TRANSITION ET ARCHE
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| DUNCAN O'FINIOAN, L'INVINCIBLE GUERRIER | |
| | Auteur | Message |
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invitée
Localisation : Tarn
| Sujet: DUNCAN O'FINIOAN, L'INVINCIBLE GUERRIER Mer 16 Juin 2010 - 15:58 | |
| DUNCAN O'FINIOAN, L'INVINCIBLE GUERRIER Duncan O'Finioan était le guerrier mandchou ultime... manipulé, programmé, contrôlé; le participant d'un projet classé '' hautement secret '' type MK Ultra, nommé ''projet Talent.'' D'un groupe initial de 1000 enfants, entrainés à devenir des enfants guerriers en 1966, il est aujourd'hui l'un de la vingtaine toujours en vie pour raconter son histoire. Dans son interview, l'une des plus extraordinaires que nous ayons entendues, Duncan décrit:
Sa mission de ''traiter'' le futur président des USA, ivre, ... GW. Bush Ses capacités physiques, psychiques... comprenant le pouvoir de balancer quelqu'un de l'autre coté de la pièce avec son esprit, et de traverser un mur plein Comment lui et 11 autres enfants furent transportés au Cambodge pour envoyer un coup mortel ciblé à toutes les troupes des kmers rouges environnantes... avec pour unique arme le pouvoir de leurs esprits rassemblés Comment son bras droit est programmé, capable d'une vitesse et d'une force renversante Son combat pour récupérer sa mémoire, aidé par un accident de voiture qui dévoile un implant crânien, découvert lors d'un scanner cérébral..., ce qui a désactivé l'implant alors que le scanner prenait feu Son rôle d'assassin programmé, ciblant des américains sur ordre d'une agence non révélée La sélection, la torture, l'entrainement brutal qu'il a subi... et que des enfants subissent encore à ce jour Et plus encore...
Vingt ans plus tard, Duncan (d'origine mixte cherokee et irlandaise) vient dire la vérité sur le projet de l'ultime guerrier: comment il est choisi, élevé et torturé pour devenir la machine de combat parfaite, réunissant la supériorité physique avec les capacités mentales extraordinaires d'un espion psychique. Courageux, fidèle à ses principes, et déterminé à regagner le contrôle de sa vie, Duncan O' Finioan nous expose son histoire.Duncan O' Finioan: Comme je disais, on est censé vivre dans une société libre et civilisée. Ce n'est pas le cas. Ils peuvent arriver, vous enlever alors que vous n'êtes qu'un enfant, faire de vous un tueur, et puis vous utilisent, vous maltraitent, et quand ils ont fini, vous jettent. Ca ne devrait pas arriver.... Alors, je m'assieds et je commence à prendre ces morceaux de puzzle en disant:'' ça colle là, ça s'emboite, là ça ne colle pas.'' Et je fais: '' ça fait une image''. La dame devant s'avance, le type derrière moi s'approche. Elle le regarde en souriant et dit: '' On en tient un '' et c'est là que ça a commencé. ...C'est là qu'ils faisaient le tri: Qui est bon pour ceci? Qui est bon pour cela? Qui va être un soldat, qui sera un espion psy? ...Tout le monde sait qu'Hitler cherchait l'ultime soldat, le super soldat, le guerrier ultime. Hitler était également impliqué dans l'ésotérisme, surtout le contrôle de l'esprit, et, à cette époque, ils ont essayé de combiner les deux, contrôle de l'esprit, super soldat, guerrier ultime. Ils commençaient à en faire un projet unique et c'est là qu'ils m'ont pris. ...Les coups de pied de ma jambe droite atteignaient 180 km heure, la force de mon coup était bien au dessus de 300 à 325 kilos. À briser des blocs de béton. ...Ce type m'attrape par la gorge, j'esquive sur le côté, jetant les paumes des mains vers le bas, et j'ai hurlé dans ma tête. Le type part en l'air et en arrière. Je ne l'ai jamais touché.... Je regarde plus loin et il y avait George Junior assis au bar, ivre mort, avec un garde du corps des services secrets qui essaye de le calmer. C'est là que ma conscience a basculé. Je ne me souviens pas m'être rendu sur place. Interview Kerry: Retournons au début pour voir comment vous êtes entré dans ce programme.Duncan: Ils cherchaient des gens moitié indien, moitié celte. Ecossais ou irlandais n'avait pas d'importance du moment que c'était celte. La raison pour ceci est que les indiens américains et les celtes sont deux des races sur terre qui sont le plus aptes aux capacités psychiques et paranormales. En fait, ces deux cultures pratiquent les pouvoirs paranormaux. C'est une sorte de mémoire génétique, c'est dans notre mémoire. Ok. Je pensais que c'était essentiellement ça jusqu'à il y a deux ans, lorsque j'ai découvert que mon père était un agent de la CIA. Mon père est mort depuis 15 ans maintenant. Je n'en avais aucune idée. Mais cette information m'explique beaucoup d'autres bribes d'information et beaucoup de choses qui sont arrivées dans le passé se mettent en place.
Bien, en 1966 j'avais six ans, mes parents m'ont emmené en ville. Il faisait nuit, il neigeait, il faisait froid. Je n'oublierai jamais ce jour là, il est marqué d'une pierre dans ma mémoire. Pourquoi va t-on chez le quincailler si tard dans l'après midi? Nous entrons dans le magasin et, à cette période là ma mère et mon père ne se disputent pas , mais ne s'entendent pas très bien non plus. Je suis déjà allé dans ce magasin plusieurs fois avec mon grand père et là, on allait dans le fond, je n'étais jamais allé jusqu'au fond, il y a une porte et si vous ne saviez pas qu'elle y était, vous passiez devant sans la voir. Alors on entre et là, il y avait 6 ou 7 gosses de mon age, ils sont tous assis à ces tables basses comme au jardin d'enfants, assis sur des petites chaises et ils avaient tous les mêmes choses qui ressemblaient à des morceaux de puzzle. Bon, cette femme entre, elle colle pas du tout dans le tableau. Ok.
Elle est grande, élégante, manteau de fourrure. À l'est du Kentucky. C'est pas possible, OK. À partir de ce moment là, elle a joué un rôle des plus importants. Je l'ai vue dans plusieurs de mes souvenirs. Elle m'installe pour que je joue. Elle me donne une pile de cubes. Ce sont des morceaux de puzzle. Et elle dit: ''Je veux que tu me fasses une image'' et elle s'en va. J'ai cherché ma mère autour de moi et elle est avec un type en costume qui ne devrait pas être là lui non plus; il a un dossier et elle signe des papiers. À 6 ans, j'étais intrigué, mais on n'y pense plus. Donc, je m'assieds et je commence à prendre ces morceaux de puzzle en disant: ''ça colle là, ça s'emboite, là ça ne colle pas.'' Et je fais: '' ça fait une image''La dame devant s'avance, le type derrière moi s'approche. Elle le regarde en souriant et dit:'' On en tient un'' et c'est là que ça a commencé. On m'a donné quelque chose à boire, je me souviens m'être endormi, et c'est tout.Kerry: Mais alors, êtes-vous rentré avec vos parents?Duncan: NonKerry: Je voisDuncan: On m'a emmené directement. C'est ce que j'ai compris plus tard. Parce que dès je me suis endormi, grâce au truc qu'il y avait dans la boisson, Kool-aid ou autre, ça m'a vraiment zappé. Mon souvenir suivant, j'avais 9 ans et demi.Kerry: Vous avez donc un trou de mémoire maintenant.Duncan: Hmm, oui. J'ai des souvenirs qui reviennent, et j'ai des fragments, des bribes de ce qui est arrivé durant tout ce temps là; certains très vivants, d'autres dont j'ai la documentation, d'autres sont des souvenirs qui sont juste là.Kerry: Donc, à l'age de 9 ans, pourquoi vous rappelez vous 9 ans? qu'est- il arrivé?Duncan: Parce que j'avais pris un boulot à l'hôpital local, l'hôpital d'ici, de l'Université du Kentucky. Ils ont fait un certain type de procédure que personne n'a vraiment été capable de m'expliquer. Même en tant qu'adulte, j'ai essayé d'avoir le dossier, et personne ne me le donnera. Puis, de là, j'ai eu deux années comme un enfant, ou tout avait l'air ok, beaucoup d'activités paranormales et tout ça et puis à 14 ans, c'est reparti.Kerry: Reparti à l'hôpital?Duncan: Non, les souvenirs disparus.Kerry: Ah... ok, donc, avec le recul, vous estimez que vous avez été formé en tant que soldat pendant ce temps?Duncan: OuiKerry: Pouvez vous nous décrire l'entrainement?Duncan: La meilleure façon, c'est de revenir en arrière pour un moment.Kerry: Bien sûrDuncan: Imaginons le Projet Talent. Les gens du Projet Talent vont à l'école. Ok, quand on est en classe élémentaire, on nous apprend tous la même chose. C'est là qu'a commencé l'entrainement aux arts martiaux. J'ai des souvenirs très clairs de 15 ou 20 d'entre nous dans un groupe avec des adultes, et ils nous entrainaient comme des adultes. Il n'y avait pas de gants d'enfants [ gants de boxe] ok, 6, 7 ans, 8 ans, on en prenait des coups; je veux dire, on était battus, énormément, mais on apprenait.Kerry: Mm hmDuncan: Et l'entrainement paranormal a commencé de pair. C'est là qu'ils faisaient un tri de qui est bon à quoi, qui va être un soldat, qui sera un espion psy?Kerry: Vous êtes ceinture noire de Karaté?Duncan: Même après j'ai continué; j'ai pris des entrainements de mon coté, j'ai créé des studios, je suis qualifié ceinture noire cinquième degré, officiellement.Kerry: Dans le monde réel, vous voulez dire?Duncan: Oui, c'est ça.Kerry: Vous avez dit lors d'une interview que j'ai lue, que des souvenirs vous sont revenus lorsque vous avez commencé à enseigner le Karaté. C'est ainsi que vous avez déclenché leur survenue dans votre conscience. Duncan: Hm.. oui. Il y a eu un événement particulier. J'avais un ami qui est un ex-marine. Il était plus qu'un habitué, il avait l'habitude de venir travailler avec moi quand il était chez lui en permission. Un soir, on s'entrainait à la boxe, et c'était un type balèze, charpenté, vous saviez qu'il tiendrait, à mon niveau sans une goutte de sueur. Donc, on boxe, et je lui ai envoyé un coup tel qu'il s'est relevé en colère et déboussolé. '' Où as tu appris ça?'' Et je réalise que je n'en ai aucune idée, où ai-je appris cette technique? Il dit que ça vient direct de la ferme. Je n'ai que 19 ans. La ferme ? De quoi tu parles? Une ferme avec des troupeaux, des cochons? Je ne savais rien et il me dit: ''Le camp d'entrainement de la CIA, La Ferme'' Et alors ça a fait tilt. Ok. C'est à l'occasion d'un accident de voiture, causant 3 ruptures de disques dans le cou, il y a 8, 9 ans que les souvenirs ont réellement apparu. Quand ils m'ont passé au scanner, la résonance électromagnétique ne s'est pas accordée avec l'implant crânien.Kerry: Que vous aviez eu ?Duncan: Quelque part, en sorte, oui, j'ai un implant crânien; je le dis car je l'ai sur les radios. Quand ils m'ont mis dans le scanner, après la mise en marche, ça a commencé à tourner, ok. Imaginez une douleur immense. Imaginez vous là dedans, et vous voyez mille écrans télé et ils arrivent vers vous en une fois. Sur chacun de ces écrans, il y a une image et cette image est un souvenir et ça vient, ça vient et ça vient.Kerry: C'est étonnantDuncan: Voilà comment j'ai commencé à récupérer ma mémoire.Kerry: Alors, je ne sais pas si ça s'est passé ainsi, vous hurliez et l'IRM a explosé?Duncan: L'appareil a pris feu. C'est ce qui m'en a sorti. Parce que, je suis là dedans, avec rien sauf mon slip et une chemise d'hôpital, me tenant la tête et hurlant au meurtre et je sens de la fumée ok; les techniciens et les infirmières rappliquent et ils me sortent de là; et ils ont les extincteurs et tout ça.Kerry: Maintenant, vous avez toujours l'implant dans le crâne?Duncan: Il est toujours là. Mais, d'après ce que je comprends, il ne marche plus.Kerry: Qu'est ce qui vous fait dire ça?Duncan: Parce que je n'ai plus été utilisé depuis. Je n'ai eu aucun trou noir et je n'ai pas disparu pendant 3-4 jours ou une semaine sans aucune mémoire. Ils ont arrêté. C'est juste un point inerte dans le cerveau. Ça ressemble à un grain de riz et c'est juste un point mort. Juste là. Kerry: C'est si petit?Duncan: OuiKerry: Wow !Duncan: Je l'ai fait vérifier par des sources indépendantes. Ils ont regardé et m'ont dit: ''Vous avez un problème, il faut retirer ça. Eh, vous allez mourir. '' J'ai dit: '' Non, non ça va.'' Je ne leur ai pas dit ce que c'était, je voulais juste leur opinion - entendre ce qu'ils en diraient - je ne dis rien tant que je n'ai pas de preuves, ou tant que je n'ai pas quelqu'un prêt à signer une déposition disant qu'ils étaient là, qu'ils l'ont vu, qu' ils savent. Si je n'ai pas de preuves, je dirai: '' c'est ce que je pense ''.Kerry: Ok. On retourne à quand vous étiez enfant, et que vous alliez à l'hôpital, vous disiez. Est ce qu'il s'est passé quelque chose avec votre corps qu'ils auraient changé à ce moment là?Duncan: Je me souviens avoir subi une sorte d'examen. Je me souviens du réveil et de la machine; ça devait être en 1969. Je revois la machine, de la taille de cette table, avec un couvercle; et ils l'abaissaient au dessus de moi, ça devenait chaud. Je n'étais pas supposé me réveiller. J'étais censé être complètement drogué. Et bien, je me suis réveillé en plein milieu; j'avais des douzaines de tuyaux de chaque côté, ils étaient tous branchés un par un. Ensuite, qu'est il arrivé? Je ne sais pas.Kerry: Aviez vous une force hors du commun, ou étiez vous... vous savez.. .avez vous remarqué des changements radicaux dans votre façon d'appréhender la réalité? Je veux dire, à 14 ans c'est sûrement difficile à exprimer. Mais, vous savez, avec le recul, pensez-vous que vous vous soyez développé à une vitesse différente des autres enfants à cause de ça?Duncan: Oui, je le pense. J'ai toujours été plus fort, plus rapide, plus résistant que n'importe qui autour de moi et c'est aussi la même chose avec tous ceux d'entre nous issus de ces projets. Cela fait partie de la structure même du super soldat. Ils veulent que le super soldat soit simplement cela: super. Au delà du normal, plus rapide, plus fort, plus résistant, plus grande tolérance à la douleur, etc... etc... et plus, plus, et encore plus. C'est ce qu'ils veulent.Kerry: Pouvez-vous nous dire quelles sont vos capacités lorsque vous êtes au top de vos performances? Que pensez-vous avoir été capable d'accomplir?Duncan: Les capacités physiques, oui, je les ai gardées. Les capacités paranormales, j'en ai gardé quelques unes. Les principales reviennent quand la personnalité ultime revient. C'est une des choses qu'ils nous ont faites, de nous donner une autre personnalité, l'ultime. Nous étions entrainés alors que nous étions dans cette personnalité ultime. Des témoins m'ont vu éclater des sacs très lourds d'un coup de poing, d'un seul. Vous n'êtes pas censés pouvoir faire cela. J'ai été évalué pour la vitesse et la force de coup de poing à Burlington, Wisconsin, dans un complexe qui n'existe plus et qui faisait tous les tests pour les sportifs professionnels, pour les équipes de foot et tout ça. À ce moment là, la force de mon coup de poing équivalait à mon poids: 85 kilos.Kerry: De quand parlons nous, quelle année environ?Duncan: En 1984, au printemps. Les résultats des tests étaient hors norme. Ma force de frappe était trop puissante, plus puissante que celle d'un boxeur poids lourd. C'était encore pire pour la force et la vitesse de mon coup de pied. Les coups de pied de ma jambe droite dépassaient 180 kilomètres /heure, la force de mon coup était au dessus de 325 kilos. Ca explose un bloc de béton.Kerry: Ok, et pour les capacités psychiques?Duncan: Mes principales capacités psychiques, celles que j'ai gardées dans cette personnalité sont : être capable d'entrer dans l'esprit de quelqu'un, pouvoir prévoir des évènements en temps réel, et quand je dis '' entrer dans l'esprit de quelqu'un '', je ne veux pas dire lire leur esprit, lire leur pensées, entendre leur pensées. C'est ce que les gens avec lesquels je travaille appellent ''voir le mental''. Nous voyons des images de leur pensées. Par exemple, mettons que vous ayez soif et pensez à un soda. Si je vous regarde, je verrai une canette de Pepsi. C'est ce qui arriverait. Alors, ces pouvoirs là, imaginez les chez un soldat, un guerrier, un assassin. Pensez à l'avantage que ça lui donne.Kerry: Et avez-vous le souvenir de certains moments quand vous êtes dans l'autre personnalité, maintenant?Duncan: J'ai des témoins, oui. Vous voyez ce qui s'est produit, c'est qu'en ce moment, je ne suis pas censé me souvenir de quoi que ce soit.Kerry: J'imagineDuncan: Les gens qui commencent à se souvenir ont environ 50-60 ans. Ok; trop vieux pour vraiment faire quelque chose; je ne dis pas que 60 ans, c'est vieux, mais dans notre société, une fois arrivé autour de 60, 62, vous comptez moins pour les gens.Kerry: Alors quel âge avez-vous maintenant, parce que je ne peux vraiment pas dire...Duncan: 46. J'ai 46 ans.Kerry: Ah...Duncan: Tout le monde dit que je ne fais pas 46 ans. C'est une autre caractéristique que nous avons.Kerry: La longévité?Duncan: Oui. La plupart des gens qui commencent à récupérer leur mémoire, lorsque cela leur arrive, sont ceux dont les deux personnalités commencent à s'accorder, à s'emboîter. Ils ne sont plus la personnalité A ou la personnalité B; A et B commencent à fonctionner ensemble. Donc, quand tous ces autres souvenirs surviennent et s'emboîtent avec les autres, ils deviennent dingues.Kerry: La plupart des personnes?Duncan: Oui. La plupart d'entre eux se suicident ok. Et ceux qui ne se retrouvent pas dans un asile...Bill Ryan: Est-il possible, Duncan, que beaucoup de ces personnes soient programmées pour se suicider?Duncan: Oui.Bill Ryan: Pour s'auto-détruire quand elles ne sont plus utiles? Kerry: Alors, vous dépassez les espérances du système en fait?Duncan: Oui. Kerry: Vous avez dû en avoir des combats. Qu'est ce qui vous soutient, d'après vous? Qu'est ce qui vous a permis de vous maintenir ainsi que vous êtes?Duncan: Après l'accident, nous avons changé de région. Nous avons déménagé dans le nord du New- ersey. Je n'étais pas censé porter plus de 3 kilos. Je ne devais plus être capable d'élever les bras au dessus de la tête. À cause de la gravité de l'accident. À deux heures du matin, je suis assis dans mon appartement du New-Jersey et cette petite voix me dit: '' c'est quoi ton problème? Qu'est-ce qui cloche avec toi? Mauviette, tu vas laisser tomber? T'as été un combattant ta vie entière? Lève-toi et bats-toi.'' J'ai commencé à faire des pompes cette nuit là. Un an plus tard, j'étais bien.Kerry: Vous êtes vraiment revenu par vous-même de vos blessures?Duncan: Les blessures sont toujours là. Si je vais chez un neurologue maintenant et le laisse me faire une radio, il me regardera en me disant que j'ai besoin d'une chirurgie aujourd'hui même. Mais je refuse. La douleur est toujours là. Je vis avec la douleur 7j/7 et, si tout ce que l'on m'a fait n'était pas arrivé alors que j'étais enfant, je prendrais probablement des antalgiques tous les jours.Kerry: Mais vous n'en prenez pas.Duncan: Je ne prends rien.Kerry: Allez, ce tatouage sur votre bras m'intrigue. Il est vraiment très beau. Vous l'avez fait faire au Viet-nam?Duncan: Non. Il est unique. Mon propre dessin.Kerry: Ah.. vraiment.Duncan: Cette image m'est venue en rêve. Alors, je l'ai dessinée et...Kerry: Est ce un dragon?Duncan: C'est un dragon. Une artiste me l'a fait. Il est resté unique pendant quelques années et, tout d'un coup, j'ai commencé à en voir. Elle publie son travail sur un site web. Il y a environ 6 mois, j'étais au Wal-Mart en face quand je l'ai vu sur la couverture d'un bouquin !Kerry: Et vous l'avez dessiné?Duncan: Je l'ai conçu. Oui.Kerry: Wow, cool. C'est très beau. Donc, qu'est il arrivé au Viet-Nam? Vous y avez eu une expérience étonnante.Duncan: Je suis allé au Viet-Nam deux fois, que je sache. Certain de ces souvenirs sont un peu troubles car, comme j'ai dit, je continue à récupérer des bribes chaque jour.Kerry: OkayDuncan: J'avais 12 ans, ok. Je le sais parce que des gens m'ont dit que c'est en 1972 que j'étais au Viet-Nam. C'était 1972. En fait, c'était pas le Viet-Nam, c'était le Cambodge. On n'était pas supposé être au Cambodge. Une unité de l'US Navy et un Corps de Reconnaissance des Marines étaient coincés par les Khmers Rouges cambodgiens. Ils ont appelé des renforts pour sortir de là. Et je vous dit exactement ce qu'un capitaine de l'US Navy et un capitaine du Corps de Reconnaissance des Marines m'ont rapporté. Maintenant, j'ai mes propres souvenirs de cela, mais je l'ai vu de mon point de vue. Je vais vous le raconter de leur point de vue. Un hélicoptère noir, Huey, atterrissage, 12 mômes sortent de l'hélico. Ouais. Il y a toujours des choses...[ému...]Kerry: Prenez votre temps. Vous avez tout le temps qu'il faut. Je comprends.Duncan: Je sais. Raccourcir une si longue histoire... [pause assez longue, sanglots]On est sorti de l'hélico, on a formé un demi cercle, et on s'est tenus par la main. Il y avait... Kerry: Etaient-ils tous des garçons?Duncan: NonKerry: Avaient ils tous le même âge ou presque?Duncan: Oui. J'étais le plus agé.Kerry: Donc, tous autour de 12 ans?Duncan: Entre 9 et 12 ans. J'étais le chef d'équipe. Nous nous tenions par les mains, avons levé nos bras, et les avons tous tués.Kerry: Comment se fait-il que vos pouvoirs puissent atteindre la cible de l'autre coté et pas ...?Duncan: Je n'étais pas le... j'étais comme la batterie de tête mais je n'étais pas celui qui a ciblé.Kerry: Vous n'avez pas réellement visé votre pouvoir? Vous tous étiez une toute puissance .Duncan: Quelqu'un d'autre devait viser.Kerry: C'étaient les enfants qui devaient viser ou un seul des autres enfants?Duncan: L'un des autres enfantsKerry: Ok. Vous connaissiez les autres enfants?Duncan: J'en connais un aujourd'hui.Kerry: Est- ce que cette personne est prête à venir témoigner?Duncan: Pas cette personne, non.Kerry: Il est vraiment conscient qu'il est l'un de ces enfants?Duncan: Oui Kerry: Sûr?Duncan: Oui.Kerry: Wow. Bon, nous apprécions énormément ce que vous partagez avec nous parce que c'est évidemment une chose énorme et les gens n'aiment pas parler du coté sombre des pouvoirs de l'esprit; mais, ceci en est une des applications et il n'y a aucune raison de le cacher.Duncan: C'est pas ça... c'est bizarre. J'ai fait beaucoup de choses indépendamment de ma volonté. Certaines d'entre elles font surgir des émotions et d'autres pas. Il y en a que je qualifierais de '' Et alors ? '', et d'autres au récit desquelles je n'ai aucun contrôle pour traverser ces moments d'émotions; puis après, je vais bien. Je ne peux pas pleurer sur ordre. Croyez moi, j'ai essayé. [rires] Mais de la façon dont on me l'a expliqué, c'est logique.
