H.A.A.R.P
(High Auroral Active Research Project)L'Arme Ultime !"Successeur terrestre du projet Star Wars (Guerre des étoiles), le Haarp serait, par ses extraordinaires puissances et polyvalence,
"l'arme ultime" des États-Unis." LE CONTRÔLE DU CLIMAT Par Mickaël GOLAN
Source: TOP SECRET #7
Note de Nenki: certaines petites corrections et rectifications qui ont été faites étant donné la date de composition de cet article (2002?) et des données accessibles de l'auteur à ce moment.
Note de l'éditeur de Top Secret : Nous ne pouvons pas certifier la validité des affirmations suivantes, et nous ne les approuvons pas forcément. Cependant s'il existe ne serait-ce qu'une seule chance sur un million pour que cette projection se vérifie, alors nous ne nous sentons pas en droit de la passer sous silence.
Note de Nenki: moi je peux vous certifier la validité du Projet HAARP et des chemtrails et de leurs buts militaires. Il existe une chance sur un million que ce projet ne tombe pas par-dessus bord vu qu'il est dans les mains de personnes vraiment inconscientes, insensibles et draconiennes dans leur essence et de ce fait, créer un havoc environnemental et planétaire comme dans le film "Au coeur de la terre" (à voir :-). Alors je me sens plus qu'en devoir de vous diffuser ce dossier important.Incontestablement, les catastrophes naturelles liées aux caprices du temps se sont manifestées à toutes les époques. Mais, ce qui est moins naturel que par le passé, c'est l'insolite violence de ces phénomènes dits naturels, souvent en totale inadéquation avec le contexte saisonnier. Ces dérèglements climatiques sont généralement mis sur le compte de " l'effet de serre ". Mais y a-t-il véritablement un lien entre le changement climatique mondial, et le très médiatique "effet de serre", fond de commerce des écologistes ? Car alors, pourquoi l'Europe, et principalement la France, dont la superficie représente 1/1000ème de la surface du globe serait-elle tout particulièrement affectée ?
Sur le plan géopolitique, la communauté européenne indispose les Etats-Unis car elle s'organise et devient un pôle économique concurrentiel indépendant, ce que ne veut absolument pas l'Amérique. Composée des pays les plus riches de la planète, l'Europe doit rester, selon l'optique américaine, un client solvable en position de demandeur vis à vis des USA. La survie économique de l'Amérique dépend de cette hiérarchie de rapports bien établie de part et d'autre de l'Atlantique. C'est peut-être d'ailleurs pour cette raison que le 20ème siècle a été le théâtre incessant de guerres dans une Europe déchirée, incapable d'atteindre l'unité. Or, alors que le risque de guerre sur le territoire européen s'éloigne enfin après un siècle de conflits barbares, une nouvelle menace survient : d'ordre climatique.
L'EUROPE SUBIT-ELLE UNE GUERRE MÉTÉOROLOGIQUE ?
Le syndrôme "SOS météores"
D'étranges perturbations météorologiques se font tangiblement sentir depuis quelques années sur le vieux continent, causant de grands dommages à son agriculture et à son potentiel économique en général.
A ce sujet, au parlement européen, des voix commencent à s'élever pour désigner nommément les USA comme étant les responsables du dérèglement climatique, conséquence de tant de désastres en tout genre. L'Europe des quinze s'inquiète de la politique intransigeante des USA en matière de prévention des pollutions industrielles. Margot Wall-Strom, commissaire européen, chargée de l'environnement, affirme : "Les Etats-Unis sont les principaux coupables du changement climatique !"
La décision de la Maison Blanche, de ne pas ratifier le protocole de Kyoto, comme d'ailleurs la plupart des nations industrialisées, a relancé la polémique européenne à propos des Etats-Unis, présentés comme le premier pollueur de la planète. Le 20 novembre dernier, le Président français Jacques Chirac déclarait lors du sommet climatique de La Haye : "Si l'on ne fait rien, nous pourrions être accusés de non assistance à planète en danger"…
Belle formule de rhétorique à laquelle George Bush, son homologue américain, a répliqué moins prosaïquement par "Nous allons travailler pour réduire les gaz à effet de serre, mais nous n'acceptons aucune mesure qui nuise à notre économie"...
Langage diplomatique pouvant se traduire par : "nous restons maîtres chez nous,et n'avons de conseils à recevoir de personne".
Et si toute cette hystérie à propos de l'effet de serre n'était qu'une gigantesque opération d'intoxication de l'opinion internationale, un rideau de fumée médiatique ?
