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 INTERVIEW DE JOHN LEAR

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MessageSujet: INTERVIEW DE JOHN LEAR   INTERVIEW DE JOHN LEAR Icon_minitimeSam 5 Juin 2010 - 15:06

INTERVIEW DE JOHN LEAR






INTERVIEW DE JOHN LEAR John_lear_2_lg



Avant de prendre connaissance de cet interview, je vous conseille de lire la mise en garde dans le topic INTRODUCTION.
étoile 1 http://transition888.heavenforum.org/t54-introduction




« Maintenant, vous vous demandez peut-être pourquoi tant de compagnies d'aviation pour lesquelles j'ai travaillé ont fait faillite et pourquoi j'ai été viré si souvent. Et bien, c'est très simple, je ne suis pas le premier de la classe, je suis très paresseux, j'ai une grande gueule et j'envoie ch.er facilement » - John Lear

Oui, c'est l'incorrigible boute en train qui aime s'amuser, son grand sens de l'humour l'a bien servi au fil des années. Notre interview de 2006 reste l'une de nos préférées.

Quand nous l'avons rencontré de nouveau, avec cette fois beaucoup plus de temps qu'auparavant, John avait préparé le terrain. Son bureau était bondé de bouquins, de plans, de cartes et de dossiers de recherche. Il s'y est installé pour nous « raconter tout ce qu'il savait »;.

En s'arrêtant spécialement sur la saga Bob Lazar, comme il l'appelle, on en arrive aux contradictions des théories du 11 septembre et pourquoi, lui, un pilote renommé mondialement, est particulièrement qualifié pour évaluer quelle sorte d'avions ( s'il y en a eu) ont frappé le World Trade Center. ( Réponse: aucun, John explique pourquoi: c'était des hologrammes). Pourquoi la pesanteur de la Lune pourrait être autant que 64% de celle de la Terre, et pourrait contenir une atmosphère très fine.
Comment Ben Rich, l'ancien directeur de Lockeed Skunk Works, était un agent du Mossad, le lieu du «new Area 51», appelé Sandia, au plus profond du désert du Nevada, ce qui s'est réellement passé entre lui et «Above Top Secret», le forum Internet où il s'est fait attaquer, ce qui a causé son départ... et beaucoup plus.

Pas un mot sur 2012 ou «Planet X» - 2 sujets que John écarte - mais nous pensons que vous allez être bien divertis et fascinés par les expériences détaillées rapportées ici ainsi que par les opinions de quelqu'un qui mérite tout le respect dû à son courage, son caractère et son engagement peu commun à révéler ce qu'il croit être la vérité.







Interview



Kerry Cassidy: Bonjour, Je suis Kerry Cassidy et c'est Projet Camelot et nous sommes très heureux de revoir John Lear et de refaire une interview pour... Il va tout nous dire en fait, n'est-ce pas John ?

John: Oui.

Kerry: Nous allons tomber sous votre charme et vous allez nous éblouir avec de nouvelles infos.

John: Je vais vous dire ce que je sais jusqu'à ce jour.

Kerry: Okay.

John: Et je ne dis pas que c'est gravé dans le marbre ( ce qui se passe réellement) mais c'est ce que je crois.

Kerry: Super

John: Mais j'aimerais dire avant tout...J'arrive pas à croire que ça fait 2 ans déjà, on dirait qu'il y a 6 mois. Mais avant toute chose parlons de ce qui s'est passé sur ATS. Que savez-vous de l'histoire ?

Kerry: Ok. Je sais que vous avez été banni et c'est le fin mot de l'histoire et nous ne savons pas pourquoi. Ce que nous savons, ou plutôt ce que nous pensons savoir, est que c'est une vitrine de la CIA et c'est dirigé par la CIA; donc si vous avez été banni, c'est peut-être que vous deveniez trop bruyant.

John: C'est ce que je pense. Quand je m'y suis enregistré, il y a environ 3 ans, je pensais: « tu sais c'est juste un lieu de rencontres pour voir ce que les gens pensent des évènements. Pour qu'ils sachent ce que le public en général perçoit dans les infos, et ils ont un groupe de déboulonneurs qui sont payés pour s'immiscer et quelqu'un parle de quelque chose et ils disent: « Oh non, non pas du tout, voila ce qui s'est vraiment passé. » » .Vous voyez...