12 gamins. Imaginez 12 batteries reliées. Vous avez une batterie, vous n'obtiendrez rien. Ajoutez-en deux et vous avez une étincelle. Ajoutez-en 3, vous avez une brûlure. Ajoutez-en 12 et c'est l'électrocution. Fondamentalement, c'est ce que nous avons fait. Nous nous sommes reliés, tous les 12 et nous sommes joints au delà de tout, un demi cercle,... qui commence à partir du centre, parce que j'étais au centre. Comme cela [gestuelle] C'est se qui s'est passé.Kerry: C'est un exercice pour lequel vous avez été entrainés; en avez vous des souvenirs? Des souvenirs des formateurs?Duncan: Vous vous souvenez de la femme de la quincaillerie? Elle a tenu une place importante quand j'étais jeune. Dans l'image suivante que j'ai d'elle, elle porte une blouse de laboratoire. Et je suis dans cette maison. Elle m'a été décrite comme un manoir et j'ai mon idée de l'endroit où elle se trouve, ou se trouvait, mais je n'ai pas de preuves. Il y a... Je suis dans un couloir, il y a du carrelage vert et blanc, des grands carreaux, et je fais un truc que nous tous qui venons de là faisons, on ne se baisse pas en s'agenouillant, on s'accroupit. C'est bizarre, d'une certaine façon, mais pour nous, c'est naturel. On s'accroupit sur nos talons avec les bras qui pendent, un peu comme un animal. À environ 4 mètres de moi, j'ai un petit seau d'eau. Et je lève le seau, essaie de le retourner et le pose doucement.Kerry: En le soulevant avec votre esprit ou avec vos mains?Duncan: Oui. Juste avec mon esprit.Kerry: Je vois.Duncan: Alors je le fais se soulever, le fait se retourner à moitié, et voilà qu'il tombe. Je n'y arrive pas et je regarde autour de moi et cette femme est derrière moi avec son bloc et prend des notes; et j'essaie d'obtenir un encouragement, en étant gentil: '' j'y suis presque arrivé, j'y suis presque arrivé '', et elle regarde vers moi, me gronde et s'en va. Il n'y avait aucune gentillesse, dans quoi que ce soit.Kerry: Alors, vous avez dit être allé au Viet-Nam 2 fois, quelle était la seconde fois?Duncan: La deuxième fois, tout ce dont je me souviens, c'est que nous avons été abattus. Nous décollions dans un Black Hawk. Ah, pardon, pas un Black Hawk; là c'est un autre incident; un Huey. On était à 4 mètres du sol quand on a été touchés par un feu anti-aérien; on est tombés et ce capitaine de L'US Navy dont je parlais m' a tiré de l'hélico.Kerry: Et ce type est celui qui est témoin de l'incident avec les enfants au Viet-Nam? Duncan: Exact.Kerry: Et il dirigeait quoi? Ou était- il à ce moment là?Duncan: Le plus simple est de vous dire d'emblée que sa famille entière est de la CIA. Il est l'un des plus décorés. Ses performances de sniper sont inégalées. Et en même temps, il était capitaine de voiliers et faisait des excursions au Viet-Nam.Kerry: Il n'a pas été entrainé comme vous l'avez été?Duncan: Il a quelques souvenirs d'un entrainement, mais pas autant que moi même ou les autres.Kerry: Alors comment êtes vous connectés?Duncan: Je l'ai cherché quand j'ai commencé à récupérer la mémoire.Kerry: Parce que vous vous souveniez de qui il était depuis l'âge de douze ans?Duncan: Oui, je me rappelais de sa tête et sachant qui il était, je savais quels milieux il fréquenterait; et j'ai commencé à le chercher et je l'ai retrouvé. Nous avons diné dans un casino, échangeant des histoires .Bill Ryan: Est-il prêt à venir pour un interview?Duncan: Oui.Bill Ryan: Vous le recommandez?Duncan: Oui, absolument.Kerry: Pouvez-vous nous en dire plus? J'imagine que vous êtes un ''remote viewer '' ?Duncan: Oui, mais pas le meilleur.Kerry: Vous avez été entrainé physiquement, vous êtes mentalement très astucieux. Quel était votre position? En d'autres termes, vous avez dit que certains étaient des espions, d'autres des guerriers.Duncan: Mon problème, qui m'a été expliqué par des gens calés, est que je repousse les capacités psychiques. Je ne les laisse pas s'épanouir, je les combats; pour une raison quelconque, je les bloque moi même. Je suis ''diplomé'' du Projet Talent.Kerry: Quel âge aviez vous alors?Duncan: C'était à la fin de l'adolescence. On avait fait de moi un soldat. Un soldat avec des capacités psychiques. Comme je l''ai dit, je n'étais pas de ceux qui, installés dans une pièce totalement noire, peuvent vous dire ce qu'un politicien, à 6000 kilomètres de là, est en train de manger pour son petit déjeuner. J'ai connu des remote viewers de cette envergure, mais je n'en faisais pas partie.Kerry: Avez vous connu Joseph McMoneagle?Duncan: Ce nom me dit quelque chose, on m'a déjà posé cette question. Je ne sais pas pour sûr.Kerry: Où êtiez- vous basé d'après vous? Ça n'était pas le Kentucky.Duncan: Non, non. J'ai des souvenirs de plusieurs lieux d'entrainement. Je sais que j'ai passé 3 ans sur l'île de Saint Thomas, aux Iles Vierges. Cela m'a été confirmé il y a 2 ans. Je me ballade, je vois des gens, ils me regardent et me disent: '' je ne vous ai pas vu depuis que vous étiez gamin ! ''Kerry: En fait, la question que je me pose, c'est où vous ont-ils utilisé? Avez vous une idée?Duncan: Après le Viet-Nam, j'ai quelques souvenirs très clairs de plusieurs assassinats qui ont été commis. Je me revois sur des bases militaires, j'ai bien été sur la base de Norfolk, en Virginie; ça m'a été confirmé par un homme, spécialiste en radars, qui y était en poste pendant que j'y étais, au sein d'une équipe. Il m'a contacté, car il a vu ma photo, et il a confirmé pour moi des faits dont je pensais qu'ils étaient peut-être des rêves. Et il me confirmait tout ça sans que je lui en parle.Kerry: Etiez vous un assassin?Duncan: Oui, je l'étais.Kerry: Comment vous y preniez vous et quelle sortes de personnes deviez-vous assassiner? Avez-vous une idée? C'était des personnes en temps de guerre?Duncan: NonKerry: Ils étaient américains?Duncan: Pas tous. L'un, je m'en souviens très bien, parce que c'était le dernier, la toute dernière fois que j'ai fait quelque chose pour le gouvernement; c'était à D.C [District of Colombia, ville de Washington] et j'ai mis 3 coups dans le coeur d'une personne très haut placée dans le renseignement. Kerry: Vous en avez un souvenir conscient?Duncan: Celui ci, oui. Je n'ai jamais su son nom. On m'a donné une photo, une cible, des vêtements. Fais le travail. C'est tout.Kerry: Vous souvenez vous d'opérations dans d'autres pays?Duncan: Oui. En France.Kerry: En France?Duncan: Oui. Kerry: Intéressant.Duncan: Le souvenir très net que j'en ai ? – on m'a montré une photo de moi, dans un petit café près de la tour Eiffel - et à ce moment là, je ne savais pas que j'étais allé en France; mais le type m'a montré la photo 12x15 noir et blanc et là, j'y suis, en train de boire quelque chose d'une tasse fumante. Je me souviens avoir fait un travail, je ne me souviens pas en quoi il consistait. Un appât a été envoyé et ce que cette femme devait faire, c'était de faire sortir le type du bar, avec de la chance un peu bourré, si possible, et mon boulot était de l'attraper, d'obtenir l'info et de le ''traiter''. Je me souviens de l'avoir saisi et la mémoire s'arrête là.Kerry: Vous voyez des films n'est-ce pas?Duncan: Non. Je ne regarde pas de films, je ne peux pas.Kerry: Il y a beaucoup de violence dans les films, dans de nombreuses scènes, et je me demandais si ça pouvait réveiller votre mémoire ?Duncan: Ils le peuvent. J'adore le catch. En fait, j'incorporais des techniques professionnelles dans mes cours quand j'étais un instructeur. Ce n'est pas la violence en elle même. Le dernier film de ce genre que j'ai essayé de voir, c'est '' La Mémoire Dans la Peau ''. Je ne pouvais même pas aller jusqu'au milieu, je change complètement.Kerry: Ok. Vous voyez votre personnalité changer?Duncan: Ma personnalité change et je plains la personne qui est en train de regarder avec moi; habituellement, je me lève et je m'en vais. Les films de science-fiction ne m'ennuient pas, mais tout ce qui concerne les opérations ''black programs'' du gouvernement, CIA, NSA, assassinats secrets, je ne peux pas. Kerry: Avez-vous des souvenirs d'autres planètes ? Je sais que ça a l'air un peu limite...Duncan: Non, pas du tout. Il y a une chose que nous partageons, quelques-uns d'entre nous, c'est une peur profonde de la planète Mars. Apportez-nous Mars et c'est juste comme regarder ces films. Il y a un truc au sujet de Mars qui change totalement notre attitude à ce moment là. Je connais une personne qui dit carrément qu'il vaut mieux laisser Mars seule. Kerry: Ca veut dire...? Ne pas y aller ou ne pas en parler?Duncan: Ne pas y aller parce qu'ils réveillent quelque chose.Kerry: Sur Mars ?Duncan: Hm, hm..Kerry: Êtes-vous toujours un voyant?Duncan: Bien sûr.Kerry: Alors, vous devez avoir des pensées ou des associations d'idées avec Mars. Êtes-vous d'accord pour en parler ? Car je sais que vous avez des maux de tête, parfois, après certaines conversations où vous retournez dans le passé dans votre esprit pour votre récit.Duncan: J'en ai un carabiné maintenant. Les maux de tête sont une part intégrale du conditionnement. C'est un faux mal de tête, un mal de tête programmé .Kerry: J'aimerais savoir si vous avez vu des machines spéciales?Duncan: Oui, en souterrain.Kerry: Avez-vous vu une certaine race d'êtres là?Duncan: Oui. Ils sont en stase.Bill Ryan: Comme une sorte d'hibernation induite artificiellement?Duncan: Oui. Merci.Kerry: Ce ne sont pas des humains, dans cet état?Duncan: Non. Kerry: Ce sont... les êtres?Duncan: ..Et ils sont très grands, ont des caractéristiques particulières.Kerry: Ils ressemblent aux égyptiens?Duncan: Oui, pas mal.Kerry: Vous parlez beaucoup de colère, dans l'interview récente que vous avez donnée sur votre site.Duncan: Oui.Kerry: Pouvez-vous nous en parler un peu, le décrire et comment vous y faites face? Duncan: Avant c'était 100% de rage. Quand ces souvenirs sont revenus, que je me suis assis et ai commencé à faire les connections de tout ce qui avait débuté quand j'avais 6 ans, toutes les choses que l'on m'avait faites, ce que l'on m'avait fait accomplir, c'était de la rage à l'état brut. Ma première réaction était d'aller à Washington et de péter les plombs. Ok. Bon, comme on dit, je suis peut-être fou, mais pas stupide; et en tant que combattant, j'étais entrainé à canaliser la colère, à ne pas la laisser prendre le dessus; j'ai changé cette colère en devenant si fou que je veux faire quelque chose et je suis resté ainsi.Kerry: C'est pourquoi vous écrivez des livres?Duncan: Non. En fait, j'ai commencé à écrire pour une sorte de thérapie personnelle, pour exorciser tout ça et je n'avais jamais rien écrit; quelqu'un en a lu une partie et m'a dit que c'était bien, que je devrais continuer. C'est donc ce que je fais.Kerry: Vous avez un livre qui sort bientôt?Duncan: Oui. ''Deadly Awakening'' [Réveil Mortel]. Ca couvre toute notre conversation plus tous les détours où nous n'avons pas eu le temps d'aller. Ca va peut-être devenir un film et ça, ça m'a complètement bluffé.Kerry: C'est merveilleux, super !Bill Ryan: En racontant votre histoire à une audience plus grande, qu'aimeriez-vous qu'il en résulte?Duncan: J'aimerais voir plus de gens se réveiller, marcher à Washington; que l'on révèle ces projets noirs et que l'on implique les responsables. Il n'y aura pas de procès de groupe du genre ''class action'', il n'y aura pas de poursuites; ça va, j'ai dépassé tout ça il y a des années. Tous ceux impliqués doivent en arriver là, simplement les rendre responsables, et que ces programmes cessent.Bill Ryan: Pensez-vous que ça continue aujourd'hui?Duncan: Oui, absolument.Bill Ryan: Avez-vous idée sous quelle forme ces programmes continuent? Ils ont dit que, dans les années 60, il y avait environ 1000 enfants et qu'il en resterait seulement 60?Duncan: En 1966, il y avait 1000 enfants de pris, qui étaient dans mon groupe. Il y en a seulement 20 en vie aujourd'hui. Je pense que je dois expliquer. C'est à l'âge de 6-7 ans que nous avons été plongés dans un ''mode de survie et de défense''. Nos personnalités ont été divisées. Aucun gamin, aucun adulte, dans son état normal, ne ferait ce que nous faisions. Aussi, ils devaient diviser notre personnalité et ils pouvaient partir de zéro avec cette nouvelle personnalité qui n'avait ni rime ni raison, ni bien ni mal, libre de tout concept. Ils en ont donc fait ce qu'ils voulaient. C'est ainsi qu'ils ont divisé ma personnalité. Maintenant, je suis sûr qu'ils ont fait la même chose avec d'autres gens; mais je sais que pas à tous.
Il y avait des techniques différentes pour des enfants différents. La façon dont ils me le décrivaient quand j'étais enfant était que '' c'étaient les traitements '', pratiquement une terminologie médicale. Imaginez, à 6 ans ...; et le truc marrant, c'est que je peux décrire ça avec peu d'émotion parce que ça m'est arrivé, ce n'est pas quelque chose que j'ai fait.
Vous êtes attaché, nu, sur une chaise de bois, les bras tendus devant posés sur la table, attaché ici, ici et ici [montre coudes, avant bras, poignets], le bout de vos doigts sont écartés et des choses sont introduites ici, de façon que vous ne pouviez pas faire ceci [bouge les mains et les doigts au dessus de la table] et je sais que vous l'avez remarqué, car je l'ai vu dans vos yeux et je l'ai vu dans votre esprit, j'ai une phobie au sujet du bout de mes doigts. Ils inséraient des aiguilles sous le bout des doigts; c'est assez méchant, mais connectez ces aiguilles au courant électrique et...
La ''suffocation par noyade '', c'est quand vous noyez une personne et la ramenez et dans mon cas, il y avait 2 façons. Vous étiez attaché à une chaise, ils prenaient un jet d'eau et vous l'envoyaient en pleine figure, vous ne pouviez plus respirer et alors ils vous ramenaient. Je me souviens d'avoir eu ma tête immergée. C'est pourquoi je ne nage pas.Kerry: Mais, quelle serait la raison de tout ça?Duncan: Créer la douleur. Intense. Ce qui arrive quand le corps et le mental encaissent une quantité de douleur qui peut être tolérée, vous perdez conscience, vous tombez dans les pommes. Et bien, les allemands avaient apporté une drogue avec eux. Une fois injectée, elle bloquaient ces récepteurs. Vous ne pouviez plus perdre conscience ni même vous obliger vous même à vous évanouir. Si bien qu'un fois que le psychisme arrive au point où il ne peut plus le supporter, vous avez 2 choix: vous diviser en une autre personnalité (vous vous sauvez) ou mourir.Kerry: Ok. Je comprends. Quand la douleur devient trop importante, la façon de survivre et de rester cohérent mentalement, c'est d'aller ailleurs?Duncan: Exactement.Kerry: Et vous allez tellement ailleurs que vous créez une autre personnalité?Duncan: Exactement. Vous créez un individu totalement séparé, d'où ils peuvent extraire cette personnalité ultime et 1 seconde je suis moi même, la seconde suivante, je suis quelqu'un d'autre. Maintenant, je suis de nouveau moi. C'est comme ça qu'ils vous voulaient.Kerry: Avez-vous vu ''Le Candidat Mandchou'' ?Duncan: Non.Kerry: Oh, et bien si j'en parle, vous savez ce que je veux dire?Duncan: Oui. Je sais ce qu'est le candidat mandchou.Kerry: Vous savez de quoi nous parlons! ok. Pourriez-vous être activé par un coup de fil aujourd'hui?Duncan: La dernière fois que j'ai eu un travail, c'était ça. J'ai reçu un coup de fil au milieu de la nuit. Etre activé maintenant? Je ne le pense pas, la puce a été brûlée. Kerry: OK. Vous pensez que c'est une sonnerie, ou des mots? Avez-vous une idée de ce que c'est? C'est de la musique?Duncan: Je pense que c'est une combinaison et je pense qu'il y en a plus d'un. Pour ouvrir la combinaison d'un coffre, il faut une combinaison avec plus d'un chiffre; alors je pense que ce qu'ils ont fait, ils ont préparé... il faut qu'il y ait un système de vérification à sûreté intégrée. Là où, si vous regardez la télé et tout d'un coup vous entendez le mot adéquate et vous pétez les plombs et vous sortez pour tuer tout le monde, alors on commencerait à voir ça partout. Donc, il faut qu'il y ait un système de sûreté intégré infaillible pour empêcher ça.
J'ai toujours pensé que c'est un ensemble de mots, de sons, de chiffres. Ce qui est arrivé cette nuit là? : je suis allé me coucher, ma femme et moi étions au lit, le téléphone sonne, je décroche et approche l'écouteur de mon oreille, pas plus de 3 secondes passent, je raccroche. Je me lève, m'habille et sors. Je suis absent 3 jours et 3 nuits, et à cette période là, on habite exactement à 17 kilomètres de l'aéroport devant lequel vous êtes passés en venant ici. Quand je suis rentré 3 jours plus tard, il y avait seulement 34 km de plus au compteur. J'étais donc allé à l'aéroport.Kerry: Mais vous n'avez pas de souvenir du lieu où vous êtes allé?Duncan: Je suis allé à D.C et j'ai '' traité'' cette personne.Kerry: C'était quelle année?Duncan: 1985Kerry: Donc, il y a un moment déjà.Duncan: Oui. Et je vais vous dire un truc que je ne voulais pas enregistrer. Je suis assis dans un resto mexicain, très sympa, 2 étages, et j'entends quelqu'un rire. C'était quand le président actuel était gouverneur du Texas. Je regarde et il y avait George junior, assis au bar avec les gardes du corps des services secrets, bourré comme un coing, le type des services essayant de le calmer. Et là, changement de personnalité. Je ne me souviens pas avoir conduit jusque là...je regarde autour de moi, et je me dis.. mais qu'est ce que je fait ici.. mais, en même temps, il est là et j'ai une impulsion : le tuer. Le traiter. Et j'avais un flingue dans ma poche, et pour je ne sais quelle raison, j'ai repoussé cette impulsion et je ne l'ai pas tué.Kerry: Autrement dit, vous vous souvenez qui il est maintenant, mais vous ne saviez pas qui il était?Duncan: À ce moment là, je n'avais aucune idée de qui il était. J'étais assis là bas, quelque temps plus tard, je regardais les infos, quand ils ont dit que le gouverneur Bush se présentait à la présidence et je regarde, ébahi, en pensant ''.. Purée..''Bill Ryan: C'était avant qu'il soit président?Duncan: Oui.Bill Ryan: Pigé.Duncan: Des années avant.Bill Ryan: Alors, avec le contexte actuel, ça a beaucoup de sens.Duncan: Oui et c'est encore plus effrayant.Kerry: Les bases souterraines. Pensez-vous avoir été dans une base souterraine? L'avez-vous jamais été?Duncan: Je sais où il y en a ici, dans cet état. Quand j'étais adolescent, la ferme où nous vivions était située dans une vallée entourée de routes anciennes pour le transport du bois. Il y avait un bon tronçon de route en bon état, 8 kilomètres, qui grimpait dans les montagnes. Il y avait aussi des mines au sud-est. Un jour, je cours sur la grimpette et je décide de redescendre de l'autre coté de la colline pour voir les environs. Dès que j'y suis, je sens des vibrations dans le sol; du coup, je me baisse et colle mon oreille au sol comme mon grand-père me l'avait appris. Je me lève et il y a cette petite voix qui me dit: '' fiche le camp d'ici '' et alors que je cours pour remonter la colline, un hélico atterrit. Je n'y suis pas retourné. Mais quelques jours plus tard, 2 choses sont arrivées en même temps.
Mon père avait un copain, Paul Preston. Ce type était quelqu'un et est toujours quelqu'un que je '' traiterais '' avec les plus grands dommages possibles. Je n'ai aucun problème à dire ça. J'avais 14 ans, nous étions prêts à aller travailler aux champs, je m'occupais du tracteur. Nous vivions à 1 kilomètre et demi du chemin de terre qui mène à la route principale et je pouvais sentir un véhicule qui montait sur le chemin avant qu'il n'en soit à la moitié.
Je m'arrête, je regarde, et je vois cette camionnette grise argentée neuve, avec une antenne UHF sur le toit, qui s'avance dans l'allée. Je n'ai jamais rien vu de tel. Attention, c'est le Kentucky des années 70; personne n'avait l'argent pour ça, c'était avant l'envolée du charbon, avant la crise de l'énergie, avant que les gens gagnent 20 $ de l'heure. Les gens étaient déjà bien contents de gagner le salaire minimum, ok. Alors, ce type sort de son van, je remarque les plaques du Texas. J'avais entendu mon père parler de ce type, comment ils étaient copains d'enfance et ça m'a été confirmé plus tard qu'ils étaient à la CIA ensemble; Paul Preston était son supérieur hiérarchique. Alors, il sort de la camionnette, m'appelle par mon nom. Je ne l'ai jamais rencontré avant, que je sache, et à cet instant là, j'ai 2 pensées. L'une, de courir car ce type était synonyme de mauvaises nouvelles, ce type était dangereux; l'autre " tue le avant qu'il ne te tue". Je n'avais que 14 ans. Mon père arrive de la maison, ils se serrent la main, tapes dans le dos, embrassades et tout le toutim. Mr. Preston regarde mon père d'un air sérieux et lui dit qu'ils doivent discuter. L'attitude de mon père change et ils s'éloignent pour 20-25 minutes environ.
Pendant ce temps, j'ai la caisse à outils, j'essaie de démarrer le tracteur, la charrue et tout ça. 25 minutes plus tard, Paul Preston redescend, venant de la maison, il ne me parle pas, il est de mauvaise humeur, monte dans son van et s'en va. J'ai à peine vu mon père le reste de cette journée là; c'était tôt le matin.
