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 LE TAMIFLU

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MessageSujet: LE TAMIFLU   LE TAMIFLU Icon_minitimeLun 16 Fév 2009 - 23:27

LE TAMIFLU





LE TAMIFLU Tamiflu



• Qui commercialise le Tamiflu ?
Les Laboratoires Roche.

• A qui Roche a acheté la licence du Tamiflu en 1996 ?
A Gilead Sciences Inc.

• Qui était le Président de Gilead Sciences Inc, et encore aujourd'hui son principal actionnaire?
Donald Rumsfeld, l'actuel Secrétaire à la Défense des Etats-Unis.

• Que l'anis étoilé est à la base du Tamiflu ?
(Buvez du Pastis, c'est moins cher !)

• Qui possède 90% de la production mondiale de cette plante?
Roche.

• Que les ventes du Tamiflu sont passées de 254 millions en 2004, à plus de 1.000 millions en 2005?

• Combien de millions de dollars peut gagner Roche dans les prochains mois si ce commerce de la peur se poursuit ?


Ce produit ne guérit même pas la grippe commune!
Les gouvernements, par sottise (et complicité ?), font peser la menace d'une pandémie et achètent à Roche des quantités industrielles du produit. .. et Rumsfeld, Cheyney et Bush encaissent un Jack Pot pharaonique!




Source : Le Journal de Michel Dogna n° 41


Dernière édition par invitée le Jeu 10 Mar 2011 - 13:30, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: LE TAMIFLU   LE TAMIFLU Icon_minitimeLun 16 Fév 2009 - 23:28

TAMIFLU SANS DANGER ?






LE TAMIFLU Cartoon_fr_20090910




TAMIFLU, SUICIDES ET GRIPPE SAISONNIÈRE



Sans doute nous faudra-t-il donc définitivement apprendre à faire avec le H5N1, les cortèges de frayeurs qu’il suscite et leurs traînées d’angoisses médiatisées. Mandée de Tokyo, cette dépêche de l’Agence France-Presse (AFP) datée du lendemain du printemps 2007 : «Le Japon a l’intention de continuer à stocker du Tamiflu en vue d’une éventuelle pandémie de grippe aviaire, malgré ses doutes officiels concernant les effets secondaires psychiatriques du médicament, vient d’indiquer le ministère de la Santé. "Le Tamiflu stocké n’a pas pour but d’être utilisé en cas de grippe classique, mais en cas de grippe aviaire contre laquelle nous ne disposons d’aucune autre arme", a déclaré un responsable du ministère. Le gouvernement nippon a cependant ordonné au fabricant du médicament, le laboratoire suisse Roche, d’inclure dans la notice une mise en garde contre de possibles effets psychiatriques dangereux du médicament lorsqu’il est administré à des adolescents.»(1)

La Corée du Sud a fait savoir dans le même temps qu’elle s’apprêtait, elle aussi, à formuler une mise en garde contre le Tamiflu, «après le décès au Japon de 54 personnes, dont seize adolescents, qui venaient de prendre le médicament, deux adolescents sous Tamiflu s’étant récemment suicidés en se jetant dans le vide.» Pour sa part, Roche a une nouvelle fois assuré que son oseltamivir était sans danger. «Il est difficile de déterminer quel est le lien entre le Tamiflu et les décès. On dirait que le médicament peut avoir des effets néfastes sur le système nerveux», a estimé Katuhisa Nakajima, professeur à l’Ecole de médecine de Nagoya. Selon lui, les Japonais seraient plus exposés que les autres aux éventuels effets secondaires du Tamiflu à cause de leur forte consommation, tout âge confondu, de Tamiflu dès l’apparition d’un symptôme pouvant être attribué à un syndrome grippal.
Pourquoi ? Réponse du Pr Nakajima : «Les Occidentaux préfèrent se reposer quand ils tombent malades et prendre le moins de médicaments possible. Au Japon, c’est le contraire. Les Japonais pensent qu’ils seront un boulet pour les autres s’ils se reposent». Concrètement, le Japon est le premier importateur de Tamiflu et ses réserves doivent lui permettre de traiter 28 millions de personnes durant cinq jours en cas de pandémie grippale hautement pathogène.