En réalité, les événements relatifs à ces phénomènes climatiques sont traités de manière factuelle. Aucun reportage d'investigation destiné à comprendre les causes réelles de tous ces désastres n'a jamais été vu sur aucune chaîne de télévision. Les différentes mesures pour pallier au problème ressemblent à de la poudre aux yeux ; c'est du grand art en matière de manipulation des foules, et les raisons évoquées à ce dérèglement planétaire s'apparentent à la bonne vieille technique de l'arbre qui cache la forêt.
Cependant, les populations, victimes des intempéries, commencent à se réveiller et à demander des comptes à leurs dirigeants. En France, quelque peu gêné par le chorus des sinistrés de la Somme, le gouvernement a ordonné la création d'une commission d'enquête, autre procédé bien connu, avec la "cellule de crise"...
"Il n'y a plus de saisons !"
Chaque année, le continent européen, qui n'a pourtant rien d'un climat tropical propice aux cyclones et à la mousson, est le théâtre de manifestations étranges. Les régions d'Europe les plus touchées, sont la Grande Bretagne et le Portugal (précipitations considérables). L'Espagne, (sécheresse endémique), la France (un mois de pluies ininterrompues) (maintenant à sec et en cuisson). La Russie, (inondations spectaculaires) ayant nécessité le déplacement de 20.000 personnes, et températures caniculaires à Moscou en 2001. Toute cette violence des caprices du temps suggère cette réflexion : Sommes-nous en plein syndrome "SOS METEORES" (référence faite à l'adresse d'Edgar Pierre Jacob, véritable "Jules Verne" de la bande dessinée) ? Ce visionnaire a exploité tous les thèmes, y compris celui d'une guerre météorologique contre la France...Guerre météorologique menée par une grande puissance maîtrisant une terrifiante technologie d'émission destinée à manipuler le climat, cela grâce aux travaux d'un savant fou : le Professeur Miloch.
Au cinéma comme dans la bande dessinée, la science fiction fait très souvent irruption dans notre quotidien, en l'occurrence par une météorologie chroniquement insolite que les médias tentent de camoufler par des bulletins météo rassurants. A ces subterfuges médiatiques, répond la préoccupation de plusieurs députés du parlement européen. Ces sommités impartiales ont suffisamment pris conscience de la réalité de ces phénomènes climatiques bizarres, pour aller jusqu'à soupçonner l'armée américaine de se livrer à des expériences sur la haute atmosphère, notamment au moyen de puissants émetteurs de radio dont les ondes ultra courtes modifieraient la texture.
De tels phénomènes seraient le résultat d'un projet scientifique dénommé HAARP, acronyme de : HIGHT, ATMOSPHERE, AURORAL, RESARCH PROJECT. Ce qui, dans la version officielle du programme, signifie recherches dans le domaine des hautes fréquences appliquées aux aurores boréales. Un expert en énergie : Gratan Healy, conseiller auprès des parlementaires, rassemble pour l'instant les pièces accusatoires, pour instruire l'enquête sur cet obscur projet scientifique.
Le rapport du GRIP de Luc Manpaey est remarquable à ce propos, car il expose fort exhaustivement, les résultats de toutes les recherches et enquêtes, concernant le programme HAARP. Ce programme d'investigations, visant à mettre en cause une grande puissance, est orchestré par Magda Hoalvoet, une euro députée belge, présidente du groupe des verts.
Elle oeuvre afin que le parlement européen fasse pression, via l'OTAN, sur les Etats-Unis, et qu'ils répondent enfin à toutes les questions relatives au projet HAARP. Par ailleurs, d'autres scientifiques, chercheurs, journalistes et militants écologistes, jouent aux détectives avec l'armée américaine dans l'espoir de découvrir le véritable aspect du projet HAARP, présenté comme un inoffensif programme de recherches par l'US Air Force et la Navy.
Aux États-Unis, le projet HAARP ne fait pas l'unanimité. Des citoyens américains s'insurgent contre l'utilisation d'un tel procédé "scientifique". C'est le cas du Docteur Rosalie Bertell, personnalité scientifique de haut niveau. Sous l'administration Reagan, elle avait été désignée pour étudier les effets du projet d'armement "STAR WAR". Elle est actuellement consultante pour le parlement européen qui enquête sur la véritable nature du projet HAARP.
