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 LES USA ORCHESTRÈRENT-T-ILS LE GIGANTESQUE TSUNAMI DE DÉCEMBRE 2004 ?

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MessageSujet: LES USA ORCHESTRÈRENT-T-ILS LE GIGANTESQUE TSUNAMI DE DÉCEMBRE 2004 ?   LES USA ORCHESTRÈRENT-T-ILS LE GIGANTESQUE TSUNAMI DE DÉCEMBRE 2004 ? Icon_minitimeSam 16 Jan 2010 - 14:33

LES USA ORCHESTRÈRENT-T-ILS LE GIGANTESQUE TSUNAMI DE DÉCEMBRE 2004 ?







Avec la perte déjà avérée de l’Afghanistan et de l’Iraq, les banquiers de Wall Street recherchaient désespérément d’autres moyens pour contrôler notre planète, lorsque soudain et très opportunément, la fosse océanique de Sumatra a explosé

Malgré le nombre très important de victimes du tsunami dans son propre état du Tamil Nadu, l’Inde a transformé le bâtiment hydrographique INS Nirupak en un hôpital flottant de 50 lits en moins de 72 heures, puis l’a envoyé, dépourvu d’armements, afin d’aider les habitants désespérés d’Aceh, en Indonésie. En revanche, l’Amérique a envoyé des navires de guerre et des marines armés. La marine américaine possède deux navires-hôpitaux de 1 000 lits, le Comfort et le Mercy, mais aucun n’a été envoyé. Bien que le USNS Comfort ait été déployé sur New York quand 3 000 Américains sont morts en septembre 2001, cette inaction constitue un signal fort : 150 000 personnes (principalement des musulmans) ont trouvé la mort en Asie du Sud-Est, un demi million d’autres ont été blessées, mais cela n’émeut pas les puissants à New York.

Le gouvernement indien savait très bien qu’il ne s’agissait pas d’un tremblement de terre « normal ». Le 27 décembre, l’Inde a refusé de rejoindre le projet sélect de « club des quatre », qui aurait eu pour effet concret de retirer cette puissance nucléaire asiatique de sa nouvelle coalition avec la Russie, la Chine et le Brésil. Le 28 décembre, le gouvernement indien mettait poliment en garde les militaires américains contre toute incursion sur son territoire souverain, et le 29 décembre, l’éditorial du India Daily mettait publiquement en doute la nature de l’événement : « Était-ce une épreuve de force menée par un pays pour montrer à la région le type de ravage qui peut être créé ? » ... « Au vu du degré atteint par la dévastation et du rôle de l’Inde en tant que puissance régionale en Asie du Sud, la marine indienne a l’obligation de mener une enquête et d’en communiquer les résultats au monde. »

Théoriquement, il serait facile d’encapsuler une charge militaire thermonucléaire américaine W-53 de 9 mégatonnes dans une simili-chambre de plongée en saturation similaire à celle illustrée sur la droite, afin de la protéger de la très forte pression de 700 kilos par centimètre carré qui règne au fond de la fosse océanique de Sumatra. L’ensemble ainsi blindé pèserait moins de cinq tonnes, ce qui permettrait de le faire glisser à la poupe de tout navire de ravitaillement de plate-forme pétrolière, tel qu’il en existe plus de 300 rien qu’en Asie. Et qui le remarquerait ?

En dépit d’une tendance humaine naturelle à rester silencieux sous le choc au vu du nombre colossal des tués et des blessés survenus dans toute l’Asie le 26 décembre 2004, et malgré la crainte d’une perte de crédibilité personnelle en raison de la magnitude du crime apparent, il existe de nombreuses irrégularités démontrables dans l’histoire officielle américaine du tsunami qui restent encore à être enregistrées maintenant, sous peine de se perdre à jamais dans les sables de l’oubli.

Il est hors de doute qu’un mascaret géant (tsunami) a ravagé le Sud et le Sud-Est de l’Asie, et qu’il a eu encore assez de force pour poursuivre sa route à travers l’océan Indien jusqu’en Afrique, où il a tué et blessé encore quelques centaines de victimes. La seule question que nous devons donc nous poser est de savoir si ce tsunami était d’origine naturelle ou s’il a été provoqué par l’homme. Un événement naturel serait déjà assez horrifiant, mais si le tsunami était artificiel, nous serions alors indubitablement en face d’un des crimes de guerre les plus monstrueux de l’histoire de l’humanité.

À midi, heure locale d’Australie, j’ai fidèlement noté la magnitude et la position enregistrées par l’Office Géophysique de Jakarta, en Indonésie. Un tremblement de terre mesurant 6,4 sur l’échelle de Richter avait frappé le Nord de l’île indonésienne de Sumatra. L’Office Géophysique de Jakarta a noté méticuleusement que l’épicentre de l’événement était situé 155 miles au Sud-Sud-Est de la province d’Aceh.