A dire le vrai, l’affaire n’est pas nouvelle. Un rapport rendu public le 17 novembre 2005, sur le site de la Food and Drug Administration américaine recensait, au Japon, douze décès chez des enfants traités avec ce médicament. Cette observation résultait alors d’une enquête de pharmacovigilance menée de mars 2004 à avril 2005, visant à établir les effets de la prise de Tamiflu chez les enfants de moins de seize ans, cette substance pouvant être prescrite dans le traitement de la grippe à partir de l’âge d’un an et à partir de treize ans dans sa prévention.

«Pendant ces treize mois, huit décès d’enfants ont été rapportés. Quatre décès supplémentaires ont ensuite été repérés», font remarquer les auteurs du rapport qui précisait qu’il était encore difficile d’établir un lien de causalité entre la mort des enfants et la prise de Tamiflu. Roche estimait alors déjà que son médicament n’était pas en cause. Le rapport concluait que quatre des douze décès étaient des cas de mort subite et quatre de défaillances cardio-pulmonaires. Les autres cas étaient dus à une perte de conscience suivie de chute mortelle, une pneumonie, une asphyxie et une pancréatite aiguë suivie d’arrêt cardio-pulmonaire.

En novembre 2005, l’Agence européenne du médicament (EMEA) avait annoncé qu’elle surveillait les éventuels effets secondaires du Tamiflu après avoir été alertée sur deux «présumés suicides associés à ce traitement», concernant un adolescent de dix-sept ans, en février 2004 et un adolescent de quatorze ans, en février 2005.

Depuis 2004, les autorités sanitaires nippones mettaient en garde prescripteurs et consommateurs contre un risque de comportements anormaux, l’EMEA estimant ne pas disposer actuellement d’élément objectif justifiant une telle mise en garde.

Comment comprendre ? Pourquoi tant d’incertitudes ? Où situer les responsabilités, si responsabilités il y a ? (2) A l’heure où nous écrivons ces lignes, le ministre japonais de la Santé, Hakuo Yanagisawa annonce que des études plus poussées vont être menées sur les éventuels effets psychiatriques du Tamiflu. «Jusqu’à présent, les autorités sanitaires japonaises n’avaient établi aucun lien direct entre le Tamiflu et ces décès, même si elles ont lancé une mise en garde après de récents suicides d’adolescents qui avaient pris le médicament, nous apprend le bureau japonais de l’AFP. Elles ont désormais décidé d’interdire, par précaution, l’administration du Tamiflu aux jeunes de moins de dix-neuf ans. "Nous devons revenir sur cette affaire, car des accidents impliquant des jeunes gens sont arrivés assez souvent, a déclaré M. Yanagisawa. Nous ne disposons à ce stade d’aucun nouvel élément, mais nous ne pouvons pas rester passifs devant cette question"».

Le ministère japonais de la Santé a fait savoir qu’il avait déjà fait mener une étude épidémiologique auprès de quelque 2800 enfants de moins de quinze ans ayant contracté une infection grippale. A priori cette étude n’a pas révélé de différence en comportements anormaux, entre les enfants qui avaient pris du Tamiflu et les autres. Un porte-parole du ministère a toutefois fait savoir qu’un réexamen minutieux des dossiers suspects allait être mis en œuvre. Autre information : 1800 cas d’effets secondaires du Tamiflu ont été signalés au Japon depuis le début de sa commercialisation en février 2001.


1 Les effets secondaires officiellement recensés sont des nausées, des vomissements, des diarrhées et des douleurs abdominales.
2 L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé informe «que les autorités de santé européennes ont adopté en février 2007 les modifications du résumé des caractéristiques du produit (RCP) et de la notice patient. Ainsi, le RCP et la notice patient font désormais mention de la survenue possible de cas de convulsion, altération de la conscience, comportement anormal, hallucinations ou délire pouvant conduire, dans de rares cas, à des blessures accidentelles et de la nécessité de surveiller étroitement les patients traités, particulièrement les enfants et adolescents et de contacter immédiatement le médecin si le patient présente des signes de comportement inhabituel.» Ces mentions supplémentaires devraient bientôt apparaître dans les documents destinés aux professionnels de santé et aux patients. En France, aucun décès n’a été rapporté à ce jour. Les cas notifiés au système national de pharmacovigilance sont principalement des effets indésirables non graves cutanés ou digestifs, parmi eux : quatre cas concernent des enfants âgés de trois à neuf ans ayant développé des troubles digestifs ou cutanés d’évolution favorable, trois cas de troubles neuropsychiatriques d’évolution favorable rapportant un syndrome extrapyramidal (troubles associant rigidité, tremblements, mouvements anormaux), une somnolence, une anxiété et des hallucinations chez des patients adultes.