Bon. Ma mère avait l'habitude de s'asseoir sur la véranda, le soir, et je dormais à l'étage. Ce soir là, elle est arrivée dans la maison vers 11 heures du soir en criant à mon père qu'il y avait quelque chose au dessus de la maison et le temps qu'il sorte, c'était parti. Je pouvais entendre toute la conversation. Elle a dit que c'était plus grand que la maison, c'était rond avec des lumières tout autour. Je ne savais strictement rien sur les ovnis. Rien du tout. Je connaissais bien la ferme, les arts martiaux, je savais me battre, chasser, dépister, je ne savais rien sur ce sujet. Et la nuit suivante, cette chose arrive. Le troisième jour, il m'est arrivé ceci:
Sans discontinuer, je travaille ma forme, je m'exerce, je m'entraine. Ce jour là, je me suis entrainé encore plus que je ne l'avais jamais fait; je voulais me coucher tôt. C'est toujours ce que je faisais, me coucher tôt. Cette nuit là, je me couche; je suis allongé, je ne sais pas depuis combien de temps mais je me sens comme en feu. Quand je m'éveille d'un coup, je ne peux pas bouger. Tout ce que je peux faire, c'est d'ouvrir les yeux. Tout l'étage est rempli de lumière et je peux voir une silhouette au pied de mon lit. Je vois une tête, des bras et des jambes. C'est tout et je sais que ça me parle, ça me dit quelque chose. Ensuite, mon père et mes frères me secouent par les épaules parce qu'ils ont vu la lumière, ils pensaient que l'étage était en feu. C'est tout ce dont je me souviens. Les souvenirs suivants, c'est quand j'ai 18 ans.Kerry: Donc, aucune mémoire de 14 à 18 ans?Duncan: Juste. Je n'ai eu mon permis qu'à 18 ans. J'aurais dû l'avoir à 16 ans ! Je ne l'ai pas eu avant 18 ans, car je n'étais pas là.Kerry: Vous souvenez-vous à quoi ressemblait l'être, à part 2 bras, 2 jambes?Duncan: C'est tout ce que je voyais. Un torse, 2 bras, 2 jambes, 1 tête. Pas une tête ovale, une vraie tête. Je dirais 1m 80, blanc, une nuance pâle de blanc dans le reste de la pièce. Je pense à toutes ces connections. Paul Preston, le vaisseau au dessus de la maison, et mon départ une fois de plus. Tout ça va ensemble.Kerry: Et la colère de votre père peut-être?Duncan: Oui. Je pense qu'il croyait qu'ils en avaient fini avec moi, et Paul Preston est arrivé et a dit non. Je ne crois pas que mon père ait eu le choix. Ma colère envers eux, c'est qu'ils ne soient pas venu me dire quoi que ce soit; particulièrement après que je sois devenu adulte et que j'aie commencé à récupérer des souvenirs. Je sais que rien n'était normal. Je pense que je mérite mieux qu'une réponse du style ''on ne peut pas t'en parler '' et bye bye.
La première chose que j'ai faite, après avoir retrouvé la mémoire, a été de rechercher d'anciens amis. Et je leur demandais: '' Pendant cette année là, 73, 74, 75, où on était?'' '' Qu'est ce qu'on faisait? j'ai le souvenir que l'on faisait ceci, cela etc..'' Et tous autant qu'ils étaient, me disaient: '' mais comment tu peux dire ça? Tu n'étais pas là ! '' L'un d'eux est même allé plus loin en disant: '' On est allé te chercher à la ferme un jour pour voir si tu voulais venir, on ne te voyait plus, et ton père nous a envoyé promener.'' Ces choses dont j'avais le souvenir étaient de faux souvenirs, les souvenirs que j'avais d'aller camper, d'aller à la ferme laitière, etc.. Vous savez, ces sortes de souvenirs, ils étaient implantés.Kerry: Vous avez aussi écrit dans votre livre que l'un de vos bras était câblé?Duncan: Le droit, oui. L'implant est là. [montre l'omoplate droite] Je sais que c'est là pour 2 raisons. La première, c'est qu'un type a mis un compteur dessus et l'a localisé comme ça. La seconde, ça démange. Et ce que c'est? Je l'appelle un '' renforceur ''; ça augmente la résistance physique et la vitesse. Il y a des câbles qui vont de l'épaule jusqu'aux doigts et c'est seulement dans cette épaule. Pas dans tout le corps. C'est la main et le bras qui ont éclaté pas mal de sacs plutôt lourds.
En fait, il y a eu un incident un jour, quand j'ai choppé un type qui faisait bien 20 kilos de plus que moi, l'ai soulevé, et quand j'ai réalisé ce que je faisais, il est tombé. Je ne sais pas comment c'est lié scientifiquement, mais je sais que ça l'est avec le réflexe '' se battre ou courir '' qui se déclenche en situation de danger avec la montée d'adrénaline. Si je me sens en danger, ça se déclenche. La poussée énergétique, ça m'a fait drôle quand c'est arrivé.
J'avais un boulot à Lexington, l'endroit s'appelait '' La Cuisine Communautaire ''. Ce n'était pas une cuisine, c'était une structure pour paumés, des sans abri, des malfrats, etc... On avait des services médicaux, des bureaux d'aide sociale, des douches, des vêtements, tout. Mais c'était aussi un repaire de dealers, de violeurs, de tueurs, n'importe, tous les vices étaient représentés. Il y avait de 60 à 100 personnes et j'étais chef de la sécurité.
Nous avons eu une bagarre. C'était rien, il y en avait 3 à 4 par jour; ok. Mais on avait aussi 2 filles; elles se battent pire que les mecs, et mon associé en avait plaquée une au sol, je tenais l'autre et quand je dis tenais, j'étais juste assis avec un bras sur son épaule, elle riait tout le temps. Sans rien voir venir, je lève les yeux et vois cette armoire à glace au dessus de moi, il a 3 ou 4 potes avec lui, et il m'envoie sa tirade genre: '' Je te donne jusqu'à 5 pour la lâcher , et après... 1..2..'' Bien, je suis au sol, je regarde en haut, je vois qu'ils sont plusieurs, je '' change'' . Normalement, j'aurais roulé hors de la zone, me serais levé, aurais juré, et l'aurais jeté par la porte; mais non, je me suis levé et je l'ai frappé. Les témoins ont dit que je l'ai frappé non pas une fois mais douze fois en une seconde. Cou brisé. Son cou était aussi gros que mes jambes, et ça a juste brisé son cou.
Alors, quand c'est arrivé, toute la baraque fut aux abois. La moitié des types vinrent sur nous, mon associé et moi, et l'autre moitié s'en servit comme excuse pour envoyer une branlée à leurs ennemis; et c'est à ce moment là qu'est arrivé quelque chose que je ne peux pas expliquer.
C'est comme si je suis hors de l'espace et du temps, tout est devenu noir et blanc, tout marche au ralenti, c'est comme si j'ai tout le temps du monde pour aller du point A au point B parce que le type ne bouge pas. Ok, je marche tranquille et bam, bam, bam, les types tombent. Puis on m'attrape, ce type me saisit par la gorge et je m'esquive sur les cotés en jetant mes mains, paumes vers le bas, et en hurlant dans mon esprit. Le type part en l'air et en arrière, je ne l'ai jamais touché. Et quand ça, c'est arrivé, ça a cessé tout le combat. Je me tiens debout, regarde autour de moi et je prends subitement conscience que tout le monde me regarde. Pendant ce temps, la police a été appelée. Les voilà, les ambulances, les services de secours et je parle à l'un des policiers lui faisant un rapport. Une bonne moitié est envoyée à l'hôpital, l'autre moitié reste libre, quelques uns arrêtés. Je suis allé au bar le plus proche, me suis assis et ne savait pas quoi faire. Je savais qu'il s'était passé quelque chose, que c'était réel parce que les gens me disaient: '' mais comment t'as fait? ''; et je n'ai aucune réponse.Kerry: Quelle année?Duncan: 1989 ou 90. J'ai eu tellement de boulots à cette période. C'est encore une autre chose que l'on m'a dite sur tous ceux d'entre nous, sortis de ces projets noirs. Je sais, par expérience personnelle, qu'avec le boulot le mieux qui soit, quand tout baigne depuis 2 mois, tout d'un coup, le patron ou le chef vient, trouve un truc qui cloche, ... Et hop, viré !. J'ai constaté, avec les années, que ce n'est pas uniquement moi. Ils veulent vous garder un cran juste en dessous du seuil de pauvreté, ça garde l'esprit occupé sur d'autres choses.Kerry: Oui. Survivre. La survie quotidienne pour ne pas avoir le temps de chercher dans vos mémoires.Duncan: Oui. Et il y a une autre raison pour cela et plus d'une personne me l'a dit. Qui écoute quelqu'un de pauvre? Tout le monde écoute quelqu'un d'aisé plus facilement. Tout cela s'explique.Bill Ryan: Il y aussi un incident que vous décrivez comme une sorte de téléportation où vous avez traversé un mur; vous aviez un témoin.Duncan: Oui, absolument.Bill Ryan: Quel souvenir en avez-vous?Duncan: Ca me fait flipper à chaque fois que j'y pense. Ca s'est passé dans une maison d'Oklahoma et j'aidais une amie à emménager; j'étais dans la chambre, elle était dans la cuisine. Pour aller du lit à la porte d'entrée, il faut descendre, traverser, en bas, traverser; c'est le chemin. Beaucoup d'angles. Elle était dans la cuisine: ligne droite, cuisine, salon, porte d 'entrée, pas de porte, pas de murs.
Bien. Elle lisait et vivait sa vie. Je me suis endormi. Son fils le plus jeune se met à crier et fonce vers la porte d'entrée pour sortir. Il est 2-3 heures du matin. Elle sursaute et commence à courir pour l'en empêcher. J'entends le cri, je me souviens m'être soulevé sur une épaule voyant dans mon esprit le gosse près de la porte prêt à la franchir. Elle a dit que je suis apparu à travers le mur en face d'elle, et tout ce qu'elle pouvait faire a été de dire:'' Wow ! '' et je pense que, quoi que ce fût, si je m'étais immobilisé dans ce mur, ç'aurait été marrant. Mon grand-père, le père de ma mère, était un pur Cherokee. Il m'avait donné le nom de ''Plume Grise ''. Il avait dit: '' tu es un homme entre deux ''; cela signifie '' que tu marches entre les mondes. Et ça, c'était avant que j'apprenne la moindre chose.
J'ai vu le 11 septembre 2 semaines avant l'évènement; je l'ai mis sur plusieurs endroits du net et on se foutait de moi. J'ai habité à Delaware sur la rive est, distance à pied de la plage. Je devais aller à Boston en voiture. Quelques jours avant le voyage, j'ai reçu un coup de fil et une voix métallique, digitale, me dit: '' Reporte ton voyage, dans 2 jours, ou 1 selon que l'on est ici ou là, il y aura un truc énorme à New-York et tu ne veux pas être dans les parages ".Kerry: Y a-t-il d'autres prémonitions qui ne sont pas encore arrivées?Duncan: Oui. J'ai vu ce pays coupé en deux. Je veux dire physiquement. Une fois, encore à Delaware, je m'étais allongé et c'est une de ces fois où, un instant je suis là et l'instant d'après je suis ailleurs. Je regarde vers le bas, et je vois les Etats-Unis. C'était avant que j'apprenne sur le super volcan et tout ça. J'ai vu tout le secteur du haut du Canada jusqu'en bas, jusqu'au Mexique. Tout l'Ouest du pays séparé du reste des Etats-Unis et ce que je vois c'est comme un fleuve de feu qui descend jusqu'en bas.Kerry: Aucune idée du moment pour ça?Duncan: Bientôt.Kerry: Alors, faites-vous des plans pour votre famille en raison de ce que vous voyez?Duncan: Oui.Kerry: Avez-vous trouvé un endroit sûr?Duncan: Il n'y aura pas d'endroit sûr. La meilleure préparation que je connaisse est de pouvoir bouger. Il n'y a pas d'endroit sûr. Je suis sorti de ma réserve quand j'étais au Delaware car on avait tenté de me tuer.Kerry: C'était quand? Environ... Duncan: 2002. Il y avait eu d'autres évènements, mais rien que je puisse connecter. Maintenant, je peux voir les concordances. J'étais sorti pour un jogging, c'était l'hiver et j'ai entendu une moto. Une moto? ! Vous êtes déjà allé sur la côte est en hiver quand le vent souffle? Il est glacial. Donc, en entendant la moto, je passe en alerte rouge, chair de poule et tout; je change mon pas de grande foulée à marche légère. Je vois la moto, noire, aucune marque, juste noir uni. Deux motards, habillés de noir, casques teintés noir. Je vais par là, ils vont par là. Ils vont vraiment trop lentement et je me demande comment ils arrivent à faire du sur place sans perdre l'équilibre. Alors qu'ils s'approchent, je me fais des scénarii. Je porte des poids aux chevilles et aux poignets, ok. Je m'attends à voir un flingue, alors je visualise mes coups et figures. Tonneau roulé avant, coup de pied dans la roue arrière, essayer d'avoir un avantage.
Le type ouvre son manteau, met sa main à l'intérieur, c'est celui qui conduit. Tout ce que je vois, c'est 2 doigts, il me mes pointe au nez et fait ça [geste de tirer un coup de feu], et s'en va. Je pense, bon, c'est un avertissement et ils vont lentement le long de la route, allant vers le nord. Je ne suis pas arrivé à faire 10 pas de plus. J'ai vomi, bile et tout; j'ai dû ramper jusqu'à la maison, malade 3 jours.
La moitié des personnes qui entendent ce que j'ai à dire, écoutent, et puis disent: '' Quel paquet de conneries ça peut être ! C'est pas croyable !..etc..etc....'' Eh bien, voici la réponse que j'ai donnée lors d'une émission de radio, un soir: '' Je voudrais tellement que vous ayez raison, j'adorerais pouvoir avaler une pilule chaque jour et avoir une vie sympa, mais je ne peux pas car c'est arrivé et je n'ai pas toute l'histoire moi-même et il se peut que je ne l'aie jamais.
Ce qui m'est arrivé, et je parle de la division de la personnalité, c'était juste la partie visible de l'iceberg, ok... Je me souviens des raclées, d'avoir été jeté nu dans un frigo, une chambre froide, parce que je n'arrivais pas à faire un truc comme il faut... Pas seulement moi, mais nous tous dans ce groupe. Ce genre de faits n'aurait pas dû se produire. Nous nous considérons dans une société libre et civilisée; il n'y a rien de civilisé dans tout ça, rien de libre.
Il peut y avoir des forces importantes. Il y a eu une marche d'un million de personnes à Washington, rassemblées par quelqu'un dont le gouvernement se foutait. Pourquoi on ne pourrait pas faire pareil? Ces actions doivent cesser. Vous savez, on ne vit pas libre dans une société civilisée quand ils peuvent arriver, vous enlever alors que vous n'êtes qu'un enfant, faire de vous un tueur, et puis vous manipuler, vous maltraiter, et quand ils ont fini, vous jeter.
Vous m'avez demandé plus tôt ce que j'aimerai voir sortir de tout ça. Eh bien, je veux m'asseoir sur une chaise, comme ici, à Washington D.C, devant le Sénat au complet, et demander des réponses. Je suis à deux doigts de le faire. Pas timide.Bill Ryan et Kerry Cassidynovembre 2006Traduit par Dioufsource: http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php/topic,2949.0.html VIDÉO DE L'INTERVIEWAutre lien: https://www.youtube.com/watch?v=Ecr7_yLKhzU
Dernière édition par invitée le Dim 13 Mar 2011 - 18:29, édité 33 fois | |
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| Sujet: Re: DUNCAN O'FINIOAN, L'INVINCIBLE GUERRIER Mer 16 Juin 2010 - 17:28 | |
| UNE AMITIÉ PEU COMMUNE: DAVID CORSO ET DUNCAN O'FINIAN
David Corso: mon nom était mentionné et le type disait:'' Dave Corso? '' et il me décrit les tatouages de Dunc en disant: '' C'était le meilleur sniper de tout le corps des Marines du Vietnam '', et je n'en savais absolument rien.
...il me regarde, d'un air de rien et dit: '' Papa, qu'est-ce que tu faisais au Vietnam? En vrai, qu'est-ce que tu faisais ? '' C'est quand les cauchemars ont commencé.
... Et on était coincés, encerclés par un feu sans discontinuité, quand cet hélico atterrit, et 12 mômes sortent, regardent alentour, se tiennent la main, et il y a eu ce flash aveuglant.
Duncan O' Finioan: Et je me souviens de cet homme, [montre David] qui me traine hors d'un hélico en feu.
David: Je rentre à la maison, ferme les persiennes, tire les rideaux, ferme la porte à clé, rentre les chiens, et sors mes armes... et il s'est jamais rien passé !...
Interview
Kerry: David Lawrence Corso et Robert Duncan O'Finioan. Ils sont ensemble devant la caméra pour la première fois. Votre nom, grade et matricule, ça ira ça? En avez-vous un?
Duncan: En fait,... euh... bon, oui, j'en ai un.
Kerry: [à David] Et vous?... Non?
David: Non.
Kerry: Pas de nom, de titre... etc... Ok.
David: Patriote, patriote constitutionnel et Droits des Citoyens...
Kerry: Retraité.
David: Et retraité de l'industrie des Télécoms.
Kerry: Ok. Nous sommes à Parhump, Nevada. Oui?
David: Dans ma modeste demeure.
Kerry: On est en 2007 et nous sommes heureux d'être là.
David: Je suis enchanté de votre présence.
Kerry: Et vous avez une étonnante ...
David: J'admire votre courage.
Kerry: Merci. Vous avez des loups, c'est étonnant?
David: Des chiens amérindiens.
Kerry: [rires] Des chiens amérindiens. Ok. Etes-vous de descendance native américaine aussi?
David: Non. Juste adopté par la tribu Apache, par un ami de la famille.
Kerry: Vraiment?
David: Oui.
Kerry: Très bien. Pour être dans le vif du sujet, quelle est votre connection avec Duncan?
David: Retour arrière de 3-4 ans... Un ami commun nous a présentés, quand il a dit: '' J'ai des amis que tu aimerais rencontrer '', j'ai répondu: '' ah oui? ''; donc on s'est rencontrés, et dès que j'ai vu John avec Duncan, je l'ai reconnu. C'était comme si un voile s'était soulevé dans mon esprit, ou une porte entrouverte. Les souvenirs ont pris un moment pour remonter à la surface, mais je savais où je l' avais vu. En juin 1967. Nous étions au Cambodge pour une opération de sauvetage des troupes des forces spéciales, coincées et encerclées par un feu continu quand cet hélico a atterri et 12 mômes sont sortis, ont regardé alentour, se sont tenus la main, et il y a eu ce flash aveuglant. Ils sont remontés dans l'hélico. A l'entrée, un homme en uniforme vert, comme ceux de l'armée. Nous avons parlé à l'équipe des forces spéciales après, et demandé: '' Qu'avez-vous vu? '' et tout ce qu'ils avaient vu c'était un éclair aveuglant. Et il devait y avoir au moins 2000 ou plus [soupirs] vietcongs, nord vietnamiens, communistes cambodgiens, qui étaient tout simplement morts. Et c'est... la seule chose dont je me souvienne, c'est l'éclair aveuglant. Et il y avait ce petit gosse avec une énorme... ce gosse blanc avec une énorme...
Duncan: Tignasse afro.
David: Tignasse afro; et la petite fille à la peau sombre à coté de lui. Ils sont montés dans l'hélico et ont disparu. Quelques jours plus tard, je suis à Saïgon et voilà cet homme de l'hélico. Il ne s'est pas présenté, il me regarde, je le regarde, il se retourne et s'en va. Il avait un blason sur l'épaule que je n'avais jamais vu avant.
Kerry: Etiez-vous dans les forces spéciales?
David: J 'étais dans un groupe qui n'existe pas.
Kerry: On vous appelait comment? Les ''Green Berets'' ?
David: Black Operations.
Kerry: Y a t-il eu un nom pour votre division?
David: Black Operations.
Kerry: C'est tout?
David: C'est tout.
Kerry: Etiez-vous gradé dans l'armée, avant de rejoindre les black programs?
David: Euh... euh...
Kerry: En tant que... Pouvez-vous le dire?
David: Bien... officiellement, j'étais rattaché à la Navy et mon dossier à la Navy n'a rien à voir avec ce que je faisais réellement.
Kerry: Ok. Que dit votre dossier officiel de la Navy?
David: Oh, il dit que je suis un technicien radar et que je suis allé à l' Ecole Machin, que j'étais sur 5 navires et que j'étais détaché sur un bateau rapide... et que j'ai fait.. j'étais au Vietnam pour 14 campagnes.
Kerry: Et maintenant, quelle est la réalité de tout ça?
David: Je voudrais bien en être sûr, mais j'ai des souvenirs qui remontent que je ne peux expliquer; mais Duncan vous a déjà parlé du Projet Talent.
Kerry: Sentez-vous que vous faisiez partie du Projet Talent vu sous un autre angle?
David: Je répondrai comme ça: quand ma mère avait 87 ans, j'ai dit: '' Mère, j'ai ces souvenirs récurrents d'être avec mon oncle durant les mois d'été. '' Elle m'a regardé et a eu ce sourire espiègle et, [montre une photo sur le mur] c'est elle ici, elle a dit: '' Tu n'as jamais été avec ton oncle les étés. Tu étais... ailleurs, et tu le comprendras quand tu seras plus agé. ''
Kerry: Votre famille est patriote? Vous savez, étaient-ils dans le service?
David: Mes frères ont servi le Corps des Marines. Les deux. J'y ai été affilié mais il n'y a aucune trace.
Kerry: Vous avez eu ce souvenir en rencontrant Duncan ou après l'avoir rencontré?
David: Ce souvenir m'est revenu plusieurs fois, mais... Quand mon fils avait 9 ans, on est allé à la pêche pendant un mois. On est en plein milieu du Strawberry Lake, en train de pêcher. Il a une journée du tonnerre, et moi, je n'attrape rien. Il me regarde, d'un air de rien, et dit: '' Papa qu'est ce que tu faisais au Vietnam? En vrai, qu'est ce que tu faisais? '' C'est la nuit ou les cauchemars ont commencé.
Kerry: Wow ! Et de quelle sorte de cauchemars parlez-vous?
David: Je voudrais bien vous le dire, mais j'en ai parlé à mes conseillers de l'Association des Vétérans de nombreuses fois et ils m'ont dit: '' Soyez heureux de ne pas vous rappeler parce que, ce que vous faites, c'est de revivre les combats.''
Kerry: Ok. Mais je pense qu'une partie du cauchemar était de voir les enfants sur le champ de bataille, non?
David: C'est arrivé seulement après que Duncan et moi en avons parlé une fois quand on s'est souvenu de notre première rencontre; et on s'est souvenu du même incident, mot pour mot.
Duncan: Mais pour moi, l'incident lui même était comme un cauchemar. Je me revois sortir de l'hélico, je me souviens des 11 autres enfants, je me souviens de l'éclair aveuglant et je me souviens d'être remonté dans l'hélico. Mais avant qu'il atterrisse et après qu'il ait décollé, je ne me souviens de rien.
J'ai un souvenir particulièrement très vif, où j'étais dans un hélico; j'étais un peu plus âgé et on nous a tiré dessus. Je me souviens de l'hélico s'élevant, on n'était pas à plus de 4 mètres du sol, on a été touché. J'appelle ça la défense aérienne, parce que, si je suis dans un avion, je me fous de savoir si c'est du .22 ou un howitzer 90mm si on me tire dessus, c'est une attaque anti-aérienne. On est tombé. Je me souviens de cet homme [montre David] me trainant hors de cet hélicoptère en feu.
