LA DARPA EN GUERRE CONTRE LES SYLPHESORIGINE ET OBJECTIFS
Le Département de la Défense (
Departement of Defense, abrégé DoD) est un organe militaire du gouvernement américain – et par conséquent de l'Ordre Mondial – dont on a de la peine à imaginer la taille et la complexité. Depuis que les Etats-Unis se sont dotés d'une armée professionnelle, cette corporation n'a cessé de grandir et elle compte aujourd'hui près de 2,3 millions d'employés.
Lorsque je portais l'uniforme de la Navy, je pensais naïvement que mes supérieurs étaient au faîte du pouvoir mondial. Comment pourrait-on entrer en compétition avec l'armée du plus puissant pays du monde? Il me manquait encore la conscience occulte nécessaire pour identifier les groupes influençant les présidents et les généraux, qui ne devenaient dès lors que des marionettes au service d'objectifs secrets.
Parmi ces groupes, j'aimerais parler aujourd'hui de la DARPA (
Defense Advanced Research Projects Agency), une agence scientifique que j'ai eu l'opportunité de cotoyer de près grâce à un programme d'intégration qu'ils destinaient aux chefs de service du DoD. Sans cet aperçu, je n'aurais sans doute jamais imaginé les dessous occultes de la plupart des technologies actuelles.
La DARPA est une organisation au mode de fonctionnement très particulier, qui n'a jamais voulu mettre en place une hiérarchie comme celle qu'on trouve dans le reste de la DoD. Il n'y a que deux niveaux: les responsables de coordination des différents offices, et les chercheurs scientifiques. Ces derniers ne peuvent rester plus de 5 ans à la DARPA, mais sont en revanche incités à donner libre cours à leur imagination pour développer de nouveaux projets futuristes.
Le conseil des sages
On ne peut en fait comprendre une organisation sans connaître son histoire et l'idéal de son fondateur. Il nous faut donc revenir dans les années de la Seconde Guerre Mondiale, lorsque le président Roosevelt a été incité par un certain Vannevar Bush à créer la NDRC (le comité de recherche pour la défense nationale), ancêtre de la DARPA.
Vannevar Bush avait le rêve d'une machine – le memex – qui pourrait stocker toutes les connaissances humaines, les relier entre elles et les rendre disponibles aux chercheurs. Comme d'autres, il avait été très affecté par le manque de "coordination" entre l'armée et les scientifiques durant la Première Guerre Mondiale. Il espérait que le memex puisse un jour se réaliser afin de combler cette lacune.
En attendant, il s'efforçait de mettre en place un comité de scientifiques qui pourrait conseiller le gouvernement: c'est le NRDC. Il réussit, par un habile manœuvrage politique, à placer ce "conseil des sages" directement sous le commandement du président, ce qui lui a permis d'agir en dehors des canaux politiques et militaires conventionnels
(
By the way, c'est cette même technique qui permit aux jésuites de prendre le contrôle de Rome voilà 500 ans. Hier les "sages" étaient les prêtres, aujourd'hui ce sont les scientifiques. Et on serait surpris de découvrir les liens qui existent encore aujourd’hui entre ces deux types de « conseillers »...)
Le NDRC était composé de seulement 8 membres: un représentant de l'US Army, un de la Navy et six experts scientifiques issus des grandes universités américaines. Cela semble peu, mais sans cette coordination de haut niveau – sans précédent dans l'Histoire – les Etats-Unis n'auraient sans doute jamais réussi à développer la bombe atomique.
En effet, le projet Manatthan – qui a été initié par la NDRC, devenue entre temps l'OSRD – n'aurait jamais pu aboutir sans une fusion des pensées, car son élaboration dépassait l'entendement d'un simple cerveau humain. Il fallait que quelque chose de "plus qu'humain" (ou moins qu'humain, suivant la perspective) descende à travers ces scientifiques pour qu'ils puissent mettre au point une technologie aussi complexe et anti-naturelle que la bombe A.
L'OSRD fut interrompu après la guerre, en 1947. Et il fut repris en 1958 sous le nom de ARPA, puis DARPA, avec toujours le même souci d'efficacité et de flexibilité. Aujourd'hui encore, la DARPA ne compte que 240 employés, ce qui n'est rien en comparaison avec le nombre de technologies futuristes qui sortent de cette organisation.