Source :
cligno étoile http://titan.medhyg.ch/mh/formation/infos/print.php3?sid=2531


Dernière édition par invitée le Jeu 10 Mar 2011 - 13:31, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: LE TAMIFLU   LE TAMIFLU Icon_minitimeLun 16 Fév 2009 - 23:29

TAMIFLU EFFICACE ?






DES ANTIVIRAUX INEFFICACES ET TOXIQUES



Un rapport de l’Office canadien de coordination de l’évaluation des technologies de la santé (OCCETS), confirmait en 2001 que le Tamiflu et le Relenza ne seraient pas plus efficaces qu’un placebo dans le traitement préventif et curatif de la grippe (rapports technologiques de janvier et novembre 2001).

En novembre 2005, Chagaï Pharmaceutical Co reconnaissait avoir répertorié au Japon depuis 2001 au moins 21 morts chez les plus de 16 ans sous Tamiflu, ainsi que 13 décès d’enfants de moins 16 ans entre mars 2004 et avril 2005.

Alors que, depuis deux ans, la grippe aviaire restait circonscrite en Asie du Sud-est, l’Organisation mondiale de la santé (Oms) multiplie depuis février 2005 les messages d’alerte auprès de la communauté internationale sur le risque d’une pandémie de grippe aviaire. « En contact permanent avec l’Oms » et spéculateur avisé, le laboratoire Roche, qui avait acheté en 1999 la licence de cet antiviral à Gilead, fera un don de 3 millions de traitements individuels à l’Oms le 24 août dernier, c’est-à-dire la veille de la réunion des services vétérinaires des vingt-cinq Etats membres de l’Union européenne.

Bons élèves, les pays riches constituent à prix d’or des réserves d’un médicament antiviral, « l’oseltamivir (Tamiflu) -qui - est, avec le zanamivir (Relenza), le seul antiviral actif sur le virus A/H5N1 »(expérimenté sur quelques dizaines de personnes !) selon la Direction générale de la santé. Les américains ont ainsi passé une commande pour 3 milliard de dollars, la France ou l’Angleterre se contentant chacun de plus de vingt à 40 millions de traitements individuels en prévention d’une éventuelle pandémie. Si le Tamiflu « n’a pas encore fait pleinement la preuve de son efficacité » dans le traitement de la grippe aviaire, et alors que le premier cas de résistance vient d’être signalé, son « efficacité » est totalement remise en cause par un rapport de synthèse d’études réalisé par l’OCCETS, confirmant en tous points l’expertise de l’ADAPAC en 1999.

Parmi 117 sources de référence, les auteurs de l’étude ont retenu six essais cliniques menés durant la période de pointe de la saison grippale entre 1997 et 1999. 1735 personnes dont 469 dites « à risques de subir des complications » ont participé à cette étude en double aveugle, placebo contre Tamiflu.

Cette méta-analyse ne démontre pas de réduction statistiquement significative des taux d’hospitalisation et de mortalité chez les participants traités par l’oseltamivir par rapport aux participants sous placebo. Les auteurs sont arrivées aux mêmes conclusions concernant les complications comme l’otite, la sinusite, la bronchite ou la pneumonie, Seule la reprise de l’activité est légèrement plus rapide avec le Tamiflu, tandis que, à l’inverse, les effets secondaires seraient légèrement plus élevés avec le placebo !

Un seul cas de résistance au Tamiflu avait été signalé sur 175 prélèvements. Un rapport sommaire de la FDA ne laisse cependant aucun doute sur les cas de résistance qui ne seraient pas tous signalés.