Kerry: [à David] Vous étiez dans l'hélico ou à coté?
David: Ca, malheureusement, je n'en ai pas le souvenir.
Kerry: Okay.
Duncan: Je sais qu'il n'était pas dans l'hélico; j'étais le seul passager dans l'hélico.
Kerry: Ok. Vous avez vu ces enfants sur le terrain. Vous avez vu ces gens mourir. Savez-vous de combien de personnes vous parlez, qui sont mortes?
David: Je n'en ai aucune idée, il y avait...
Kerry: Y avait-il des villages? Je veux dire...
David: Non. Ce n'était pas un village.
Kerry: Ok.
David: C'était dans la jungle.
Kerry: Il y avait des femmes?
David: Sûrement, il devait y en avoir ... et il y avait...
Kerry: Autant que d' hommes?
David: C'est possible. On n'a pas fait un compte des corps.
Kerry: Non, mais c'est juste en parlant...
David: Ce qu'on a vu, c'était des hommes.
Kerry: Euh.. des soldats j'imagine ?
David: Oui.
Kerry: Ok
David: Si vous voulez appeler...
Kerry: Autrement dit, ils étaient armés.
David: Oh oui. [rires]
Kerry: Ok. Bon.
David: Avec l'arme préférée de tous. L'Ak 47. A part quelques uns qui avaient des M16s et des M14s.
Kerry: Entendu. Ok. C'était en quelle année?
David: 1967
Kerry: Et vous étiez là bas pour le compte d'un projet noir.
David: euh.. euh
Kerry: Ok. Avez-vous le moindre souvenir, un autre, de cet incident particulier?
David: [remue la tête] Non.
Kerry: C'est tout?
David: Il y a des souvenirs qui remontent à la surface et que, soit je bloque intentionnellement, soit ils ont été effacés parfaitement. Parce que nous savons que le gouvernement peut implanter de faux souvenirs et peut effacer vos propres souvenirs, les souvenirs d'une vie entière. Maintenant, si ça m'est arrivé, je ne saurais le dire. Mais mon fils et moi avons discuté. On parlait complètement d'autre chose, et tout d'un coup j'ai senti une lumière arriver. Mais je n'ai rien à éclairer avec cette lumière.
Kerry: Avez-vous essayé les régressions?
David: Non.
Kerry: Vous vous inquiétez de l'impact que pourraient produire ces souvenirs enfouis... sur vous même?
David: Continuez, c'est intéressant.
Kerry: Oh vraiment? Alors vous seriez d'accord ... Etes-vous d'accord pour une régression?
David: Je suis... je suis très difficile à hypnotiser.
Kerry: C'est quelque chose que vous savez sur vous même?
David: Oui.
Kerry: Vous essayeriez?
David: Bien sûr.
Kerry: Bien.
David: Du moment que c'est ici.
Kerry: Ici à Pahrump, Nevada? Ou ici, dans votre maison?
David: Ici dans ma maison.
Kerry: Ah, bon. Pourquoi?
David: Cette maison est un sanctuaire pour moi. Je peux me décontracter ici comme nulle part aillleurs.
Kerry: Vous avez dit avoir voyagé aux Etats-Unis de temps en temps. Est ce que des souvenirs vous reviennent quand vous voyagez?
David: Non.
Kerry: Vous sentez-vous menacé lorsque vous n'êtes pas dans cette région par exemple?
David: Non. Ce qu'il y a, c'est que... je souffre de stress post traumatique et je dois faire très attention à ne jamais me trouver seul, particulièrement la nuit. Si je vais quelque part, c'est pour rencontrer quelqu'un et je dois toujours appeler, une fois rentré, pour prévenir que je suis bien arrivé chez moi.
Kerry: Pourquoi ? Que pourrait-il arriver?
David: Si je suis activé et que je n'ai pas quelqu'un sur qui m'appuyer comme Dunc ou mon fils, je ne sais pas ce que je ferais.
Kerry: C'est à cause de vos souvenirs du Vietnam ou à cause de ce qui est enfoui dans votre mémoire?
David: Je pense que c'est plus à cause de ce qui est enfoui. Dunc peut raconter l'incident qu'il a eu à Lexington.
Duncan: Oui,oui.
David: Il le dira plus tard. Je n'en ai aucun souvenir.
Kerry: Avez-vous des périodes de temps manquant dans votre quotidien?
David: Pas que je sache ou m'en aperçoive. Mais j'ai remarqué.. Si je travaille sur l'ordinateur, le temps pour moi, ne veut rien dire. Vraiment, je reste éveillé des jours.
Kerry: Vous avez donc une bonne concentration. Vous savez, je vais vous donner mon impression. Vous me semblez avoir été quelqu'un qui commandait. Aviez-vous un grade important dans l'armée? ou...
David: Sergent
Kerry: Ce n'est pas si élevé, en hiérarchie militaire?
David: Non.
Kerry: Je me demandais juste d'où ça venait, parce que vous avez dit avoir travaillé sur les ordinateurs, vous les construisez et les reconstruisez?
David: Construire et réparer.
Kerry: Réparer. Ca vient de l'armée cet entrainement?
David: Pour la plupart, oui.
Kerry: Vous étiez dans les "projets noirs", c'était donc top secret. Vous aviez accès à l'information, mais vous ne vous souvenez pas de l'information.
David: Exact. Rien du tout.
Kerry: Vos souvenirs ont été effacés?
David: Je peux dire ça, oui. Ils ont effacé les souvenirs. A part ça, je me souviens d'évènements de quand j'avais 3 ans.
Kerry: Ok, mais vous ne pouvez pas vous rappeler...
David: Il y a beaucoup de temps passé dans mon service où j'ai à me poser la question de où j'étais et de ce que je faisais. Et c'est juste venu à mon esprit depuis.., bien, depuis que mon fils a 9 ans. Vingt... Il va avoir 36 ans, alors disons, il y a 25-26 ans, que je me suis posé la question: '' Qu'ai-je fait réellement? ''
Kerry: Avez-vous une idée de ce que vous avez fait?
David: Et bien, ça doit sûrement être que je n'étais pas un chic type.
Kerry: Ok. Je comprends.
David: Mais je n'en sais vraiment rien. Et j'ai ce souvenir très clair de Duncan, ainsi que des impressions d'avoir vu John à... Saigon.
Duncan: Ah... hm...
David: Mais il y a d'autres réminiscences que j'ai pu confirmer, quand j'étais rattaché à une base de vedettes rapides.[ swift boat ?]Un jour, la base a été touchée et j'étais la dernière personne à la quitter; j'ai attrapé le bastingage, 2 pieds au dessus du pont qui, lui, se trouvait 2 pieds au-dessus de l'eau; donc j'ai attrapé ça et glissé mes genoux dans la traverse, et ils m'ont tiré sur le bateau. J'étais allongé et j'ai chialé pendant 2 heures. J'ai ce souvenir.
Kerry: C'était où?
David: Quinyon.
Kerry: Où est-ce?
David: Vietnam.
Kerry: Ah, bon.
David: Au milieu de la côte.
Kerry: Vous deviez être très jeune à ce moment là?
David: Oui. C'est arrivé en 1967. J'avais 26 ans.
Kerry: Venez-vous d'une famille militaire? Est ce que ça...
David: Non. Je viens d'une famille sicilienne.
Kerry: Famille sicilienne? Ok. [Duncan rit] Mais votre famille était dans l'armée?
David: Mes frères l'étaient, pas mon père; lui, il avait un garage, une boulangerie et deux autres magasins.
Kerry: Donc, votre mère a dit que vous alliez vous rappeler certaines choses et que les souvenirs que vous aviez ne sont pas exacts, c'est bien ça?
David: Tout juste.
Kerry: Mais elle ne voulait pas vous en dire plus?
David: Elle souriait.
Kerry: L'avez-vous questionnée?
David: Quand elle vous donnait ce sourire, c'était pas le moment des questions ! [rires]
Kerry: Alors, que pensez-vous qu'il soit arrivé? Aucune idée? Je veux dire... Votre mère est-elle toujours en vie?
David: Malheureusement, ma mère est morte en 1993.
Kerry: Et vous avez un ami, John, qui, je présume était aussi dans l'armée avec vous?
David: Nous ne sommes pas... Il a sûrement été dans l'armée, mais on n'est pas sûrs de son rattachement.
Kerry: Il a des souvenirs, les siens sont clairs, ou pas?
Duncan: En fait, non. Parce qu'il m'a posé des questions sur certains faits. Et j'ai une image très nette d'avoir 13-14 ans, dans un endroit genre laboratoire et John était en uniforme. Il y avait deux autres uniformes et il essayait de me donner un ordre. J'avais poussé l'un des autres enfants hors de ma vue et j'étais devant lui. Je veux dire, ma présence le dominait complètement. Tous les autres, les haut gradés s'en réjouissaient, je veux dire, ils se marraient bien. Parce que ce petit merdeux de 13 ans, avec une afro qui lui descend jusqu'aux fesses, est en train de le défier, lui le militaire.
Comme on a dit plus tôt pour recréer le puzzle, on a tous des souvenirs différents. Certains sont presque identiques et d'autres pas. Quand on s'y attèle et qu'on commence à parler, alors ils commencent à former un tableau cohérent.
Kerry: Vous faites vraiment comme si vous vous connaissiez depuis toujours.
Duncan: Oui. Je sais. [David rit]
Kerry: [à David] Depuis combien de temps êtes-vous sorti de l'armée?
David: Depuis Novembre... 15 octobre 1968.
Kerry: Depuis combien de temps avez-vous ressenti que vous n'aviez pas de souvenirs?
David: Je n'en étais pas conscient jusqu'à ce que mon fils...
Kerry: ...vous pose cette question.
David: ...en 1980
Kerry: 1980. Wow, Il en est passé du temps avant que vous ne réalisiez qu'il y avait un trou.
David: Et je n'avais jamais vraiment réalisé ce qu'était la pathologie PTSD [post traumatic stress disorder] , mais, avec le recul et la recherche que j'ai faite sur la façon dont cela m'affecte personnellement, je peux voir d'après certains évènements qui sont arrivés dans ma vie, particulièrement après que je sois sorti, à quel point cela a affecté ma carrière dans les différentes sociétés.
Kerry: Comment est-ce manifesté?
David: Ce qui arrive... Ce qui est arrivé... J'entrais chez moi. Si je sentais que j'étais activé, j'entrais chez moi, je fermais les stores vénitiens, les rideaux, la porte à clé, je rentrais les chiens et je sortais mes armes.
Kerry: Ah, d'accord.
David: Et rien n'est jamais arrivé.
Duncan: [rires] Je ne ris pas parce que c'est drôle, je ris parce que c'est exactement ce que je ferais !
Kerry: Ah, vraiment? Donc, vous avez cette même expérience.
Duncan: Oui, à part que je n'avais pas d'animaux. Mais j'allais dans une pièce, je posais un flingue chargé sur mon bureau et je restais assis dans le noir à attendre.
Kerry: Wow !
Duncan: C'est arrivé souvent.
David: Et ce qui se passe, c'est que cette nuit là, j'ai... J'ai des cauchemars, bien plus d'une fois. Mais avec mes animaux, surtout mes... avec ce jeune chien amérindien nommé Herky... il met ses pattes sur le lit et lèche mes joues. S'il faut qu'il vienne de l'autre coté du lit, il le fera. Et parce que je sais qu'il est là pour me sécuriser, je peux me réveiller et dire: '' Ok, je suis éveillé, qu'est ce que je faisais? '' Et des fois, je me lève, il n'y a pas de vêtements sur le lit. Je veux dire, ils ne sont plus là. Les chiens sont par terre, me regardent comme s'ils disaient: '' Qu'est-ce que t'as fait? '' [rires]
Kerry: Pensez-vous avoir des talents particuliers que vous ignoriez, comme en possède Duncan? Parce que je vois une collection de sabres. Savez-vous les utiliser?
David: Oui.
Kerry: Avez-vous été entrainé .. dans votre mémoire consciente?
David: Non.
Kerry: Vraiment?
David: Demandez à Duncan.
Duncan: C'est pareil. Il semble que nous partageons tous la connaissance des armes tranchantes, comment se servir de poignards, de sabres, de couteaux, comment se battre avec et se défendre contre elles. En fait, pour le katanna, [mot japonais, sabre samourai] je n'ai jamais eu d'entrainement, tout du moins pas à ma connaissance. Mais, quand je vais dans un Dojo Kinjitsu pour travailler avec l'un des instructeurs, la première chose qu'ils disent, c'est: '' Comment avez-vous appris à mélanger deux styles différents de jinjitsu? '' Et je ne sais pas. Nous y revoilà.
Kerry: [à David] Vous avez l'air plutôt... vous étiez fort. Vous l'êtes toujours. À cet age, quel qu'il soit .
David:
Kerry: Ok. Vous semblez doté d'une grande force et je me demande si vous avez réalisé que vous aviez peut-être une force inhabituelle plus tôt dans votre vie.
David: La peur vous rend comme ça. C'est tout ce que je peux dire, la peur vous rend comme ça.
Kerry: Parce que .. euh... Savez-vous vous défendre?
David: Oui.
Kerry: Ok. Vous savez vous défendre, en utilisant des sabres mais vous ne savez pas comment vous l'avez appris, c'est ça?
David: Tout à fait exact.
Kerry: Je suppose que vous savez utiliser les armes à feu.
David: J'ai une certaine familiarité avec les armes. [Duncan rigole]
Kerry: Ok. Je vois que vous êtes un maître de l'euphémisme comme on dit.
David: Moi?
Kerry: Hé oui.
Duncan: Jm'en mêle pas.
David: Vous voulez voir mon pistolet à peinture? [rires]
Kerry: Et bien, je ne suis pas sûre de vouloir voir même une seule de vos armes, pour tout vous dire. Où avez-vous appris à tirer? Vous en avez le souvenir conscient du temps où vous étiez dans l'armée?
David: Je me souviens de mon frère, l'aîné, rentrant du Corps des Marines avec un 22 long rifle quand j'avais 6 ans. Et il m'a appris à tirer. Je suis juste... devenu meilleur.
Kerry: A quel point, meilleur?
David: Suffisamment pour être toujours là.
Kerry: Etiez-vous bon pour viser des cibles? Enfin...
David: Que la cible soit une cible ou un être humain n'a pas d'importance.
Kerry: Euh...euh
David: Quand vous vous battez, c'est comme si vous êtes en face d'une figure en deux dimensions qui peut vous tuer. Ce que vous ressentez comme une heure, peut avoir été deux ou trois minutes. Vous devenez super alerte. J'ai des souvenirs de combats aux armes à feu, et je suis toujours là.
Kerry: Avez-vous été entraîné en tant qu'officier?
David: Pas que je sache.
Kerry: Pas à votre connaissance. Vous savez conduire un bateau,... je ne sais pas... ou un navire, ou... [Duncan rit] Qu'est-ce qu'il y a de drôle?
David: Mon père avait des bateaux. Pour des croisières, pour des courses. J'ai été élevé autour des bateaux. Et autour de nombreux véhicules. Il n'y a pas grand chose que je ne sache pas conduire.
Kerry: Ok
David: Je ne pilote pas d'avion. Jamais eu l'envie de piloter un avion ou des hélicos. [ils se marrent tous les deux]
Kerry: Vous allez au cinéma?
David: Non.
Kerry: Ah, non? Comme Duncan.
David: Je ne regarde pas les films de guerre ou d'aventures. Parce que ça déclenche.
Duncan: Ouais.
Kerry: Et les bases souterraines? Savez-vous quelque chose?
David: J'ai... Non. Mais plus d'une source, m'ont dit qu'on pouvait aller de la côte de Los Angeles jusqu'au milieu du pays dans un sous-marin.
Kerry: Vous étiez dans l'armée mais votre spécialité, ce sont les ordinateurs...
David: J'ai été initié aux ordinateurs quand j'étais dans le service spécial. A ce moment là, j'excellais dans l'électronique, la guerre électronique, le renseignement. [ sourires et pause de réflexion]
Kerry: Quoi? Que ce passe t-il dans votre esprit maintenant dont vous ne voulez pas parler?
David: Oh, rien d'important.
Kerry: Ok. Avez-vous signé un serment de non révélation d'aucune sorte? À vôtre connaissance.
David: Aucun souvenir, mais probablement.
Kerry: Vous vous souvenez de quelque chose de top-secret que vous ne dîtes pas ici ou bien en général?
David: Oh. En dehors de ça, j'ai intercepté et identifié beaucoup de signaux quand j'étais dans le service. La guerre électronique, c'était vraiment le truc pour lequel j'étais doué. Je pouvais entendre un signal au bout de la pièce et vous dire ce que c'était; et si je savais quelle partie du pays, je pouvais vous dire sur quelle plate-forme il était.
Kerry: Hmm.. Intéressant. Et la guerre psychotronique?
David: C'est quelque chose de très réel.
Kerry: Pensez-vous avoir été impliqué?
David: Plus que certain, mais je n'en ai aucune mémoire.
Kerry: Mais vous pensez que vous vous y connaissez?
David: Je dirais que je m'y connaissais, oui.
Kerry: Ok. Quand vous avez entendu l'histoire de Duncan, elle a éveillé quelque chose en vous?
David: À force, ça le fera. Il est intéressant de savoir que tous deux, nous avons eu des expériences d 'attaque psychique. Je veux dire vraiment méchantes, ou ils nous gardent éveillés pendant des jours.
Kerry: Êtes-vous psychique?
David: Où étiez-vous à deux heures moins le quart, mardi? [très longue pause, Kerry ne répond pas] Géographiquement, où étiez-vous?
Kerry: Euh... Pas loin d'ici. Nous venions ici, n'est-ce pas?
David: Etiez-vous proche de Shoshone?
Kerry: À un moment, on y était.
Duncan: T'as bien manoeuvré, ok.
David: J'ai dit: '' Ils sont très proches, ils sont à Shoshone.'' [Kerry acquiesce] Je suis sorti à deux heures moins le quart.
Kerry: Alors, vous dites... vous avez étudié le remote viewing? À votre connaissance, bien sûr.
David: Non.
Kerry: Est-ce frustrant de ne pas savoir ce qui vous est arrivé?
David: Non.
Kerry: Ah non?
David: Je vais vous dire pourquoi. Je crois que ces souvenirs se révèleront quand le moment sera venu, ou si je fouille assez. Je m'occupe avec mes chiens, mes loups, les ordinateurs, et j'ai de bons amis qui me connaissent. Ils ne me comprennent pas toujours, mais peu leur importe.
Kerry: Vous avez des souvenirs que vous avez partagés, mais vous ne savez pas ce qu'ils sont. Ils sont entourés de... Vietnam... et... rien d'autre à part le Vietnam?
David et Duncan: St.Thomas.
David: Nous devions descendre à St.Thomas pour affaires. Nous marchions sur la place du marché et il y a une île au large que nous connaissions tous les deux. Alors que l'on marchait, une femme a regardé Duncan en disant: '' Il y a plusieurs années que je ne vous ai pas vu ! Et vous, ça fait au moins 20 ans! ''
Kerry: Wow, vous avez été reconnu tous deux!
David et Duncan: Oui.
David: Par plus d'une personne. On en a parlé et je ne me souviens absolument pas de ces gens. On a regardé cette île et j'ai dit: '' de l'autre coté, il y a un camp d'entraînement.''
Duncan: Eh oui, il y en a bien un.
Kerry: Occupé militairement?
Duncan et David: Nous ne sommes pas sûrs.
Duncan: Honnêtement, je ne crois pas que c'était du militaire standard.
David: Non. C'était... Au mieux, on pourrait dire qu'il y a un groupe à l'intérieur de l'armée engagé à 100% dans la guerre psychologique, la guerre psychique.
Kerry: St.Thomas... vous ne savez pas quelle sorte de programme, militaire ou noir, se déroule là bas?
David: Non. J'ai remarqué que je me suis trouvé sur de nombreux champs de bataille dans le monde, et je peux les traverser et avoir l'expérience d'entendre dans mon esprit. Ce qui m'a été montré, quand un ami et moi même marchions à Pickett's Charge à Gettisburg, nous nous sommes regardés et nous pleurions tous deux, car c'était tellement... La guerre est une chose si pitoyable, causée par les banquiers qui enrichissent leurs sociétés ainsi qu'eux-même. Il n'y a jamais eu une seule raison logique de faire une guerre. Pas une. Et la guerre contre le terrorisme, pour moi, c'est du grand guignol. C'est surtout pour le contrôle de ce pays et sa préparation pour le Nouvel Ordre Mondial.
Kerry: Etant expert en électronique, vous pensez être surveillé, écouté?
David: Sans aucun doute ! Et vous savez quoi? Je m'en fiche complètement.
Kerry: Ca vous arrive de découvrir que vous avez un savoir électronique que vous ne soupçonniez pas ?
David: [regarde Duncan et rigole]
Duncan: Oui.
David: J'aimerais comprendre tout ce que je sais. [Les 2 hommes s'arrêtent et ne regardent pas la caméra d'où un son vient de se produire.]
Duncan: Une impulsion est venue dans le haut parleur.
David: Ouep.
Kerry: La télé s'est allumée seule?
David: Non, une impulsion a traversé. Une impulsion psychique a été envoyée à cette maison.
Kerry: Juste là, maintenant? C'était ça ce bruit?
David: Oui. Je me demande si vous enregistrez quelque chose.
Kerry: Vous m'avez convaincue que vous reveniez de loin. Ce qui arrive ensuite c'est votre rencontre à tous deux?
David: Laissons Duncan vous expliquer quelque chose. Il a rencontré un homme dans un café à Lexington, Kentucky.
Duncan: C'était,... je ne me souviens pas où exactement; je sais que c'est à Lexington, mais rien de plus. J'étais assis devant ma tasse de café. Un type arrive. En costume. S'assied. Il regarde mon tatouage et dit: '' C'est un tatouage militaire? '' je réponds: '' Non, c'est mon propre dessin '', ce que je dis toujours. Et lui: '' Et bien, j'ai passé du temps dans la Navy '' Je lui demande: '' Avez-vous connu Dave Corso? '' Il s'est reculé en s'exclamant: '' Dave Corso? Vous connaissez Dave Corso? '' J'ai dit: '' Yes Sir, je le connais.'' et il se lève et s'en va.
Kerry: Allez, vous êtes un psy, quelle était votre impression.?
Duncan: Il avait peur. Bleu. Terrifié.
Kerry: Il n'est pas la seule personne venue à vous, pour vous rencontrer, parce que vous commenciez à parler d'un autre incident.
Duncan: Juste. Et j'ai un blanc total pour celui là. Ca arrive de temps en temps, je vous l'avais dit.
Kerry: [à David] Vous vous souvenez de quoi à ce sujet?
David: Que mon nom ait été prononcé et que le type dise: '' Dave Corso? '' et voilà qu'il me décrit le tatouage de Dunc en ajoutant: '' C'était le meilleur sniper du Corps des Marines du Vietnam '' et ça, je ne le savais pas !
Kerry: Eh bien!
David: Il y a un autre élément d'intérêt à Pahrump... Il y a plus de 200 vétérans du Vietnam qui vivent dans ces collines alentour. Dans cette vallée, il y a plus de 800 anciens des forces spéciales. C'est le plus grand contingent connu qui regroupe le plus grand nombre d'anciens des forces spéciales.