En 1995, un livre dénonçant le projet HAARP, publié aux USA, à plus de 25.000 exemplaires, a fait sensation. Il s'agit de l'ouvrage "Angels dont'play this HAARP", co-rédigé par deux auteurs, le Docteur Nick Begich, écologiste, et Jeanne Manning, spécialiste des énergies, dites "non conventionnelles'.
Ce livre est heureusement traduit en français au Québec (chez Louise Courteau Éditrice et est disponible sur le site de http://conspiration.cc) mais le problème HAARP continue d'être inconnu du grand public.
Aux Etats-Unis, l'existence du HAARP a été révélé au public par de nombreux articles dans les journaux, ainsi que par des émissions de télévision.
Depuis, une longue cohorte d'opposants manifestent leur désapprobation face au projet. Parmi ces opposants, deux scientifiques ont apporté leurs précieuses connaissances à la rédaction des ouvrages consacrés au HAARP. Il s'agit du chimiste Richard William et du Professeur Zielinsky, Physicien allemand, spécialiste de l'électronique quantique. Or on sait aujourd'hui que toute l'efficacité du dispositif HAARP réside dans l'utilisation de cette électronique d'avant garde. Selon ces spécialistes, les énormes puissances d'émissions en provenance de la station de Gakona pourraient influencer la météorologie de n'importe quel pays et y provoquer des effets bénéfiques ou catastrophiques. Complément terrestre du projet STAR WAR (guerre des étoiles) que le nouveau Président BUSH a remis à l'ordre du jour, le projet HAARP serait en réalité, de par la nature spéciale de son signal d'émission, l'arme ultime des Etats-Unis !
LA GUERRE DES ONDES
Les Américains sont-ils en train de mettre au point un vaste système d'armement capable :
* de scanner les entrailles de la terre à la recherche de bases secrètes,
* d'interrompre toute forme de communication hertzienne,
* d'influencer les comportements humains,
* de modifier la météorologie,
* de griller les avions dans le ciel comme le ferait un vulgaire four à micro-ondes de votre potage,
* de provoquer des tremblements de terre
* ou des explosions aussi puissantes qu'une bombe atomique.
Derrière ce projet HAARP se cacherait donc une arme terrifiante, car, selon la bande de fréquence utilisée, très haute ou très basse, le système aurait la possibilité de provoquer à distance des effets particuliers sur l'environnement tels que :
*scanner les entrailles de la terre, interrompre toute forme de communication hertzienne (guerre du Golfe en 1991),
*influencer les comportements humains (Guerre du Golfe, Afganistan),
*modifier le climat, désintégrer tout engin volant dans l'atmosphère (STAR WAR), *provoquer des tremblements de terre, des orages dévastateurs, des explosions puissantes en altitude (guerre du Golfe).
A l'origine de ce projet HAARP, se trouve le père fondateur du système Bernard Eastlund, Physicien au Massachussets Institute Of Technology. Les recherches de Bernard Eastlund se sont inspirées des travaux de Nicolas Tesla, savant croate du début du siècle à qui l'on doit les découvertes sur l'énergie ionosphériques. Auteur de nombreuses découvertes scientifiques comme le courant alternatif, prix Nobel de la science, Tesla avait entre autre mis au point un procédé permettant de transporter d'importantes quantités d'énergie électrique sans câbles, sur de grandes distances, en se servant de l'ionosphère comme support. Tesla n'imaginait pas à son époque à quoi allait un jour servir son invention.
Quelques décennies plus tard, en améliorant le dispositif grâce à l'apport de l'électronique, Eastlund réussit à s'attribuer la paternité du projet. Le procédé HAARP était né...
Le brevet américain portant le numéro 4 686 605 lui a été remis le 11 août 1987. Entre 1986 et 1994, Bernard Eastlund déposa douze brevets, lesquels constituent la structure du projet HAARP et de ses technologies dérivées en matière d'armement. EASTLUND réussit à faire financer la réalisation de ses inventions par la compagnie ARCO, immédiatement séduite par les débouchés possibles auprès des militaires.
Depuis ce jour, toute la recherche dans le domaine de l'énergie électromagnétique à des fins médicales est bloquée. C'est donc un vaste domaine hautement prometteur de la science qui s'est vu monopolisé par des intérêts liés à l'armée américaine.
Aujourd'hui, notons que le propriétaire et exploitant de ces brevets n'est plus Eastlund, exclu pour d'obscures raisons, mais bien la société APTI ARCO, consortium pétrolier derrière lequel se profilent l'US Navy et l'US Air Force.