Kerry: C'est juste.

John: ...Comme ça, ils influencent l'opinion publique. Alors j'ai commencé à balancer des trucs intéressants là-dedans et ils ont trop rien dit; alors je me suis dit, bien, alors c'est ok.

Kerry: [rit]

John: Donc, il y a 4 mois, j'ai commencé à balancer des vrais secrets là, que je vous relaterai plus tard, ça concerne les sous marins. Puis ça concerne ce que la navette spatiale fabrique, et alors... aussitôt... zap... me voila éliminé. Et les raisons exactes de mon départ sont que Jeff Ritzman et David Biedne sont deux des principaux déboulonneurs de Meier. Bon, l'histoire de Meier est vraie. Aucun doute là-dessus.

Kerry: Ah, oui. Absolument.

John: Il a pris des clichés. Il a eu des tours en vaisseau. On peut dire : « Il y avait des photos de dinosaures » ou « La femme sortait tout droit de Gala », ça m'est égal. C'est de la contamination. Le fait est: C'était vrai. Je n'ai pas vraiment le temps de soutenir l'histoire Meier autrement qu'en mentionnant de temps en temps dans le fil de discussion: « Regardez, je suis occupé avec d'autres sujets. Si j'avais le temps vous savez, je vous dirais exactement comment l'histoire Meier s'est déroulée et pourquoi j'y crois; mais la seule chose que je veux vous dire est: le cas Meier est authentique et John Lear le croit vrai et c'est mon dernier mot la dessus. »

Ah la la ! J'en ai pris plein la tronche sur ATS... des pages et des pages de coups, en particulier par Jeff Ritzman et David Biedne. Alors, un jour, j'ai fait une liste de tout, toutes les insultes qu'ils m'avaient envoyées, il y en avait 16. Et à la fin, je disais, « Vous savez, c'est marrant, mais sur n'importe quel autre fil de discussion, les gens sont rappellés à l'ordre pour avoir insulté une autre personne. Mais apparemment, sur le fil Billy Meier, c'est ok d'insulter John Lear. » Et j'ai mis ces 16 injures.

C'était un dimanche soir. Lundi matin, je me lève, vais pour me loggin, et voila ce Skeptic Overlord... comment s'appelle-t-il.. Bill...


Bill Ryan: Bill Irvine?

John: Bill Irvine

Bill: Mark Allen, c'est l'autre.

John: Il dit: « Tu sais, on t'a banni jusqu'à ce que tu prouves que Ritzman et Biedne ont bien posté ce que tu as dit. Nous avons mis nos meilleurs mods sur le coup et ils ne peuvent trouver une seule citation qui soit exacte; donc nous avons besoin de ton aide. » Et je pense: « Holy cow !... j'ai justement copié tout ça hier ! » J'ai commencé à m'inquiéter car ça ne m'était pas venu à l'idée de retourner voir si les posts étaient toujours là.

Kerry: Wow !

John: Je pensais juste que si Bill Irvine disait, comme ses 2 modérateurs, qu'il n'y avait rien, alors il n'y avait rien. J'ai donc supposé que l'un des mods les avait trouvés , puis ils ont disparu; alors le seul espoir que j'avais de les retrouver était de consulter les archives.

Il était 8 heures du matin et, pendant la journée, Bill Irvine rapplique toutes les deux heures: « John, tu sais, on ne trouve rien, on a besoin de ton aide. » Et avec des semblants de recherches à chaque fois.

J'attends donc que Ron Schmidt sorte de son travail à 18 h pour qu'il puisse me montrer comment aller aux archives. Finalement, juste avant que j'arrive chez Ron le lundi vers 17 heures, j'ai dit: « Vous savez, je vais juste regarder et m'ASSURER qu'il n'y a rien ici. » Et j'ai trouvé toutes les citations, elles étaient toujours là. J'ai pris le temps de tout recopier, laborieusement, et de les coller sur une seule feuille de papier, exactement là où elles étaient, de l'envoyer à Bill Irvine, et il me retourne un mail: « Jeff l'a reconnu, c'est une affaire entendue. »


Kerry: Autrement dit, les modos étaient un peu de connivence...