Kerry: Bien. Cela a été une exploration fantastique, vous deux en particulier. Vous nous montrez beaucoup de confiance pour nous permettre de venir dans votre maison, vu les conditions, pour vous poser de telles questions. Je veux juste vous remercier tous deux.
David: Ne vous attendez pas à ce que votre vie devienne plus simple.
Filmé, édité et dirigé par Kerry Cassidy et Bill Ryan Pahrump, Nevada. Janvier 2007
Traduit par Diouf
source: http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php/topic,2949.15.html
VIDÉO DE L'INTERVIEW
Dernière édition par invitée le Dim 13 Mar 2011 - 18:06, édité 26 fois | |
| | | invitée
Localisation : Tarn
| Sujet: Re: DUNCAN O'FINIOAN, L'INVINCIBLE GUERRIER Mer 16 Juin 2010 - 18:47 | |
| INTERVIEW AUDIO DE DUNCAN O'FINIOAN Kerry Cassidy: Bonjour, c’est Kerry Cassidy et Bill Ryan de Projet Camelot et nous sommes avec Duncan O’Finian. Hello Duncan, nous sommes heureux de parler avec toi.Duncan O’Finoan: Bonjour. C’est sympa de vous parler de nouveau.Kerry: Nous allons discuter de ce qui se passe avec vous; cela fait longtemps que nous n’avons pas de nouvelles.Duncan: Ce qui m’arrive à moi et à d’autres, rescapés du Projet MKUltra, n’est pas censé nous arriver. On a toujours su que j’ai une autre personnalité intégrée, elle porte un nom. Ce nom est Omega Unit 1.9.7. Nous l’appelons juste 197. Les autres personnalités sont des personnalités qui ont été intégrées lors de tortures, créées par les scientifiques militaires du gouvernement, les’’mil lab scientists’’; tortures utilisées lors de différentes BlackOps. Mais ce qui se passe, c’est que ces personnalités deviennent conscientes d’elles-mêmes, presque comme un ordinateur devenant conscient.
Voyez, une personnalité n’était pas supposée entrer en contact avec l’autre. Nous étions supposés passer de l’une à l’autre [il utilise le terme ‘ changer’ que j’utiliserai dorénavant] avec des mots, des symboles, des signes, des sons etc… Mais certains d’entre nous commencent à changer chaque jour. Je change sans m’en rendre compte. Il n’y a plus besoin de réaction à un stimulus pour me faire changer. Ça pourrait être un grain de sable dans la programmation d’origine. Je crois fermement que c’est quelque chose d’imprévu par les programmateurs de l’époque.
Il y a 4 personnalités distinctes en moi. Il y a celle qui vous parle en ce moment, il y a 197, il y a un petit garçon, et ce dont nous sommes sûrs, c’est que ce garçon est …la personnalité que j’étais au moment de la division, il est donc perdu là-dedans. Puis il y a celui que nous appelons le fou furieux et cette personnalité est pratiquement comme un animal.Bill Ryan: Un peu comme Hulk, vous ne voudriez pas trop l’énerver, c’est ça?Duncan: Oui. Celle-ci s’est manifestée il y a quelques mois et tout ce qu’il voulait savoir, c’était: Quels sont les ordres? et quand aucun ordre ne fut donné il s’est rendormi.Bill: Intéressant.Duncan: Ça semble plutôt comme si j’étais au fond d’un puits très profond, à cause de mon problème d’audition. J’ai des douleurs dans les oreilles.Bill: Je suis désolé d’entendre ça Duncan, je me souviens que vous nous aviez parlé de ce problème en cours il y a quelques années.Duncan: Oui, c’est progressif, mois après mois. Ça empire.Bill: Quand vous dites: On a toujours su… qui est ’On’ ? Est-ce un groupe d’entre vous qui étiez dans le même programme et qui comparez vos notes? Ou bien un professionnel qui comprend cela et qui peut vous aider? Pouvez-vous nous dire ce qui vous a amené à faire cette recherche sur vous-même et vos camarades? Duncan: Pour la première question, les deux. Il y a un petit groupe d’entre nous , sortis de ces autres projets. Un groupe dans lequel je travaille. Nous étions sur des missions variées ensemble et nous partageons exactement les mêmes souvenirs, de plus chacun d’entre nous a des souvenirs indépendants sur lesquels nous travaillons. Nous avons aussi un psychologue expert en personnalités multiples, il a travaillé avec des victimes des BlackOps dans le passé. Il voit exactement ce qui se passe, c’est une aide énorme. J’ai un autre psychologue, un très bon ami de la femme avec qui j’ai travaillé. Nous travaillons également avec lui. C’est elle qui nous a regroupés. Ça fiche la trouille, les gars. Certaines de ces personnalités ont leur propre agenda.Kerry: Ce ne serait pas un signe de "meilleure santé" puisque ces barrières s’écroulent et vous commencez à devenir conscient de…ce qui se passe en réalité? Quand vous dites qu’elles deviennent conscientes, elles deviennent conscientes des autres également?Duncan: Oui, tout juste. C’est presque comme communiquer l’un avec l’autre. La seule façon de le savoir…avant, il y a des années, si je changeais en 197, c’était évident, d’accord? Même si 197 parlait, c’était évident. Il n’y avait pas d’accent, aucun signe. Mais la couleur des yeux changeait toujours. Maintenant, c’est pratiquement la seule chose que cette personnalité ne peut pas cacher, la couleur des yeux. Il peut changer si totalement et en secret qu’à moins de remarquer le changement dans les yeux, vous ne voyez rien.Bill: Est-ce que cela est compris Duncan? Comment l’œil peut-il changer de couleur? Parce que c'est comme une version miniature de transformation d’apparence, n’est-ce pas? Cela implique qu’il y a un changement structurel d’ADN qui se produit en un rien de temps, ce qui est impossible d’après certaines personnes. Comprenez-vous le mécanisme?Duncan: Oui, je le comprends et j’ai plusieurs témoins assis devant moi qui m’ont dit : Mon dieu ! Tes yeux sont verts ! Mes yeux ne sont pas verts mais quand je change de personnalité mes yeux deviennent verts. En ce moment c’est un combat d’essayer à avoir le contrôle sur les différentes personnalités et pour comprendre exactement ce qu’elles veulent. Elles ont l’air d’avoir leur propre agenda. Ce que sont ces agendas, nous ne le savons pas pour l’instant. Nous ne savons pas si ces agendas sont bons ou pas. Mais nous savons qu’ils ne sont pas sous le contrôle des labos militaires. Je parierai, et je le dis ici, que ce soit retenu, que ces personnalités veulent se venger. Elles veulent un salaire.Kerry: Est-ce que les autres personnes de votre groupe ont la même idée…que leurs autres personnalités veulent se venger?Duncan: Pour certains, oui. Absolument. Kerry: Parce que… je ne sais pas si on peut enregistrer et publier ça, vous me le direz, je pense que vous connaissez Daniel McB. Je l’appelle ainsi. Vous le connaissez?Duncan: Oui.Kerry: Okay. Est-il l’une de ces personnes?Duncan: Pas que je sache. Nous avons souvent parlé ensemble Dan B. et moi, nous nous sommes rencontrés. Je ne sais pas si …son autre personnalité se manifeste à présent.Bill: J’ai entendu qu’il devait y avoir une émission de radio… ils devaient vous appeler et vous n’étiez pas libre, ils ne pouvaient pas vous joindre. Mais Dan est venu à votre place. On l’appelait Dan Doe sur Internet, et il a raconté son histoire à la radio. Il n’y a pas si longtemps, mais je ne l’ai toujours pas écoutée, j’en ai l’intention.Duncan: Oui, je me souviens de ça. Ce n’était pas cette toute dernière fois que j’étais dans les îles, c’était la fois d’avant. Je suis allé à St.Thomas très souvent ces derniers temps, pour mes affaires.Kerry: Vous n’y êtes pas en ce moment ?Duncan: Non, là, je suis dans le Kentucky.Kerry: Okay.Duncan: Comme nous l’avons fait ensemble ici, j’essayais d’organiser une conférence téléphonée quand j’étais là-bas et aucune des parties ne pouvait obtenir de ligne. Ils ont appelé Dan et Dan a pris ma place ce soir là.Kerry: Savez-vous pourquoi vous allez à St. Thomas? Parce que dans notre 1ère interview, vous avez été reconnu à St. Thomas, au début vous ne saviez pas pourquoi on vous reconnaissait là-bas. C’était une suite d’incidents étonnants, c’est certainement une enclave militaire, et je me demandais si vous saviez pourquoi vous y allez?Duncan: Je le sais parfaitement. Il y a 2 raisons. Je commence par la plus simple, c’est pour le business. J’y ai des intérêts. Je gère une section de biens immobiliers de location sur Smith Bay et la raison principale est que l’île de St. Thomas est l’endroit de 197. C’est là qu’il fut créé, il vient de là-bas.Kerry: 197 a été créé à St. Thomas?Duncan: Oui. C’est là que le processus de division a eu lieu.Kerry: Je vois. Donc 197 retourne là-bas. Pensez-vous qu’il y ait… peut-être une fréquence scalaire ciblée vers vous pour faire ressortir ces personnalités? Ou bien une programmation lorsque vous êtes à St.Thomas? Avez-vous du temps manquant quand vous y êtes?Duncan: Non, pas de temps manquant. Pour les ondes scalaires ou les émissions électroniques, je serais d’accord.. Ce que beaucoup de gens ne savent pas c’est qu’à l’ouest de St. Thomas se trouve Puerto Rico. La base sous-marine la plus grande du monde se trouve à Puerto Rico, ça n’est pas très connu, mais c’est un fait.
Les gens qui me connaissent là-bas et qui me connaissent ici aussi m’ont dit plusieurs fois que quand je vais à St.Thomas, je suis comme un gosse sur l’île. Je n’ai plus 48 ans, j’ai de nouveau 15-16 ans. C’est comme si un poids m’était retiré…l’île a comme une touche de magie.Kerry: Pensez-vous que ce soit le résultat d’une programmation, je veux dire…les îles en théorie, sont des endroits agréables, serait-il possible que ce soit un implant qui vous ferait ressentir que c’est un endroit merveilleux, pour vous y attirer?Duncan: Possible. Très possible. Je suis allé à Puerto Rico de nombreuses fois, j’ai vécu au bord de l’océan plus d’une fois. Je suis allé sur d’autres îles, ce n’est pas la même sensation que quand je suis à St.Thomas. Il se pourrait que j’ai des souvenirs d’être un enfant, un très jeune garçon, à St.Thomas. Je crois que c’est une combinaison de facteurs, mais cela revient au fait que c’est l’endroit ou le traumatisme de la division de la personnalité s’est produit quand j’étais enfant.
C’était à St.Thomas, pas sur l’île même, mais sur l’une des petites îles qui l’entourent. L’immeuble est toujours là il appartient au gouvernement, c’est bouclé. Personne n’est autorisé, mais j’y travaille…Kerry: Donc, si ces personnalités commencent à émerger par elles-mêmes…cela vous met mal à l’aise? Sentez-vous qu’il y a une communication telle que vous Duncan à qui je parle peut dire calmement: 197 calme toi ! si 197 s’excite un peu trop?Duncan: Wow… C’est la question à un million d’euros ! Il y a quelques années quelque un m’a dit que si je ne pouvais pas réconcilier les 2 personnalités, alors je mourrais. Hé bien je pense que c’est ce qui se produit, il se passe beaucoup de choses au niveau subconscient et je n’en suis conscient qu’après; je pense qu’une fusion des 2 personnalités doit se produire.
Mais les 2 autres qui se sont manifestées… je ne sais pas quoi en faire. Le fou furieux fait peur, très peur. Le petit garçon, je peux gérer ça. Et… pour en revenir à Dan Doe, quand il était là, nous avons passé 3 jours ensemble, il voulait aller dans la salle de sport où je travaille, pour observer. Il est venu et il a été témoin du changement de la couleur de mes yeux. J’étais donc passé de cette personnalité à 197 pendant un effort suprême et…il l’a vu ! Il disait: Mec, tes yeux viennent de changer ! Mais pour moi, tout était au ralenti. C’est vraiment bizarre.Kerry: Quand il disait Mec, tes yeux viennent de changer.. il parle au Duncan à qui je parle en ce moment, n’est-ce pas? Et puis…mais en fait, vous êtes déjà changé en 197, c’est donc 197 qui entend cette remarque, c’est ça?Duncan: C’est ça.Kerry: Comment 197 a réagi à cette information?Duncan: Voyez, 197 entend et voit tout ce que je fais. Il est totalement conscient de tout ce qui se passe. Ce jour là, je faisais un effort extrême, et une fois que… j’ai monté le poids et que j’ai commencé à le descendre, c’est là qu’il a dit que mes yeux changeaient. Ils sont redevenus normaux quand je me suis assis. 197 s’est donc manifesté quand j’ai soulevé le poids. Je ne pense pas que j’aurais pu le soulever moi-même.Kerry: Je vois, c’est comme une poussée d’adrénaline.Duncan: Exact. Puis Dan s’est mis à parler des ondes Thêta et là…je suis perdu. J’essaie de chercher mais je ne suis pas scientifique.Kerry: Mais vous travaillez avec un psychologue?Duncan: Oui.Kerry: Il vous fait régresser? Il utilise cette thérapie…Duncan: Non.Kerry: …il vous emmène dans le passé, vers des incidents de cette vie et/ou une vie précédente?Duncan: Non. Nous avons essayé ça il y a plusieurs années et 197 est apparu, il a failli tuer l’hypnothérapeute.Kerry: Okay.Duncan: Oui, il faudrait le faire mais ça ne peut pas être fait tant que 197 n’est pas sévèrement restreint.Kerry: Ok, je présume que d’autres personnes de votre groupe sont… vous dites que les autres personnalités émergent spontanément aussi et que la vengeance est leur motto ?Duncan: Oui, on le dirait bien; mais pas la vengeance de sortir et mettre le foutoir partout, mais la vengeance du genre: Sortons tout cela, mettons tout ça au grand jour, sortons ces gens de leur terrier que chacun puisse les voir. Vous savez, nos autres personnalités sont très intelligentes, beaucoup plus que nous ne le sommes dans nos personnalités de naissance.
Elles voient les choses de façon analytique, elles ’démontent’ les choses beaucoup plus que nous. Elles sont bien conscientes que sortir et créer le foutoir ne servirait à rien. Ça ne les serviraient pas, c’est sûr. Elles veulent la vérité, elles veulent que ces choses soient connues, mais en même temps que mon autre (et certaines autres de mes camarades) cherche cette sorte de rétribution. Nous avons…ciel, la façon simple de l’expliquer, nous avons un sentiment, une sorte de protection, que nous avons aussi un but plus noble, et c’est de protéger. Protéger qui? Quoi? Nous trouverons, nous cherchons...... Bill: On dirait, Duncan, que la personnalité 197 est comme Jason Bourne dans le film, est-ce une analogie correcte?Duncan: En fait, je n’ai pas…Kerry: Il ne regarde pas de films Bill, alors il ne sait pas. Tu ne te souviens pas?Duncan: Jason Bourne. Je n’ai jamais vu les films.Bill: Compris.Duncan: J’en ai entendu parler. Kerry: Bien. En beaucoup de points, vous êtes comme Jason Bourne, dans le sens où c’était un agent frappé d’amnésie qui changeait de personnalité. Il ne connaissait pas l’origine du problème. C’est une version fiction des choses que vous nous avez dites sur vous-même.Duncan: Oui, okay.Bill: Je voulais dire que Jason Bourne était plus comme 197 parce que… il tuerait s’il le fallait. Il cherche à comprendre ce qui a bien pu lui arriver. Il est très analytique, il ne s’arrête jamais, comme the terminator , déterminé à trouver la vérité. Il est beaucoup plus capable que la plupart des gens qui l’entourent et il est implacable. Et… ça ressemble au type de personne que vous décriviez en parlant de 197. C’est pourquoi je faisais le lien.Duncan: Ok, ça marche. Un grand nombre de personnes qui ont vu le film me l’ont déjà dit avant, mais la différence qui vient toujours à l’esprit, c’est qu’on lui dit enfin que lui, en tant qu’adulte, il était volontaire pour le projet. C’est la différence entre ça et nous. Nous étions des enfants et nous n’étions pas volontaires.Kerry: Tout à fait et c’est très bien décrit dans la vidéo que vous avez faite avec nous. Si vous lisez ceci, je vous encourage à la visionner. Oui, vous n’étiez pas volontaire, nous nous en souvenons. Est-ce que vous vous considérez comme un remote-viewer ou bien plutôt votre personnalité de guerrier…Duncan: En tant que remote viewer, sur une échelle de 0 à 10, je me positionne à 1. Je suis nul. Je reçois plutôt des impressions psychiques. Je vois des évènements se produire, des images, peut-être un coup d’œil bref de quelque chose, où je dois m’asseoir et disséquer pour comprendre exactement ce que c’est.Kerry: 197, c’est un remote viewer ou un psychic?Duncan: 197 est très psychic, beaucoup plus que moi.Bill: Il y a quelques jours, j’ai écouté l’interview de Ed Dames sur Coast to Coast et de nombreux lecteurs de cette conversation connaissent le travail de Ed Dames. George Noory lui a demandé s’il utilisait des psychics dans son programme de remote viewing, Ed Dames a dit: Les psychics ne sont pas semblables aux remote viewers. Il disait que les psychics sont soit pile exact, soit bien loin du sujet, et ils ne peuvent pas toujours faire la différence. Ils n’utilisent pas de méthode. Les choses leur arrivent spontanément et ils n’ont presque pas de contrôle.
Il a dit que le remote viewing est une technologie qui peut être enseignée, en ajoutant qu’il n’utilisait pas de psychics dans son programme, car ils sont plus difficiles à entraîner car ils ne cessent de partir de leurs propres intuitions sans suivre la méthodologie. Je pense que c’est une distinction importante à faire, et je vous vois certainement étant psychic, et pas quelqu' un qui voudrait s’impliquer dans des protocoles linéaires bien définis que sont ceux du remote viewing. Ce n’est pas votre style.Duncan: Non, ça ne l’est pas. J’ai essayé le remote viewing vous savez. J’ai écouté ED pendant des années. J’ai mon opinion là-dessus, mais ce qu’il dit est correct. Je dirais cependant que, pour beaucoup de psychics, ce qu’ils voient est totalement pile-poil. Là où ils se trompent, c’est quand ils essaient de dater l’évènement. Mettre une date sur une vision est une chose pratiquement impossible. À moins de voir la date, comme de voir un journal ou quelque chose de cette nature, avec la date dessus, c’est presque impossible.Kerry: J’ai suivi le cours de Ed Dames, et je dois dire que j’ai étudié le remote viewing de ci de là, et Ed met bien l’importance sur le fait que les remote viewers ont du mal à trouver des dates pour quoi que ce soit. C’est donc difficile quelle que soit la méthode utilisée.
Mais je sais aussi que ça n’est pas complètement impossible. Ed Dames utilise des psychics et en fait, Ingo Swann était un psychic brillant et il est, en essence, le père du remote viewing. De nombreux remote viewers sont des psychics naturels, les meilleurs d’entre eux sont souvent des psychics nés.Duncan: Je suis un horrible remote viewer mais je reçois d’énormes quantités d’impressions psychiques. J’ai des flash presque tous les jours et je les suis. Je tournerai à gauche alors que je devrais tourner à droite, des choses comme ça. Quand je serre la main de quelqu'un, j’ai une impression de ce qu’ils ont en tête. Je n’entends pas ni ne lis leurs pensées, je reçois des impressions et des images.
Comme lors de notre première interview… souvenez-vous quand je vous ai demandé, j’avais dit: avez-vous soif et vous avez dit oui. Quand je vous avais regardé, j’avais eu un flash, l’image d’un pepsi. C’était mon interprétation que vous aviez soif.Kerry: Oui. C’est là que le coté psychic s’arrête, car je ne bois pas de pepsi. Vous avez donc transposé l’image de ce que vous buviez. Je m’en souviens bien. Lorsque l’on vous rencontre et que l’on vous parle, c’est évident que vous êtes un psychic. De plus, avec vos antécédents celtes et natif-américain, les deux ensemble, vous avez été choisi pour ces qualités n’est-ce pas?Duncan: Oui, nous l’avons été. Cependant, je dirais que, en 1966, quand j'ai été emmené à… beaucoup plus de souvenirs sont remontés depuis cette première interview. Je me souviens d’enfants d’origines ethniques variées. Nous n’étions pas tous des mélanges celtique/indien, mais nous étions le mix prédominant.Kerry: Je comprends. Pouvez-vous nous en dire plus sur ce que vous avez compris ou réalisé qui puisse intéresser nos lecteurs?Duncan: La plus grande réalisation que j’ai intégrée et gérée est que c’est mon père qui m’a conduit dans ce projet. C’était… Ah… [pause émotions] ..très énervant de dénicher ça (sur l’île de St.Thomas), que mon père était un agent CIA et qu’il a donné son accord pour que je sois pris.
Il m’a emmené pour que je fasse le test, et je l’ai passé avec succès, on y a pensé, j’y reviendrais dans un moment. Il se peut qu’il n’ait pas pu dire non. Cependant, je lui en veux, car il aurait pu m’en parler quand je grandissais, mais il avait choisi de ne pas le faire.