Cet emplacement se trouve environ 250 miles au Sud de la position retenue ultérieurement par l’Administration Nationale Océanique et Atmosphérique (NOAA) américaine, qui a placé l’épicentre au Nord-Ouest d’Aceh et a initialement fait état d’une intensité de 8,0 sur l’échelle de Richter. Cependant, même cette valeur n’était pas suffisante pour rendre compte des dommages causés par cet événement extraordinaire. La NOAA a donc fait passer progressivement cette valeur à 8,5, puis à 8,9, et pour finir à 9,0 – du moins à l’heure actuelle.

Les premières irrégularités démontrables ont donc été colportées par des officiels américains de la NOAA, qui ont soudainement inventé un nouveau pic d’onde sismique « flexible » pour l’événement, d’une magnitude bien supérieure à celle de Jakarta, alors que le bureau de Jakarta était situé bien plus près, presque à bout portant. Croyez-moi lorsque je vous dis qu’il n’existe rien qui ressemble au prétendu nouveau pic « flexible » de la NOAA. Le premier pic sismique que vous enregistrez est le seul véritable, à moins bien entendu que vous n’impliquiez manuellement quelques autres pics de votre cru, dans le but de coller à un agenda qui vous arrange. Naturellement, il n’y a également qu’un seul épicentre, qui a été fidèlement enregistré par des douzaines de sismographes en Indonésie et en Inde.

Le matin du 27 décembre, les médias australiens (sous contrôle d’actionnaires de New York) disaient très clairement que le pays le plus touché de la région était le Sri Lanka, une île située à la pointe Sud de l’Inde qui, comme l’Australie, fait partie du Commonwealth britannique. En conséquence, Tim Costello, dirigeant de l’une des plus importantes associations caritatives d’Australie, s’est immédiatement employé à se rendre sur place pour y évaluer les besoins en aide. Mais ce même matin, Little Johnny [surnom de John Howard, premier ministre australien en exercice] dansait au son d’une toute autre musique qui, du fait de sa docilité avérée, devait provenir du combiné de la ligne téléphonique directe sécurisée qui le relie à Wall Street.

Agissant véritablement à la dérobée, Little Johnny a secrètement envoyé deux avions de transport Hercules de la RAAF (armée de l’air australienne) chargés de vivres en Malaisie afin qu’ils s’y tiennent en attente, ainsi que deux autres à Darwin, dans le Nord de l’Australie. Notez que si Little Johnny avait eu la moindre préoccupation humanitaire, les quatre Hercules auraient pu s’envoler directement vers le pays partenaire du Commonwealth, le Sri Lanka, là où tous les autres Australiens avaient appris par les médias que l’aide était requise. Mais non, les choses n’étaient pas prévues ainsi, et Little Johnny attendait patiemment les ordres en provenance de New York.

La durée d’attente fut courte, et après qu’un vol de reconnaissance à haute altitude par un chasseur ait confirmé que la piste était dégagée à Medan, dans l’Est de Sumatra, les quatre Hercules australiens, chargés de combattants, armes et autres équipements, envahirent Sumatra, juste au Sud de la province dévastée d’Aceh. À son tour, avec 90% de sa population tuée par le tsunami, Aceh pourrait peut-être devenir le Guantanamo de l’Indonésie, grouillant de centaines d’Australiens et d’Américains lourdement armés.

Souvenez-vous bien cependant qu’au moment où ces quatre Hercules atterrissaient à Medan, le grand public australien ne savait absolument pas que Sumatra avait été durement touchée. Seul Little Johnny le savait, ainsi que bien sûr sa boule de cristal à New York. Au diable le Sri Lanka, ses patrons voulaient disposer d’une base importante pour les volumineux contrats de reconstruction en Asie, conçus pour pallier aux échecs rencontrés pour le pillage de l’or noir et la reconstruction en Iraq, et permettre à cette bonne vieille Israël de tituber sur ses jambes new-yorkaises pendant encore quelques semaines ou quelques mois.

Inutile de dire que les Australiens n’étaient que le groupe de reconnaissance, destiné à être rapidement rejoint par une armée américaine curieusement bien préparée et bien équipée, bien qu’il soit douteux qu’aucun des officiers et des hommes de troupe concernés aient réellement compris ce qui se passait. Seuls quelques-uns se sont posé la question de savoir pourquoi ils avaient passé toute une année à s’entraîner pour une « mission humanitaire », alors que l’objectif premier de la marine américaine et du Marine Corps est généralement de tuer des gens en masse. Regardez Fallujah, vous autres, regardez donc Fallujah.

