SCÉNARIO - ABDUCTIONCorrado Malanga - Luciano Pederzoli
05-12-2002Communication préliminaire sur les résultats des recherches du
Gruppo Stargate Toscana Comme nous avons déjà eu l'occasion de l'annoncer, la recherche sur le phénomène des enlèvements extraterrestres, généralement désignés par le mot anglais “
abductions”, et rebaptisé par nous plus correctement “
Interférences Extraterrestres”, est arrivée à un tournant important.
Notre projet de recherche, qui dure depuis environ quinze ans, est arrivé à la conclusion de ce que nous appelons DEUXIÈME PHASE.
Faisons maintenant un bond en arrière dans le passé pour ceux qui n'ont jamais entendu parler du phénomène des enlèvements extraterrestres.
Le “début officiel”, nous le retrouvons à partir de 1957 en Amérique Latine (Brésil), à Minas Gerais, avec le cas célèbre, désormais historique, du paysan Antonio Villasboas.
C'est grâce à ce paysan, qui, suite à cette rencontre, parviendra à obtenir sa maîtrise, que nous prenons connaissance pour la première fois d'une étrange histoire d'enlèvement de la part de créatures extraterrestres.
Au milieu des années soixante du siècle dernier, le chercheur John Fuller décrit un autre événement curieux: deux époux canadiens, Barney et Betty Hills, au moyen des techniques d'hypnose régressive, parviennent à se souvenir d'un évènement, lors d'un soir d'été très chaud, qui les concernait en tant qu'acteurs principaux, celui d'un enlèvement extraterrestre par des petits êtres bizarres, descendus d'une soucoupe volante qui avait suivi leur voiture.
Dans les années 80, c'est le tour du chercheur ufologue Budd Hopkins d'écrire divers livres qui rapportent de nombreuses histoires de citoyens des États-Unis centrées sur des expériences d'enlèvement. Encore une fois, Hopkins fait amplement recours aux techniques d'hypnose régressive pour faire émerger, à l'esprit des témoins de ces étranges expériences, des souvenirs en apparence oubliés.
Voilà maintenant les pages de Witlhey Strieber, lui aussi américain, qui, dans deux livres, raconte, cette fois-ci en tant que témoin direct, son histoire d'enlèvement. Pour ce cas, nous avons l'exposé d'un point de vue complètement différent des autres: celui d'un père de famille avec ses proches qui subit les attentions particulières de la part de créatures extraterrestres qui viennent d'une autre planète, ou d'une autre dimension, ou bien de je ne sais où.
Je ne sais où ? Peut-être viennent-ils de cette partie du cerveau qui est assignée à la création de rêves imaginaires, disent les détracteurs du problème
abduction, parmi lesquels se trouvent, aux États-Unis, certains personnages célèbres, comme l'illusionniste James Randi, du CISCOP (une organisation de sceptiques proches au gouvernement, parmi lesquels certains sont en contact direct avec les Services Secrets de l'État, comme la CIA où-bien le FBI), ou encore l'homologue italien Piero Angela, journaliste et divulgateur scientifique des médias radio-télévision, qui sont à la tête de l'organisation équivalente (CICAP).
Pendant ce temps, quoiqu'il en soit, l'attention à l'égard du phénomène enlèvement à pris corps et commence à produire des recherches dans d'autres pays du monde. Nous assistons ainsi à la publication du livre de l'allemand Fiebag et celui de l'anglais Phillip Mantle, qui porte un titre annonçant le programme:
Whithout Consent, c'est à dire Sans Consentement !
La psychiatre américaine Karla Turner écrit aussi un livre, voué au féminin: il s'agit d'un recueil d'histoires de huit femmes enlevées par les extraterrestres, titré
Taken, tandis que le psychiatre américain John Mack de Harvard University, décrivait les résultats de ses analyses conduites sur une soixantaine de cas.
Mack n'est pas le seul, dans le monde académique, à décrire et à confirmer le phénomène des enlèvements: même la Temple University, avec le professeur David Jacobs, un historien qui connait les techniques d'hypnose régressive, s'expose à la critique de la communauté académique américaine. Le livre de Jacobs qui obtient le plus grand succès,
The Threat, met en relation les expériences subies par les enlevés et oubliées après par leur conscient, avec les projets des extraterrestres. Il s'agit là de la première tentative de trouver une réponse à la question: “pourquoi tout cela?”
Jacobs soutient, de façon pessimiste, que les Extraterrestres ne sont pas proprement des petits saints et poursuivent un projet précis: modifier biogénétiquement la population terrestre dans le but de pouvoir cohabiter avec nous sur notre planète. Ce projet devrait se terminer environ dans quatre générations terrestres, quand, selon l'auteur, toute la population de la Terre aura subi au moins une expérience d'enlèvement.
Témoignages controversés, attitudes fidéistes de la part de témoins et enquêteurs, et critique de la méthodologie hypnotique utilisée, accroissent de plus en plus, pendant les années 90, les diatribes entre chercheurs-ufologues et organes d'État et ministres de la religion, parmi lesquels certains ont une tendance à nier la présence du phénomène sur notre planète pour conserver solidement leur pouvoir, et d'autres sont confrontés à devoir gérer une situation où eux-mêmes, leur foi et leur Dieu ne pourraient plus représenter le centre de l'univers, à partir du moment où il faudrait alors le partager avec d'autres êtres intelligents.
PREMIÈRES HYPOTHÈSES
Bien qu'une cinquantaine d'années se soient écoulées, aucun des spécialistes du problème
abduction n'était parvenu à y comprendre grand-chose, mais, cependant, ils avaient proposé un certain nombre d'hypothèses, et pas toujours positives.
Ce qui suit est, en synthèse, la situation dans l'intervalle des 50 premières années d'études.
Le pessimiste Jacobs est convaincu que nous sommes désormais livrés aux extraterrestres qui ne nous ont pas demandé l'autorisation d'exercer certains choix sur nous. D'après lui, nous sommes propriété des extraterrestres, car nous sommes inférieurs à eux tant du point de vue scientifique que biologique: les extraterrestres sont intéressés par notre planète et, dans la meilleure des hypothèses, ils arriveront à s'emparer d'elle sans utiliser la violence, mais en ayant recours à une subtile ruse pluriséculaire.
Le psychiatre Mack, au contraire, est optimiste et, à la fin de ses recherches, est enclin à croire que nous ne connaissons pas bien quel est le but des extraterrestres, mais, par contre, ces derniers produisent une sorte d' “élargissement de conscience” en chaque enlevé. Tel effet servirait à l'humain élu à fin d'accomplir, en soi, un saut évolutif et pouvoir ainsi accéder au monde du futur, préparant la planète à supporter et à surmonter les traumatismes que notre société malsaine produit et continuera à produire pendant les années à venir.
Cette version du genre “aimons-nous les une les autres” de parfait type “new age” est soutenue par un courant de psychiatres et psychologues américains, qui voient en leur civilisation même la cause de leurs problèmes.