Les peuples des mers
Avant d'explorer plus en avant les technologies imaginées et mises au point par la DARPA – et pour bien comprendre leur utilité occulte – il nous faut faire une digression, donner plus de background sur l'origine de mes découvertes sur ce sujet.
Il se trouve que ma formation dans la Navy m'a grandement aidé à comprendre la guerre qui est entreprise par la DARPA, guerre dont je ne peux donner ici tous les détails mais dont il faut comprendre les enjeux si l'on veut savoir pourquoi le "progrès technologique" prend la direction qu'il prend actuellement.
Dans les temps anciens, le contrôle des mers a toujours été un enjeu crucial. Les peuples qui étaient les plus robustes, qui disposaient du plus d'énergie vitale, étaient aussi ceux qui possédaient les flottes les plus puissantes. L'Histoire nous apprend que c'est par la mer que le monde antique a été plusieurs fois régénéré. Par exemple, vers 1200 BCE, des peuples issus de la région de la Mer du Nord ont pris le contrôle de tout le pourtour méditérannéen, établissant partout des cités maritimes et des royaumes autonomes.
Leur influence a été immense. C'est d'eux qu'est venue toute la culture héllénique, les civilisations étrusques, thraces, phéniciennes, et ils ont même réussi à régénérer l'Egypte qui était en train de tomber dans la décadence. C'est sans doute eux qui ont amené l'alphabet – les runes qui sont devenues plus tard l'alphabet étrusque, phénicien, grec.
L'Histoire officielle cherche à cacher l'existence de ceux qu'on nommait autrefois les "peuples des mers", car l'on veut nier que les influences régénératrices sont toujours venues du Nord, alors qu'au Sud sont plutôt actives les forces cristallisantes, celles qui perpétuent les formes mais oublient le sens – l'Esprit.
La première chose que ces pré-vikings qu'étaient les peuples du Nord sont venus faire en Mer Méditérannée a été de détruire Troie, une cité très importante mais dont les sages disaient qu'elle avait été construite sur le mensonge. Avec la distance, on peut estimer que ce mensonge consistait à avoir pris la forme d'une cité libre et raffinée tout en gardant une mentalité esclavagiste, similaire à celle qui dominera plus tard l'immense empire Perse.
La Guerre de Troie fut d'une portée planétaire considérable, elle allait inaugurer toutes les batailles qui allaient suivre, celles opposant les peuples libres du Nord aux esclavagistes du Sud. Les guerres qui opposeront, 1000 ans plus tard, Carthage, dernière cité maritime issue des colonisations nordiques, et Rome – réincarnation de Troie, selon la légende – furent d'égale importance.
On sait que Rome finit par s'imposer par l'imitation: imitation de l'art de la guerre mais aussi – et c'est là où je voulais en venir – imitation dans la construction des flottes navales. Rome était, comme la plupart des civilisations de mentalité "sudiste", plutôt une puissance terrestre et c'est avec beaucoup de surprise que les Carthaginois virent surgir des côtes romaines une armada de navires copiés sur le modèle des nordiques.
La nouvelle Rome
J'esquisse là une vision de l'Histoire qui n'est peut-être pas aussi exhaustive qu'elle devrait l'être, mais qui résume l'essentiel de ce que je veux amener. Car le but n'est bien sûr pas de se perdre dans les méandres de l'Histoire antique, mais de comprendre la guerre qui se mène aujourd'hui.
Pour cela, il importe en premier lieu de répondre à quelques questions essentielles. D'abord, quelle civilisation représente aujourd'hui la Rome impériale? L'Angleterre bien sûr, comme on peut le voir par sa langue qui s'est imposée partout. Les Etats-Unis ne sont que le bras armé de Londres.
Comment s'est-elle imposée? En prenant le contrôle des océans, en devenant ce que les experts en géopolitique appellent une thalassocratie. Comme nous l'avons vu dans l'Histoire, celui qui peut s'imposer sur la mer peut s'imposer partout, car sa puissance de frappe est beaucoup plus rapide et surprenante. Il y a là une leçon à retenir.
C'est encore à l'OSRD, l'ancêtre de la DARPA, que nous devons cette maîtrise sur l'élément acqueux. Ce sont les ingénieurs en son sein qui ont mis au point et perfectionné les technologies du radar et du sonar, assurant ainsi la victoire sur les Allemands.