Laissez-moi dire pendant que j’y pense… Souvenez-vous du puzzle, l’image sur le puzzle… que je devais assembler, c’était la double hélice, la molécule d 'ADN. Oui, j’avais assemblé le puzzle. Maintenant, il court une théorie dans notre groupe que ce n’était pas tant que nous complétions le puzzle, mais que nous soyons capable de percevoir les impressions psychiques de la personne qui nous faisait faire le test.Kerry: Sur comment faire le puzzle?Duncan: Oui, c’est cela. Kerry: Intéressant. Duncan: C'est la théorie que nous avons en ce moment.Kerry: Ce qui veut dire que vos capacités psy étaient importantes pour votre sélection, est-ce ce que vous voulez dire?Duncan: Oui. Je me souviens que les autres enfants riaient, jouaient en semble pendant que j'étais totalement concentré sur ce que je faisais. Ça ajoute un peu de crédit au fait que la femme (dont nous connaissons maintenant le nom, Elsa) envoyait probablement une sorte d'image-pensée pour voir qui la percevait. C'était le vrai test en fait.Bill Ryan: C'est sensé Duncan, parce que je me souviens très clairement lors de votre interview il y a 2 ans, quoiqu'il y ait eu beaucoup de choses propices à la réflexion à discuter, je me souviens avoir pensé: Bon, d'accord, il y a un gosse qui fait un puzzle et vous aviez raconté que cette femme avait dit: Hey, on en a un !Duncan: C'est exact.Bill: Mais je me souviens d'avoir pensé: Qu'y a t-il de si spécial à ce qu'un môme assemble un puzzle? Tous les enfants font ça. Vous dites qu'en fait, c'était un simple puzzle, mais, ce qu'elle faisait, c'est qu'elle vous dirigeait et vous suiviez ses directives et c'est ainsi qu'elle savait qu'elle en avait un.Duncan: Oui, parce que, quand je faisais le puzzle, elle se tenait debout derrière moi et elle ignorait les autres enfants. Elle portait son attention sur moi. Je me souviens que ma mère aussi se concentrait sur moi. Ma mère était très psychic elle-même, parce qu'elle était une cherokee de race pure. Elle avait des visions, des rêves et des prémonitions, dont 90% s'avéraient exactes. Le grand-père de mon père était un druide celte. Quand vous assemblez ces 2 lignées, je pense que c'est ce qu'ils cherchaient.Kerry: Très intéressant. Que vous indiquent vos capacités psychiques sur ces temps actuels? Ce que nous traversons ici aux États-Unis, et sur un futur possible?Duncan: Préparez-vous à courir. Ça va empirer. C'est là depuis un moment et ça ne part pas. Ça va devenir méchant.Kerry: Pouvez-vous décrire de façon plus spécifique? Je sais que vous vivez au centre du pays. Allez-vous y rester? Vous nous avez dit que la meilleure chose à faire était de rester mobile, de pouvoir bouger, le pensez-vous toujours?Duncan: Oui. Soyez préparés à bouger. J'ai vu des villes et des bourgades dans le noir complet, en feu avec des gens qui crient. Des gens qui se sont allongés à terre et refusent de se lever... certains sont très effrayés et dans le noir et la fumée, il y a quelque chose qui passe, c'est très mauvais - diabolique - mais je ne peux pas voir ce que c'est. Ce n'est pas une ville spécifique, c'est partout.Bill: Je suppose que vous n'avez aucune date?Duncan: Une date? Non. C'est une impression, elle est plus intense maintenant qu'il y a 2 ans. C'est... ça se rapproche. Je voudrais bien pouvoir donner une date, mais je ne le peux pas. Il y aura aussi un soulèvement politique d'importance dans ce pays. Ce pays va se scinder politiquement en deux et je pense que ça arrivera dans les 2 années qui viennent. Chacun... on me pose beaucoup de questions sur 2012. Nous nous dirigeons vers un cumul d'évènements, je ne dirais pas que ça arrivera qu'en 2012. Je dis ça à cause des différences de calendriers, personne ne peut me dire exactement la date du jour. Les gens peuvent dire qu'aujourd'hui, c'est avec le calendrier julien, l'aztèque, ou le chinois, mais personne ne peut me dire ce qu'est aujourd'hui. Alors quoiqu'il arrive... peut arriver en 2011,12,13,14...etc.. mais ça vient.Kerry: Est-ce que les autres gens de votre groupe, les gens comme vous avec qui vous êtes en contact, voient des images du futur? Vous comparez vos notes?Duncan: Oui, avec certains. Nous nous parlons chaque jour. L'un des psychics le plus fort que j'ai connus dans ma vie a donné plus d'un avertissement au sujet de... je ne l'ai jamais vue se tromper; elle a dit, je cite: un vent diabolique souffle, et ne s'arrêtera pas. Elle a carrément dit: préparez-vous, je ne vois pas ce que c'est. Je ne sais pas ce que c'est, mais ça vient et c'est proche.Kerry: Pensez-vous que votre personnalité 197 aurait pu être créée en partie pour affronter cette période d'une façon ou d'une autre?Duncan: On en a discuté ! Oui, nous le croyons. Je vous l'ai dit, ces gens qui nous ont créés sont des génies diaboliques, aucun doute là dessus. Mais même un génie peut se tromper. Il y a des choses qui sont apparues avec ces autres personnes , qui, nous le croyons, n'étaient pas prévues par les créateurs et qui ont ouvert une boîte de Pandorre.
Quand ils nous ont ouverts et laissés sortir de la boîte de Pandorre, nous avons été utilisés pour des actions spécifiquement très maléfiques. Il n'y a aucun doiute là dessus et nous apprenons à le gérer. Mais si vous vous souvenez de l'histoire de la boîte de Pandorre, la dernière chose qui sort de la boite, c'est l'espoir. Ce que nous assemblons avec les dons qui nous ont été instillés et dont nous avons fait l'apprentissage, c'est de l'espoir; pour essayer de faire un tour à 180° et d'utiliser ce que nous pouvons pour aider. Nous verrons si nous avons du succès.Bill: Le groupe avec lequel vous travaillez... À cause des emails que l'on reçoit sur le sujet, les gens nous disent qu'ils ont vu votre interview et l'un des mots employés par quelqu'un - et ça fait froid dans le dos - était qu'ils avaient l'impression que vous racontiez leur histoire. Nous avons eu plusieurs messages comme ça. Vous devez en recevoir encore plus que nous. Combien y a t-il de personnes qui sont passées par votre programmation et qui vous ont contacté ces 2 dernières années? Des centaines?Duncan: Beaucoup, beaucoup. Je dirais... contacté personnellement, près d'une centaine. Certains sont dans le groupe que nous avons formé. En fait je suis le porte parole du groupe et je pense qu'ils auraient dû choisir quelqu'un d'autre. J'ai tendance à tout renverser, parfois, j'ai mes humeurs, même dans cette personnalité. Il y a des interviews où je n'ai pas été très doux avec certains auditeurs qui appelaient, les gens arrivent avec des questions très narcissiques et je n'ai pas été sympa. Mais c'est un travail auquel je me suis attelé et je continuerai à faire ce que je peux de mieux.
Pour répondre à votre question, mon projet en 1966, je suis ce qu'on appelle la "deuxième génération"... J'ai été contacté par quelqu'un qui était dans un projet semblable dans les années 50. Il serait de la première génération. L'une de notre groupe est juste après moi. Elle est 3ème génération. Une autre personnes est 15 ans plus tard, donc 4ème génération. Vous voyez la progression, ça n'a pas cessé. Ça continue.Bill: Oui, et l'implication est que si vous avez été contacté par, disons 100 personnes, il n'en faut pas plus pour comprendre qu'il doit y en avoir peut-être des milliers.Duncan: Je dirais oui. En fait, Dan (nous en avons parlé plus tôt) a estimé d'après l'information qu'il reçoit de l'un de ses "contacts CIA" qu'il y a environ 1 million d'entre nous. Pas nécessairement aussi entrainés ou ayant subi ce que nous avons subi, mais un million comme nous. Similaires. Bill: Je suppose qu'eux sont les produits des technologies expérimentales de différents pays, pas uniquement les US; est-ce correct?Duncan: C'est correct. Ces expériences et ces projets ne sont pas l'apanage unique des US. C'est mondial. J'ai été contacté par quelqu'un, en Russie, qui m'a dit avoir été incorporé dans un projet semblable en Russie.Kerry: Est-ce vrai - et Daniel devrait parler lui-même - mais j'ai compris qu'il ressentait avoir été conçu génétiquement pour être... ce n'était pas que de l'entrainement. Il y avait eu une manipulation génétique, probablement même avant la naissance. Pensez-vous que ce soit exact?Duncan: Oui. Ça l'est. Nous pensons aussi que les manipulations génétiques ont commencé dés la première génération. Pour moi-même, qui est le réellement le seul pour qui je peux parler, j'ai été "augmenté". Je sais au moins ça. Mes glandes surrénales sont beaucoup plus grandes que la normale. Ma densité et masse osseuse est beaucoup plus importante que la normale. C'est pourquoi je ne me suis jamais fracturé d'os.Kerry: Autrement dit, votre mère, lorsqu'elle vous a conçu, a peut-être participé (possiblement sans le savoir) à une sorte de programme génétique.Duncan: Je vais vous dire ce que l'un de nos remote-viewer a dit, vous devez le savoir. Le remote-viewing, ce n'est pas seulement le présent et le futur, ça marche aussi pour le passé. Ils ont vu ma mère dans un hôpital, l'ovule était enlevé, puis remis. Alors, si c'est vrai, et je préfère dire si c'est vrai, oui, j'ai été altéré génétiquement.Kerry: Oui... je ne sais pas. Vous vous considérez comme un hybride?Duncan: J'y ai beaucoup pensé, et avec ce que je sais maintenant, et c'est plus qu'il y a 2 ans, je répondrais oui. Hybride avec quoi? C'est la question.Kerry: Bien. Je comprends que l'humanité entière est hybride d'une façon ou d'une autre, car nous sommes passés par tant de manipulations génétiques, mais vous, dans le groupe des gens comme vous, vous n'êtes pas différent de Dan Sherman. Je ne sais pas si vous avez vu son interview. Il a été conçu spécifiquement, conçu génétiquement. Il en a la preuve de sa mère. Il a été conçu spécialement pour pouvoir communiquer avec les extraterrestres à un niveau intuitif et psychique.Duncan: Vous savez, on me pose souvent cette question: Où mon histoire concorde t-elle avec les ETs et tout ça?, je suis direct, je n'en sais rien.Kerry: Hm, mmDuncan: Je n'ai pas de souvenirs d'avoir été dans un vaisseau, d'avoir été face à face avec un ET. Je l'ai dit auparavant, je crois à la vie extraterrestre. Il suffit de voir le ciel étoilé ! Dire que ce petit caillou qui tourne autour du Soleil est le seul à porter la vie intelligente dans cette immensité, ce n'est pas logique.Kerry: Quand vous êtes à St.Thomas, êtes-vous conscient de... vous l'avez dit, vous êtes conscient de certaines influences scalaires dirigées vers vous. Je sais que lorsque nous faisions l'interview avec votre ami Corso, il y a eu une pulsation très nette qui a touché la stéréo (qui n'était pas allumée) et... pendant l'interview. Quand vous êtes à St.Thomas, voyez-vous d'une part, un nombre inhabituel de choses en activité dans le ciel? Voyez-vous une activité inhabituelle de quoi que ce soit, qui soit différente de ce que vous observez lorsque vous êtes aux États-Unis?Duncan: Oui. C'est une bonne question. 2 choses. On dirait...dés que l'avion atterrit, jusqu'à ce qu'il redécolle, j'ai un mal de tête. Ce n'est pas une migraine. Ce n'est pas intense au point ou je dois m'en occuper, mais c'est là. C'est juste au centre de mon front, pendant tout mon séjour sur l'île. L'autre chose: quelqu'un me disait qu'il y a toujours un très grand bateau, un garde-côtes, quand je suis là, avec des antennes vraiment immenses dessus. Et si je ne suis pas là, ce garde-côtes n'y est pas.Kerry: Intéressant. Êtes-vous conscient d'une activité souterraine là-bas?Duncan: Probablement. Beaucoup de gens ne savent pas, St.Thomas, c'est une île sur une montagne. Le bien immobilier que j'ai est au sommet de la 2ème montagne la plus haute. Vous voyez l'île entière. C'est pourquoi je dis probablement. Il y a probablement des tunnels sous-marins qui font la liaison avec les îles avoisinantes. Je vous enverrai des photos, vous verrez de quoi je parle.Kerry: S'il y a une base sous-marine... vous avez dit que la base sous-marine la plus grande au monde se situe entre l'île et Puerto-Rico?Duncan: Non. C'est au large de Puerto-Rico.Kerry: Ok.Duncan: C'est par delà la côte nord. Bill: Je me demande... Parce que vous avez dit vous avez une propriété à St.Thomas, si c'était votre Plan B au cas où ça va mal en Amérique, vous auriez donc quelque part où aller, s'il faut quitter le continent?Duncan: Ah que oui ! C'est marrant, j'ai plus d'amis à St.Thomas qu'ici en fait. Mon avocat est à St.Thomas, j'y ai aussi de la famille. Il y a des archives qui prouvent que ma famille faisait des transactions immobolières sur cette île depuis 1780. Si je ne les avais pas réellement vues, je ne l'aurais pas cru. Désolé, ce n'est pas 1780 mais 1840. 1780, c'est quand... le Capitaine Fanning, l'un de mes ancêtres, a fondé l'île Fanning qui se trouve sur l'autre coté du globe. Il était pirate ok? Aussi scandaleux qu'il le pouvait.Kerry: Vous avez donc des archives familiales à St.Thomas; ça pourrait expliquer comment ils vous ont trouvé, en présumant que vous n'êtes pas génétiquement implanté. Parce qu'on dirait que St.Thomas est une sorte de base.Duncan: Ah.. absolument. St.Thomas et St.Croix. St.Croix est une base pour les ravitaillements, ainsi qu'un contingent important de l'Air Force. Puerto-Rico a une... l'une des plus grandes présences militaires par tête d'habitants qu'aucun autre endroit du continent US. Ils ont une base navale, une base aérienne, une base de Marines, une base militaire, n'importe, ils l'ont.Kerry: Incroyable ! Bill: Plusieurs personnes nous ont écrit après votre interview, où vous décrivez quand vous êtes dans la machine pour un IRM, et la machine, en interagissant avec l'implant que vous aviez dans la tête, avait pris feu. Un nombre de personnes nous ont dit: Hey, attendez, un appareil IRM ne prend pas feu, a t-il voulu dire un autre appareil, inconnu? Pouvez-vous clarifier?Duncan: Oui, bien sûr. Ce n'était pas l'appareil mais les panneaux de contrôle. On m'a dit après qu'il y avait eu un feedback. Si je comprends bien, un IRM fonctionne comme un petit radar quand il renvoie l'image, c'est ce qui est arrivé, ce n'était pas la machine elle-même.Bill: Cela clarifie les choses pour les gens techniquement orientés, parce qu'un IRM, ça fonctionne avec la résonance magnétique. S'il y avait eu une résonance magnétique avec quelque chose, j'imagine qu'une pulsation de résonance aurait été activée, cela aurait pu créer des problèmes.Duncan: Oui, il n'y a pas eu de problèmes. Quand ils m'ont poussé dans le tunnel, il n'y a pas eu de problèmes. Ils ont commencé à me parler... sans problème. Puis, dès que cette chose a commencé à tourner et à faire le bruit, quand les ondes magnétiques ont commencé, c'était comme si quelqu'un me perçait le crâne avec un forêt bouillant. C'est quand j'ai commencé à voir toutes les images, tous les souvenirs, tout le sang, les tripes, l'horreur, tout le truc, je suis sorti en m'époumonant tant je criais. Je sentais la fumée. Les techniciens et infirmiers essayaient de me retenir, de me calmer. On me l'a dit après, c'était très difficile parce que j'étais... C'"était comme quelqu'un qui pétait totalement les plombs. Je me souviens que je hurlais.Bill: Ça ressemble à une expérience qui aurait pu déclencher votre autre personnalité.Duncan: Très juste.Bill: Ok. Merci pour la clarification. J'ai une dernière question. Comment voyez-vous, ou aimeriez-vous voir, votre vie dans les années qui viennent? Que voyez-vous devant vous? Parce que vous êtes là, en tant que guerrier, pas seulement pour les militaires, mais pour la race humaine, et vous représentez ce groupe de personnes, ils vous veulent comme porte-parole, comme chef et représentant. Vous êtes un héros pour tous, vous livrez une bataille, mais pas celle qu'attendaient les militaires. Comment voyez-vous les prochaines années pour vous-même?Duncan: Ce que j'aimerais voir et ce que j'ai vu sont 2 choses bien différentes. J'aimerais que les gouvernements admettent que ces programmes ont eu lieu, ont lieu, et qu'ils cessent; qu'on regarde les enfants grandir en paix, un terrain, la pelouse et un petit atelier de menuiserie. C'est ce que j'aimerais, mais ce n'est pas ce que j'aurais.
Ce que j'ai vu, c'est moi-même avec d'autres, entrainant des gens à l'abri. C'est ce que j'ai vu. Et c'est aussi ce que d'autres du groupe ont vu, parce que ça va devenir très chaud.Kerry: Exactement. Je pense que les temps approchent, n'est-ce pas?Duncan: Aucun doute là dessus. Et ils arrivent beaucoup plus vite que les gens ne le réalisent. Quand ça commencera, il y aura l'effet domino... une fois que le précurseur a frappé, et l'évènement précurseur sera une division totale dans le système politique de notre pays. Ça va arriver, et une fois que ça commencera... tout est possible. Ça va être de la folie. Kerry: Oui, je crois. J'ai aussi eu une vision semblable, alors... Merci Duncan, c'est intéressant. Nous espérons vous voir lors de notre conférence; nous sommes heureux de savoir que vous parlerez au public, ce sera merveilleux. Merci beaucoup de nous avoir contactés ici, c'est si difficile de vous joindre et en plus d'enregistrer pour que nous puissions le partager.Duncan: J'apprécie également. Merci beaucoup les amis.Bill: C'est super Duncan. Merci d'avoir passé ce temps avec nous. Que Dieu vous garde et prenez soin de vous-même et de tous ceux que vous aidez.Duncan: Toi aussi mon vieux.Kerry Cassidy et Bill Ryan] 13 avril 2009Traduit par Dioufsource: http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?PHPSESSID=59b2d4508fb23104096ddc4730ac1bd9&topic=2949.30 Enregistrement audio original: http://cdn1.ash1.k-srv.info/camelotarchive/audio/duncan_o_finioan_13_April_2009.mp3
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| Sujet: Re: DUNCAN O'FINIOAN, L'INVINCIBLE GUERRIER Sam 19 Juin 2010 - 23:55 | |
| CONFÉRENCE AVEC DUNCAN O'FINIOAN ET DAVID CORSOProject Camelot Awake and Aware Conference Los Angeles, Sept 2009 Malheureusement, pas de traduction, cette fois-ci . Juste un petit extrait concernant les “super-soldats” :« Bill Ryan et Duncan O’ Finioan s’expriment sur les soldats robots, ou soldats augmentés en cours de fabrication et d’amélioration depuis plus de 50 ans. (le terme utilisé en anglais est super soldier) Au départ? Duncan a proposé une séance de questions/réponses avec le public de la conférence ‘’Awake & Aware’’ tenue à Los Angeles en septembre dernier par Projet Camelot.
Certaines réponses ont entrainé Bill à s’exprimer ouvertement sur l’un des sujets confidentiels discutés avec Pete Peterson et non mentionné sur les vidéos de ce dernier. À la fin de la session de questions/réponses, Kerry se laisse aller également à révéler quelques propos tenus, confidentiels jusque là.
Si Duncan n’avait pas eu l’accident de voiture qui a fait ressurgir dans sa conscience des bribes de souvenirs cachés venant de son autre personalité, celle créée et entrainée par le programme du Projet Talent (l’un des 172 programmes de MK Ultra), nous ne saurions rien de ces soldats spéciaux version Terminator. Duncan est de la première génération de ce programme (années 60) qui continue et qui en est maintenant à la 4ème génération. Il y avait environ 1000 membres dans le groupe 1ère génération. Il y aurait 15.000 4ème génération. »
DIOUF
À partir de 10.35: (transcription du sujet ‘soldats-robots’ uniquement)Duncan O’ Finioan: « Le Projet Talent consiste à prendre le contrôle du talent de quelqu’un pour l’utiliser à ses propres fins. Dans mon groupe, chacun avait son talent propre que le gouvernement a pris, a entraîné, a augmenté, a amélioré et a exploité. Nous n’étions pas supposés retrouver ces souvenirs, mais ils sont remontés pour certains d’entre nous.
Notre personalité alternée a été entraînée dans tous les arts martiaux connus sur la planète. Nous avons été entrainés à piloter tout ce qui existait en aviation à l’époque. Nous avons été entrainés dans toutes les facettes possibles des arts militaires. Nous étions en essence la para-élite des soldats augmentés, utilisés dans le monde entier. La plupart de nos missions consistait à éliminer et à collecter des renseignements mais en gros, nous étions des assassins. Les gens qui nous ont fait ça, à ma génération, ne sont plus là. Cependant, le programme du Projet Talent continue sous des formes et des noms différents. Comment l’arrêter?
Nous fumes créés pour être une armée privée dans le futur. Les gens me demandent pourquoi je suis toujours vivant. Je suis toujours en vie pour 2 raisons. J’ai fait partie d’un programme et ce programme n’est pas terminé, il se poursuit. La raison pour laquelle nous sommes toujours en vie est qu’ils espèrent nous activer une dernière fois pour que nous soyons les protecteurs de l’armée privée de l’élite de ce pays. Je ne le ferais pas, pas plus qu’aucun d’entre nous. Mon talent était d’être un soldat, pas un espion psy, ni un remote-viewer, j’étais plus fait pour devenir un véritable soldat augmenté. Si je n’avais pas eu cet accident, je ne serais pas ici mais probablement utilisé au Moyen-Orient. » Question sur les personnes de 4ème génération en ce moment dans le programme.Réponse de Bill Ryan: Nous avons des informations sur la 4ème génération. Ces soldats là ne sont pas humains. Ils peuvent aller chez un médecin et y subir un examen, le médecin ne s’apercevrait de rien sans examen invasif. La pression artérielle, l’électroencéphalogramme, l’électro cardiogramme, etc…Tout serait normal pour cet ‘’homme’’ jeune, très musclé et très très baraqué. La personne qui nous a dit cela a eu une société appelée Cyberdine. Avez-vous vu les films Terminator?
…..Cela nous montre comment la réalité se confond avec l’industrie cinématographique hollywoodienne, celle-ci étant une façon de déguiser la vérité. Par exemple, quand quelqu’un dit: " Hey, les stargates sont réelles! " tout le monde se marre en disant que ça sort d’un script de film. C’est ainsi qu’ils déguisent la réalité. Cyberdine est l’un de ces exemples.