Il ne faut pas oublier qu'aux USA le recours abusif aux psychologues et psychiatres semble refléter l'effet d'un mécontentement diffusé, avec une certaine tendance à conduire les américains à ne plus être en mesure de résoudre personnellement aucun problème qui implique un contact avec leurs semblables, vu que leur société les pousse à devenir esclaves de l'
avoir et à penser que l'
être soit quelque chose de purement extérieur, soumis au jugement d'autrui. Ce n'est pas par hasard si leur inconscient essaye justement de se révolter contre ce style de vie et l'américain ordinaire devient obèse en ingurgitant de la nourriture pour manifester, d'un côté, l'envie de tout posséder (psychologiquement nous possédons aussi ce que nous mangeons); de l'autre, en grossissant et devenant flasque, il s'oppose, inconsciemment, aux canons de la beauté esthétique comme la maigreur ou bien les muscles sculptés, en rejetant les dogmes qui lui imposent d'être riche et beau.
Pour cette raison, les détracteurs du problème
abduction disent qu'il s'agit d'un phénomène typiquement américain (mais nous verrons que c'est totalement faux) et doit être considéré comme produit de psychismes malsains engendrés par la frénétique société de consommation.
On reproche donc au professeur Mack d'avoir écrit un traité sur des malades psychotiques, en pensant qu'il s'agirait, en réalité, de personnes élues par les extraterrestres, et il a dû subir par conséquent une véritable inquisition de la part de l'assemblée des professeurs de son Université, pour avoir eu l'effronterie d'écrire ce livre:
Abduction – Human Encounters with Aliens (traduit en français: Dossiers Extraterrestres – L'affaire des Enlèvements - Presse de la Cité, 1994 N.duT.).
Mais il ne faut pas oublier que l'année précédant la sortie du livre incriminé, Mack avait gagné le prix Pulitzer grâce à un traité sur la psychiatrie, posant ainsi au monde scientifique américain un sacré problème pour pouvoir se débarrasser d'un psychiatre à vrai dire un peu gênant.
Le procès fut, du moins en apparence, gagné par Mack, mais la suspicion que son deuxième livre (jamais publié en Italie) ait été édulcoré pour exigence politique reste légitime.
Pour résumer, les options résultantes sont uniquement trois:
- Les abductés sont tous des schizophrènes psychotiques.
- Les extraterrestres existent vraiment et sont méchants.
- Les extraterrestres existent vraiment et sont gentils.
Laissons de côté, pour le moment, la première option qui sera examinée et éliminée plus tard.
Pour la deuxième option, les extraterrestres sont méchants, font subir aux abductés de terribles opérations chirurgicales pour leur prélever du sang et du sperme, inoculent des ovules fécondés sur des femmes de notre espèce et implantent des puces sous-cutanées en différentes parties du corps des enlevés, pour pouvoir les étudier de façon continue.
En ce qui concerne la troisième option, au contraire, les extraterrestres sont gentils et font des opérations chirurgicales uniquement pour sauver les abductés de certaines maladies, pour améliorer leur corps et leur esprit et pour les préparer au grand jour quand la Terre fera partie de la Confédération Planétaire.
L'un des aspects les plus démentiels de la troisième option est représenté par les nouvelles religions, nées comme par hasard toujours dans le monde anglo-saxon et surtout aux États-Unis, qui décrivent les extraterrestres comme les sauveurs de l'humanité.
Pour cela, la Scientology aux USA et les Raëliens en Europe ne se contentent pas de considérer les extraterrestres comme les créateurs des êtres humains, mais, surtout, ils les considèrent comme des Dieux technologiques et donc supérieurs.
Il y a quelques jours, les Raëliens qui, entre autres, ont fondé Clonaid, une multinationale techniquement en mesure d'effectuer les plus atroces expériences génétiques, ont annoncé qu'ils cloneront Hitler et que le futur de l'humanité est dans la vie éternelle obtenue à travers le processus du clonage. Tout ça parce que Claude Vorillon, personnage français controversé, ex-pilote de voiture des années soixante et appelé aujourd'hui Raël, aurait subi un enlèvement extraterrestre quand il était petit. Par la même occasion, les extraterrestres l'auraient élu comme leur ambassadeur et lui auraient aussi révélé, entre autres, que ce sont eux les créateurs de la race humaine, qu'ils utilisent le clonage pour obtenir l'immortalité et beaucoup d'autres choses décidément semblables à celles décrites par les témoignages que les abductés, pendant les séances d'hypnose régressive, ont dévoilé aux différents enquêteurs.
L'hypothèse qui est fondée sur cette foi technique de Vorillon, donc, de la présence extraterrestre sur la Terre, n'est absolument pas insensée, étant donné qu'elle est soutenue par des dizaines de témoignages, hormis, bien entendu, son cas personnel.
Outre l’hypothèse “technique”, il en existe une autre “spirituelle”, encore aujourd’hui soutenue par de nombreux célèbres contactés, pour lesquels l’enlèvement ne serait pas un fait réel, mais une sorte de catharsis mentale, un moment où les extraterrestres parlent à l'abducté et lui apprennent certaines vérités religieuses, morales et scientifiques.
L’idée que nos facultés mentales soient considérées comme partie de notre existence, mais représentent un état évolué du corps, qui peut accéder à des plans perceptifs “supérieurs”, est à la base de la conception que certaines personnes ont qu’un contact avec des êtres totalement différents de nous d’un point de vue énergétique puisse être atteint uniquement à travers nos perceptions mentales.
C'est ainsi que naissent les Channels où Canaliseurs d’Entités, qui, d’une autre dimension, parlent et reparlent de leurs problèmes et surtout, des nôtres.
C’est un aspect de l’ufologie qui rend la matière similaire aux études sur les apparitions de la Vierge Marie; ces sujets sont convaincus de l’existence d’un dieu technologique, représenté par l’extraterrestre désigné pour la tâche. De la même façon qu’une divinité, ils attribuent à l’extraterrestre les actes de la création et de la destruction; les prophéties mystiques apparaissent et, si celui qui voit la Vierge Marie nous révèle que le monde finira par une catastrophe qui vient du ciel, les Channels de l’ufologie nous parlent de Nibiru, mystérieuse planète cachée et peuplée d’extraterrestres, mentionnée depuis longtemps, qui effleurera la Terre (ou nous tombera dessus), curieusement, pendant la même période durant laquelle, selon les clairs-voyants, aura lieu la vengeance de Dieu.
Si nous regardons de près les deux phénomènes, nous découvrons de fortes analogies, ce qui signifie pour nous que…
il n’y a pas de fumée sans feu: peut-être n’existait-il pas une vérité unique, mais plusieurs genres d’interférence extraterrestre.
LES PREUVES
En dehors des différentes hypothèses, ce qui leur manquait pour pouvoir les tenir pour plus ou moins valides était un tableau synoptique qui établisse définitivement la réalité du phénomène Enlèvement Extraterrestre et, encore davantage, identifie le véritable mobile afin de le rendre crédible.
Pour cela, au cours des dernières années, de nombreux chercheurs se sont donné la peine de trouver les preuves de la réalité du phénomène “
abduction”.
La recherche des preuves de l'existence de la phénoménologie ovni et le fait de démontrer que les ovnis existent véritablement se sont résolues historiquement en un échec total, non pas par défaut de preuves fournies dans les dernières cinq décennies, preuves abondantes et irréfutables pour la communauté scientifique, mais parce qu'elle n'a pas jugé utile de croire à la validité des preuves fournies; il ne faut pas donc espérer en un comportement différent pour les cas d'enlèvements.
