté de la porte. La fente est verticale et il y a 2 lumières au-dessus... une rouge, une verte.
La porte s'ouvre et nous entrons, mais il n'y a aucun bouton sur lequel appuyer. Nous descendons, alors la porte s'ouvre et c'est beaucoup plus sombre ici. Et il sent... bizarre, comme dans une cave avec un problème de trop plein de la fosse à fumier. Nous tournons à droite et avançaons quelques mètres... tournons alors à gauche. J'ai si froid ! Il y a une porte à ma gauche, Terry l'ouvre. Cette pièce est si sombre que je peux à peine y voir. Il n'y a presque pas de meubles à l'intérieur. Il y a quelque chose qui ressemble à une table matelassée. Ils m' aident à m'y hisser et à m'y allonger. À présent, je suis vraiment glacée. Un gars dit, «
La laissons-nous simplement ici ? » et Terry répond «
elle ne va nulle part ». Ils quittent la pièce. J'ai l'impression de ne pouvoir bouger quoique ce soit, sauf mes yeux . Pourquoi suis-je ici ? Je n'aime pas ça . Sur ma gauche, quelque chose bouge. Ca se rapproche... Je peux le voir mieux. OH MON DIEU ! C'est un monstre !
(Note: À ce moment je me suis beaucoup agitée et ai presque sauté du fauteuil dans le bureau du Dr K.. Mes yeux s'ouvrirent et je ne pouvais pas arrêter de trembler et de me blottir. Dr K. m'a calmée et j'ai pu continuer.)
Ce que je vois est une créature d'environ 6-7 pieds de haut. Ses oreilles sont grandes et pointent vers le haut. Ses yeux brillants sont jaune-or et semblent luire. Il a les dents pointues et une ride sur son front large, et il a une queue ! Il vient vers moi ... Je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie. Il arrive aux pieds de la table. Il retire mon short et mon bas de maillot de bain... il écarte mes jambes et me tire vers lui. Son visage est si proche du mien... J'ai envie de hurler, mais c'est seulement dans ma tête. J'entends un bruit rauque, venant de lui. Il met quelque chose en moi et j'ai l'impression d'être déchirée. Il aime à voir comment je suis terrifiée... celà lui donne beaucoup de plaisir. Celà fait tellement mal. Je dois sortir de ma tête vers un endroit sûr. Je pars.
Je ne sais pas combien de temps il fait ça, mais quand il a terminé, il retourne dans à la partie de la pièce où je l'ai vu et, puis il disparait soudainement. La porte n' a jamais été ouverte, ni rien d'autre. Je ne sais pas combien de temps je suis là. Terry et un autre gars entrent par la porte et me réhabillent. Ils m'aident à descendre de la table et nous quittons la salle. Après avoir été ramenée jusqu'à l'ascenseur, je suis conduite dans une autre pièce bien éclairée. Cela me rappelle la salle d'examen d'un médecin... sauf qu'il y a des machines que je ne reconnais pas, avec des lumières et des cadrans encastrés dans le mur au-dessus d'un comptoir. Il y a beaucoup d'équipements en acier inoxydable. Et une table couverte de blanc. On me place sur cette table et suis sanglée du bas... jusqu'à ma tête. Je suis terrifiée. On me laisse tranquille pendant probablement juste quelques minutes... mais cela me semble des heures.
Un groupe de 5-6 personnes entrent dans la salle. Elles portent des robes blanches, des masques et des chapeaux qui recouvrent la tête. Elles sont de sexe masculin, mais je vois au moins une femme. Ils sont très occupés. Je ne sais pas pourquoi.
Ma tête est tournée sur le côté et scotchée à la table. Je sais que cela paraît étrange, mais une petite partie de la zone au-dessus et derrière l'oreille droite est rasée. Mon oreille est tirée vers l'avant de mon visage et scotchée à lui ! Même si je suis immobilisée et ne peux pas parler, je suis complètement consciente !
Quelqu'un écrit quelque chose sur la peau derrière mon oreille. Je me souviens que quelqu'un dit quelque chose d'un "IV". Et un homme dit, «
Pensez-vous elle ait besoin ça ? » Quelqu'un d'autre dit «
Je ne voudrais pas prendre le risque qu'elle puisse se réveiller et commencer à se déplacer ». Quelques minutes plus tard, je sens une piqûre dans le bras.
C'est tout dont je me souviens avant de reprendre conscience, de nouveau dans les dunes avec F..