Classé secret défense, le principe détaillé de HAARP n'est pas accessible, cependant, sur divers sites Internet américains des éléments d'informations sont consultables.
Par analogie, le HAARP est comparable à ces poupées gigognes dont l'enveloppe extérieure dissimule les autres. Ce qu'il en est officiellement connu se résumerait à bombarder l'atmosphère au moyen d'un faisceau de micros ondes radioélectriques modulées. Ce, dans le but de procéder à des mesures scientifiques sur le mouvement des particules de vent solaire dans la magnétosphère de la terre.
Les militaires ont une autre version
Ils prétendent en effet que la puissance de l'émission est telle que cela provoque l'ionisation des hautes couches de l'atmosphère qui se transforment en miroir réflecteur. Cela leur permet de relayer l'émission incidente bien au delà de la courbure de la terre. Les militaires du Pentagone affirment que ce dispositif leur sert à communiquer avec des unités de la marine ou de l'aviation en mission lointaine.
Ce que les militaires ne disent pas
Par la mise en place de plusieurs nuages miroirs, il est tout à fait possible de reculer encore plus loin la portée des émissions au moyen d'avions militaires de type KC 135 qui larguent sur les nuages des substances chimiques.
Ce procédé nommé Cloud Seading permet de modifier la texture de la vapeur d'eau qui, si elle devient réfléchissante, s'accompagne de fortes précipitations. L'écran réflecteur ainsi créé, va relayer les ondes de la station de Gakona qui vont "arroser" la zone déterminée d'une région. Un autre procédé consiste à réaliser un écran réflecteur par le largage de microfibres d'aluminium que les puissantes émissions du HAARP maintiendront en altitude. (voir TOP SECRET n°5)
Naturellement, les effets produits sur l'environnement seront relatifs aux fréquences utilisées. Le choix des fréquences étant vaste, les effets peuvent être multiples. En principe, le procédé doit s'en tenir à des besoins en matière de communication. Cependant, vu le passif de l'US Air Force et de la CIA en matière d'expérimentations, malgré toutes les versions officielles des uns et des autres, il se profile au-delà de tous ces discours, un autre domaine d'application du HAARP, plutôt inquiétant : celui de l'arme "Psychotronique".
Dès 1952, le Docteur José Delgado, Professeur à l'Université de Yale, avait découvert que l'on pouvait affecter le comportement émotionnel d'un individu en le soumettant à certaines fréquences et types d'ondes. Les scientifiques, comme Delgado et le Docteur Robert Becker ont réussi à démontrer que deux ondes couplées, dont l'une est modulée en fréquence, génèrent des effets où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l'être humain peuvent être manipulées à distance, avec des résultats "très tangibles".
Certaines très basses fréquences aux alentours de 7 HZ peuvent en effet provoquer l'apparition dans le cerveau de substances neurochimiques qui génèrent un "vaste arsenal de réponses émotionnelles ou intellectuelles".
Tel est le discret programme de l'élite militaire US, consistant à utiliser une nouvelle génération d'armes psychotroniques dénommées "millimètre wave", procédé consistant à transmettre à distance un intense champ électromagnétique modulé de façon particulière à l'aide du système HAARP. Le but est de neutraliser des troupes adverses, ou de manipuler des populations à leur insu.
On notera à ce propos l'étonnement de nombreux commentateurs qui se sont interrogés sur la résistance acharnée d'une petite ville comme Umm Qasr qui a tenu 15 jours face aux forces de la coalition tandis que les défenses de Bagdad s'éffondraient au bout de quelques heures.
Autre exemple, en arrivant en Afghanistan, les volontaires étrangers étaient bien décidés au sacrifice ultime pour défendre le régime taliban. Or la majorité de ces hommes se sont finalement rendus sans combattre. L'étrange révolte des prisonniers étrangers de la forteresse de Qalae-Jangi, qui pourrait aller à l'encontre de cette thèse, pose au contraire bien des interrogations aux observateurs. En effet, comment expliquer le farouche élan suicidaire de ces centaines d'hommes qui s'étaient pourtant rendus la veille à Kunduz.
On sait, grâce aux travaux de Blackman et de Ross Adey que des ondes pulsées provoquent des variations de la tension artérielle, et modifient les flux d'ions de calcium, potassium et sodium. Ces flux, en traversant la membrane cellulaire, génèrent des signaux micro électriques qui se propagent dans le système nerveux, et informe le cerveau de ce qui se passe autour de nous. Ainsi informé, le cerveau déclenchera à son tour une action sur un muscle, une décision, une émotion, ou une maladie.