Il nous est pas utile, ici, de citer les modèles mentaux classiques et traiter de la perception des phénomènes physiques en fonction des limites de leur interprétation, car nous avons déjà affronté ailleurs l'aspect spécifique de cet argument, mais il faut signaler néanmoins que dans ce cas spécifique, les preuves ont bel et bien été fournies: voilà ce qui nous amène à exclure l'option qui annonce que les enlevés sont tous des schizophrènes psychotiques.
Les preuves objectives d'un enlèvement qui s'est produit, et non pas celles subjectives (soumises à divers indices de validité), sont de plus en plus difficilement démontables.
Par exemple, les abductés, sous hypnose, nous racontent avoir subi une singulière opération chirurgicale à travers leur nez et, effectivement, Hopkins lui-même découvrit le premier un microimplant à l'intérieur du cerveau d'un enlevé qui avait décrit justement cette opération.
Ce type d'implant, introduit à travers une narine (d'habitude la droite) pour atteindre l'os sphénoïde, une fois celui-ci percé, est placé dans sa position finale, à l'intérieur de l'hypophyse, où il a été facilement repéré sur de nombreux autres sujets, par la Résonance Magnétique Nucléaire, la Tomodonsitométrie et, parfois, par de simples radiographies frontales et pariétales.
D'autres spécimens d'implants ont été trouvés sous des micro-cicatrices que les enlevés ont sur le corps, sans en être conscients; toutefois, sous hypnose, ils se souviennent toujours de l'opération subie, même s'ils ne semblent pas en mesure d'affirmer de façon certaine si quelque chose leur a été greffé ou-bien extirpé du corps.
Aux USA, Derrel Sims a approfondi la recherche dans ce domaine et, grâce à l'aide du docteur Leir et d'autres chirurgiens, a extirpé des corps de plusieurs enlevés, quand cela était possible, plusieurs objets microscopiques qui, analysés par au moins cinq université américaines, ont souvent révélé la présence d'un pourcentage isotopique (des éléments qui composent l'implant) différent de celui terrestre, confirmant, sans l'ombre d'un “doute logique”, leur provenance extraterrestre.
Le terme “doute logique” indique que, techniquement, il n'y a même aucune certitude de l'existence réelle de l'Univers, pour lequel certains physiciens envisagent la nature d'un gigantesque hologramme. Devant ces résultats, on peut présenter, en vérité, d'autres explications, mais celles-ci apparaissent beaucoup moins plausibles de la solution extraterrestre. La méthode du rasoir d'Occam, selon laquelle l'explication la plus simple est aussi la plus vraie, ne peut être utilisée de façon univoque par les détracteurs du problème ovni pour en nier l'existence.
Comme exemple, nous pouvons citer qu'il y a quelques années, Sims extirpa de l'orteil d'une femme d'une quarantaine d'années, un petit objet métallique couvert d'une membrane chitineuse, probablement employée pour éviter une réaction de rejet. Cette matière avait un pourcentage isotopique différent de celui terrestre estimé pour cet échantillon, au point de faire annoncer à Sims la nature extraterrestre de l'objet trouvé, confirmé aussi par les résultats des hypnoses régressives sur la femme elle-même. Le CISCOP, au contraire, affirma que la femme, sous hypnose, avait tout inventé et que l'objet extraterrestre trouvé dans son pied pouvait s'expliquer par le fait qu'un beau matin, en descendant du lit, la femme avait fortuitement écrasé une micro-météorite, qui s'était greffée sur son orteil. On essayait de cette façon, allant contre toute logique, d'expliquer l'indéniable présence d'isotopes extraterrestres dans la pièce extraite par Sims.
Une autre preuve fondamentale des enlèvements extraterrestres est la présence de témoins oculaires, qu'il s'agisse de personnes enlevées, à leur tour, avec le sujet pris en examen sous hypnose, comme d'observateurs casuels en mesure de corroborer fidèlement, en restant en dehors de l'expérience, ce que l'abducté raconte pendant l'hypnose.
Nous apprenons ainsi, pour citer un autre exemple, que rien de moins que Perez de Cuellar, secrétaire des Nations Unies à l'époque et son escorte, en compagnie d'une autre douzaine de personnes, furent témoins oculaires du célèbre cas d'enlèvement concernant l'italo-américaine Linda Cortile, étudié par Hopkins et qui s'est vérifié, un matin de bonne heure, en un bâtiment en face du pont de Brooklyn, à New York.
Il faut considérer aussi comme preuves les cicatrices vérifiables, internes et externes, que l'abducté sous hypnose décrit comme produites par les extraterrestres, contre sa propre volonté active.
Certaines cicatrices ont été examinées par des experts et qu'elles sont le résultat de traumatismes cutanés très singuliers, qui, encore aujourd'hui, n'ont pas trouvé d'explication, sinon en faisant recours au “doute logique” que ce que raconte l'enlevé soit véridique.
Dans ce contexte, il est fondamental de signaler que certaines abductées font l’objet de fécondation artificielle de la part des extraterrestres, qui introduisent un ovule, déjà préparé et fécondé par eux, dans le corps des victimes; celles-ci mènent la gestation jusqu’au troisième mois, ensuite, pendant une autre expérience d’enlèvement, le foetus est aspiré de la porteuse (carrier) et introduit dans un cylindre en matériel transparent, contenant un liquide, pour pouvoir porter à terme la gestation en éprouvette.
Au récit de l’événement, qui se déroule sous hypnose régressive exactement de la même façon pour toutes les personnes intéressées jusque dans les moindres détails, il faut rajouter le support des analyses médicales, des échographies et de tout ce qui peut exclure formellement pour ces femmes des cas de grossesse nerveuse, comme quelques désinformés soutiennent, et les identifier sans aucun doute comme preuves objectives d’enlèvement.
Même en ce cas là les preuves disponibles sont écrasantes, mais encore une fois la science officielle, interrogée à ce sujet typique des enlèvements, explique le phénomène de la façon suivante (!!!):
“
En ce qui concerne ces femmes, l'apparition d'une tumeur aux ovaires simule les effets de la grossesse pendant trois mois, ensuite la tumeur, de la taille d'un petit foetus, guérit spontanément et disparait.”
Les femmes abductées que nous avons étudiées et qui ont été soumises à l'implantation de l'ovule, produisent le placenta et, après l'extraction du foetus par des extraterrestres, l'expulsent et manifestent aussi la montée de lait. Certaines d'entre elles avaient les trompes occluses chirurgicalement, d'autres avaient recours à des pilules progestatives, d'autres encore n'avaient pas eu de rapport sexuel depuis longtemps, mais au test de grossesse, elles résultaient toutes positives et toutes, soit sous hypnose soit à travers les techniques de Programmation Neurolinguistique, racontaient leurs expériences avec les extraterrestres.