Une autre étude, réalisée par l’OCCETS en janvier 2001, concernant le zanamivir en arrive aux mêmes conclusions. « Pour un régime gouvernemental d’assurance-maladie, il en coûterait plus cher pour distribuer du zanamivir à toute la population que les avantages qui en découleraient », selon l’un des auteurs du rapport, Bruce Brady, économiste de la santé. Tandis que le Relenza est contre-indiqué avant l’âge de 16 ans, le Tamiflu l’est avant l’âge d’un an ; des études chez le jeune rat ayant montré qu’à des doses importantes, le Tamiflu se retrouve dans le cerveau avec une mortalité importante...Ce qui pourrait être obervé avant l’âge d’un an, ne le serait-il pas après ? Dans sa feuille de renseignements, Roche signale peu d’utilisateurs, des nausées, vomissements et diarrhée se manifestant habituellement après la première dose et dont l’incidence peut être réduite par l’absorption de Tamiflu avec la nourriture. « Des effets plus graves ont été signalés, mais aucun test n’a révélé que le médicament en était la cause ». Pourtant, 13 décès viennent d’être signalés entre mars 2004 et avril 2005 au Japon chez des jeunes de moins de 16 ans, par mort subite (4 cas), défaillance cardio-vasculaires (4 cas), suicide (1), pneumonie (1), asphyxie (1), perte de connaissance (1) et pancréatite aiguë(1). La coïncidence ne peut être fortuite même si, les analystes boursiers (le titre a perdu 2%) ont « le sentiment chez que les préoccupations qui sont nées de ces déclarations sont exagérées, le lien de cause à effet apparaissant ici bien mince. Les cas d’encéphalite épidémique sont courants au Japon et il se peut que le comportement dangereux des adolescents - qui se sont suicidés - soient dus au virus »,. Pourtant, chez le jeune rat, le Tamiflu entraîne une encéphalite avec une mortalité importante ! Comment nos autorités ont-elles pu se faire abuser par Gilead, Roche et par les experts de l’Oms, en dépensant des milliards d’euro pour un médicament guère plus efficace qu’un placebo mais autrement plus toxique ?


Dr Alain-G. ROSE-ROSETTE et Dr Marc VERCOUTERE Master in Public Health Cri-vie@wanadoo.fr Novembre 2005




Source :
zombie http://www.amessi.org/DES-ANTIVIRAUX-INEFFICACES-ET


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MessageSujet: Re: LE TAMIFLU   LE TAMIFLU Icon_minitimeVen 17 Juil 2009 - 12:15

LES ANTIVIRAUX ACCENTUENT LES PROCESSUS DE COMMUTATION





La commutation est le passage du patrimoine génétique d'un virus tué par antiviraux à des cellules saines qui peuvent évidemment reproduire alors une forme virale mutante plus virulente.


Ce phénomène est reconnu par de plus en plus de médecins et chercheurs.

En vaccinant ET en utilisant par exemple du Tamiflu, vous avez une formule explosive qui fait de votre corps un véritable incubateur.


Le virus atténué du vaccin transmet son patrimoine génétique à des cellules saines, cette commutation est accentuée par les antiviraux de type Tamiflu.


Ainsi les « remèdes » employés sont si mutagènes qu'ils vont produire des souches mutantes non contrôlées et non contrôlables.

On peut ainsi passer d'une grippe A à une grippe B et jusqu'à Z, si on employait ce type de "lutte" contre une grippe virulente.


La grippe A tue aujourd'hui 10 fois moins qu'une grippe classique, mais avec les méthodes actuelles, elle devrait muter en une grippe beaucoup plus dure.

Les méthodes de l'OMS seront donc meurtrières si on laisse faire, car par commutation nous allons être confrontés à des virus de plus en plus tueurs.






"Nous avons les preuves que le Tamiflu et le Relenza sont inefficaces, source de nombreuses résistances et même de mutations. Par ailleurs le vaccin contre la grippe saisonnière n’est guère plus efficace qu’un placebo, tandis que le vaccin contre “la pandémie” fera très vraisemblablement appel à un adjuvant tel l’aluminium. A l’efficacité plus qu’incertaine, ce vaccin, comme tout vaccin, entraînera un oedème cérébral plus ou moins transitoire ainsi qu’une chute plus ou moins importante des lymphocytes T4 et T8."

"Vaccins et anti-viraux peuvent aussi favoriser la sélection de virus plus virulents par le constant phénomène de commutation, tandis que la présence d’aluminium favorisera ultérieurement la survenue de myofasciite à macrophages et une augmentation de la fréquence de la maladie d’Alzheimer, favorisées par l’exposition aux ondes de téléphonie mobile..."