John: Non, non. ...Aucune connivence.

Kerry: Ils ne savaient pas ?

John: Tout était là. Mais Irvine disait que ses types ne trouvaient rien.

Kerry: C'est bien ce que je dis. Tout d'un coup on retrouve tout, alors ça revient à dire qu'ils travaillent ensemble.

John: Peut-être. De toute façon, Bill a dit: « Si on est tous d'accord pour garder ça entre nous... » J'ai dit: « Non, pas du tout d'accord. je veux que chacun sache EXACTEMENT ce qui est arrivé. Vous dites que le site est «au dessus de top secret» et nous essayons d'obtenir toutes ces informations. Pourquoi ce petit malentendu qui m'a causé des tracasseries une journée entière et vraiment... »

J'ai dit à Bill: « Je poste ici depuis 2 ans, je passe de 8 à 16 heures à répondre à des questions sur ATS, et vous m'accusez de falsifier l'information ? Voyons, qui est l'aliéné ici ? » Comme je ne voulais pas la fermer, ils ...ils ne me laissèrent pas continuer...


Kerry: On dirait qu'ils ont leur tactique...

John: Alors, ils ont eu plein de gens qui demandaient ce qui se passait avec John Lear et finalement, le dimanche suivant, ils m'ont laissé sur le forum juste assez longtemps pour que je puisse ajouter mes 2 cents de plus value et puis j'ai été banni définitivement.
C'était évident qu'ATS a servi de centre de vérification. Ils voulaient l'information donnée au public pour voir s'ils pouvaient l'influencer. Ils n'étaient pas intéressés à ce que les bonnes infos leur arrivent...


Kerry: Juste.

John: ...Dont le public pourrait discuter. Et je vous dis, je racontais des trucs vraiment super, et ça passait tout seul ! Ah, c'était vraiment...

Kerry: Alors venons en ici aujourd'hui à ces infos super.

John: ... c'était vraiment étonnant. Ils me laissaient faire, ça passait, parce que vous savez, je sais ce qui se passe. Puis c'est rapidement arrivé à un arrêt brutal. Depuis, nous avons parlé à plusieurs membres de ATS et ils disent que « Plus personne ne peut poster de bons tuyaux; il faut que ce soit soutenu à 100% ou alors ils sont bannis et leur post est supprimé. »

Le coup de grâce, c'est quand ils ont amené Jim Oberg. Jim Oberg a été le porte parole de la NASA pendant 30 ans. Il sait tout sur tout et on a discuté du «point neutre»; j'en parlerai plus tard (qui prouve sans aucun doute qu'il y a une gravité de 64% sur la Lune.) J'ai contacté Jim Oberg et je vais vous lire exactement ce qu'il a mis sur la table; c'est qu'il était coincé ! Il ne pouvait rien ajouter. Il était foutu et c'est là que ça a commencé à foirer; je vous lirai exactement ce que Jim Oberg a dit.


Kerry: Donc, John, qu'allez-vous faire maintenant que vous êtes banni ? Parce que dans un sens, c'était un endroit pour être connecté avec le public. Allez-vous rejoindre un autre...

John: Je poste sur 4 petits forums et tout le monde peut m'appeler et demander, je donnerai les adresses. C'est pas un gros chantier; il y a 300 personnes sur l'un et 80 sur un autre. Mes histoires n'atteignent pas beaucoup de gens; elles atteignent la poignée de gens intéressés par ce qui se passe. Et ce n'est pas une menace pour le gouvernement, vraiment. Je ne pense pas.

Kerry: [rit] Okay. Bon, il y a beaucoup de gens qui visitent les forums sans s'identifier; c'est donc une bonne nouvelle de savoir que vous êtes toujours présent à poster.

John: Ouais. Ce dont on va parler aujourd'hui sont les sujets actuellement en cours sur ces forums. Il y a «Open Minds», l'autre c'est «American Conspiracy», un autre «Fantastic Forum» et je crois qu'il y en a un autre. Et puis j'ai un site avec Ron Schmidt appelé «thelivingmoon.com»; j'essaye de garder tout ce que l'on trouve, sur ce site.

Kerry: Okay.