Face à une étrange échographie effectuée sur une femme enceinte de trois mois (sur la base de la valeur du stérol présent à l'analyse chimique), où l'on identifiait du liquide amniotique et un placenta à l'intérieur duquel était présent quelque chose de très petit et l'on pouvait écouter un bruit rythmique semblable à un battement cardiaque plus lent que celui d'un être humain, bien onze médecins affirmèrent qu'il s'agissait d'une grossesse nerveuse et que le battement cardiaque était celui d'un foetus mourant
(alors qu'en présence d'une grossesse nerveuse il n'y a aucun foetus ! nda) ou bien qu'il s'agissait de contractions musculaires du vagin de la pauvre malheureuse; il faut souligner que tout ceci se passait dans celle qui est considérée, dans le domaine académique, la meilleure clinique gynécologique italienne !
Tandis que, la femme ayant déjà collaboré avec nous, nous avions pu prévoir avec une grande marge d'avance comment les choses se seraient déroulées.
Et en Italie?En Italie, le premier à s'intéresser sérieusement au problème “Enlèvements Extraterrestres” a été Corrado Malanga, qui, chargé par le CUN (Centro Ufologico Nazionale)
(équivalent du GEIPAN N.dT.) d'effectuer la toute première enquête de ce genre sur le territoire italien, se retrouva dans les mains le cas, désormais célèbre, de Valerio Lonzi, un garçon de Gênes qui fut enlevé une nuit, en présence d'autres témoins, pendant un camp scout à Reppia, sur les montagnes de la Ligurie.
Sur ce cas, Malanga écrivit un livre qui eut beaucoup de succès (
Gli ufo nella mente – à peu près vingt-six mille exemplaires vendus en deux éditions successives). Le lendemain de la publication de la première édition du livre, le CUN, qui avait commandé l'enquête, s'aperçut que le texte était décidément scabreux et n'était pas adapté à la politique de l'organisation (privée), bien que, avant la sortie du livre, tous les membres du conseil de direction en avaient reçu un exemplaire. Peut-être ne l'avaient-ils pas lu ? Peut-être l'avaient-il lu mais sans le comprendre ? Ou bien quelqu'un d'autre, en dehors du CUN, ne voyait pas d'un bon oeil qu'on parle de ces arguments en Italie?
De l'enquête sur le cas Lonzi, d'une durée d'au moins deux ans et demi, émergea que l'Italie aussi paraissait confirmer ce que les ufologues américains dénonçaient depuis des années.
Les extraterrestres se servaient aussi des Italiens !
La rédaction du livre fut utile à l'auteur pour apprendre les techniques d'hypnose décrites par les Américains, et même à les améliorer sensiblement avec l'aide du docteur Moretti de Gênes qui avait pris soin de la mise en oeuvre des séances d'hypnose.
Le livre devait avoir la fonction d' “appât” pour ceux qui, lisant ce qui était arrivé à Lonzi, se seraient reconnus dans ses expériences: nous espérions que ceux-ci, ayant franchi l'étape de la peur, nous appelleraient, dans le but de nous mettre dans les conditions d'entamer la deuxième partie de l'enquête, qui prévoyait d'élargir l'expérience acquise, en l'étendant à des dizaines de cas de potentiels abductés et en vérifiant, si celles-ci se présentaient, les similitudes qu'on peut relever dans les divers cas d'enlèvements.
Malanga, à ce stade, ne pouvait plus travailler au sein du CUN où ses recherches, pourtant requises par ceux qui en faisaient partie, étaient vues d'un mauvais oeil, et quitta donc l'organisation, abandonnant aussi le réseau d'experts qu'il avait contribué à former sur le territoire national et qui auraient dû le soutenir au cours de la deuxième et plus délicate phase de l'enquête. Mais à quelque chose malheur est bon, et, ainsi, finalement libre dans ses mouvement sans être contrôlé ni censuré, il réorganisa les filières de l'opération entière et, avec l'aide de nouveaux collaborateurs, il obtint en quelques années ce que jamais il n'aurait pu obtenir en des dizaines d'années de travail à l'intérieur du CUN.
Naquit ainsi la deuxième partie du projet abduction, qui s'est terminée en août 2002.
Le travail a mené à des conclusions certaines sur les extraterrestres, sur leurs identités, sur leur provenance, sur leurs besoins, sur les implications historiques de leur présence sur notre planète et, pas les moindres, sur les motivations des enlèvements extraterrestres.
La quantité de matériel acquis, la reproductibilité des expériences d’hypnose conduites sur une centaine de cas et les preuves collatérales ainsi obtenues, nous autorisent à dire clairement et pour la première fois au monde, sans crainte d’être démentis, ce que veulent de nous les divers groupes d’extraterrestres qui se trouvent sur la Terre depuis des milliers d’années.
Les résultats obtenus, qui seront ici exposés de manière synthétique, nous ont éclairci aussi pourquoi il était tellement difficile de comprendre le mobile de leurs actions.
Comment était-il possible effectivement, qu’après des années de travail de notre part comme de la part d'autres collègues étrangers, on ne parvenait pas à construire un tableau synoptique? Tout simplement parce que les extraterrestres cherchaient quelque chose que nous savions pas avoir !
Une chose qui, une fois en pleine lumière, nous permettait de construire une image de l'homme fortement en opposition à celle imposée par le déterminisme matériel de Monsieur Piero Angela.
LES RÉSULATS
Il y a CINQ NIVEAUX D’INTERFÉRENCE Extraterrestre, parmi lesquels, avant nos études, était connu seulement le premier.
Le PREMIER NIVEAU d’Interférence Extraterrestre décrit l’abduction comme un phénomène invasif, pendant lequel des êtres, généralement petits et de couleur gris foncé ou noirs, parfois bleus, prennent le sujet et l’emmènent dans un milieu technologique où il est soumis à des interventions chirurgicales sur une sorte de table d’opération; qu’il s’agisse d’hommes comme de femmes, les deux auront été implantés de puces pour les contrôler. Tout ceci était clair dans les exposés des différents experts américains. Mais les choses étaient en réalité un peu plus compliquées. En effet, il existe au moins douze races d’extraterrestres différentes impliquées avec l’humanité et qui, tout en employant des techniques différentes, cherchent toutes la même chose, comme nous le verrons plus bas.
Les portraits-robot des extraterrestres.Chacune de ces races disposent d’êtres petits, appelés généralement “gris” ou EBE (Entité Biologique Extraterrestre), comme apparait dans certains documents de la CIA déclassifiés par le FOIA, qui peuvent être considérés comme des “cyborg”, c'est à dire des vrais robots biologiques, obtenus par clonage.
Comme nous l’avons dit, il y a plusieurs types de Gris, qui sont décrits de façon similaire, mais possèdent différentes caractéristiques morphologiques, comme, par exemple, la couleur de la peau et la taille. Elles sont souvent décrites avec précision pendant les séances d’hypnose et diffèrent selon la race d’extraterrestres avec laquelle nous avons à faire. Dès les premières séances d’hypnose, il nous parut évident que les descriptions sur l’aspect des extraterrestres n’était pas cohérentes avec l’hypothèse d’une seule race: soit les sujets sous hypnose inventaient descriptions identiques dans la forme, mais différentes dans les détails, ou bien il y avait plusieurs types d’extraterrestres, semblables mais pas tout à fait identiques.