Dr Marc Vercoutère






source:
gyro http://expovaccins.over-blog.com/


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MessageSujet: LE TAMIFLU RENFORCERAIT L' INFECTUOSITE DU VIRUS H1N1   LE TAMIFLU Icon_minitimeLun 7 Déc 2009 - 21:30

LE TAMIFLU RENFORCERAIT L' INFECTUOSITÉ DU VIRUS H1N1
SELON ELSEVIER SCIENCE INC







C’est le plus grand éditeur de littérature scientifique, Elsevier Science, qui est à l’origine d’une étude à propos de l’efficacité du Tamiflu sur le virus H1N1, discrètement publiée à la fin du mois d’octobre par le site ScienceDirect. Bien sûr, aucun média n’a depuis repris cette information qui indique que, loin d’être un médicament efficace pour le traitement de la grippe A actuel, l’antiviral du laboratoire Roche en renforcerait l’infectiosité.





LE TAMIFLU Tamiflu



L’étude d’Elsevier explique que si l’oseltamivir (molécule du Tamiflu) a démontré une probable efficacité contre l’activité grippale dans la pratique clinique, en particulier sur le H5N1, son efficacité n’a jamais été vérifiée face à des sous-types du virus A, et en particulier celui de la pandémie actuelle, le H1N1.


Lors de tests in vitro, les chercheurs d’Elsevier ont démontré que, dans le cadre du H1N1, le Tamiflu provoquait un effet stimulant sur l’activité infectieuse du virus. Résultats qui a été confirmé par deux autres tests clinique, et qui ne devrait pas tarder a être confirmés par d’autres études complémentaires.


Nous avions déjà expliqué, sur le Forum Mecanopolis, que le but du Tamiflu n’était pas de s’attaquer pas directement au virus, mais qu’il était sensé empêcher sa réplication dans les cellules du malade. En clair, que ce médicament n’avait aucun effet au niveau individuel, mais pouvait s’avérer utile sur le plan collectif en réduisant la charge virale chez celui qui le prend, et diminuer ainsi le risque de contamination.


L’étude d’Elsevier démontre exactement le contraire. L’usage du Tamiflu serait contre-productif, à tous les niveaux.




Article rédigé le 05 déc 2009, par Spencer Delane pour Mécanopolis






source:
gyro http://www.mecanopolis.org/?p=11489&type=1


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MessageSujet: Re: LE TAMIFLU   LE TAMIFLU Icon_minitimeLun 8 Mar 2010 - 8:41

C'EST LE TAMIFLU QUI TUE, PAS LA GRIPPE !








CESSEZ DE PRESCRIRE DU TAMIFLU ! VOUS TUEZ LES GENS AINSI !

Et que la population tienne bon ! NE CÉDEZ PAS AUX PRESSIONS SUSPECTES ET ILLÉGALES !
Le pic épidémique est dépassé dans plusieurs régions, cela régresse, c'est pour cela qu' "ILS" font monter la pression...

L'oseltamivir (Tamiflu) renforce l'infectiosoté du virus H1N1
Etude effectuée par Xiaojing Lin, Jianfang Zhou, Yonghui Zhang, Jia Wu, Fengwei Zhang, Zi Li, Ye Zhang, Shengli Bi, Yuelong Shu (yshu@cnic.org.cn ) et Yue Wang (euy-tokyo@umin.ac.jp).
Laboratoire principal de l'Etat en virologie moléculaire et en génie génétique, Institut national pour le contrôle et la prévention des maladies virales, Centre chinois pour le contrôle et la prévention des maladies, Yingxin Street 100, Xuanwu District, Beijing 100052, République populaire de Chine.
Reçu le 3 octobre 2009, disponible en ligne 29 octobre 2009.
Résumé
L'oseltamivir, inhibiteur de la neuraminidase, a été identifié comme ayant une activité anti-grippale significative en pratique clinique.
Toutefois, son efficacité n'a pas été vérifiée dans suffisamment de sous-types de virus de grippe A, et particulièrement pour le virus de la pandémie actuelle, le H1N1. In vitro, en utilisant notre système de particules pseudotypé de la grippe, l'oseltamivir a affiché d'importants effets inhibiteurs sur l'activité virale de la neuramidase et sur la libération de particules pseudotypées.
Inversément, un effet stimulant sur l'infection virale a été observée, particulièrement avec les particules pseudotypées du H1N1 de 2009 à des concentrations d'Osteltamivir supérieures à 0,025 M. Des essais plus approfondis sur deux souches sauvages du virus de H1N1 de 2009, le A/California/07/09 et le A/Sichuan/1/09, ainsi que sur un virus de la grippe saisonnière, le A/Baoan/51/2008, ont confirmé ces constatations.