De plus, ces ondes pulsées modifient le PH Sanguin et affaiblissent le système immunitaire humain.
Depuis 1964, les militaires s'intéressent de près à l'utilisation de ces ondes. C'est à cette époque que les scientifiques Ross Adey et Bawin ont découvert qu'une fréquence de 450 MHZ modulée à 16 HZ en fréquence de récurrence (nombre de fois par seconde) altérait la chimie du cerveau chez les poulets et les chats. Appliquée à l'ensemble des mammifères, il était évident pour l'armée que l'utilisation de ces ondes, pouvait être une arme terriblement efficace.
LES ARMES NEUROTRONIQUES
Les armes neutroniques se classent en 3 catégories : armes létales (mortelles) à rayonnement électromagnétique ; armes non létales de neutralisation temporaire, utilisables lors de manifestations violentes ; arme d'autosuggestion mentale ou de manipulation du comportement.
Les stratèges du Pentagone sont résolument favorables à l'utilisation de tels procédés. Pour preuve, on peut lire dans une revue à circulation interne (The revolution in military Affairs - Strategy Studies Instituts - Us Army War College), laquelle n'est pas censée tomber dans le domaine public : "Nos valeurs changent et la technologie s'ouvre sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant la guerre froide, les opération psychologiques et l'armement psychologique étaient encore primitifs. Alors que nous entrons de plein pied dans l'ère de l'électronique et de la bioélectronique, il devient nécessaire de réévaluer les barrières morales et éthiques que nous avons posées en interdisant toute technologie pouvant manipuler l'esprit de nos ennemis, tant à l'intérieur du pays qu'à un niveau international... Dès que cela sera possible, nous encouragerons des entreprises privées ou semi privées à développer une technologie appropriée. Nous pouvons agir de même avec les nouveaux types d'armements comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psycho technologiques avancées..!"
La réalité dépasse parfois les meilleurs films de science fiction
Depuis leurs bases implantées en divers lieux de la planète, Russes et Américains utilisent conjointement la technologie du HAARP. Ces deux grandes puissances, antagonistes en apparence, se sont toujours échangées le résultat de leurs recherches scientifiques sensibles.
Toutefois, seuls les USA donnent des informations sur l'aspect du programme HAARP, dont le site le plus connu est celui de Gakona, situé en Alaska. Vaste installation qui s'étend sur plusieurs hectares, le choix du site de Gakona répond à plusieurs critères : surface d'implantation disponible non restreinte ; espace éloigné des zones habitées à forte densité démographique ; zone d'implantation relativement plane ; impact environnemental minime ; coût de construction et de maintenance diminués.
Descriptif des installations de Gakona
Selon le site officiel militaire, l'installation comporte 48 antennes dipôle d'une vingtaine de mètres de hauteur, reliées chacune à un émetteur de puissance. Elles sont alignées sur une zone plane et rectangulaire. L'installation devrait atteindre la puissance de 4,6 mégawatts à sa deuxième phase selon un programme établi en 3 phases. Cependant une énergie à certaines fréquences peut-être amplifiée jusqu'à mille fois, lorsqu'elle atteint les parties supérieures de l'ionosphère, par des processus naturels... Ce qui donnerait à ce moment une puissance en terawatts... Ce qui pourrait se passer avec un tel niveau de puissance pourrait en résulter une catastrophe pour l'environnement.
Certains analystes prétendent que le HAARP n'a rien de secret, puisque tous les renseignements le concernant circulent sur le Web. Toutes les histoires de science fiction qui circulent à propos des émissions HAARP ne seraient donc que balivernes.
Cependant, c'est un point de vue que ne partage pas le GRIP de Bruxelles. Les défenseurs du HAARP avancent que le site de Gakona, situé près du cercle polaire, ne peut pas provoquer les dommages qu'on lui impute partout sur la planète. Ils avancent même, à juste raison, que le site d'émission n'a vraiment rien d'une base militaire, car l'on y constate une totale absence de dispositif de sécurité, absence de clôtures, de gardes armés, de chiens.
De fait, n'importe qui peut pénétrer dans la zone des antennes. En somme, rien qui ne ressemble à un complexe militaire secret comme la célèbre zone 51 dans l'Etat du Nevada. Au premier abord, tout cela parait bien transparent. Et si tout cela n'était qu'un leurre, une façade scientifique publique destinée à dissimuler le véritable aspect du HAARP. La base de Gakona a été le lieu de naissance du HAARP, là, son dispositif a été mis au point.