Les descriptions ont été examinées dans les moindres détails pour en extraire des indications les plus sures possible. Par exemple, après avoir obtenu des données qui se recoupaient sur les témoignages et l’étude de questions appropriées à poser aux enlevés pendant l’hypnose, les êtres bleus qui ressemblent à des Gris plus grands (150 cm au lieu de 100 cm environ) finissent par être en réalité noirs. La cause de la couleur bleue s’est révélée être l’illumination bleu ciel de la salle d’opération à l’intérieur de laquelle ils emmènent les enlevés. La peau des ces “grand gris”, qui travaillent uniquement avec les Sauroïdes (on en reparlera plus tard) et sont absents dans tous les autres cas, est en effet de couleur noire translucide et possède la capacité de refléter la lumière des lieux, en prenant la couleur de celles-ci (noir plus bleu ciel donne comme résultat le bleu foncé).
Quatre parmi les douze races d’extraterrestres dont nous parlons, paraissaient être présentes sur territoire avec une fréquence plus grande que les autres (peut-être sont-elles les quatre races permanentes auxquelles faisait allusion le colonel Philip Corso ?).
En vérité, il ne faudrait pas parler de races, mais plus proprement, de groupes de pouvoir.Du premier groupe de pouvoir font partie des êtres qui semblent mammifères (mammifèromorphes), de 2,40 m de haut, au teint clair, aux cheveux blancs, avec six doigts aux mains et aux yeux clairs (bleus très clair) avec une pupille verticale. Ces êtres sont généralement habillés en blanc, portent au cou un médaillon rond avec une sorte de symbole triangulaire et il semblerait qu’il proviennent du triple système de Sirius ( nous les appellerons “sirians”). Nous n’avons jamais eu à faire à des femmes “siriannes”.
D’autres, eux aussi de type mammifèromorphe, sont plus blonds-roux ( nous les appellerons, donc, “blonds”, d'une taille de 2 m, avec une pupille fortement verticale, le crâne allongé, qui se réduit progressivement sur les côtés en partant du front (comme la proue d’un bateau), le teint bronzé, habillés avec des combinaisons moulantes bleu foncé , avec cinq doigts aux mains. La combinaison se caractérise par un blason en forme de double triangle croisé, situé sur le pectoral gauche. Ceux-ci aussi proviendraient du système Sirius, et sont toujours qualifiés de “beaux” et ont aussi des femmes.
Il existe ensuite d’autres mammifèromorphes, différents des précédents, de taille plus grande que nous mais sans exagération, qui ont cinq doigts aux mains, ont le teint clair, portent des cheveux longs et blancs et s’habillent d’une veste blanche non moulante. Ils sont toujours définis “beaux” et ont des femmes. Ces extraterrestres semblent provenir de la constellation du Taureau (nous les appellerons donc “tauriens”) et ils ont la particularité d’agir seuls car, dans les autres cas d’enlèvement, cela n’arrive jamais.
Ce qui se passe dans les autre cas, c’est que, après une première intervention des “blonds”, d’autres entités, dont on en reparlera plus tard, interviennent à leur place. Il est donc évident que certains groupes travaillent en collaboration, d’autres s’occupent simplement de leurs affaires.
Les “tauriens” interagissent toujours seuls avec les enlevés, mais quand on a à faire avec le groupe qui vient de Sirius, il semblerai qu’interviennent toujours en premier ceux au teint bronzé qui ont cinq doigts (les “blonds”), et seulement après, au cours de la vie de l’enlevé, se succèdent les autres. Il apparait, en effet, que les “blonds” disposeraient du topogramme génétique de l’humanité, ou de toute sorte, ils savent distinguer les humains aptes à être enlevés de ceux qui doivent être écartés, ne possédant pas la “chose” qui les intéresse.
Placés encore plus haut, dans une échelle hiérarchique informelle, se trouveraient des êtres beaucoup plus anciens, très grands, habillés souvent avec des habits moulants foncés, que nos enlevés disent n’avoir jamais vu directement, mais avoir ressenti comme se trouvant derrière un écran (ce qui rend compliqué de pouvoir en établir la taille certaine, même si, d’après quelques témoignages, non exposés ici pour abréger, nous la estimons autour de 3 m). Ces êtres ont les yeux ronds et presque blancs et portent un appendice sous le menton, semblable à une barbe, qui caractérise les mâles uniquement, les femelles en étant dépourvues. De plus, ils sont pourvus de deux os scapulaires très prononcés qui, vus de face, rappellent à tort une grande paire d’ailes pliées derrière le dos. Parfois, nous avons observé, au milieu du front, ce qui parait être leur véritable oeil, très lumineux (on les appellera donc “Horus”). Leurs doigts, trois plus un opposable, sont minces et recourbés comme ceux des oiseaux. Les “Horus” semblent utiliser les pouvoirs de la télékinésie pour se déplacer et ne sont pas présents ici physiquement, mais transmettent leurs messages aux autres extraterrestres depuis loin, en ayant recours à la technologie.
Font partie du deuxième groupe de pouvoir des êtres de nature sauroïde (on les appellera les “sauroïdes”, même si l’ufologie contemporaine les appelle de façon erronée “reptiliens”).
Il semble exister deux types de “sauroïdes”.
Le premier type, le plus invasif, mesure 2,80 m de haut, possède cinq doigts aux mains et aux pieds, plus, sur l’avant-bras, éloigné de la main, un ongle rostré qui ressemble au doigt que les chats ont sur les pattes arrières, mais formé d’une substance chitineuse très résistante. Leur peau, qui apparait toujours humide et translucide, est de couleur vert-marron et, vue de près, semble pourvue d’écailles, qui, une fois examinées attentivement, se révèlent plus douces que prévu. La peau devient progressivement rouge pour la partie ventrale et pour le bout des doigts: dans cette zone, la peau devient moins épaisse et on peut observer une lymphe rouge couler en dessous, surtout quand il paraît être dérangé.
Le crâne, des deux côtés, est caractérisé par la présence de deux surfaces cornées, arrondies et peu proéminentes, tandis qu’au centre est présente une structure plus douce, sous laquelle on observe pulser la lymphe; cette structure ressemble à une épine dorsale en relief et traverse, bien observable, toute la longueur de la tête, du cou, du dos et de la grosse queue (pour cela on appellera ces extraterrestres “dragons” ou « Gros Serpents). Cette queue grosse et trapue est utilisée comme point d’appui quand le sauroïde est immobile sur ses deux courtes et massives jambes. Les doigts des mains et des pieds sont visiblement palmées.
Nous n’avons pas d’éléments suffisants sur la langue, qui semble néanmoins courte et bifide. Les yeux sont pourvus d’une sous-paupière (membrane nictitante) qui glisse en diagonale, du bas vers le haut et du nez vers les l’extérieur. Les pupilles sont verticales et l’iris change de couleur, du jaune-vert au rouge vif, apparemment selon l’humeur. Nous disposons de rapports sur les “dragons” de différentes tailles et nous pensons que cette caractéristique est en fonction de leur âge et qu’ils grandissent continuellement, sans une véritable limite de taille. L’aspect général est décrit comme celui d’un dragon ou, parfois, comme un “crocodile debout”, même si le visage (ou museau ?) est arrondi comme celui d’un serpent, avec des lèvres fines et les narines situées au fond de la cloison du nez, mais latéralement, plutôt que de face comme les nôtres.
Il s’agit de créatures amphibies, sans dimorphisme sexuel; ils sont toujours décrits accompagnés par une autre espèce, apparemment soumise à eux.