En vivant en Amérique, je suis conscient d'être au cœur de la nouvelle Rome. Par ailleurs, mon destin m'ayant placé dans la US Navy, j'ai été longtemps au cœur du dispositif qui constitue le fondement de sa puissance – puissance qui continue à permettre des coups d'envergure, comme par exemple la récente invasion d'Haïti.
Rome ne peut toutefois se contenter de cette maîtrise maritime mondiale. Comme toute civilisation à mentalité "sudiste", elle veut tout. Et ainsi, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, elle a continué son expansion totalitaire, s'appuyant sur ses anciennes conquêtes et découvertes scientifiques pour percer plus avant.
Les armes civiles de la DARPA
Le tour de force de la DARPA a été de faire passer des armes militaires pour des technologies au service des populations civiles. Elle a ainsi pu continuer sa conquête sous couvert de "progrès scientifique".
Par exemple, sous l'auspice de la DARPA, la technologie du radar s'est développée pour devenir le Global Positioning System (GPS). Et ces dernières années, cette technologie a été intégrée dans d'innombrables systèmes informatiques, permettant aujourd'hui aux satellites de la DARPA d'avoir un contrôle sur pratiquement tout ce qui bouge.
Internet aussi est une arme de guerre. Le réseau ARPANET a peut-être d'abord été conçu pour partager les données des scientifiques – manifestant ainsi le vieux rêve de l'idéaliste Vannevar Bush – mais les experts de la DARPA ont vite compris qu'il serait une arme plus redoutable s'il était utilisé pour transférer toutes les communications mondiales. Des technologies de contrôle comme ECHELON ont été développée en parallèle.
Les Anglais ont d'abord imposé leur langue. Puis ils ont imposé le protocole technique qui permet aux êtres humains de communiquer. Quel ingéniosité!
C'est un amiral de la Navy, John Poindexter, qui a pris la tête, après le 11 septembre 2001, de l'Information Awareness Office (IAO), un organe de la DARPA qui visait à classifier toutes les communications et bases de données civiles afin de détecter les "terroristes" potentiels. Si cet office fut fermé suite à d'innombrables controverses (la première étant la condamnation de l'amiral dans l'Irangate), nos sources indiquent qu'il a été simplement transféré vers la NSA, agence de "sécurité nationale", qui gère également ECHELON.
Il s'agit là de données qui sont connues sur Internet, mais les conspirationnistes ne semblent capables ni de comprendre l'ampleur de l'imposture, ni de résister à l'attrait des technologies de l'information. Alors, ils s'agitent et s'indignent sur Internet, l'arme centrale de cette DARPA qu'ils dénoncent!
Le but "obscur" des mondialistes n'est pas de contrôler les communications et d'identifier les rebelles: ils peuvent faire cela depuis le tout début d'Internet grâce à leur connaissance de l'infrastructure même du réseau! On est d'ailleurs à se demander si l'éphémère IAO n'était pas juste un leurre pour amuser les conspirationnistes, surtout avec son logo composé d'un oeil en haut d'une pyramide qui éclaire toute la Terre.
Le contrôle des airs
Une autre technologie qui a beaucoup fait parler d'elle sur Internet est HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program). Les 180 antennes alignées en Alaska soulèvent beaucoup d'interrogations et on comprend l'inquiétude lorsqu'on sait que ce projet a lui aussi été financé par la DARPA (qui lui a donné un acronyme proche du sien), et qu'il est maintenant répliqué en Scandinavie et dans la Sibérie russe, permettant un contrôle des ondes sur tout le continent eurasiatique.
(Note du C.R.O.M. : Comme indiqué précédemment, les courants spirituels descendent toujours du Nord au Sud. En plaçant leurs antennes dans les lattitudes les plus septentrionales, ils peuvent ainsi bloquer et brouiller les influences spirituelles sur toute la Terre). J'aimerais vous montrer qu'HAARP constitue la suite logique des technologies développées par la DARPA. Les anglais ayant pris le contrôle des océans, ils désirent maintenant transférer leur savoir-faire et leur puissance sur un plan supérieur: celui de l'air.