De nos jours, elle est devenue une vitrine de démonstration technologique, et depuis, les différents sites d'émission sont répartis sur les territoires russe et américain. Par ailleurs, le système d'émission HAARP peut être également transporté sur un camion ou embarqué sur un gros avion militaire.
Subtile stratégie ou absence totale de secret ?
L'opération "portes ouvertes" de Gakona ne prouve rien, car elle ne dévoile pas l'utilisation de la physique quantique. Celle-ci modifie de manière conséquente les propriétés du signal d'émission HAARP. Le principe quantique bouleverse totalement les lois de la physique traditionnelle, laquelle limite notre perception des dimensions spatiales et temporelles. De nos jours, il est communément admis que la vitesse de la lumière est de 300.000 kilomètres par seconde. Pour échapper à cette limite, il faudrait pouvoir accélérer un corps à une vitesse supérieure, ce qui est actuellement impossible avec les lois de la physique traditionnelle. En théorie, il est communément admis que si un corps était soumis à une vitesse supérieure à celle de la lumière, il quitterait impérativement notre continuum espace temps. Il est donc impossible d'accélérer un corps comme cela. Mais si, sans déplacer physiquement ce corps, on le soumet à des micro ondes radioélectriques de forte puissance, celles-ci vont agiter ses molécules à de très grandes vitesses comme dans un four à micro ondes domestique. Ces très courtes longueurs d'ondes, et ce haut niveau de puissance haute fréquence permettraient alors de faire tourner les champs de Tachyons, de Quanta ou de particules électromagnétiques autour de ce corps, à une vitesse supérieure à celle de la lumière, ce qui produirait le même effet que si l'on dépassait cette vitesse ! Cette technologie d'avant garde est déjà utilisée dans les micro circuits des ordinateurs à grande vitesse de calcul. Là réside le secret de HAARP.
HISTOIRE DU HAARP
L'ex URSS et les Etats-Unis se sont intéressés à l'atmosphère dès les années 50. Les scientifiques de ces deux puissances s'étaient rendus compte que de puissantes émissions d'ondes ionisantes pouvaient changer le climat. Au milieu des années 70, des ingénieurs soviétiques ont essayé de manipuler l'ionosphère.
Peu après que les scientifiques eurent mis en marche leurs gros émetteurs, le Jet Stream se mit à faire des détours importants. Cela permit à la population de l'Alaska de se prélasser dans un hiver exceptionnellement chaud. Pour la première fois, la neige tomba à Miami et aux Bahamas, pratiquement au niveau de l'équateur. Cette expérience permit à l'URSS d'avoir un hiver exceptionnellement doux...
Provoquer un type de temps dans une région ou un pays ne serait possible qu'en diminuant son potentiel dans un autre endroit.
En 1973, le Honduras accusa les Etats-Unis de voler sa pluie et de provoquer une grande sécheresse en détournant artificiellement l'ouragan Fifi pour sauver l'industrie touristique de la Floride. Cet ouragan a causé les plus grands dégâts jamais vus dans l'histoire du Honduras. Le Salvador subissant le fléau de la sécheresse a porté des accusations similaires contre les Etats-Unis. De même le JAPON a prétendu qu'on lui avait volé le peu de pluie nécessaire à toute vie, en déclenchant le typhon à Guam. La Rhodésie ainsi qu'Israël furent accusés par les nations voisines de leur voler la pluie. Le journaliste américain Lowel Ponte cite dans "The Cooling" les propos que lui auraient confiés des fonctionnaires de l'armée. D'après ces confidences, des avions américains auraient mis fin à l'aridité de terres situées aux Philippines et aux Açores, tout en refusant, au gré de leurs intérêts, de remédier à la sécheresse de plusieurs pays de la zone du Sahel africain. Ponte décrit également le programme soviétique consistant à modifier de manière tangible les conditions atmosphériques au-dessus de leurs territoires afin d'augmenter leurs productions agricoles.
Selon une rumeur, l'énorme bouleversement météo de 1982/83 causé par El Nino, dans l'Océan Pacifique, aurait été provoqué par une action soviétique sur l'ionosphère. Curieusement, lorsque El Nino revint en 82/83, ses effets habituels n'étaient plus du tout les mêmes. Les alizés à l'équateur, qui soufflent d'Est en Ouest dans l'hémisphère Sud furent inexplicablement refoulés. Cela eut pour effet de retenir les courants d'eau chaude qui s'écoulent normalement vers l'Asie. L'eau se mit alors à refluer et à s'accumuler devant la côte ouest de l'Amérique du sud. Ce revirement aurait provoqué des pluies diluviennes au Pérou, de même que les tornades dans le sud de la Californie et le long de la côte est de l'Amérique du nord et de l'Alaska.