Cette dernière espèce est constituée de “sauroïdes” sans queue, de 2 m environ, avec une peau translucide, les yeux ronds qui donnent un aspect figé au regard (nous les appellerons donc les “grenouilles”), aux dents verticales, longues et fines, qui ressemblent aux fanons des baleines. Sur la tête, ils sont munis d’espèce de petites cornes qui, de loin, rappellent des cheveux en brosse; il s’agit toutefois de nombreuses excroissances cornées rapprochées. Ces êtres sont tellement semblables entre eux qu’il est pratiquement impossible d’en identifier les différences, même si il y en a plusieurs en même temps.
Eux aussi n’ont pas d’organes reproductifs apparents.
Du troisième groupe de pouvoir font partie des êtres de type insectoïde, qui ressemblent à nos mantes religieuses (et que nous appellerons donc “mantes”), de couleur verdâtre, au corps chitineux, qui se déplacent presque sur les membres inférieurs. Les membres supérieurs sont placés comme si l’être était en train de prier, avec les mains presque unies; celles-ci sont formées de trois doigts plus un doigt différent des autres (nous ne savons pas si celui-ci est opposable). La bouche est très petite et la tête, munie de grands yeux foncés, est souvent tenue penchée d’un côté. Nous ne savons pas avec certitude s’ils possèdent une autre paire de “pattes” intermédiaires entre celles avant et celles arrière.
Les enlevés par les “sirians” passent, ensuite, durant leur vie, dans les mains des “mantes” et ensuite dans celles des “sauroïdes”.
Comme nous avions eu déjà l’occasion de le dire, il semblerait que les enlevés des “tauriens” ne soient pas touchés par qui que se soit, hormis eux !
Il existe une autre race d’êtres mammiféromorphes, dont nous devons nécessairement référer ici, qui résultent être non pas des clones, mais des esclaves (les enlevés sous hypnose les appellent en général de cette façon) des “sauroïdes”.
Il s’agit de petites créatures (que nous appellerons, justement, “esclaves”), avec une peau très rugueuse, un long cou avec des muscles qui se plient et font tourner la tête (l’équivalent de nos muscles sterno-cléido-mastoidiens) très évidents, la bouche petite avec des lèvres de différentes épaisseurs (la lèvre supérieure est tapageusement plus petite de celle inférieure) et les yeux foncés et humides. Les doigts des mains semblent être au nombre de cinq (quelqu’un, en vérité, affirme qu’ils sont quatre, mais nous retenons plus probable qu’ils soient cinq; en tout cas, ils ne sont pas six).
Le crâne en forme de cœur est typique; en effet il se développe de manière rétroversé, mais présente une dépression au centre du front, qui disparait progressivement vers la partie arrière du crâne même.
Les oreilles sont petites et légèrement pointues aux bouts. Ces extraterrestres s’habillent avec des vêtements qui ne sont pas moulants et mesurent 1,50 m de hauteur; ils ont été souvent confondus avec les “gris” ou avec d’autres créatures portant une cagoule, et portent le nom de “Javas” lesquels, d’après nous, existent uniquement pour la science fiction.
Autour des extraterrestres décrits jusqu’à présent, flottent des descriptions d’autres entités avec lesquelles les enlevés semblent moins impliqués.
La place d’honneur revient aux “Êtres de Lumière”, qui, comme nous verrons, sont quelque chose de bien différent.
Après quinze années d'efforts, nous avions enfin dressé une sorte de “bestiaire cosmique”, dont il fallait reconstruire les actions de ses membres, pour pouvoir comprendre la motivation de leur présence chez nous.
Le DEUXIÈME NIVEAU d’interférence extraterrestreIci, nous ne décrirons pas les contextes et les milieux d’hypnose qui nous ont permis d’obtenir les conclusions que nous avons exposées, et nous ne fournirons pas non plus d'explications techniques qui nécessiteraient plusieurs textes; nous nous limiterons à fournir tout simplement les conclusions brutes tirées des enquêtes.
Ceci dit, il apparut tout de suite très clairement que les mammifèromorphes avaient un problème que nous pouvions leur résoudre: ils cherchaient l’immortalité! Tout en étant persuadés que l’immortalité deviendrait, à la longue, incroyablement ennuyeuse, nous sommes conscients que ce n’est pas la pensée de tout le monde. Le désir des extraterrestres de ne vouloir jamais quitter cette vie et la détermination employée pour atteindre un tel but nous avait laissés un peu perplexes sur le degré de maturité intellectuelle de ces êtres, mais nous poursuivions nos recherches: nous nous trompions peut-être.
Sous hypnose, les enlevés qui étaient entrés en contact avec ces êtres mentionnaient à l’unanimité que les extraterrestres vivaient: “ à travers nous, à travers notre ésprit…” Chez ce type d'abductés, était présente une forte dichotomie cérébrale, qu’un psychiatre de quatre sous aurait facilement interprété comme schizophrénie aigüe; néanmoins, une fois effectuée l’analyse approfondie de la personnalité de ces sujets, il n’y avait pas de place pour le doute de la pleine santé de leur esprit. Ils se voyaient souvent différents des autres personnes, comme s’ ils n’appartenaient pas à ce monde, ils avaient des flashback où ils se souvenaient de scènes de vies antérieures et d’images où ils se déplaçaient dans un contexte étranger, comme s’ils étaient euxmême extraterrestres.
Il apparut tout de suite clairement qu'à l’intérieur de leur esprit, était présente une zone de mémoire a accès nié, où étaient cachés certains souvenirs qui concernaient des scènes de vie d’un extraterrestre: l’hypothèse où apparaissait comme réel ce qui résultait des différentes hypnoses surgit, c’est à dire que les extraterrestres utilisaient notre cerveau comme entrepôt pour leurs souvenirs (une sorte de sauvegarde informatique).
D’après cette hypothèse, les extraterrestres en question cherchaient l’immortalité qu’ils ne parvenaient pas à obtenir, car, bien que d’une longévité remarquable par rapport à nous, ils mouraient également. Ils peuvent cependant faire survivre tous leurs souvenirs, en glissant dans le cerveau d’un enfant terrien toute l’expérience de la vie entière (jusqu’à ce moment) de l’un d’entre-eux, éventuellement mort entre temps. L’enfant, au cours des années, devient adulte et, par moments, son cerveau montre des petits signes de l’autre personnalité, en lui procurant quelques graves problèmes existentiels.
La mémoire extraterrestre demeure en tout cas inaccessible, hormis en faisant recours à une sorte de mot de passe (un peu comme dans un ordinateur), en mesure de l’ouvrir et de libérer son contenu. Avant la mort de l’abducté utilisé pour la sauvegarde, les extraterrestres reviennent et font une copie de tout le contenu de sa mémoire dans le cerveau de l’un d’entre-eux à peine né. Celui-ci dispose ainsi immédiatement de la mémoire, outre de son porteur terrien, de son prédécesseur extraterrestre, et devient, en fait, une seule personne avec lui.
De cette manière, l’esprit survit, même si le corps meurt, et on obtient un succédané d’immortalité. Le nouveau né extraterrestre ne doit donc pas refaire l’expérience, en recommençant à nouveau tout le parcours de formation, et finalement, par exemple, un extraterrestre (ou pour mieux dire son esprit) vieux de trente mille ans résulte formé des souvenirs de six extraterrestres de cinq mille ans chacun, plus un nombre élevé de mémoires de terriens utilisés pour la sauvegarde.