(Note: Il ya environ 10 ans, j'ai développé ce qui a été diagnostiqué comme un kyste enflammé derrière mon oreille droite. Le médecin devait le percer pour le drainer et l'extraire. Quant il a entaillé la peau avec le scalpel, quelque chose fut expulsé. Il l'a examiné et déclaré qu'il n'avait jamais rien vu de tel. Il a dit qu'il était de la taille et la forme d'une balle. Il a dû combler le trou qu'il avait laissé avec de la gaze médicale.)
Face à la RéalitéLe choc de ce qui fut révélé lors de la régression hypnotique me laissa abasourdie et désemparée. Étais-je en train de perdre ma tête? Comment a été possible une chose pareille? Pourrais-je avoir fabriqué un tel compte-rendu détaillé sous hypnose? Ces questions troublantes et bien d'autres harcelèrent mes pensées pendant des jours après la session.
Une conversation fortuite avec les parents auxquels j'avais rendu visite à Montauk ce jour fatidique, m'a laissé encore plus énervée. Alors que je décrivais la "porte de la colline" que j'avais vue près d'une falaise, ma cousine déclara qu'elle était allée sur une zone très semblable à ce que j'avais dépeint, tandis qu'elle se promenait près du phare un après-midi. Je sus alors, avec une certitude absolue, que j'avais besoin de trouver "la porte de la colline" afin de m'apporter la preuve de cette expérience.
Je suis retournée à Montauk le dimanche 17 Décembre 1995, avec mon ami Bill, un enquêteur pour MUFON, et son épouse. Bill comprenait mon intense besoin de trouver "la porte de la colline", pour arriver à saisir mes souvenirs de ce jour fatidique, 25 ans plus tôt. Quand nous sommes arrivés à Montauk, nous avons d'abord descendu la route de Old Montauk... la route que Louise et moi avions prise à la fin de notre "excursion". Bill m'a demandé de leur faire savoir quand je sentirai que nous entrions dans le "vide". Je le ressentis beaucoup plus fort que la première fois. Je lui fis savoir quand il prit fin et que la sensation de menace débuta. Au bout de la route, le tas de copeaux de bois, visible lors de notre dernière visite, avait été déblayé et la voie à nouveau dégagée. Il semblait qu'une zone de broussailles et d'arbres avaient été complètement défrichée... très étrange. Je ne pouvais pas m'extraire de la voiture, tant ma peur était intense.
Comme nous commencions à reprendre la route dans la direction d'où nous étions venus, une voiture de police passa devant nous. Cela sembla tout à fait inhabituel alors que cette route est isolée sans qu'aucune circulation ne la traverse. Notre arrivée avait-elle suscité de l'inquiétude? Avant d'arriver au "vide" lors de notre voyage de retour, je suggérai que Bill utilise le détecteur de champs électromagnétiques qu'il avait apporté, pour voir si nous obtenions quelconques indications. Il me le donna et demanda à ce que je leur fasse savoir quand je "sentirai" que nous entrerions dans le "vide". Je leur dis que je sentais que ça commençait... quelques secondes plus tard, la lumière sur l'appareil passa du vert à l'orange. J'ai indiqué que ça devenait très fort... encore une fois, peut-être 3 secondes s'écoulèrent, et la lumière passa de l'ambre au rouge. Puis l'appareil est devenu fou... clignotant comme un flipper! Comme nous avons commencé à quitter le "vide", j'ai continué à donner mes "indications", confirmées par l'appareil quelques secondes plus tard.
Nous avons roulé jusqu'à la route principale et sommes sortis dans l'aire de repos. Nous étions tous les trois presque trop choqués pour parler. Bill confia qu'il avait été très sceptique sur ma capacité à "sentir" ce "vide" quand nous avions commencé ce voyage. Il était maintenant totalement convaincu. Nous avons continué jusqu'au phare et garé la voiture.
Comme nous descendions un chemin rocailleux vers la plage, nous remarquâmes un panneau grossièrement écrit à la main informant qu'un projet contre l'érosion était en cours dans cette zone. Des rochers et des dalles de ciment récemment mis en place étaient bien visibles. À ce moment, mes "sentiments" étaient au niveau le plus intense que j'aie jamais ressenti. Il y avait quelque chose sur le placement de ces blocs et ces dalles qui n'était pas "correct". Je fus attirée par un point au-dessus de la plage... une falaise surplombant le sable.