En décembre 1974, Howard Benedict de l'Associated Press à Washington, rédigeait un rapport sur le thème de la guerre météorologique intitulé : The weather as a secret weapon ? (Le climat, une arme secrète ?). L'article de Benedict expliquait pourquoi les porte-paroles américains et russes avaient nié l'existence de telles armes. S'ils avaient dit "nous possédons des super armes météorologiques", il est facile d'imaginer la réaction des populations. La moindre anormalité du temps leur aurait fait dire : "c'est la guerre !"
Ne pas affoler les opinions des populations est une priorité. Et les médias sous contrôle des différents pays s'y emploient.
En France, pays où la chape de plomb sur les phénomènes climatiques est totale, seul un auteur, Jean Marc Filterman, a rédigé un ouvrage sur la guerre climatique : "Les armes de l'ombre" aux Éditions Carnot.
Un journaliste, Jean Moïse Braitberg du magazine VSD a eu le courage d'écrire :
"Les services secrets fantasment. Tempêtes de décembre 99, phénomène naturel ou attaque terroriste ?"
Ce journaliste a enquêté auprès de divers services spéciaux et militaires américains à ce sujet. Il révèle que dès 1970, Zbigniew Brzezinski, alors Directeur de la sécurité nationale du Président Carter, publiait un livre : "Betwen two ages", sur la possibilité de contrôler le climat.
Dans cet ouvrage, ce directeur de la NSA a tout simplement dévoilé le programme militaire de la nouvelle guerre secrète, une guerre invisible totale, destinée à ruiner les différents secteurs de production des pays concurrents des USA. "Les techniques de la modification du climat pourraient être utilisées pour produire des périodes prolongées de sécheresse ou d'orage". Quiet weapon for bilent war ! Telle serait la très discrète stratégie des Etats-Unis dévoilée par un haut fonctionnaire du Pentagone.
RÉACTIONS DE L'EUROPE
Depuis octobre 1998, le GRIP à Bruxelles dispose d'un observatoire appelé Forces Armées et Environnement qui a pour objectif d'étudier l'impact des activités militaires sur l'environnement politique, économique, juridique, scientifique et éthique. Le GRIP considère que le projet HAARP, en raison de son impact général sur l'environnement, est un problème d'une portée mondiale, et demande que ses implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées par un organisme international indépendant. Cet organisme déplore que le gouvernement des Etats-Unis ait à maintes reprises refusé d'envoyer un représentant pour apporter un témoignage sur les risques que comporte pour l'environnement et la population, le projet HAARP, et demande que soit établi un accord international visant à interdire à l'échelle mondiale tout développement et déploiement d'armes qui pourraient ouvrir la porte à toute forme de manipulation de l'homme.
Malheureusement, pour l'instant, aucune force n'est en mesure de contrer la montée en puissance de l'Amérique dans la réalisation de son plan de domination mondiale.
L'AUTRE MENACE
Le signal HAARP a été étudié par un radio-amateur californien de San Jose, Mr Smith. Sa station de réception munie d'un analyseur de spectre est située à environ 5000 railles de l'émetteur de Gakona.
En observation nocturne du signal, Mr Smith a relevé que la porteuse du signal était de 3,39 MHZ, et d'une durée de 6,25 secondes terminée régulièrement par une amplitude en fréquence 0,9 à 10 Mhz. Le signal d'émission est espacé ensuite par une pause de 15 à 30 secondes.
Un dispositif spécial est nécessaire pour entendre le signal du HAARP dont le bruit est semblable à celui d'un chalumeau à souder, très proche du bruit de souffle de récepteur. {Note de Nenki: ce signal HF est réservé (au Canada en tout cas) au signaux horaires du Conseil National de Recherche. Toute la bande HF (3 MHz jusqu'à 29.9 MHz) est subdivisé pour ce Conseil et la radio amateur par le CRTC. Un ami possède la liste officielle complète des attributions des radio-fréquences Canadiennes issue d'Industrie Canada (VLF jusqu'aux EHF). Aux Zétas, ils utilisent peut-être cette fréquence pour jouer on sait quoi, mais reste que 3,39 MHz c'est du HF au dessus de notre capacité d'audition.