Le produit de l’application de l’idée décrite est un seul esprit en évolution, qui utilise plusieurs corps en succession: une sorte de pseudo-immortalité qui permet aux extraterrestres de conserver toutes les caractéristiques fondamentales de leur pensée originaire. Nous avons vite constaté que le cerveau humain est préféré par les extraterrestres comme entrepôt pour leurs mémoires, effectivement, pendant l’abduction, est souvent répété aux enlevés que: “… votre cerveau est une chose parfaite: les machines tombent en panne tandis que les cerveaux humains, jamais…”
Voilà, donc, le sens de la phrase: “… nous vivons à travers votre cerveau…”!
L’application d’une série d’astuces hypnotiques nous a permis de trouver le mot de passe pour pouvoir accéder aux mémoires cachées dans le cerveau des enlevés, nous permettant de disposer d’un immense bagage d’informations sur les extraterrestres, y compris leur langage. Le procédé est vérifié et reproductible en laboratoire sur n’importe lequel de nos abductés.
Il s’agit, sans aucun doute, d’une découverte très importante.
Pour confirmer ceci, nous avons décidé de vérifier si, notre cerveau se comportant comme une mémoire non effaçable (une véritable CD-ROM – Read Only Memory-), dans la zone à accès nié d’un enlevé existaient aussi des traces de mémoire des “porteurs”, c'est à dire des traces des souvenirs des vies de tous ceux qui avaient “transporté” la mémoire extraterrestre précédemment. En effet, à l’intérieur du cerveau des abductés, doit être présente la mémoire d’un seul extraterrestre, formée de plusieurs fragments en séquence, et entre autres, les mémoires de tous ceux dont les extraterrestres se sont servis pour faire la sauvegarde.
Décrire la satisfaction produite par l’obtention de la confirmation de cette hypothèse est une chose superflue.
Le travail de Weiss, psychiatre américain qui, à travers l’hypnose, sollicite les souvenirs de vies antérieures, doit être donc réinterprété ?
La réincarnation n’existe pas et il s’agit tout simplement de mémoires qui, en réalité, ne nous appartiennent pas, mais appartiennent à des personnes ayant vécu avant nous, qui portent derrière elles le fardeau additionnel d’une mémoire extraterrestre ?
Nous avons compris plus tard que les choses sont encore plus compliquées: d’autres extraterrestres, en vérité, vont beaucoup plus loin que la simple sauvegarde de la mémoire.
Le TROISIÈME NIVEAU d’Interférence ExtraterrestrePour ce qui concerne nos abductés, il ne nous était jamais arrivé de trouver de mémoires extraterrestres de sauroïde ou d’insectoïde; pourquoi ?
Les cerveaux d’un reptile ou d’un insecte n’étaient peut-être pas compatibles avec celui d’un être humain ?
Probablement cette dernière question contient la bonne réponse: en effet, quand il s’agissait de sauroïdes ou insectoïdes, sous hypnose régressive, nous obtenions des récits complètement différents. Nous nous demandions, au début, qu’est-ce qu’il serait arrivé si un abducté utilisé pour la sauvegarde avait eu un accident et était décédé sur le coup: les extraterrestres auraient perdu des milliers d’années d’informations et, avec elles, même l’un d’entre eux. Ils ne pouvaient pas se permettre cela. Qu’aurions nous fait à leur place?
Ce qui était logique: faire une copie du cerveau de l’abducté. Toutefois, pour le conserver en parfait état, nous aurions du copier tout le corps. Le corps ne sert pas à grand chose, mais il est nécessaire pour maintenir en vie le cerveau, avec son précieux contenu d’informations de vie extraterrestre. Pendant les hypnoses régressives apparaissait parfois la description de la “chambre de la résonance”, “de la chambre des matrioshkas”, “de la chambre du cylindre métallique”, toutes définitions utilisées par les différents enlevés pour décrire la même situation, c'est à dire le fait d’être introduits dans un cylindre métallique horizontal, où, à travers une sorte de hublot sur le côté, ils pouvaient observer se former, en temps réel, un corps identique au leur à l’intérieur d’un autre cylindre, transparent et vertical, situé dans la même pièce: une véritable “photocopie” de l'enlevé, y compris toutes les informations contenues dans son cerveau.
La personne concernée, devant une telle vision, perdait sa propre identité et souffrait souvent de crises psychologiques assez lourdes à supporter. Il résultait évident que l’un des deux corps était conservé, pour ainsi dire, “au réfrigérateur” par les extraterrestres en un lieu sûr et représentait la sauvegarde de réserve, pendant que l’autre était ramenée dans son habitat naturel.
Ces opérations étaient toutes conduites dans un milieu souterrain terrestre, en présence de militaires terriens ! (les réponses dont nous disposons sur les raisons à ce sujet sont tout à fait exhaustives, mais ce n’est pas utile de les citer ici).
La question la plus importante, arrivés ici, était: “… mais que ramènent-ils en bas: la copie ou l’original ?…”
Nous aurions conservé l’original. Et les extraterrestres ?
La mémoire de la copie et de l’original étaient évidemment identiques dans les moindres détails et il n’y avait aucun espoir de trouver une différence qui puisse indiquer une réponse au problème. Toutefois, en voyant juste, les extraterrestres avaient un point faible dans leur procédure: le cylindre où ils introduisaient le pauvre malheureux était horizontal, tandis que celui où se formait la copie était vertical. Donc, si le sujet sous hypnose se souvenait être sorti du même cylindre où il était entré, il s’agirait alors de l’original; s'il se souvenait être sorti du cylindre vertical, il s’agirait donc de la copie.
Et bien, il s’agissait de la copie !
Comment faire, maintenant, pour dire à nos abductés qu’ils étaient des copies de l’original ? Nous ne pouvions pas nous permettre une telle révélation, car elle aurait pu provoquer de graves désordres psychiques, à cause de la perte d’identité qui, comme nous le savons bien, peut entraîner jusqu’au suicide. Heureusement, il devait encore émerger un autre événement presque incroyable.
Le QUATRIÈME NIVEAU d’Interférence ExtraterrestrePendant la phase de copie du corps de l'enlevé pratiqué par les sauroïdes, il arrivait quelque chose de bien étrange. L’abducté décrivait une sensation, une sorte de vibration qui traversait son corps; il y avait beaucoup de lumière à l’intérieur du cylindre horizontal en métal et, après, quelque chose se détachait et vibrait dans l’air. À ce moment, l'abducté décrivait la scène vue d’en haut et voyait les deux cylindres, l’un métallique, horizontal, contenant l’original et l’autre transparent, vertical, avec la copie dedans. Qu’est-ce ce troisième emplacement visuel ? À vue de nez, la chose semblait impossible, sans entrer dans le mérite de la crédibilité et de la fiabilité des techniques d’hypnose, quand elles sont conduites avec maîtrise.
D’où la nécessité de développer une série de questions de contrôle, pour comprendre qui était en train de parler réellement:
- L’extraterrestre avec sa mémoire?
- La copie?
- L’original?
