invitée
Localisation : Tarn
| Sujet: MICRO-PUCES DANS LES AIGUILLES UTILISÉES DANS LA VACCINATION H1N1 ? Lun 8 Mar 2010 - 8:36 | |
| MICRO-PUCES DANS LES AIGUILLES UTILISÉES DANS LA VACCINATION H1N1 ? Voici cette information (communiqué), qui peut sembler anodine, mais qui est révélatrice :Grippe H1N1 : des seringues "dangereuses" dans un centre de l'Oise Des seringues non conformes présentant un risque "de sérieux problèmes d'hygiène" ont retardé le démarrage de la campagne de vaccination dans un centre de l'Oise, révèle samedi le Courrier Picard. Le centre installé dans la salle des fêtes de Saint-Just-en-Chaussée, entre Compiègne et Beauvais, s'apprêtait à recevoir ses premiers patients jeudi soir lorsque les infirmières ont constaté que le matériel mis à leur disposition était inutilisable. Les seringues étaient munies d'aiguilles fixes alors qu'"il faut impérativement deux aiguilles : une pour aspirer le vaccin dans la seringue, et une autre pour faire l'injection", a expliqué Martine Cacheux, infirmière libérale à la retraite, citée dans le journal. La première aiguille sert en effet à percer l'opercule du flacon, lequel est susceptible de porter des microbes. "Ne pas changer d'aiguille (...) inclut inévitablement de sérieux problèmes d'hygiènes", a confié Emile Cacheux, un médecin venu assister aux vaccinations. Des seringues conformes ont été livrées vendredi, selon le Courrier Picard, qui affirme que d'autres centres de l'Oise auraient reçu le même type de seringues. Dans un communiqué, la préfecture de l'Oise souligne que le protocole de vaccination a été validé par l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS). Nous savions que les aiguilles posaient un problème. Elles font partie de la traçabilité, avec un code barre propre à chaque aiguille. Elles sont gérées par un établissement créé pour l'occasion, dont le Ministère de l'Intérieur en est le superviseur. Il ne faut surtout pas employer une autre aiguille ! La piqûre se fait à angle droit, et il faut retirer l'aiguille sans hésitation, après l'injection. Or, tout cela n'a pas de sens, pas plus que de changer d'aiguille pour des raisons d'hygiène. Si la capsule du flacon multidoses est souillée, il faut la désinfecter, car le fait que l'aiguille prélève la dose de vaccin, va souiller la préparation sans cela, et ce n'est pas le fait de changer d'aiguille qui y fera ! Nous savions que si "quelque chose" de personnalisé il y avait, cela ne pouvait pas être dans le flacon multidoses, mais dans l'aiguille. Or, nous ne comprenions pas comment on pouvait prélever la dose, sans faire monter la "chose" dans la seringue... A présent, tout est clair ! Alors ! cette "chose", est-elle une micropuce RFID, ou des nanoparticules (pas forcément personnalisées, mais simplement cachées, car inavouables...) ? A nous, à vous de le découvrir... RAPPELS À CE SUJET :- Toutes les grandes entreprises pharmaceutiques disposent de contrats pour les puces RFID avec Verichip (qui devient « PositiveID Corporation »). http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fwww.theflucase.com%2Findex.php%3Foption%3Dcom_content%26view%3Darticle%26id%3D1698%253Aneed-for-special-needles-delays-vaccination-campaign-in-norway%26catid%3D1%253Alatest-news%26Itemid%3D64%26lang%3Den&sl=en&tl=fr&hl=fr&ie=UTF-8 (traduction) Ceci va dans le sens de nos informations, et expliquerait encore le pourquoi du sabotage de notre site : " Un autre aspect est la volonté de contrôler la population par un "puçage" généralisé. Or, « ILS » ne peuvent pas intervenir via le vaccin, car étant présenté en fioles multi doses, c'est impossible. Si nous ne pouvons pas dire que cette opération de "puçage" sera menée à l'occasion de la vaccination, notre devoir est de tout imaginer. Ainsi, l'utilisation des seringues et des aiguilles, qui seront à usage unique, et préparées par l’EPRUS, organisme créé en 2007 pour la « pandémie », est-il