Certes les avions fendent l'air depuis longtemps, mais ce n'est pas de cela que je veux parler lorsque j'évoque leur désir de maîtriser l'air. L'air n'est pas cet élément presque vide qu'évoque la vision matérialiste. Il est extrêmement complexe et c'est pourquoi aujourd'hui encore la météorologie est incapable de faire des prévisions fiables à plus de 2 ou 3 jours.
Les élites scientifiques de la DARPA savent – j'ai pu le vérifier par moi-même – que les dépressions atmosphériques et autres phénomènes météorologiques ne sont pas dû qu’à des lois physiques, mais qu'ils sont le fruit de forces dont ils n'ont pas (encore) le contrôle. Les "anti-cyclones", par exemple, se forment de manière tout à fait "aléatoire" et autonome dans une région du pôle Nord, avant de descendre vers le Sud.
Comment expliquer cela? En cessant de voir des phénomènes physiques là où il y a des êtres. Il n'y a pas si longtemps, les hommes craignaient de prendre la mer car ils savaient qu'ils étaient à la merci des êtres élémentaux de l'eau, les ondines. Certaines îles sont restées longtemps inaccessibles car des tempêtes se levaient dès qu'on tentait de les aborder. Pour ces raisons "magiques", Rome a dû remettre à plus tard son expansion dans certaines régions de l'Angleterre et de la Scandinavie.
En revanche, les peuples qui étaient bien accordés avec les ondines pouvaient bénéficier de conditions de navigation exceptionnelles. Les peuplades du Nord qui, comme nous l'expliquions plus tôt, prirent possession du pourtour méditérannéen voilà 3000 ans, vouaient un culte au dieu de la mer Poséidon/Neptune. Un épisode de l'Odyssée d'Homère raconte que leurs navires à proue de dragon pouvaient traverser de grandes étendues d'eau presque sans aucun effort, comme si les ondines les poussaient. C'est cette même alliance qui permettra, deux millénaires plus tard, aux vikings d'accéder aux côtes du Canada malgré une technologie maritime rudimentaire.
Les puissances "sudistes" qui perpétuent le mensonge de Troie agissent, elles, d'une toute autre manière. Refusant de s'accorder avec les lois cosmiques, elles durent au fil des siècles développer une ruse et une technologie toujours plus élaborée pour s'imposer au-dessus des forces de la Nature. Nous avons indiqué que c'est l'ancêtre de la DARPA qui a mis au point les radars et les sonars. Aujourd'hui, ces mêmes intelligences cherchent à maîtriser le climat grâce à HAARP.
Depuis peu, beaucoup de revues annoncent que la prochaine guerre sera la guerre climatique. Il semble que les élites mondialistes aient décidé qu'ils n'accepteraient désormais plus d'être les victimes impuissantes des tempêtes et autres séismes. HAARP et les chemtrails (qui permettent la diffusion des ondes EMF grâce au sel de baryum répandu dans l'atmosphère) constituent l'arsenal de base de cette nouvelle lutte. Cependant, plutôt qu'une régularisation du climat, les experts constatent que le climat passe de plus en plus d'un extrême à l'autre.
Les êtres élémentaux de l'air, ceux qu'on appelait autrefois les sylphes, se débattent, ils résistent à cet emprisonnement qu'on veut leur faire subir. Certains clairvoyants de ce côté de l'Atlantique ont fait remarqué que les sylphes venaient dissoudre les chemtrails. Ils seraient aussi occupés à endommager certains avions à réacteur nucléaire, au point qu'un tiers d'entre eux seraient aujourd’hui immobilisés sur le sol.
Le phénomène OVNI
Le démonisme des forces noires qui dirigent l'Amérique va cependant plus loin encore. Les différentes données que j'ai fournies ici vont permettre de comprendre, en partie, un autre phénomène qui a beaucoup mobilisé l'attention ces 50 dernières années: les OVNIs.
La propagande officielle, diffusée sur Internet et par le biais de superproductions hollywoodiennes, a voulu nous faire croire que les apparitions de vaisseaux dans le ciel était due à des visiteurs d'autres planètes. Si d'occasionnelles incursions extraplanétaires ne sont bien sûr pas à exclure, surtout depuis la généralisation des expérimentations nucléaires qui constituent – comme j'ai pu l'indiquer ailleurs – une attaque des dimensions supérieures de l'univers, la grande majorité de ces "OVNIs" sont en fait des sylphes qui se sont regroupés dans des structures éthériques communes.