Comme par magie, le Pentagone réussit à disposer de deux groupements de bataille prêts à appareiller sans préavis de Hong Kong et de Guam au cours de la période généralement chaotique des fêtes de fin d’année. Mince alors ! La discipline militaire a fait des progrès fulgurants depuis mon époque, quand tout le monde, jusqu’au chat du navire, faisait la grasse matinée dans un de ces hôtels à la réputation plus que douteuse. Mais pas ces plus de 10 000 Américains, qui avaient dû se tenir au garde-à-vous jour et nuit à côté de leurs hamacs, saluant de façon frénétique autant que réglementaire à chaque fois qu’un officier ou sous-officier était en vue.

L’épisode suivant fut magnifiquement orchestré, car il se déroula en haute mer, loin des yeux des curieux sur les docks comme d’imaginaires agents du KGB. Mais j’oubliais… vous devez d’abord savoir qui était dans le coup. À toute vitesse, l’équipe un, composée du porte-avions à propulsion nucléaire USS Abraham Lincoln et de ses navires d’escorte, quitta précipitamment Hong Kong, tandis que l’équipe deux, bien plus intéressante, quittait Guam toutes voiles dehors, menée par l’USS Bonhomme Richard, un navire de débarquement chargé jusqu’au plat-bord de soldats de bois brandissant des armes. Et ce n’est pas tout, croyez-moi, car le Bonhomme Richard était en réalité à la tête d’une véritable armada appelée le Cinquième corps expéditionnaire de choc [Expeditionary Strike Group 5 ou ESG5].

La partie vraiment sournoise (inexplicable) s’est déroulée alors que les deux groupements de bataille entraient dans l’océan Indien. Le USS Abraham Lincoln avait l’air aussi innocent que possible pour un porte-avions embarquant 70 avions d’attaque, mais il transportait déjà 2 000 marines au lieu d’environ 500 en temps normal. C’est une puissance de feu bien lourde pour un déploiement dans les rues désertes de Banda Aceh, en particulier lorsque Wall Street s’attendrait normalement à ce que ces marines meurent tranquillement pour Israël en Iraq. Maintenant, comment savaient-ils que ce renfort de marines serait requis avant que l’équipe un ne quitte Hong Kong, car les 1 500 marines en supplément n’étaient certainement pas en train de flâner autour des docks de Kowloon, attendant qu’on les prenne en stop.

Alors, pendant que les deux groupements de bataille se dirigeaient (apparemment) dans deux directions différentes à travers l’océan Indien déserté, un événement encore plus étrange se produisit. Bien que le Cinquième corps expéditionnaire de choc (humanitaire) fût censé venir en aide aux habitants du Sri Lanka, les marines à bord du Bonhomme Richard furent transférés sur le vaisseau de transport amphibie USS Duluth, qui se sépara alors du Cinquième corps et se dirigea vers l’équipe un. Ainsi, sans que les Indonésiens en soient réellement conscients, le porte-avions (relativement) inoffensif et encombrant USS Abraham Lincoln avait été utilisé pour masquer l’arrivée d’au moins 3 500 US Marines lourdement armés dans la petite province d’Aceh.

Cela nous informe plus ou moins sur des activités militaires connues, bien qu’hier, un caméraman de la télévision australienne ait filmé accidentellement certains de ces marines lourdement armés (qui ont essayé de lui tirer dessus pour qu’il s’éloigne) explorant une base militaire indonésienne dévastée à la recherche d’éventuelles armes restantes. Vous pouvez me trouver vieux jeu, mais si ces gars et leurs patrons sont corrects, ce genre de tâches ne devrait-il pas être laissé à l’armée indonésienne ?

Je resterai circonspect sur la façon exacte dont une arme thermonucléaire américaine puissante aurait pu parvenir au fond de la fosse océanique de Sumatra, bien que toutes les observations sismiques et l’état de préparation de la mission qui a suivi indiquent de façon insistante que c’est ainsi que cela s’est passé. Après tout, nous revenons à la vieille question de savoir à qui profite le crime, et dans ce cas précis, « qui est assez fou pour tuer plus de 150 000 civils simplement pour asseoir son pouvoir ? » Si l’on se base sur leurs performances passées en Iraq et autres pays malchanceux, il semblerait que les seuls candidats réalistes soient Wolfowitz et compagnie, luttant comme à l’habitude pour créer un « gouvernement mondial
unique ».

Il est certain qu’aucune autre puissance nucléaire, comme la Russie ou la Chine, n’aurait strictement rien à gagner d’une tuerie aussi effroyable, et donc, comme toujours, nous revenons à Sherlock Holmes grâce à la plume de Sir Arthur Conan Doyle : « Lorsque vous avez éliminé l’impossible, la solution restante, aussi improbable soit-elle, est la vérité. »

Pour le lobby sioniste, il n’est pas bien difficile d’obtenir une arme nucléaire aux États-Unis, en particulier avec le précédent que constituent 100 petites têtes nucléaires air/air « déclassées » sorties en fraude par la petite porte (civile) du Pentagone, pour former le cœur de l’arsenal nucléaire actuel de l’état juif. Une fois qu’un système d’armement est périmé et hors service, les militaires américains, loyaux et non informés, ne peuvent plus en suivre la trace.