Nous quittâmes la plage et gravîmes une colline en direction de l'aire de stationnement où Louise et moi nous nous étions promenées lors de notre dernière visite. Tout le temps que nous étions sur la plage, j'avais eu le sentiment que nous étions surveillés et je l'avais signalé à Bill. Juste avant d'arriver sur le parking, je vis un homme accroupi dans les broussailles au sommet d'une colline et le montrai à Bill. L'homme s'est levé et nous a regardé. Bill sortit son appareil photo et prit sa photo. L'homme s'accroupit à nouveau et a été finalement perdu de vue. Nous ne l'avons pas rencontré à nouveau.
À seulement quelques centaines de pieds de la colline se trouvait l'aire de stationnement sur la falaise. En regardant vers l'ouest/nord-ouest, il y avait Camp Hero. C'était dans les parages que mon cousin avait déclaré avoir vu une porte, semblable à celle que j'avais décrite. J'ai regardé les environs et j'ai aperçu ce qui semblait être une vue partielle d'un mur de pierre et de mortier. Ce devait être la porte! Je ressentais quelque chose à ce sujet, mais j'étais troublée... c'est juste que ça ne semblait pas correct, en quelque sorte. Je me rappelais la colline étant beaucoup plus élevée et plus prononcée. J'ai commencé à m'éloigner de Bill et de sa femme... remontant vers le phare. Je marchais sur le côté opposé de la colline où nous avions repéré l'homme... plus près de l'océan et de la falaise.
I stopped every few yards and looked out over the ocean and tried to compare the image with what I had recalled. My feelings of helplessness and terror were very intense at this point. I continued to walk further back towards the lighthouse. Suddenly, I was standing in front of it...THE DOOR...exactly as I had remembered it! I shouted for Bill and his wife. They came and seemed stunned by what they saw. I started to cry, and everything I had bottled up for so long came out. It was such a relief. I now knew, with complete certainty, that my experience had been real. I was not losing my mind or imagining things.
Next to the door was a small opening that lead to a short tunnel. The end of the tunnel had been cemented over. On the ground, in front of the door, was a concrete circle, divided into equal parts including an equal section in the center of the circle. It was approximately 8-10 feet in diameter. There was a red fire hydrant next to it. Anchored from a utility pole on the other side of the hill, and almost completely outlining the circumference of the hill, stretched a thick, black electrical wire. This wire ended abruptly, tied to a bush. Looking over the cliff, wires running from inside the cliff, hung down about 10 feet and then snaked back inside the cliff. There were remnants of a structure or building at the top of the hill, above the door. Photographs were taken of the entire area from different angles.
As we departed the area, I spotted from the road, a section that seemed devoid of any trees or brush. While Bill waited on the road, while I climbed down into the thick brush, to investigate. Finally breaking clear, I found a large, circular area of what appeared to be dead, crushed grass, interspersed with taller clumps that looked as if they had been chopped or cut down. The trees that bordered this area also appeared dead. Hidden in a thicket of bushes, just to the west of the circle, was a group of large boulders, similar to those evident on the beach. The arrangement of the boulders immediately brought an image of "table and chairs" to my mind. Several trees next to the boulders had been uprooted completely. It was apparent that these boulders were not a natural formation, and had somehow been placed in this location. But how? and more important, why?
Further ValidationRecently, I was able to view video tapes filmed by Preston Nichols, of the underground facilities at Montauk prior to them being sealed. They contained footage that he did NOT include on the videos produced for sale to the public. One of the cassettes contained footage of the bunker I brought into, what I have come to call my "door in the hill". I sat, as if in a trance, and viewed the familiar images on the screen...the large entrance area behind "the door"...the "bright hallway" (white) beyond the entrance area... small rooms located off the hallway. Although I remembered the hallway being longer, and a small alcove where an elevator had been located, it was possible that a wall had been constructed at what appeared to be the dead end. I had already confirmed the existence of an elevator in this location with a retired military intelligence officer familiar with Camp Hero's underground facilities during the period 1954-58.
Here was further validation of my account! I should have been elated. Instead, I found myself sitting there quietly, a knot in my stomach, saying to myself, "My God...it is REAL!" It doesn't seem to matter how much validation I receive...I don't want to believe what I know to be true.
Also while viewing these video tapes, I had a conscious recall of being contained in an isolation tank. This flashback included seeing a "face" of a person (human) familiar to me, and a telepathic conversation meant to calm and soothe me. During the conversation, he referred to me as "little one".