à suspecter. Mais peut-on techniquement utiliser la technique RFID à ce niveau ? Il faut donc aussi chercher de ce côté-là, et exiger une transparence totale sur ce matériel" ! Pour info, voici un extrait de la circulaire officielle « vaccination » : http://www.sante-jeunesse-sports.gouv.fr/IMG/pdf/Circulaire_vaccination_090824.pdf « L'adaptation du matériel d'injection à la personne à vacciner. Les trois vaccins achetés s'injectent par voie intra-musculaire, ce qui nécessite des aiguilles de 25 mm de long pour les personnes de plus de 60 kg, alors que des aiguilles de 16 mm suffisent pour les personnes de poids inférieur (dont les enfants). L'EPRUS* est en train de compléter son stock de seringues et aiguilles dans la perspective de la campagne envisagée à I'automne. La logistique sera nécessairement plus complexe avec quatre types de vaccin et deux types de matériels d'injection qu'avec un produit unique injecté dans des conditions uniques ». * http://www.eprus.fr/ Etablissement public administratif créé par la loi du 5 mars 2007 (donc fait partie du PLAN !). - Des nanoparticules au bout de la seringueHier, le 27 août 2009, j’ai tenu ma conférence d’introduction à Baden, près de Vienne, au GNM (Germanic New Medicine ). Dans le public, on trouvait mon épouse et environ 40 auditeurs. Durant le débat final, nous en étions venus à discuter du problème de la grippe porcine, lorsqu’une dame s’est levée et a dit ce qui suit : Une de ses amies travaille dans une compagnie pharmaceutique viennoise. LA, ELLES ONT ETE INFORMEES QU’EN FAIT, A L’EXTREMITE DES SERINGUES (DU VACCIN) DE LA GRIPPE PORCINE, IL Y A DES NANOPARTICULES, QUI NE SONT PAS VISIBLES A L’ŒIL NU ; MAIS ON PEUT DEJA LES VOIR AVEC UN AGRANDISSEMENT DE 12 FOIS. Voici l’opinion de J-P Petit : « Je suis convaincu maintenant que l'implantation de puces microscopiques, invisibles, par le biais d'une injection est la clé de cette opération de vaccination à une échelle planétaire. Le problème de l'alimentation en énergie de ces micro-gadgets n'en est pas un. Modulo la nano technologie, ces systèmes peuvent utiliser l'énergie du corps, ou une foule d'autres énergies. Je me souviens d'une pendule qui, il y a trente ans, fonctionnait parfaitement en exploitant les variations de .. la pression atmosphérique. Vous rappelez vous ces montres automatiques, qui se remontaient avec un balancier, au gré du mouvement du bras ? J'avais été averti de l'existence d'un tel projet, d'injection de micro-puces à travers une vaste opération de vaccination, il y a sept ans. Pour réaliser une telle opération à une échelle planétaire il fallait envisager une opération de vaccination " pandémique ", contre un virus capable de s'étendre à la planète toute entière. Le grippe faisait l'affaire. C'était même le seul candidat, semble-t-il. La grippe saisonnière est une affection intrinsèquement pandémique. Il n'y a qu'un seul problème : c'est une affection qui reste bénigne. Il fallait donc lui attacher une connotation dramatique, quitte à utiliser des virus bricolés en laboratoire, à fort taux de létalité, mais quand même pas trop contaminants, pour ne pas que cette arme bactériologique retombe sur la tête de ceux qui la mettent en oeuvre. Que le virus de la grippe aviaire H5N1 soit naturel, ou fabriqué, il a permis de créer ce climat d'inquiétude, alors qu'en quatre ans les nombre total des morts n'a pas excédé quelques centaines. Il y avait de par le monde bien d'autres affections mortelles, épidémies de toutes sortes, dont on aurait pu parler. » Lire la suite (qui vaut le détour) ici : http://www.jp-petit.org/Presse/curseur/feuilleton_grippe.htm source: http://www.vivresansogm.org/archivesartemisi/index.html puis cliquer sur " Téléchargez ce fichier Word, c'est peut-être cette affaire qui a valu la destruction du site d'Artémisia Collège !" Dit l'auteur du site. | |
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