Bill : Thelivingmoon.com est un site excellent. Je tiens à le dire. Il n'y a pas beaucoup de sites que nous, à Projet Camelot, nous aimons recommander; celui ci en est un.

John: Ok. je vais...

Bill: Un site très très bien.

John: ...vous raconter l'origine de thelivingmoon.com. Quand j'ai posté les photos originales (énorme mégaoctects) de la Lune sur ATS, je les avais envoyées en DVD à ... son nom...?

Bill: Bill ? Mark ?

John: Non, l'autre, Mark. Il les a postées. La première semaine, les gens disaient: « Eh bien, je ne vois rien, vous savez John, je ne vois pas ce que vous voyez, etc... »; et puis, ce type appelé Zorgon a commencé à voir. Alors, je l'aidais à voir. Je ne lui montrais pas réellement, je ne disais pas: « Et bien, c'est là. » Vous ne pouvez pas faire ça. Vous devez laisser les autres trouver. Et Zorgon s'est vraiment distingué; il trouvait plus de choses que moi et j'ai dit: « il faut qu'on se rencontre. » et je pensais: « Ah, merde, ce type vit dans le New Jersey, il va falloir que j'aille jusque là... » et vous savez quoi ? il habite 3 km plus bas !

Kerry: Ah mon Dieu, c'est super...

John: [rit] Il vient donc ici, et on commence à échanger des infos. Il avait déjà un site sur le Moyen Age, alors on a créé Thelivingmoon point com; et là, les informations ont commencé à arriver, de sources différentes.

Kerry: Oui.

John: Des sources... je n'ai aucune idée comment ils savent ça.

Bill: Oui, oui.

John: Beaucoup d'infos sur les vaisseaux secrets russes, et ça continue d'arriver...

Bill: C'est un site super, vraiment super.

John: 10% des infos sont postées là, seulement 10% parce qu'on n'a pas le temps voyez; on aimerait bien avoir une secrétaire, mais on est tous les deux à sec vous savez, alors on n'a pas... on ne peut pas tout mettre. On met ce qu'il y a de plus intéressant et Ron travaille au Centre de Conférences. C'est lui qui installe les choses et les retire ensuite. Mais il vient...

Kerry: C'est formidable !

John: ...Il vient à la maison et, de temps en temps, environ 1 fois par semaine, nous discutons des sujets que nous posterons, c'est tout.

Bill: Je voudrais vous lire cet email John. Il est de Gary Dix, qui a travaillé avec Simon, Mark et Bill [les 3 amigos: Simon Gray: fondateur, Springer et Skeptic Overlord] au début de ATS et suite à une dispute importante, il est parti. Il est en Nouvelle Zélande et m'a envoyé ce mail assez conséquent.

John: La date ?

Bill: Il y a 2 ans.

John: Ouais.

Bill: Je ne lis que le paragraphe pertinent.
« Au fur et à mesure qu'ils deviennent «anti» sur un sujet, ils commencent à diriger les fils de discussion en se servant de pantins qui ont des faux pseudos car ils ne veulent pas être vus orienter les discussions quand ils sont administrateurs ou modérateurs. C'est le modèle de modos et d'admins à l'avenir, utilisant des fausses identités qui leur permettent de poster leurs idées plus librement. »
On a donc eu ça d'un type à l'intérieur, d'accord ? Maintenant, bien sûr, ils peuvent toujours le nier. Mais quand on a quelqu'un qui utilise le pseudo de «Skeptic Overlord», ça veut tout dire, n'est-ce pas ?


John: Ouep !

Bill: Vous voyez, la vérité est évidente. ATS est un site sceptique. ATS est un site de déboulonneurs, et que font les déboulonneurs ? C'est cette phrase que vous connaissez: « Vous gardez vos amis proches de vous et vos ennemis encore plus proches. »

John: Ouais.

Bill: Donc, vous êtes un ennemi de quiconque veut que la vérité sorte, alors ils vous attirent tout près avec l'intention de contrôler l'opinion publique à votre sujet.

John: C'est juste.

Bill: Ca a presque marché, mais pas complètement.

John: [rigole]

Bill: Parce qu'ils ont fait l'erreur d'appeler John Lear un menteur; et on peut appeler John Lear de toutes sortes de noms, mais John Lear n'est pas un menteur, et tout le monde sait ça si on sait quoique ce soit sur John Lear.