- L’une des mémoires des "porteurs"?
La série de questions étaient des interrogations très simples, du style:
Comment t’appelles-tu?
Quel âge as-tu?
Quel jour sommes-nous aujourd’hui?
Regarde tes mains et décris-les moi…
Mais les réponses étaient terrifiantes !
Question: “Tu es en train de regarder en bas?”
Réponse: “…Non”
Question: “Alors comment fais-tu pour regarder ce qui se passe dessous de toi?”
Réponse: “…Je ne regarde pas en bas, je regarde en même temps partout…”
Question: “Regarde tes mains”
Réponse: “…Je ne vois pas de mains”
Question: “Regarde ton corps”
Réponse: “… Je n’ai pas de corps (perplexité)”
Question: “Comment t’appelles-tu?”
Réponse: “… Nous n’avons pas de nom…”
Question: “Quel âge as-tu?”
Réponse: “… Qu’est-ce que cela veut dire?…”
Question: “Depuis quand existes-tu?”
Réponse: “… Mais depuis toujours, naturellement…”
Émergeait, ainsi, l’existence de certaines entités qui se définissaient “matrices de points de lumière”, qui vivaient “entre un temps et l’autre” et s’auto-définissaient l’ “ÂME” des êtres humains!
Cette chose qui, pour ceux qui la possèdent, donne la VIE ÉTERNELLE ! Et oui: justement ce que cherchaient les extraterrestres… À présent, tout était clair.
L’analyse attentive de ces événements nous fit comprendre, au cours d’une année environ, que les extraterrestres sauroïdes, ne pouvant pas utiliser l’esprit humain comme les mammiféromorphes, essayaient de capturer notre matrice de points de lumière et de l'utiliser pour leurs buts. EFFRAYANT ! Mais, heureusement, il semblait aussi qu’ils n’y parvenaient pas non plus, à cause d’une incompatibilité biogénétique entre eux et notre âme.
L’âme était parfaitement consciente de ces tentatives et ne les appréciait pas du tout, mais ne pouvait rien faire pour les empêcher. Pendant l’hypnose, émergeait la description d’étranges champs de force qui transportaient l’âme dans le corps d’un sauroïde, mais l’union se maintenait pour une très courte durée, et après, il y avait la séparation totale et irréversible, avec frustration relative de l’extraterrestre qui n’était pas parvenu, encore une fois, à se connecter définitivement avec la matrice de points de lumière, pour devenir une seule chose avec elle.
Dans notre ADN, il existe en effet quelque chose qui nous rend compatible avec notre âme, comme affirment, interrogés à tel propos, les esprits extraterrestres insérés dans les cerveaux des abductés: au fond, il s’agit simplement de demander aux esprits extraterrestres, activés par le juste mot de passe, le contenu de leurs mémoires. C’est un peu comme regarder, sans se faire découvrir, dans les papiers secrets des extraterrestres.
La compatibilité de notre ADN avec l’âme nous explique pourquoi les extraterrestres essayent, avec des expérimentations génétiques, d’utiliser notre ADN: ils essayent évidemment de modifier leur ADN pour le rendre semblable au nôtre, c'est à dire compatible avec la chose qui est appelée communément “âme”. L’âme, interrogée à ce sujet, était très éloquente: nos enlevés, en plus de posséder d’autres qualités, ont l’âme que les autres humains n’ont pas. Entre autres, “cette chose là”, tous les hommes ne l’ont pas, mais uniquement une minorité des êtres humains ! (entre 30 et 50%).
À la fin, nous découvrîmes que l’âme, une fois extirpée de l’original, n’étant pas compatible avec le corps des sauroïdes, était installée dans la copie de l’abducté, celle qui était dans le cylindre vertical, qui était ensuite ramenée dans son habitat originel.
Donc, l’abducté était bien une copie, mais une copie-originale, à laquelle rien ne manquait. Celui qui, à présent, se retrouvait avec une chose en moins, était justement l’original. “
L’âme ne peut pas être copiée”, disaient les matrices de points de lumière interrogées par nous. “
… Les extraterrestres le savent et essayent d’utiliser les vôtres, mais ils doivent modifier leur ADN…” disaient les enlevés pendant l’hypnose. Tous nos enlevés disaient les mêmes choses, identiques; tous, sans exception aucune ! Maintenant, nous pouvions leur raconter la vérité.
Voilà le secret de l’Arbre de Vie, de la Kabbale hébraïque, de la construction de la copie des Pharaons égyptiens, de la Kundalini indienne et de toutes les sectes, elles aussi plus ou moins secrètes, qui perpétuent la recherche du soi-disant Saint Graal. Tout devenait très simple: quelque chose, dans notre ADN, était le lieu de la vie éternelle, et les extraterrestres, qui désirent vivement l’atteindre, la recherchaient en nous, qui ignorions même que cette chose puisse exister.
L’Arbre de la Vie du mythique Paradis sur Terre, symbolisé par de nombreux glyphes sculptés dans les champs de blé anglais… voilà ce que cherchaient les extraterrestres en certains, et uniquement en certains parmi nous !
Le CINQUIÈME NIVEAU d’Interférence ExtraterrestreIl manquait encore un maillon à la chaîne: les anciens Égyptiens, effectivement, décrivaient l’existence du corps physique, de l’esprit et de l’âme, mais aussi de l’Esprit (notre partie spirituelle N.d.T.). Nous ne savions pas de quoi il s’agissait.
Brièvement, sans nous perdre ici en complications inutiles, sous hypnose, certaines traces de souvenirs de vies d’êtres extraterrestres, en tout et pour tout différentes de nous, ont émergé des esprits des abductés: des êtres de lumière, de nature différente, des êtres qui, même si d’une longévité remarquable, étaient mortels, parce que, d’après ce que nous avons compris, parmi toute la création, uniquement le Créateur et une partie des êtres humains possèdent une âme.
Ces Êtres Lumineux étaient, probablement, ceux que notre culture mythologique appelait “esprits immortels” et contrôlaient les extraterrestres qui produisent le phénomène des enlèvements, qui à leur tour, contrôlaient les “cyborg” Gris, qui contrôlent l’humanité entière.
Émergeait ainsi l’existence de différents types d’humains:
- Corps avec esprit. (note, “esprit” = “mental”)
- Corps avec esprit et âme.
- Corps avec esprit et Esprit, sans âme.
- Corps avec esprit, Esprit et âme.
Devenaient ainsi compréhensibles mêmes certains phénomènes que l’Église décrit comme possessions diaboliques, qui surgiraient quand la personne ne désire pas la présence en soi, d’un “Être Lumineux” parasite et négatif.
Parfois, au contraire, nous avions peut-être à faire à des entités plus positives, qui vivaient en symbiose avec l’âme de celui qui la possède: effectivement l’Esprit ou être de lumière préfère stationner dans les corps de personnes ayant l’âme, parce que, de cette manière, il peut exploiter, pour ainsi dire, l’ “énergie” de l’âme et ne pas vieillir, étant la matrice de points de lumière dépourvue de dimension temporelle, et donc éternelle ! Tous ces êtres veulent l’âme, parce qu’ils sont tous mortels et tous viennent la chercher dans le seul endroit de l’Univers, où peut-être par erreur, elle existe.
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