Autre chose, si cette musique de 3,39 MHz est jouée avec assez d'amplitude et dépasse la frontière jusqu'à chez nous, au Canada, on peut conclure 100% que le fédéral est au courant par le CRTC qui surveille et régularise l'utilisation des radio-fréquences sur le territoire car c'est en plein dans la bande de fréquences utilisée pour les signaux horaires du Conseil National de Recherche.}
Il doit être détecté, filtré sur-amplifié et restitué au moyen d'un haut parleur, type canon de basses, tel que ceux utilisés dans la chaîne de restitution sonore du cinéma THX.
Le résultat fait penser au bruit de fond de l'Océan, auquel viendrait s'ajouter une sensation de tremblement de terre. Les scientifiques officiels affirment que la capacité d'émission du réseau HAARP dans la bande ELF est onze millions de fois plus faible que le bruit de fond naturel atmosphérique.
Ces brillantes sommités cartésiennes devraient s'interroger sur le but que poursuivent dans ce cas les opérateurs du programme HAARP. Pourquoi investiraient-ils un budget de 200 Millions de dollars ?
La magnétite que recèle le cerveau de l'être humain, de même que le fer contenu dans son organisme vibre aux moindres modifications du champ magnétique terrestre, ou électromagnétique généré par les lignes de transports électriques et les émissions radio de toute sorte. L'être humain, même à l'état inconscient, est sensible au signal infime du HAARP dont les émissions se succèdent régulièrement. Le radio amateur Smith prétend avoir capté un essai secret du HAARP le samedi 17 février 2001.
A 3 heures du matin, la fréquence normale de HAARP était de 3,39 Mhz. Vers 4 heures du matin, le contrôle à l'analyseur de spectre a révélé un changement de synchronisation d'impulsion et d'espacement d'inter impulsion. A 4 H 39, la puissance du signal s'est soudainement élevée. A 6 H 45, l'émission s'est interrompue pour reprendre vers 10 heures du matin à pleine puissance, à 350 Megawatts. A quoi jouent les militaires ?
Des chercheurs indépendants estiment que le signal HAARP agit en 2 temps. Une première salve de fréquence préchaufferait l'ionosphère lors de cette opération, les ions des atomes azote et ozone seraient excités. Viendrait ensuite l'impulsion de fin, comprise entre 0,9 HZ et 10 HZ qui emballerait ces ions dans toutes les directions.
Des scientifiques américains ont observé que, lorsque le HAARP a chauffé un site ionosphérique, le miroir de plasma obtenu se transforme, non seulement en réflecteur, mais aussi en transducteur doubleur de fréquence. L'azote ionisé ainsi semble avoir la propriété de transformer une fréquence d'émission de 435 Mhz en une fréquence secondaire de 1080 Mhz. Un physicien nucléaire a observé que la fréquence de 1080 Mhz est approximativement de 2,7 fois celle de 435 Mhz. Or. 2,7 est la proportion de l'azote dans l'atmosphère. Le risque serait que des sujets biologiques, exposés à des fréquences de 1080 ou 435 MHZ, souffriraient d'un empoisonnement à l'azote, assorti d'une destruction chronique des gaines de Myéline qui protègent les nerfs du cerveau.
Une autre particularité de ces fréquences serait leurs propriétés d'agir sur la génétique de l'être humain. Car la fréquence de 1100 Mhz résonnerait avec l'ADN. Cette structure en forme de double spirale est la base moléculaire de toute vie biologique, et contient de L'azote comme ingrédient primaire. La fréquence de 450 Mhz serait également proche de celle de la conscience humaine et de notre réalité spatiale et temporelle.
Ces mystérieuses émissions HAARP auraient-elles vraiment ces inquiétantes propriétés ?
Si le programme HAARP dont les objectifs ne sont pas clairement connus pouvait : brouiller, modifier ou détruire l'ADN humain au moyen des fréquences appropriées, ou agir sur le niveau de conscience de l'humanité, afin de retarder ou d'accélérer son évolution, ce serait la pire des menaces à l'encontre de la civilisation humaine.
Les USA détiendraient alors l'arme suprême de domination mondiale. Les peuples de toute la planète seraient soumis au contrôle d'une élite possédant un savoir technologique fantastique.
Le " MIND CONTROL " qui s'affirme insidieusement ne semble guère être un thème qui relève de la science fiction. La fiction d'aujourd'hui s'est souvent avérée être la réalité de demain.
Mickaël GOLAN
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