John: Quel sorte de hasard nous avons là, quand je poste ces photos sur ATS et que le seul type qui commence à tout deviner habite à 3km au bout de la rue ? Je veux dire, c'est vraiment... vraiment très opportun.

Kerry: Même bizarre.

John: C'est la synchronicité en action.

Kerry: Absolument.

John: Et chaque jour, je vois un exemple de synchronicité.

Kerry: Alors ça veut dire que vous êtes vraiment branché avec ce qui se passe, et vous obtenez une aide invisible en fait. Je veux dire que la synchronicité, c'est juste être accordé avec l'univers d'une manière importante...

John: Oui.

Kerry: Et tout part dans cette direction, la direction des révélations et de la vérité. Alors là-dessus allons-y, rentrons dans le sujet. Nous savons que vous avez une montagne de sujets à couvrir aujourd'hui, quel est le premier sujet ?

John: On commence avec Planet X et Baratin-Nibiru.

Kerry: Okay.

John: Elle n'y est pas. Ça ne causera pas de problèmes en 2012. C'est une arnaque. Je vois ça d'où que je regarde. C'est juste un complot pour nous garder dans un état d'inquiétude. Le monde ne va pas se désintégrer. Aucune planète ne va venir tout secouer... tout va rester cool.

Kerry: Ok. Vous dites ça en général, pour 2012 ?

John: Oui.

Kerry: Ou bien, dites-vous...

John: Particulièrement pour Planet X... ou Nibiru, ou quel que soit son nom, et 2012. 2012, c'est comme...

Kerry: C'est juste une année...

John: C'est quoi ?

Kerry: C'est simplement une année; d'après vous ?

John: Oui. C'est comme ... quel était le nom... Y2K ? Vous vous souvenez ? On devait tous acheter un groupe électrogène, des réserves et tout, et c'était l'effondrement général assuré. Même chose avec 2012. Ce sera une année comme les autres. On aura, on va continuer comme ça. Il n'y aura aucun...

Kerry: Où prenez-vous vos infos ? Vous arrivez à vos conclusions d'après votre propre réflexion ou bien avez-vous une source interne qui vous parle?

John: Pas de source interne. Je n'ai jamais eu de source de l'intérieur. La plupart de mes informations, je les ai eues par moi-même, c'est plus marrant comme ça. Parce que les gens disent: « Où avez-vous eu... qui vous a dit que la gravité sur la Lune était de 64% et qu'il y avait une atmosphère ? » Eh bien, il y a beaucoup de livres là dessus, mais, en gros, je suis le type qui a dit: « Oui, il y a une gravité sur la Lune et il y a une atmosphère sur la Lune. »

Kerry: Bien. Mais pourquoi devrions-nous croire que vous sachiez cela ? Je veux dire, est-ce que parce que vous étiez pilote ? Parce que vous avez eu un certain entrainement ? D'où vient votre piste ?

John: Pour la gravité sur la Lune, on va parler de la loi en carré inverse de Boulliau-Newton. Et nous allons voir comment vous vous laissez convaincre par la NASA qui parle de la loi gravitationnelle de Newton. Celle-ci assume la masse de la Terre et de la Lune.

Ça n'est pas ce que vous devez utiliser. Vous devez prendre la loi de Boulliau-Newton en carré inverse parce que vous ne devez pas prendre la masse en compte. Tout ce qu'il faut savoir c'est la distance, et où se trouve le point neutre. Si nous connaissons sa situation exacte et la taille des planètes, nous pouvons calculer la gravité. On sait ce qu'est le point neutre parce que:

    ° Wernher von Braun nous l'a dit.
    ° L'équipe d'Apollo XVII nous l'a dit.
    ° Une des autres missions Apollo nous l'a dit.
    ° Et c'est à environ 38,000 ou 39,000 miles; et si vous calculez la loi du carré inverse, il en ressort que la gravité de la Lune est de 64% de celle de la Terre. Aussi simple que ça. Et vous n'avez pas à assumer la masse.


INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear110

Pour en revenir à Planète X et Nibiru, c'est basé sur 65 ans de lavage de cerveau sur ce qui va arriver et quel autre désastre va nous tomber dessus et tutti quanti... C'est juste que, vous savez... je sais qu'il ne se passera rien.


Kerry: Ok. Je vous le demande parce qu'on a plusieurs témoins qui nous donnent des preuves...

John: Je sais cela. Je le sais et c'est pourquoi...

Kerry: ... et aussi des preuves secrètes; ils sont questionnés la dessus. Nous n'avons pas atteint de conclusions. Tout d'abord, il y a le télescope du pôle sud. Il y a aussi l'intérêt que porte le Vatican là dessus et le court métrage jésuite qui est sorti, vous savez, avec Barbato [Cristoforo]; peut-être avez-vous vu le court métrage ? Vous pourriez nous donner des explications. Pourquoi vous pensez que ce court métrage n'est pas exact ou bien faux. Et puis, il y a aussi le réchauffement des planètes. Comment expliquez vous ça ? Par l'activité solaire qui va être au maximum en 2012 ? Tout ça ne veut rien dire ?

John: Vous parlez du réchauffement global ?

Kerry: Il n'est pas unique au globe terrestre. David Wilcock et Richard Hoagland l'ont étudié, planète après planète, et ont montré comment il y a une activité accrue tout le long du système et il y a un vrai réchauffement.

Bill Ryan: L'info se trouve dans le domaine public. Chaque planète du système solaire se réchauffe. Ca semble être lié au cycle solaire 24, et d'autres disent qu'autre chose produit cela.

John: Je n'y ferais même pas attention.

Kerry: [rit]

John: Chacun croit en ce qu'il veut. En 2012, vous pourrez regarder en arrière et dire: « le 2 avril 2008, John Lear a dit que c'était des conneries. » Et si ça n'en est pas, eh bien, j'aurais eu tort, mais je pense que c'est encore une escroquerie.

Kerry: Je suis sûre que vous vous êtes frotté aux services de renseignements. Votre bureau est sur écoute, vous le savez, vous nous l'avez démontré. Il y a une raison à ça. Comment dire... En premier lieu, vous êtes un pilote depuis longtemps, vous êtes incroyablement respecté, vous avez des antécédents militaires, enfin un peu; et j'ai même l'idée que vous pourriez avoir été membre de Majestic 12, tout du moins à une période.

John: [rires]

Kerry: [rires] Okay. Vous avez donc connu tous les initiés. Savez-vous... dites moi pourquoi vous dites que vous n'avez aucune source interne soudainement, je pense à Bob Lazar... et ça parlait de Majestic 12

John: Laissez moi rectifier, laissez moi rectifier. J'avais 3 sources internes. L'une était Jimmy Doolittle. C'est lui qui a confirmé à ma mère l'existence de MJ12. Cette anecdote est importante car, quand j'ai commencé à m' intéresser à tout ça, en 1987, Shandera et Moore ont sorti le soi-disant briefing d'Eisenhower et ça parlait de Majestic 12. Je voulais savoir si c'était vrai. Et la seule personne que je connaissais qui savait de façon certaine, sans aucun doute, était Jimmy Doolittle.

Kerry: Ok. Qui est Jimmy Doolittle ?

John: Le général Jimmy Doolittle, c'est lui derrière vous, qui décolle pour bombarder Tokyo. Il décolle d'un Hornet, le même porte avions qui a récupéré Apollo. Et cette lettre que vous voyez [à coté de la photo], c'est quand j'ai eu mon crash accidentel à Genève en Suisse, en 1961; j'avais failli me tuer. Il a été le seul à prendre le temps de m'écrire une lettre en disant: « John, nous faisons tous des erreurs, j'en ai fait beaucoup, mais il est important que nous en profitions; la seule chose qui compte est que nos erreurs nous servent. » Et il a pris la peine d'écrire cette lettre. Alors, je l'ai encadrée, avec sa photo quand il décolle pour aller bombarder Tokyo.


INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear210

Le général Jimmy Doolittle était un général incroyable, très respecté, impliqué à fond dans MJ12. Il n'en était PAS membre, mais il venait souvent à la maison, à Santa Monica, au 222 14ème rue. Il habitait 3ème rue avec sa femme Joséphine et ils venaient souvent à la maison, tout comme Vanderberg, Twining, tous ces types de Majestic 12 venaient chez nous. Mais, voyez, je ne savais rien à l'époque, et mon père ne disait jamais rien sur les Ovnis, à part qu'il y croyait.