Les études de Roche sont basées sur une fraude scientifique
L'antiviral Tamiflu se révèle être une grossière supercherie
(Mike Adams – Natural News – 14/12/09 – Trad. Jean-Luc Guilmot 16/12/09)
Pour vendre des produits chimiques qui prétendent traiter la grippe H1N1, l'industrie pharmaceutique n'a que deux options : les vaccins et les anti-viraux.
Le Tamiflu est l'antiviral de loin le plus populaire. C'est en fait un médicament dérivé d'une plante médicinale chinoise traditionnelle, appelée étoile d'anis.
Mais le Tamiflu n'est pas une plante. C'est une concentration potentiellement mortelle de composants chimiques qui ont essentiellement été bio-piratés à partir de la médecine chinoise.
Et quand vous isolez et concentrez des produits chimiques spécifiques de ces plantes, vous perdez la valeur (et la sécurité) de la phytothérapie de spectre complet.
Cela n'a pas empêché Roche, le fabricant du Tamiflu, d'essayer de développer un marché de plusieurs milliards de dollars pour son médicament. Cependant pour conquérir ce marché, Roche a du rassembler les preuves que le Tamiflu était à la fois sûr et efficace.
Roche s'engage dans une fraude scientifique
Roche prétend qu'il existe dix études prouvant que le Tamiflu est sûr et efficace.
Selon la société, le Tamiflu présente toutes sortes d'avantages, y compris une réduction de 61% des hospitalisations des personnes grippées soignées au Tamiflu.
Le problème de ces assertions est qu'elles ne sont pas vraies. Elles ont simplement été inventées de toute pièce par Roche.
Un article dévastateur récemment publié par le British Medical Journal accuse Roche de tromper les gouvernements et les médecins sur les avantages du Tamiflu.
Sur les dix études citées par Roche, il s'avère que seules deux d'entre elles ont été publiées dans des journaux scientifiques.
Et que sont devenues les données originales de ces deux études ? Perdues.

Des nanoparticules ont été découvertes dans le vaccin H1N1
On vous l'avait annoncé, des scientifiques et des journalistes d'investigation tiraient la sonnette d'alarme, c'est désormais avéré !
Ces particules, infiniment plus petites que celles de l'amiante, sont supposées causer une "immuno-réaction forte", mais sont en réalité susceptibles de causer des dommages irréparables à l'organisme.
Avant leur interdiction, les particules d'amiante avaient causé, en raison de leur taille minuscule, des dommages pulmonaires et la mort des personnes exposées.
Les nanoparticules sont encore plus invasives.
Une fois injectées dans le corps, elles ne peuvent plus être enlevées, causant un phénomène irréversible de "superfusion" et une "réaction infectieuse continue" accompagnée d'affections pulmonaires pouvant être mortelles.
"L'étude de l'Hôpital Chaoyang de Pékin a maintenant confirmé d'une manière concluante que les nanoparticules causent des dommages pulmonaires et d'autres toxicités également chez l'Homme.
A ce moment précis, quand on voit que deux des vaccins approuvés pour être distribuée en masse en Allemagne et ailleurs, contiennent des nanoparticules, l'échec des fonctionnaires en charge de la Santé Publique et des épidémies, d'ordonner un gel immédiat de la distribution de tous les vaccins contenant des nanoparticules, peut seulement être considéré comme équivalent à de la négligence criminelle."
Le vaccin constitue donc clairement une injection létale, de nanoparticules, squalène à dose massive, mercure, formol et autres produits hautement toxiques.
Plus le "cadeau bonux" dissimulé dans l'aiguille sertie...
On comprend que les juristes des laboratoires aient imposé, avec la complicité des gouvernements, des contrats opaques assurant leur protection juridique et privant leurs victimes de tout recours.

Rappel :
fleur 4 http://vaccin-h1n1.fr/index.php?p=nanoparticules-dans-les-vaccins-non-testes-contre-la-grippe-porcine
fleur 4 http://www.globalresearch.ca/index.php?aid=15092&context=va
fleur 4 http://www.amessi.org/Des-nanoparticules-contenus-dans





source:
fleur 4 http://www.vivresansogm.org/archivesartemisi/index.html
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