L’une des nombreuses fonctions de ces soldats, à défaut d’un mot plus approprié, eh bien ils peuvent aller dans l’espace sans aucun problème, ils n’ont pas besoin de respirer. Le nombre de ces soldats serait de 15.000; ils n’ont jamais été déployés en zone de combat car leur existence serait révélée. Mais qui est l’ennemi? Ce sera difficile de le savoir dans ce contexte. On nous a dit que jamais ils n’ont été utilisés. J’aimerais demander à Duncan et David si ça correspond à ce qu’ils savent.David Corso: Prenons l’analogie des ordinateurs pour imaginer les possibilités de la 4ème génération. Celui que j’ai sur mon bureau a 3 ans et a plus de puissance de calcul que les 4 ou 5 qui prenaient la place de cette salle lors de la 1ère génération. En ce moment, ils en sont sûrement à la 5 ou à la 6ème génération. [pour les soldats augmentés]. C’est absolument terrifiant. Duncan: On ne crée pas une armée à moins d’avoir l’intention de la déployer. Cette 4ème génération de soldats augmentés, ce sont des mauvaises personnes. Je n’ai pas pu en stopper un; j’étais le meilleur de ma génération et je n’ai pas pu en stopper un. La possibilité est très réelle qu’ils seront lâchés sur la population des Etats-Unis. S’ils font ça, nous sommes grillés. Et ils vont essayer de nous réactiver, chacun d’entre nous, les 1ère, 2ème et 3ème générations, pour que nous les rejoignions. Si nous n’essayons pas de nous y opposer, nous n’avons aucune chance. Ils sont très forts.Bill: Notre informateur nous a dit que 2 d’entre eux peuvent soulever un char Abraham.Duncan: Je peux soulever un poids de 1000 pounds à 49 ans, avec le cou brisé en 3 endroits lors de mon accident. Je n’étais pas supposé soulever plus qu’une tasse à café. 1000 pounds. C’est la 1ère génération. Pensez aux possibilités de la 4ème?Kerry Cassidy: On nous a dit que le peuple américain est une cible de cette armée. Une guerre se préparerait avec la Chine et il y en aurait une autre avec une race de visiteurs extraterrestres, cette armée s’en chargerait.Traduction par Dioufsource: http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?PHPSESSID=59b2d4508fb23104096ddc4730ac1bd9&topic=2949.30 INTERVIEW TRANSCRIT Duncan O’Finioan and David Corso Project Camelot LA Awake and Aware Conference 20 September 2009[Ed note: Normally the transcripts that had any parts in them that had been difficult for the transcribers to hear were put in “audibles” in square brackets in red for Bill Ryan to attend to, fix, then he’d post the transcript; however, due to unexpected interruptions in the normal working process in Project Camelot, this normal process was not able to proceed forward, so the audibles were left in the square brackets.] BILL RYAN (BR): One of the things that motivated Dr. Pete Peterson to come forward was his own increasing distaste at the projects which he had been involved in, and one of the many things we talked to him about was what is known colloquially as the “Super Soldier Program.” And… to refer to a human being as this sort of asset, this disposable asset in the Super Soldier Program, tells you a little bit about how the Powers That Be regard the human life and the human spirit. Duncan will tell you a little bit about this himself in the hour that he has available. Duncan is the first generation of this particular program. Off-record we talked to Dr. Pete Peterson, and I’ve got to be a little careful about this, but he talked about Duncan O’Finioan being the first generation of this program. When we say the first generation, we’re not talking about fathers and sons; we’re talking about leaps in technology. Like the first generation aircraft was the Wright Brothers. The second generation aircraft was a Second World War early fighter jet. The third generation aircraft is the B-2 Bomber. The fourth generation aircraft are the things that officially do not exist and which fly off in the secret space program. The Super Soldier Program is now in its fourth generation and we were told some details about this. KERRY CASSIDY (KC): At least. BR: And I’m still trying... I’m still trying to think… “At least” – I’m just reporting. [audience laughter] You’re saying “at least”. That may be true. KC: No, it’s just that we don’t know what generation for sure because we don’t know, you know, they haven’t let on... BR: I’m just reporting what Dr. Pete Peterson told us. KC: Project Talent. But go ahead. BR: Yeah. [laughter] So, what you’re going to hear just now is the personal story of somebody who is well-described as a real-life Jason Bourne. He’s trying to discover his identity. He’s trying to figure out who did this to him and why, and what happened, and what memories he still has to recover in the process. There are still blanks. We are very privileged to count him as a personal friend. He’s a man with a heart the size of a planet. We love him to pieces and the best story here is told from him in person. This is the important part of conferences like this. When you’re looking at a little video which is two inches by three inches on a computer screen, or reading a transcript, it’s not the same as hearing the words spoken from the heart of a man who has been so deeply affected by these programs. Duncan O’Finioan, please come to the stage. [applause / ovation] KC: Okay. I want to say a couple of words before we get started. Duncan is a highly gifted psychic, among other things, and I do want to say that when Bill was talking about first generation and so on, actually, what we’re talking about… The logical progression of that becomes robots – okay? – becomes things like The Terminator, becomes things like human beings that are combined with machines, who have limbs that have been enhanced. I’m sure that Duncan can clarify this for you, but that’s where we’re going with this. So I just wanted to be a little more specific, not quite so general, so that you understood where we’re going with this. And there is no superficial relationship between some of the things that Pete Peterson was involved in and we are not allowed to talk about, and what those other levels of what Duncan was the first, if you will, the test case or the main test case, prototype, however you want to put it, the human prototype for. Okay, so with those leading comments, you can take that where you will – Duncan O’Finioan. [applause / ovation] DUNCAN O’FINIOAN (DO’F): Thank you. Well, I did not expect this. [laughs] I thank everybody for showing up this morning, especially Bill and Kerry and Project Camelot for letting me do this. I have no clue before I talk what I’m going to say. I just walk up and let it come out. I’ll start with, as Bill was alluding to... generations of this project is correct. This is, basically, the fourth generation that we’re in now. I was first generation, 1960s. There was a previous generation in the 1950’s that was a failed experiment. So basically in my generation, they started the program all from new, all from scratch and we’re right now, if my information is correct, in the fourth generation. What I’d like to do tonight or this morning... hey, I’m still on East Coast time! [laughter] I don’t know what time it is. I want to try something different. I’m going to try to stay away for the first twenty minutes or so from any scientific standpoint. What I’d like everyone to do is take a couple of deep breaths, exhale it slowly, relax yourselves. Yeah. I’m going to try a little experiment of my own and see how it goes. We’re going to tell a little story. The story starts in the winter of 1966, and if anybody knows what eastern Kentucky looked like in 1966, well, you’re better than I am, because I don’t remember. [laughs] You’re talking two-lane roads, mostly gravel. Eastern Kentucky in the 1960’s looked like a throwback to the 1920’s, and that’s where I’m from. Well, one winter afternoon I’m loaded up in a truck by my parents and I’m taken to a hardware store. It’s the only hardware store in the entire county, and in the back of that store is a room that has a hidden door. I had walked by that wall with the door numerous times with my Dad and my Granddad; did not know it was there. So, I was taken in by my Mom and we went through the door and in this room was about eight to twelve other kids about my age; I was six years old. And they’re all sitting at these little low kindergarten-type tables and they all have puzzles and they’re trying to put the puzzles together. Now, walking around the room is a lady of European descent, with an extremely-heavy accent. She comes over to me and helps me take my jacket off and sets me down and asks me if I’d like to play. I’m six years old -- of course I want to play. She gives me some puzzle pieces and says: Make a picture out of the pieces. Well, for years, since I’ve started regaining all my memories, we had thought that the test itself was making the correct picture with the puzzle pieces. We don’t believe that’s so now. What we think it was now was... The lady’s name was Helga. She was a transmitter. Audience Member (AM): Can you talk just a little bit louder for us? [audience member continues but the words are unintelligible, then audience laughs] DO’F: Okay. She’s a good friend of mine. I’m going to allow it. [laughs] What we believe now is that Helga was a sender, a transmitter, a psychic transmitter, and the test was to see if I would be a strong enough receiver, because as the project transgressed through the years, we were mated up with another: one being the transmitter, one being the receiver, one being the spotter, one being the shooter. And that’s how we wound up being two- and three-person teams, sometimes five. Okay? But we were always together, psychic to soldier. Now, I’m just going to jump around a little bit because I’ve got an hour and I’m going to assume most of you have seen the interview at one time or another. Okay? Project Talent – The easiest way to explain what Project Talent was… is basically, or was basically, the taking of other peoples’ talents and using it for their own purposes. Each one of us taken into this project had a specific talent which the government took, trained, increased, enhanced, and exploited. We were never supposed to regain our memories but most... some of us have. In 1966 in the group that I was in, there was 1,000 of us. There’re less than 20 today. Half didn’t survive. Now, the process… Well first of all, how many knows what multiple personality disorder is? Yeah. That’s about what I expected. What they did with us is they split our personalities. This was artificially induced and if you go look at one of the paintings on the back wall when you have a chance, you’ll see a graphic description of what was done. The alternate personality is the one that was trained in every martial art known to humankind. We were trained to fly every aircraft there was at that time. We were trained in every aspect that you could think of, every art of war, every part of the military there was. We were, in essence, a par elite of soldiers and we were used all around the world. A lot of our assignments were for termination. A good deal was for intelligence-gathering, but by and large we were assassins, pure and simple, and someone needs to be held responsible for this. So where do we start? Who do we hold responsible now? I’m 50 years old. The people who did this to us in my generation are probably long gone. However, the projects continue under different names, different guises; they still continue. So how do we stop it? Anybody? How do we stop it? AM: By people like you talking. DO’F: I’m just a loudmouth on a stage. AM: [inaudible] DO’F: That’s one. How about we turn ourselves against them? [multiple voices at once / inaudible] DO’F: We were created to be a private army in the future. People ask me: If you’re exposing this, you went through all this, why are you still alive? I’m still alive for two reasons. I was part of a project; the project has not ended. It’s still ongoing. The reason most of us are still alive is they hope to activate us one last time and be the protectors, the private army of the elite of this country. I’m not going to do it and I don’t know any of us that will. [applause] DO’F: Now, what I’m going to do with the rest of my time is kind of turn this over to the audience. You know, I don’t have a whole lot new to talk about. I’ve pretty much done that. There’s a lot of new things that is still in the hypothesis stage... I never say anything as fact unless I have three points of reference and proof to back it up. So, what I’d like to do is turn this over to kind of a quasi Q&A, if you don’t mind. So, if anybody has anything that they would like me to add on to or to explain more, let’s do that for awhile. Yeah. She had her hand up before you. [laughs with audience] PC ASSISTANT: Why don’t we have people queue up over here to save time? DO’F: That’s fine. Cool. Okay. AM 1: I know with your multiple personality they have a way of triggering you, you know, changing you -- have you found with any of the other people or with yourself, any way to be able to stop that? Whether it be, like… I know that we have a third eye and a capital “I”. You know, some way that you can fight back by not allowing it to be turned on? How would you have control if they turned on something that you don’t have any control over? DO’F: Well, what happened with me is I was in a car accident about twelve years ago and I had to have an MRI done on my skull, and it didn’t like the chip or the chip didn’t like it. So, it’s not completely deactivated, but it’s been damaged enough. What’s going on now for some of us is… this going to sound so unbelievable. Our alternate personalities are beginning to merge with our primary personalities. What were once two people are now becoming one, and that is something that the Illuminati, the Elite, the Bankers -- whatever title you want to put on them -- that is something that scares them to death, because the alternate personalities are integrating our memories, our emotions that they can’t have. AM 2: You mentioned in the video that you have some telekinetic abilities. Are you able to consciously control these in this personality at this point? I’d sure love to see a demonstration! [Duncan laughs] And also, can you train other people in how to use some of the stuff you learned? DO’F: Yeah, the Amazing Randi [Ed note: James Randi is a world-renown super-skeptic of paranormal phenomena.] would like to see that too. [laughs] Most of any psy abilities that I have are tied into the alternate personality. One of the reasons that I was a shooter is because I was best at being a soldier, not the psychic spy, not the remote viewer. I was one of the worst remote viewers in the world. You know, I was more suited to be a physical, augmented soldier. AM 3: Yeah, Hi Duncan. I have a book that’s called Mind Control of America and I understand that you were programmed as a soldier. This book, the topic of the book, is about women that were groomed from the time they were very small to be basically sex slaves for a lot of people who are in power. DO’F: Project Monarch. AM 3: Using dark ceremonies in order to control the, kind of the orgasmic energy, into the darkness. I was just wondering, do you know about this? DO’F: Yeah, that’s kundalini magic. That ties in. A lot of these programs use ritualistic magic and it is dark magic. So, yeah, I am aware of what you’re talking about. AM 3: Yeah, because she claims to have had sexual relationships with a lot of people in power throughout the years; her and a bunch of women that, like you, are starting to remember and have shattered multiple personalities, very similar stuff... [end of sentence unclear] DO’F: Thank you. AM 4: Hello and thank you for being here. I read Ender’s Game and I just want to know, have you read Ender’s Game and, I guess, have they tried to take people off-planet to cover it up? And, like, how much of that is true or is it false? DO’F: I didn’t quite understand. AM 4: Oh, have you ever read the book Ender’s Game by Orson Scott Card? DO’F: No, I haven’t. I don’t watch movies. I don’t read books. [laughs] I stay away from it as much as I can. AM 4: Because your story reminds me of Ender’s Game. Basically Orson Scott Card writes about grooming a six-year-old to fight the alien invaders that will be coming in the future. But in Ender’s Game, what happens is that, you know, the government wants to cover everything up and so they ultimately take people off-planet. So I was just wondering if you knew… DO’F: I’m familiar with what you’re saying, but I really couldn’t answer anything. AM 4: Okay, great. Thank you. DO’F: Thank you. AM 5: I guess we’ve all got books that kind of relate to this and mine is TRANCE Formation of America. DO’F: I’m familiar. I’m familiar with it, yeah. AM 5: In that particular book, pedophilia was one of the means they used to create multiple personalities and I just wondered was pedophilia a part of your…? DO’F: I have no memory of sexual abuse. This is the reason I wanted to do the Q&A. Every question is leading me into the explanation [that] I was wanting to get into. My alternate was instilled due to trauma-based torture. Okay? I was, over a period of time… What a lot of people think when they see the previous interviews is that once I was taken from Kentucky to wherever I went, this was done instantaneous over one day. No, this took place over weeks and months. All right? We started out with being strapped into a wooden chair, with the strobe lights, being talked to, slapped around. I learned what water-boarding was by the time I was seven. Okay? Then they would start with the needles under the fingernails. They would do one, then a few days, maybe a week later, two. The purpose for this was to increase the pain tolerance. Okay? They wanted us to have a pain tolerance that was unbelievable, so that they could finally get to the point to where they could have all ten fingernails with needles underneath and then an electric current being put through them. Then I was given a drug so that I could not faint, I couldn’t black out. So at that point, your psyche has a choice to split off to an alternate personality or die. I split. Most of them didn’t. Does that help? AM 6: I think you’re very brave to come to this sort of meeting... I would think you would be at risk. But anyway, you were mentioning that there were initially 1,000 recruits. Now did all 1,000 go through the program or... you said there are only 20 remaining? DO’F: It’s my understanding that only 20 of us are remaining alive. The 1,000 that were taken into the project in 1966 were the first-generation augmented individuals. They were from all over the world. I remember kids from Australia, England... when I say from all over the world, I’m talking about the Allies, the Allied countries that we had at that time. I do know that the former Soviet Union was working on a very similar program, as well as China was working on a similar program. There was one incident in my early 20s when I went up against one of my Soviet counterparts. I lost that one. AM 7: How did your parents react to this? Did they have a problem with that? [audience laughs] DO’F: My parents? I’m going to be diplomatic. [laughs] No, it’s a good question, it’s an excellent question. My father was in the CIA. That’s how my involvement came about. This is a generational project. I haven’t spoken to my mother or my siblings in over 20 years and I have no desire to. What do they think about this? [makes dismissive sound] They would probably as soon see me in the ground right now, and that’s being diplomatic. AM 8: Duncan, I’m very sympathetic with your state, the severe trauma that makes the multiple personality disorder, and in fact, most of our soldiers who go abroad and experience trauma experience something called Post Traumatic Stress Disorder. DO’F: Right. AM 8: You have a very severe case of that and I would like to suggest, if you didn’t know about it, there are some very good mind/ body medicine techniques that can be used to really release the trauma and emotions connected with the trauma that could possibly lead to a healing. And when you said that you felt that the various personalities were beginning to merge, actually I think that’s the mind/ body trying to heal. But I think the point is that you want to get rid of the Traumatic Stress Disorder, so that you can go back to being your whole self. So, if you want more information about that, I may be able to help you. DO’F: Sure. Thank you. The problem with that, with the personalities merging? When that begins to take place, we really don’t have a choice. We either let the personalities merge together; we let the implanted personality take control, which would not be a good thing; or we become one person kind of right down the middle with the original and the augmented... something that at least has some emotions and some understanding of right and wrong. The alternate personality has, at that time before they begin to merge, has no emotions. Right and wrong means nothing – okay? – simply follow orders. AM 9: Duncan, thank you for being here and sharing with us today. DO’F: Thank you. AM 9: It’s probably been a couple of years since I’ve seen your interview. I was wondering if you could talk about the experience when you were in a team, I guess? You were youngsters... when you came in. I don’t remember if you guys stood in a semi-circle or a full circle, but you took out the enemy. Could you discuss your perspective on the energetic mechanics of what was going on, how you did that, and perhaps some of the other phenomenon that might have been similar? DO’F: Yeah... ah... [makes shushing gesture] s-h-h-h. Don’t tell anybody; we were in Cambodia. We weren’t supposed to be in Cambodia during Vietnam – okay? – but we were there. There are some people in this room that were there. After we’re finished, if anybody wants to talk to them, I’ll introduce you. We were thrown in as part of a rescue operation. A couple of SEAL teams and OSS [Ed note: Office of Strategic Services] teams were pinned down by Khmer Rouge fire. The process by… ah... What we did, I really don’t have an explanation. But you’re correct. We came out and we formed a semi-circle facing the direction of the enemy fire, and we do have some more information on that since we did the interview. There were twelve of us. I was Team Leader. Consider: each of us as an individual acted as a battery and we transferred all that energy into something else – it was a thirteenth person, but we don’t know who the thirteenth person was. The thirteen, again, being a ritual number. The number of dead that day numbered in the hundreds. We then got back on the chopper and we flew off. AM 9: I take it that that was also another aspect of the training that one of the other personalities is schooled in. DO’F: Correct. Correct. Thanks. AM 10: Thank you, Duncan, for being here. You’re very brave. DO’F: Thank you. AM 10: I watched the video with Dave Corso and you seemed to have more memory than he did. He doesn’t seem to have the memories that you do or... [inaudible]... Was he in your program, or was he the generation that failed? DO’F: No, Corso was not in my particular project. He was in a different sub-project. Okay? Project Talent wasn’t the only game in town with all this. There were a dozen sub-projects going on. For example, Project Talent fell underneath the umbrella of MK Ultra, MK Ultra being a catchall phrase for anything concerning mind control. There were 172 different sub-programs under MK Ultra – Project Talent being one. Project Talent was where I began and then I was moved. As I said a lot of times, Project Talent’s like going to school – okay? – and I was moved from Project Talent to the Ultimate Warrior Project, because I was more suited to be a physical soldier than a mental/ psychic soldier. To answer your question about Dave Corso, Dave Corso began getting his memories right the time he should, late 50s pushing 60, 61. That is when the blocks begin to wear down and the memories start to come together. He got them back right at the perfect time. I got my memories back because of an automobile accident. If I had not had the accident, I don’t think I’d standing up here right now. I would probably still be utilized and I would probably be in the Middle East right now. AM 10: You’d still be working? DO’F: I have no doubt that I would still be part of the program. AM 10: Thank you. DO’F: Yep. AM 11: Hi Duncan. DO’F: Hi. AM 11: I grew up in eastern Kentucky, so I’m very familiar with that area and the people that live there. One of the interesting things about that area was that in the 1500s and 1600s, a lot of the people that populate those mountains and areas were people from the British Isles and they were, I don’t say all, I’d say some... [inaudible]... were running from the law, so they populated those mountains and they were very closely knit and still are in the community. And my question to you is, can you talk about… you mentioned that your grandfather was [inaudible]... Can you talk about that at all and how that affected you? DO’F: I had two grandfathers at that time. One’s name was Bull. He was full-blooded Cherokee. The other was my father’s stepfather and I grew up more with my father’s stepfather than I did ever… What county or what town were you from? AM 11: Ashland. [says more... inaudible] DO’F: Ashland? Okay, I know where you’re from. Yeah, you’re absolutely right, during that time the mountains were littered with people that bail bondsmen would love to have seen. [laughs] They probably still are. [laughs] In all honesty, I have not been back there in 17 years. It’s been that long since I’ve been back and I seriously doubt if I will ever go back. Okay? AM 12: Duncan, you talked about how the two personalities for those less than 20 of you from your group who are still here are merging, these personalities. DO’F: Right. AM 12: And the Powers That Be are fearful of that. You said they don’t want that to happen. DO’F: Right. Correct. AM 12: Can you just touch a little bit on that and why? What’s causing those two personalities at this time to merge? DO’F: What’s causing the merging? We have no clue and neither do they because it was not supposed to take place. What terrifies them about the two personalities merging? My alternate personalities... one of my alternates; I have four. Two of them, we don’t know how they got there. Okay? My primary alternate is known as Omega Unit 197. He knows where all the bodies are buried. He has all the knowledge, all the locations, the dates, the places, the bank accounts, etcetera. Imagine when we finally merge, I’ll have that knowledge in this personality. That better terrify them because I will turn it against them. [applause] KC: Hi there. I just want to sort of step in here and sort of help move things along here. Duncan, you’re doing a great job. There’s some interesting energy in the room right now. Miriam Delicado are you in the audience? Is she there? Okay, if she is, could she please come on stage? Thank you. This is Dave Corso. [applause] Bill, are you with us? Thank you. Okay. DO’F: I need a little break for a minute. KC: We’re just going to give Duncan a little breather here and I’d like Dave Corso to say a few words to you. Duncan does have more than one alternate and he is investigating this very deeply. You have to understand that once somebody does that, breaking down those walls makes them very vulnerable. And if you’ve seen the recent Terminator movie, it’s no lie – okay? – so just follow that character’s trajectory in trying to find out what was done to him and watch his emotions and you’ll have some clue as to what’s going on here. Okay? So, if you haven’t seen the movie, I encourage you to do so because it’s really remarkable. Dave Corso... DAVE CORSO (DC): Thank you. [applause] [muffled / unclear; Dave is paying a compliment to Kerry] ...to be where you are. KC: [whispers] Thank you. DC: Let me explain to you how I met Duncan in this iteration of life. We had a mutual friend named John Morrow. John Morrow was the thirteenth member of the team. When the helicopter landed in... [inaudible / broken up; Duncan’s voice being picked up by mic, overriding Dave’s voice] There’s an energy that’s working in here now ... bring it on! [applause] My team was sent to rescue another Special Forces-type team. We had some problems. I called for backup. Well, about 10 minutes later, this CH-47 Chinook lands and these twelve kids get out... What the hell was this? Bullets flying everywhere! There’s this little kid with a big Afro, a white kid, that one right there. [indicates Duncan/ audience laughs] I said: What the hell’s this? Before I could ask the question, these kids formed a circle, joined hands and there was a thunderclap and a flash of light like I’ve never seen. I looked at the helicopter as my vision comes back and there’s a guy, and I said: I don’t know this guy; I don’t even know what his uniform is. He was an Officer in the Army, I think. To make a long story short, they flew away, we got together our team that had come to rescue... and I asked the Master Sergeant: What do you know? What do you recall? And he said: A blinding flash and the bullets stopped. There were hundreds of Vietcong bodies as we wended our way back out, and we got to our chopper and we got out of there About two weeks later in Saigon, I ran across this Officer again and he had this horrified look on his face. He had an insignia on his shoulder that I had never seen before. Okay, that was 1967. Let’s fast-forward to 1992. I’m in Pahrump, Nevada, in my computer shop and this guy walks through the door and my first instinct was to kill him. And I said: Why do I feel that way? Well, as he introduced himself – his name was John Morrow – as he and I talked, I could sense there was something unusual about this gentleman. Well, John and I got to be good friends and one day after I had closed my shop... John was over because I was doing some work on his computer. I said: Let me tell you, John, what I first experienced with you. When you first came in my shop… I says: …my first instinct was to kill you, and John Morrow’s face got ashen-white. I said: I know you from Vietnam. I said: When you introduced Duncan and I in this iteration, you were surprised that we knew each other and you were even more surprised that Sean and I knew each other. I said: You didn’t expect that. He said: No. He gave me some more background on Dunc’, because he was one of Dunc’s trainers. John Morrow was a very unassuming gentleman. When you looked at him, you’d think what a big teddy bear. John loved cats. John loved my dogs. John was my friend, but he was a robot. There’s a robot or two in here today. I no longer sense their being a danger, but when I met Dunc – and I’m not telling the story about the yellow snake, either [Duncan laughs] – that’s a story for another time, but you won’t believe it and I didn’t... My son… I have a son that’s named David Thomas. He has an unusual knack of... he’ll ask me what I think are stupid questions until I think about it. My nightmares started in 1983 when my son and I are sitting in the little two-man rubber life raft fishing in Strawberry Lake in California. He