Les ingénieurs de l'armée américaine – dont bien sûr ceux de la DARPA – étudient ces déplacements avec un grand intérêt, non pour l'amour de la science, mais dans le but de les imiter. Oui, vous avez compris: de même que Rome imita les Carthaginois pour les vaincre, les scientifiques cherchent à imiter les sylphes pour conquérir leurs domaines éthérés.
Lorsque j'ai participé au programme d'intégration de la DARPA, j'ai eu la confidence d'un chercheur qui m'a dit qu'ils étudiaient le mouvement et la nature des ondines afin de développer des sous-marins toujours plus rapides et discrets. Quoique peu enclin à fantasmer sur les êtres de la nature, lui et son équipe avaient été contraints d’en admettre l’existence lorsque leurs machines ont détectés des formations énergétiques qui se déplaçaient de manière tout à fait autonomes, comme des êtres et non comme des « champs de forces » obéissant à de simples lois physiques.
Or, les différents projets que finance actuellement la DARPA sont très souvent en lien avec des technologies permettant de rendre les avions plus rapides et plus discrets… Connaissant leur mentalité, n’ont-ils pas naturellement le désir de créer des engins volants qui, comme les vaisseaux des sylphes, seraient suffisament éthérés pour disparaître à l’œil nu ? Et le projet Montauk, dans lequel on aurait soi-disant fait disparaître un bateau de la Navy, n’est-il pas en relation avec cet objectif stratégique ?
Nous attendons encore des confirmations pour ces hypothèses. Il y a toutefois de grandes chances que, longtemps cachées dans les laboratoires de l'armée, ces technologies aériennes vont petit à petit être diffusées à des entreprises privées qui en feront un usage commercial. Mais jamais on ne vous parlera des forces élémentales qu'il a fallu observer et exploiter pour arriver à ces fins. Cela fait partie des secrets de la DARPA!
Les Forces Libres
Pour être complet, il me faudrait encore vous parler du lien qu'il y a entre les sylphes de l'air et la pensée. Car alors on verrait que le développement de l'Internet et des divers systèmes de contrôle de l'information – ECHELON, IAO, etc – est indissociable du déploiement d'HAARP. Mais cela nous emmenerait vers de trop longues digressions, digressions que j'ai déjà eu l'occasion de faire dans d'autres communiqués.
J'espère cependant vous avoir convaincu qu'il y a bel et bien une guerre contre les forces élémentales de la Nature, et que ces forces résistent et se débattent autant qu'elles le peuvent. Les conspirationnistes ont beau jeu de mettre tous les tremblements de terre récents sur le dos d'HAARP. Certaines catastrophes sont sans doute le fruit de forces élémentales enchaînées et dirigées électromagnétiquement vers une cible qui dérange l'Ordre Mondial, mais d'autres sont "naturelles" (du moins si l'on considère que cette guerre est naturelle dans l'ordre cosmique des choses).
Ne vous trompez pas: les forces élémentales sont puissantes et une grande partie d'entre elles sont encore libres. Toutefois leur champ d'action sur le plan matériel est limité, en particulier en ce qui concerne leur désir d'entraver le développement de nouvelles technologies avilissantes.
L'organisation des Forces Libres à laquelle j'appartiens a pour but, entre autres, de servir de relais sur Terre pour ces forces élémentales. Nos cellules – composées notamment d'un certain nombre de scientifiques qui se sont rebellés contre l'establishement – sont petites et discrètes, mais par la juste orientation des pensées et des actions, elles bénéficient de l'aide de puissants alliés sur le plan invisible.
Nous aussi, comme la DARPA, nous étudions les vaisseaux éthérés des sylphes, mais ce n'est pas pour en faire des copies matérielles. La science des vaisseaux est la plus haute science spirituelle, et elle était aussi associé au dieu Neptune des anciens nordiques. L'eau et l'air sont deux éléments indissociables. Nous avons espoir que notre association avec les sylphes et autres élémentaux finira pour nous fournir des possibilités que le commun des mortels ne pourra jamais imaginer.
Contrairement aux apparences, l'issue de la guerre contre les élémentaux est loin d'être décidée.
source:
http://www.crom.be/article.php?id=42