Le concepteur de la bombe à ricochet (appelée « Highball ») de la RAF était un savant du nom de Barnes Wallace, qui avait déjà acquis une haute réputation avec son bombardier Wellington, dont la structure géodésique lui permettait de résister à des chocs énormes en vol. De nombreux Wellington revinrent ainsi à la base littéralement en lambeaux, alors que de nombreux appareils similaires tels que les Stirling et Halifax étaient bien trop souvent consignés dans les profondeurs troubles de la Mer du Nord.

Wallace savait qu’un bombardement vertical était une pure perte de temps, et que la seule chance de succès reposait sur la possibilité de placer une mine tout contre la base du mur du barrage. En effet, il est impossible de comprimer l’eau, ce qui signifie que si la mine était placée contre le barrage lors de la détonation, une partie de son énergie serait automatiquement transmise au mur. Si l’explosion avait lieu en eau relativement peu profonde, la plus grande part de l’énergie du souffle se serait perdue dans l’atmosphère, engendrant bien entendu l’explosion d’un immense nuage d’eau.

Bien qu’il soit évident qu’une seule bombe, lancée depuis un seul bombardier Lancaster, ne pourrait détruire le mur du barrage (elle aurait pesé bien trop lourd pour permettre à l’avion de décoller), Wallace avait placé ses espoirs sur le fait scientifiquement établi que la contrainte accumulée serait suffisante, et les faits lui donnèrent raison. Bien qu’officiellement trois des bombes, contenant chacune 3 tonnes de TNT, furent considérées comme des coups au but, l’une d’elles dévia légèrement de sa trajectoire, ce qui signifie que le barrage géant de Möhne fut brisé par 6 tonnes de trinitrotoluène.

C’est précisément l’incompressibilité de l’eau qui compte au fond de la fosse océanique de Sumatra. Au fond de la fosse, la pression exercée sur votre arme favorite est de 700 kilos par centimètre carré, et au-dessus, vous avez une colonne d’eau haute de 7 kilomètres, qui est précisément à l’origine de cette pression. Mais ce n’est pas tout. Le fond de la fosse est plus étroit, ce qui signifie que l’arme est « bordée », avec une chance très réelle de déplacer une plaque tectonique si la puissance utilisée est suffisante.

Dans ce cas précis, il n’était pas vraiment nécessaire de déplacer une plaque tectonique, et la science semble indiquer que si cette explosion avait eu un tel effet, de nombreuses répliques auraient suivi, comme cela s’est produit par le passé pour tous les autres tremblements de terre d’importance. Mais, comme indiqué précédemment, en mettant de côté le caractère apparemment délibérément provocateur des avertissements erronés de la NOAA américaine, il semble ne pas y avoir eu la moindre réplique susceptible d’être reliée de façon directe et scientifique à « l’événement » de la fosse océanique de Sumatra le 26 décembre 2004 à 07:58, heure locale. Les secousses sismiques ultérieures de faible amplitude pourraient être, ou non, liées à l’arme.

Pour contraindre l’Asie à la docilité et assurer la part du lion dans les contrats de reconstruction, incroyablement lucratifs, tout ce qu’il fallait, c’était un tsunami de très grande ampleur visant les pays sélectionnés, ce qui était tout à fait dans les capacités d’une bombe nucléaire de forte puissance. Il n’y a rien de nouveau concernant les explosions marines, ou « Sea Bursts », comme on les appelait, et il y a plus de 30 ans, les États-Unis comme la Russie élaboraient des plans visant à dévaster les cités côtières de leur adversaire à l’aide de cette même technique. Le mascaret provoqué par une explosion dans les eaux profondes est relativement propre, ce qui permet à l’agresseur de s’emparer des terrains, des bâtiments restants, etc. avec un délai minimal.

Si tout s’était passé comme prévu, l’Indonésie, le Sri Lanka et l’Inde seraient revenues dans le giron du FMI et de la Banque Mondiale pour trente ans ou plus — un temps suffisant pour attendre que le prix du pétrole diminue après le fiasco mortel en Iraq. Au même moment, si le gouvernement indien avait mordu à l’appât, cela aurait anéanti la menaçante coalition entre Russie, Chine, Inde et Brésil. Un résultat intéressant en une journée de travail avec une seule arme nucléaire retirée discrètement du processus de déclassement.


Joe Vialls





source:
cligno étoile http://www.jp-petit.org/TSUNAMI/Joe_Vialls_last_paper.htm
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