looked at me and said: Daddy, I got a question for you. I said: What’s that? He says: What did you do in Vietnam? What did you really do? Because at times, man, you just act really weird! (I said: [thinking] He’s nine years old. What’s he asking me what I did in Vietnam for?) I said: I think I did... this. That night, the nightmares started. Dunc and I have been through iterations of life together, as have Allison and I, and Laura and I. I’m here to meet people, to tell you this: Whatever Duncan says, you can take it to the bank. [applause] DC: Dunc has other information that I don’t know if he’s going to share today or not that I’m privy to. He talked about teams of three. Well, the third member is here today. I’m the anchor. Dunc’s the soldier and we have the outlook, this iteration of “outlook.” There are more than one. I am so grateful that I live in this country. I had an opportunity to go to work for the Russians after my term was over in the US military. I looked at this guy and I said: What you are going to give me? Make me a Major for six months, get my information and kill me? As I turned to walk away, he was gone. [snaps fingers] That quick. It happened on a street in Oakland, California. You all have good hearts and souls, but I’ve seen one thing, because my talent is taking a mosaic and making a picture. A lot of you have a lot of the pieces. We need to sit down as a group and not design a camel, which is a horse designed by committee, but sit as a group, bring out one truth. The truth stands by itself. And what is the truth? Well, it’s something that is politically acceptable today. It may not be politically acceptable tomorrow. Well, the truth is this, relaying an event or situation exactly as it is without taking to or adding from that event to make someone right or somebody wrong. Believe me, I know that’s true. People say I’m crazy. Well, I’m not crazy. It just happens you’re not in my normal realm. [laughter/ applause] I have wolves. I raised wolves and I have a wolf that lives in my house. He’s a purebred wolf. DO’F: I thought he was mine. DC: [to Duncan] You can dream on all you want. [laughs] I have a wolf named Herk. Dunc and I made a 300-mile trip, about a 400-mile trip one way. I took Herk with me because I felt so inspired. Now, this wolf was, what, four months old? He was four months old. He got in the car just like it was normal. A hundred and fifty miles down the road, he stands up and looks at Duncan, he looks at me and I said: I think we’d better stop. He had to do his thing. He got back in the car. We drove on. We got to our destination and I thought to myself: This is a purebred wolf… This woman had two little dogs as I recall. DO’F: Yeah, and a cat. DC: And a cat. My wolf got along fine with them. [from the background]: Woof! [laughter/ applause] DC: Thank you, boy, I appreciate that! DO’F: You had to do it, didn’t you? DC: Well, I got a thing with dogs. Anyways, as we were coming home we stopped at a well-known sandwich shop. We got two burgers: two for Dunc, two for me, and two for the “dog”. You know what? My dog wouldn’t eat them. He buried them in the seat; I found them the next day. So much for lovin’ it, I guess. But I have had some amazing adventures with Dunc. Sitting in my living room like it says in my interview… Now, stereo and things were turned off; it shouldn’t make a noise. Right? How about a loud pop that hurts your ears? Have you ever experienced that? Electronics go pop? It’s a psychic attack. Audience: [inaudible] DC: Well, you were there, you should know. Either that or your twin sister was there. I have a lot of fun with life. Things seem to be clearer in the here and now, and if they’re not, bring it on... [unclear]... I’m ready for ya. KC: That’s right. Okay, let’s take a couple of the other questions here. You’ve got two people and you can ask, either one. Duncan has actually got a mic on him. Duncan, say a few words, so we can make sure it’s working. AM 13: Okay. Hi, I’m just wondering if we look x-ray photographs of your arm, your shoulder, and your head, would we see anything interesting in those? DO’F: You would see metallic objects. I have x-rays and photographs of the implant in my left hand; the cranial implant. I don’t have one of the shoulders, because I can’t seem to get my HMO to pay for it. AM 13: You think you could release those online for us? DO’F: Pardon? AM 13: Could you release those photographs online for us? DO’F: They are. AM 13: They are? Are they anywhere on your website? DO’F: They’re on my website, yeah. AM 13: Thanks. DO’F: Mm-hm. It’s www.duncanofinioan.com. AM 13: If you could say that website one more time? DO’F: www.duncanofinioan.com. AM 14: First I just want to thank you both for being here today and for being courageous enough to speak with us and tell your stories. I do have a few questions. One is Project Talent. What were some of the other talents that the children expressed and, if you could, introduce us to some of them that are remaining today? DC: Project Talent, like Duncan said, is a far-reaching program. My talent, among others, is taking a mosaic of little bits of information and giving you a very clear picture. That has been brought home this weekend. There are people here that I was meant to meet. There’s three in the back room right now. I wasn’t taken for periods of time. I was taken for the summers. I was a summer school, so to speak. My training started when I was six years old when my brother brought home – who happened to be a Staff Sergeant in the Marine Corps at that time – brought home a .22 target rifle. That was part of my training because he was also in early Project Talent, as I found out later. But, I would be gone in the summer, come home in time to go to school, and I had all these memories of being with my Uncle Ed who was a peddler. Great con-man. I asked my mother one time before she died, I said: Mom, I got a question for you. She said: What? I said: I have these memories of being with my Uncle Ed in the summertime, going out on the road. She says: You were never with Uncle Ed. I said: Then what did I do? She said: When you get older, you’ll figure it out. And mother gave me that smile that said: You’ve asked enough questions. Mother, God rest her soul, went Home in 1993. Before she went, she showed me a journal she had kept of the time I was in the service. Every time I got hurt, every time something significant happened on a mission, she wrote down where I was, what I was doing, and where I got hurt and what the event was. I said: How did you know this? And she said: I am your psychic anchor. I said: I didn’t know that. She said: There’re lots you don’t know yet. My mother, God rest her, was an angel. Boy, could she be a holy terror. [Duncan laughs] I’m different than Dunc. I don’t have any Native American blood in me that I know of. However, I say I’m Sicilian, that’s because my mother was Scotch-Irish. My father was purebred Sicilian and I was raised by my grandparents. And it’s interesting to know that when I was talking to the third member of our team... Friday morning I’m laying in bed at my niece’s before I come over here, at 4:30 in the morning and I said, Hey Allie, it’s 4:30. Send a message to him, but he never gets it. I ask Allie, I says: What happened at 4:30 this morning? She said I woke up out of a sound sleep and sat up and said: What’s this? Psychic abilities are alive and well. I’m just finding out what mine are. I never thought to even question myself about it. Well, last night we were sitting in the cafe. Allie and I looked at each other at the same time and… somebody was there. Somebody was there. There was a psychic vampire, was the second thing we noticed. Robots don’t know they’re being used. They don’t know what training they’ve had. They have no knowledge, no memory, so we can’t hold it against them personally. But understand, as many people as there are, are different programs because everybody has different natural native talents that have to be...ah... capitalized on. And I hope I’ve answered your question. Am 14: Yes, you did and I have two more, actually. DC: Go ahead. AM 14: You almost actually led into them. The second question is how can we locate, communicate with, the members of the subsequent programs, the next generations that they were talking about, and help them to understand what’s going on with them? DO’F: I don’t think you want to. We are the way we are without explanation. We don’t have one. As I said earlier, we were never supposed to retrieve our memories, at least not at this age. I helped Dave get his back. I got mine back due to an automobile accident, so I woke up early. The generation of people that are in this project today, which would be the fourth generation... Jeez! That is a very scary thought: To try to locate one of these guys and communicate and try to reason with that person, if they’re in an alter [personality]. BR: We have some information about the fourth generation that I think, in the context of what you’ve told us, we should maybe say a few words about. These soldiers are not human. They can sit in a doctor’s surgery and pass the tests and the doctor would not know if it was not an invasive test. Blood pressure reading, EEG, ECG; they pass the tests. They’d be a healthy, strong-looking, quite large, muscular-looking man. The person who told us this once had a company, had a corporation, and the name of that corporation was Cyberdyne. Anyone seen the Terminator movies? Okay. This is a reference to what we heard yesterday about how the reality merges into the Hollywood movie industry as a way of, I believe, primarily as a way of disguising the truth, because when somebody says: Hey, you know, these stargates are real, then they get laughed at because it was just something that came out of a movie script. This is how they hide things like that. Cyberdyne is one of those examples. The person who told us this, we pushed quite a lot. We had quite an interesting conversation about it and we were given to understand that one of the many functions of these soldiers, for lack of a better word... of course they can go into space without any problem at all. They don’t need to breathe. And the numbers of these soldiers, we were told, were something in the region of 15,000. They’ve never been deployed in combat, we were told, because then their existence would be revealed. But whoever the enemy is, and we’re not sure in this context, they are given to believe that they exist, but they’ve never been used. Now, that’s pretty much all I know. I’d like to ask Dave and Duncan here whether this fits with what you believe you understand. This is a conversation we haven’t had. DC: It, of necessity, has to fit. I mean, Bill gave an analogy with airplanes, on the generations. Let’s take a better look, let’s take a look at computers. In 1962 when I was first introduced to computers, they’d almost fill this room. Yet I have one sitting on my desk. Well, I have six computers on my network at home. I happen to like to play with computers. That computer is three years old. It has more computing power than the first five computers they built that were the size of this room. Every... it used to be every two years, then it was every 18 months and now it’s every year they double the capacity and abilities of microprocessor chips. A microprocessor chip is about the size of a half-dollar. Used to be they had one computer chip system inside there, then there was two, now there’s four. Same size chip. So his analogy that he wants is, what’s the fourth generation like? They’re probably in fifth or sixth generation by now. That, to me, is absolutely terrifying and I’m scared of damned few things in this world. And we’re not talking about the yellow snake either. [Duncan laughs] All right, I’ll confess: I hate snakes. [laughter] DO’F: Listen, long and short: You do not create an army unless you intend to deploy that army. This fourth generation Super Soldier / Warrior Soldier, whatever you want to call it, are some bad people. I couldn’t stop one. I was the best we had at my generation. I cannot stop one. The possibility is very, very real they will be turned loose on the American populace. What do you want to do about it? I want to stop it. If they turn this fourth generation loose on us, we’re toast. And they will try to reactivate each and every one of us in first, second, and third generation to join with them. If we don’t expose them now and try to at least put up a blockade, we will not have a chance. They are that good. They are that strong. They are that invincible. We have very, very little time in which to pull this thing off. So what do you want to do about it? BR: Just a little data-point which I’ve just remembered... we were told that two of these can pick up an Abrams tank. [laughter / comments – inaudible] DO’F: I can do a 1,000-pound dead-lift at 49 years old and a broken neck. My neck was broken in three places in my car accident. I was never supposed to lift anything heavier than a cup of coffee. I can dead-lift 1,000 pounds. That’s first generation. What Bill just said about fourth generation… think about it. KC: I just want to add that we have been told – Okay? – can’t say where our source came from, but that Duncan’s quite right that the American people, for one, are targets, could be the targets of some of this army at some point in the future. We were also told that a war is “anticipated”, if you will; one with China and two with visiting races, off-planet – okay? – and that these “beings” that are being created actually have the capacity to handle that situation. And all of this is absolutely Top Secret, absolutely. The fact that Duncan is coming forward and Dave Corso, and the fact that they found each other means that there is a power higher and more powerful than anything created by man. It’s testimony to that, the fact that we are finding each other. There are some other people in this audience today that found us and found Dave Corso and Duncan and they were involved as well. And they, some of them, don’t even know how deep yet. Okay? Some of those people were used, again, against their will. And I have to say that, you know, there are a lot of soldiers out there being used in very many different ways that they don’t realize. There are also people, sleepers, all around us that are being used even at night in their, if you want to call it, their light-body, being used, being trained, being utilized. So this is a very deep rabbit hole, so I just wanted to sort of paint that for you a bit. AM 15: What is a blockade? KC: Say that again. AM 15: What is a blockade? He mentioned we need a blockade. DC: What blockade? Blockade? KC: Blockade. DO’F: Oh, no, no, no. I said throw up a block, like playing football, to try to put a block up, so that they can’t get to you. Information. We need as many people to come forward as possible. We need you, anything an individual can do, even if it’s as little as mentioning what’s talked about here on a radio program. Even… be a call-in. Even as much as writing your Congressman. I know that’s a waste of time, but you can flood their offices. I know. I’ve written the President, okay? I get fan letters. [laughs] Whatever you can do… because, people, this is a war, make no mistake about it. And we are going to be fighting an enemy that you cannot imagine. Okay? So we need help. We need your help. AM 16: Could we not just stop them by meditation? Is it not possible to change ... [unclear] ... by actually projecting it ... [unclear] DO’F: Right. AM 16: I mean, we as people have no strength, but we have the strength of our thoughts. DO’F: That’s very true, absolutely very true and I appreciate everything you and others that I know in here that are working right now. Okay? That’s very true. But at the same time, we need a physical presence, to show a physical presence that We know who you are, we know what your agenda is, we’re going to stop you one way or another. All the love and light works with it. They compliment each other. You can’t have one without the other. That’s the point that I was trying to make. And I do have a nasty habit of speaking too fast because my brain works faster than my mouth and a lot of times it doesn’t make sense. So you just have to tell me to shut up, say it again, slow down with it and go. AM 17: It’s my last question and after, I’ll just offer one possible solution, but I’m glad you mentioned that everyone has talents. I was curious how the rest of everyone here as well as around the world can identify and develop their talents responsibly? DO’F: It’s generally widely accepted that everyone has a certain degree of PSI abilities. We’re born with that. If you’re asking me how would you go about strengthening or enhancing that? First of all, stay away from anything that has “Project” on the beginning of it. [laughter from all and applause] KC: Except for Project Camelot, of course. Audience: [laughter from all] DO’F: All right, my mistake. [laughs] Find a teacher. Find a teacher, someone who is a white-lighter, a true white-lighter, and work with them. Let them teach you. AM 17: And then the possible solution... It was with a conversation with Cynthia and another one of the guests, she said that similar to what this individual was talking about, if we can send white light energy and love – call it prayer, call it what you will, to... you know, it’s a radical idea… …but to the Illuminati and to leaders out there, so that they can help to understand, really, what they’re doing and so that they will have more love and actually change their minds to prevent unleashing such a Super Soldier force, as well as helping to shield them in the same energies that are shielding you, so that the negative energies that are around them will not be able to be around them. DO’F: You raise an excellent point, but, however, believe me, the Illuminati know exactly what they’re doing. To pick up on what you’re running with: thought equals action. So, as the lady here said with the positive thoughts – absolutely, you can manifest those positive thoughts into reality. What you’re saying has merit and it possibly has a chance, but in the meantime, we need to have some type of preparation if it doesn’t work. AM 17: Absolutely. Thank you so much. KC: I want to say something here. What we’re talking about is awareness – okay? – being awake and being aware, knowing, becoming aware. Just the act of learning and becoming aware, just what we’re doing right here, this creates the power. Okay? It’s not enough to just send blind light, blind love – it must be intelligent. It must have perception attached. You must do more than just give the heart. Okay? You must understand what you’re seeing and why you’re doing what you’re doing. So, knowing and putting that piece together. That’s the missing piece. And then, it’s awareness. What you want to convey is the awareness of all the aspects of what’s going on there. Okay? So if you’re loving, you’re loving consciously, knowing all the parameters of what that means, not blindly. So don’t give your energy blindly. If you want to give your energy and power and light and love to the Illuminati, know what you’re doing. Be conscious while you’re doing it. MIRIAM DELICADO (MD): I want to tell you that, in that respect, there’s something that I’ve done in the past in a particular situation where there were so many people involved, there were so many levels of understanding. I really sat and I meditated and asked my contacts: What is it that I can send to them? So I sent one message: I asked for every individual involved to see the truth, to understand it, and accept it. Because the truth will come from universal understanding and not only truth on the level of life here. So the truth would be that they’re doing wrong and they would see it, they would understand it, and they would accept it, and then there is no choice. At that point comes change. So send them, and send the world, that the world sees and understands and accepts the truth. Thank you. [applause] KC: So awareness is its best defense. That’s your defense: total awareness. That means that when the Earth and all Humanity is an awake Being, one awake Being, then nothing can stop you. Okay? AM 18: Good morning, gentlemen. Thanks for being here. Have either of you tried hypnosis to try to fill in some of the blanks or merge the personalities? I know it’s probably a silly question, you probably… DO’F: Oh no, it’s not a silly question at all. It’s a logical assumption that we had done that and the answer to the question is, yeah, I did, once, but I tried to kill the therapist. The alternate took over and tried to kill the therapist. AM 18: I was going to volunteer. [laughter] We’ll save that! DO’F: This is an idea that some of us have actually bounced around for a couple of years, is that – if we can find a therapist who’s willing to do this – I would have to be chained to where I couldn’t move and then you can do what you do. And if... not if, but when the alternate is triggered, hopefully you’d be safe. AM 18: I’m game. DO’F: Okay, we’ll definitely talk about it. CYNTHIA CRAWFORD (CC): I have a statement that is going to be very profound for you. I have contact with Beings from other worlds and I have my whole life. I have been… the government has tried to kill me because I am a product of a hybrid program they created. But recently when I was in Laughlin, I was blessed to meet a man who has been taken out of his bed against his will, forced on these ships and trained, and this includes his family, trained to use alien technology to kill. And Barbara Lamb, as some of you know, did not know how to respond other than: Did you try using love and light on these beings to stop them? And the gentleman said: There is no amount of love and light to stop them. And he was brought to me and I said to him: If love and light and all these religious different things people say, “Send the power of the Christ energy to them,” doesn’t work, perhaps they are of the light. And all of a sudden I was downloaded with information that just blew me away. I found out there is a number of thousands upon thousands of Sirian Warriors of Light that are on this planet now that have the ability with the alien technology to protect the Light Workers – not only to protect them, they will kill them [Ed note: killing the Super Solders, that is.] if they have to. And they are designed to go up against the super-humans and you would not believe what they are doing. I have been shown the stargates, as I know you guys know about the stargates, what’s going to happen on the stargates. You know about that? DO’F: I’m not touching that one. I do know about the stargates. CC: Okay. Well, I’ve been shown what’s going to happen in the future. But I have to tell you, you have to trust in the Sirian Warriors of Light. They are here for a purpose. Many of them are just beginning to wake up. They also have with them, besides the army that’s going to help fight against the super-humans, they also have people, including a 13-year-old girl I met who can literally do hands-on healing and she’s also Sirian. They are waking up. They’re getting ready. They’re preparing and they said there’s an urgency now – now – to wake up. We all need to put our own light and love behind them and with them, because we’re going to have a hard job. It’s going to be very hard, but we can do it. Thank you. [applause] à suivre PAGE 2
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| Sujet: Re: DUNCAN O'FINIOAN, L'INVINCIBLE GUERRIER Dim 20 Juin 2010 - 0:10 | |
| PAGE 2 DO’F: Thank you. AM 19: Hi. Thank you for being here. My question... you mentioned yesterday on the panel one of the positive things that you were doing kind of just for the next year, you had mentioned music. But you had just mentioned that you don’t watch television or anything like that or movies, and I understand that your training was probably trauma-based, but there is music triggers as well. So I’m just curious, is there any music that you can’t... or if anything has happened if you have listened to any music? DO’F: What I was doing yesterday was using… I think what I said about if the government controls alien ET Disclosure, I don’t like the music at that party. I was just using that as a comic reference. But to answer your question fully, no, I watch very little TV. As far as music goes, I stick with classical. I like Celtic music. That’s about it. AM 19: Okay, thank you. AM 20: Duncan, in light of the purpose in the whole way that Camelot works, which is to expose and to be protected by exposure of truth, have you guys thought about doing everything you could to get actual memories with dates, times, who was killed, where they were killed and a list of it that would fully expose the program and could have a… Yeah. DO’F: That, in some respects, would definitely help to expose, but it wouldn’t entirely expose. What we have been doing is basically putting a call out for anyone who is involved with these projects to get in touch with us. And as I have made reference to with people over this weekend – my group. That’s my group. We’re all past unwilling participants in one project or another with this. So, we’re trying to come together and by coming together and talking and putting all this… that’s how we’re getting the dates, the places and everything combined. What a lot of people have to understand is that they may remember an event at one time. I’ll remember the exact same event with a different date. Then we’ll have someone else who was also part of this exact same event, but they remember it at an entirely different date. And that is done because when the memory is repressed into the altered personality, you’re told it happened this date. AM 20: But if you could check it against the actual record… DO’F: And that’s what we do. That’s why I said earlier, I don’t talk about anything as fact unless I have three points of reference in fact. AM 20: [laughs] I do the same thing. Well, it seems to me people coming up and saying I was this part of the program without being able to show what was done will bring people more into the awareness for this exposure. DC: I have a question for you. What’s your memory of what happened two hours ago? AM 20: Very good DC: Are you sure? AM 20: Yeah. DC: It’s different than mine is. AM 20: Yeah. I understand. DC: But does it make yours any the less true? AM 20: There is a physical... DC: Does it make your memory of what happened two hours ago any less true than what mine is? Yes or not? AM 20: I’m not talking about our memories. I’m talking about checking it against the physical universe. DC: I’m going to give you an example here, if you’ll just bear with me. Yes or no? Does it change your perception of what happened two hours ago? Yes or no. AM 20: I, actually, wouldn’t judge my perception that way. I would judge it by checking it... DC: You have not answered my question. AM 20: All right. [laughs] DC: The question is this: What happened two hours ago, in your perception of what the world is and my perception of what the world is, are they the same? AM 20: No, they’re not. DC: By your admission, does that make yours any the less valid? AM 20: It doesn’t make either one valid or invalid to me. DC: Thank you. You have answered your question. DO’F: The fact is, basically what happens, it also a lot depends on the age of the individual when the memory comes back. And, as I said, they also screw with the memories when they repress them and push them back into the alternate and they will in that memory screw up the dates. AM 20: Right. Right. DO’F: Now, as to what you were alluding to also is just because someone contacts us and says I was in part of this project or this project, does that make it so? No, it doesn’t. They have to go through our own little testing process to see if they were or they weren’t. But to finish up with why we have the different perceptions on dates, we really don’t have a correct answer, but there’ll be a dozen of us; we’ll remember the exact same event, the exact same people there, but I’ll remember it say, spring; he’ll remember it, say the winter, but yet the event’s the same. The year will be different. The month will be different. AM 20: I understand. It just seemed to me that checking it against a historical record that is in public domain would have some effect. DO’F: I’ve got to do this. The problem with that is there’s a reason these are called black operations. [laughter] They ain’t supposed to happen. There are records, but none that we’re going to be able to take and look at, so we can’t do that. KC: There’s also time travel involved here. And there’s messing with... there’s implanted memories, false memories, false dates. There are layers upon layers, so, you know, digging into this question is... to actually look for real life events, it’s a rabbit hole. There are so many levels, based on what we’ve heard from various people. That includes the testimony of ‘Henry Deacon’, Arthur Neumann. Okay? There’s also something on the Internet, Stephanie Relfe, who interviewed her husband [in a book], called The Mars Records. Very interesting. She used some Scientology techniques, as well as some other healing techniques to get to the root of some of his memories. A lot of what he did happened on other timelines simultaneously when he was other places. I mean, it gives you a beginning of an understanding, how the layers can happen. We actually… this is fascinating and this has been amazing. Thank you, both, Duncan O’Finioan and Dave Corso. [applause] KC: And… Yes, absolutely. DC: If I could have your attention for one minute. How many of you have ever got a phone call, you picked up the phone and there was nobody there? How many of you use caller ID to screen your calls? Let me tell you a little adventure I had. I had a phone call. It looked like my son was calling me. However, when I picked up the phone, there were tones coming out of the earpiece on the phone. It wasn’t my son calling me. They can manipulate caller ID to give you any number they want. If you pick up the phone and you hear something funny, or you think you hear something funny, hang the phone up. That’s a very common way to initiate triggers. Just be warned when you’re called, make sure you feel comfortable answering the phone call. If I get a call from an unknown number or an 800 number of a blank number, I simply don’t answer the phone. [laughter] KC: [to the audience] Yeah, I have to say, you guys are being mind-controlled – okay? – your televisions, you name it, the technical devices around you, scalar weaponry. It’s not just these two guys. Okay? It’s happening to all of us. You must become aware in order to resist it, so you need to know that these things, telephone calls, television programs, various anomalous events that happen in your midst, pulses sent through stereo equipment. Actually wild things, we’ve had some things happen up here with some of this equipment. Same thing. Thank you very much for being here for this. Thank you so much for coming. [applause] source: http://projectcamelot.org/lang/en/duncan_o_finoan_awake_and_aware_en.html | |
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