I met with Dr. Kouguell a few days later to explore this memory through hypnotic regression. From the moment he asked during the session if I was sure I wanted to look at this memory, a battle was waged in my mind. He asked me to indicate "yes" by slightly moving my right index finger. And try as hard as I could, I could not move it. Then he asked me to indicate "no" by slightly moving my right middle finger. It took all my power to hold it in place. I finally moved my right index finger ever so slightly. I had never had this experience while under hypnosis before.
I recalled being in a dark place...being afraid...floating in something that felt slightly heavier than water...feeling warm....and smelling peppermint or spearmint. He took me to a point before being in that place. I was laying naked on a table and had a lot of wires attached to me, all over my body and my head. I saw "that doctor" in a white lab coat standing next to me. Then he took me to a point before I was there. I was home in my room (different home than now). I woke up and 2 men dressed in black clothes were in my room. I couldn't see anything of what they looked like. I asked where Joe and David were (my roommates). I was told they were sleeping. I was then given an injection and felt very sleepy. I was wrapped in a blanket and carried out the back door to a dark van (blue?). I was placed on the floor in the rear of the van and someone sat near me. The next thing I remember is feeling as if I were on a roller coaster. I don't know where I was taken or how long it took to get there. Suddenly, I was standing naked in front of a metal door, struggling with a soldier holding a rifle, while "that doctor" told me I "had to do this". I was sobbing , pleading with him not to "make me go back in there".
I couldn't continue with the session and Dr. Kouguell brought me back. I told him, as much as I wanted to remember what happened, I knew I wasn't ready yet to face it. Eventually, I knew I would have to.
An agonizing dilemma ensued. Conscious of my need to find the truth of my involvement, could I actually be unable to face it? What if my reluctance to explore this memory was being controlled by outside influences? And the battle continued to rage in my mind. Finally, I made the decision to continue...I had come too far to turn back now. I would face the truth and rely on my strength of conviction to overcome any obstacles.
Before we began the next regression, I related my observations on possible "blocks" of this memory to Dr.K. I suggested a deep-level trance might be needed to retrieve them. While under hypnosis, I started to "relive" this experience...
I am, once again, in a black enclosed area....struggling, afraid of drowning. Why do I have to be in this place? It scares me so much...I want to get out! I calm myself enough to float. The liquid feels heavier than water. It's warm and I smell something "minty". I can feel wires attached to me as I move my arms and legs slightly...on my chest and head, too. I stretch out my arms, trying to feel the walls that enclose me. On my right, my fingers trace the smooth surface, traveling upwards in an 'arc' above me. Floating...gentle motion...blackness all around...are my eyes open?....or are they closed?...is this 'blackness' I see only in my mind?
I can see movement...forms and shadows. Blackness lightens to dark gray. My friend is here and says, "Don't be afraid, little one. I will help you ...guide you...take my hand". Dark gray now turning to blue, like the sky ...white clouds. It feels like I'm flying. I can see a beautiful, lush hilltop, overlooking tranquil blue water. A large white building (a house?) with tall pillars and steps sits on top of the hill. A dirt road is nearby, and I can see a man, dressed in a short tunic, struggles to move a wooden cart. Scenes flashing...bright swirl of colors..orange, red, deep purple and shades of brown and tan.
I see a rocky, mountainous area...dry like the desert, dusty. There are deep canyons...high cliffs. Scenes flashing....diving through the white foam of a dark blue wave. I am underwater, among the sea creatures. But it's light and I can see beautiful colors. There is a dark entrance to what looks like a cave among the hills and rocks. Scenes flashing...a desolate place...not a nice feeling...barren...lonely...cold...a place out of time. Time is not what we think. Each moment is happening now...on an endless 'loop'. We can enter the loops at many points...but should take care not to disrupt the loops. Past, present and future are happening simultaneously.
After the session, I discussed what I had retrieved with Dr. Kouguell. Although, I was filled with wonder and awe at what I had experienced, unable to be sure if it had happened in the past or present, I still felt I had not been given a "choice" about participating. Dr. K. mentioned the fact that I had willingly "taken" my friend's hand...wasn't that making a choice?
I explained my feelings using the following analogy....
If someone was dangling me by my feet off the 13th story of a building, threatening to drop me, and along comes a man on a flying carpet, offering to save me...is that REALLY a choice? Or am I being coerced to follow a certain direction? After some discussion, I came to the understanding that I now have a choice. I'm able to jump from that "13 story building". I know I will not fall !
Michelle Guerinsource:
http://whale.to/b/guerin1.html