Et je n'ai jamais rien trouvé d'autre jusqu' à ce que je m'intéresse à tout ça en 1985-86 et le nom Doolittle revenait fréquemment, très très souvent. Mais, moi, je le connaissais et j'ai... il y a des photos dédicacées de Jimmy partout sur ces murs, et je l'ai rencontré plusieurs fois dans différents... comme SETP, c'est la société des pilotes d'essai, et aussi pour passer en vitesse, comme ça à d'autres rencontres, mais je ne le connaissais pas si bien que ça.

Par contre, ma mère le connaissait et elle était très proche de lui comme elle l'était de tout un chacun. Sa femme nous a quitté dans les années 80; il était à la retraite à Carmel, Californie, et ça, je le savais. Je savais aussi que ma mère lui parlait de temps en temps. Je savais donc que pour savoir la vérité sur MJ12, il fallait qu'elle lui pose la question elle-même. Ça a pris 6 mois pour mettre les choses au point car elle hésitait à faire ce genre de choses; mais j'ai enfin obtenu qu'elle le fasse.

Elle a appelé et dit: « Jimmy, comment ça va et blablabla..., au fait, John s'intéresse à ça et je voudrais savoir, Majestic 12 a bien existé ? » Et il a dit: « Oui Moya, mais je ne peux rien en dire ». Ça, pour moi, a été le début de tout; parce que si MJ12 est réel, les documents du briefing sont probablement réels, et s'ils sont réels, alors tout le reste l'est aussi.


Kerry: Oui. Parce que pourquoi monter quelque chose comme Majestic12, sous Truman, pour enquêter sur les histoires Ovni à moins qu'il n'y en ait...s'il n'y en a pas, n'est-ce pas ? Il doit y avoir eu un ovni avant que l'on crée un groupe à ce sujet.

John: Bien sûr. Je dois dire que c'était aussi ma première impression.

Kerry: Alors, dites-moi. Vous devez connaitre l'histoire, tout du moins le déroulement. Vous êtes dans le milieu depuis longtemps, vous les avez vu à l'œuvre. Vous avez dû rencontrer des initiés et je dirais même qu'ils ont dû vous recruter. J'ai tort ?

John: Non, je...

Kerry: Vous n'avez jamais eu d'offre?

John: Non. Je n'étais qu'un pilote vous savez. Je ne savais rien jusqu'en 1984 quand je... quelqu'un...

Kerry: Mais vous en savez beaucoup maintenant.

John: Ouais.


INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear310

Kerry: Quand on voit ce bureau... c'est incroyable.

John: Bien. Jusqu'en 1894, mon seul intérêt était le SR671, F619, l'avion furtif...

Kerry: Okay.

John: ... des choses comme ça. En fait, vous pouvez aller sur le net: John Andrews, qui était vice président de Testors et a finalement produit le «Sport Model».

Kerry: D'accord.

John: Et bien, lui et moi on avait des échanges de courrier. Il disait: « Hey, vous devriez jeter un œil à cette affaire de soucoupe volante. » Et je répondais: « Ah, non. Encore des conneries, vous savez j'ai autre chose à faire que de perdre mon temps. » Cette lettre est sur Internet. Comme j'ai déjà dit, mon intérêt n'a débuté qu'en 1985.
Nous avions un... j'avais l'habitude d'organiser les réunions pour nous les pilotes de l'Asie du Sud-Est qui ont travaillé pour la CIA et j'organisais ça ici à Las Vegas. Ça s'appelait " China Post1».

Et on faisait ça tous les 2 ans. Lors de l'une de ces réunions, celle de 1985 je crois, un ami à moi, Greg Wilson, est venu.

Greg Wilson était un «Raven». Les Raven, c'était les types de l'air Force qu'ils sortaient de là pour les immiscer à l'extérieur et leur donner une identité civile, puis ils viendraient au Laos et piloteraient les 01's. Ils étaient les Ravens et faisaient des sorties partout et faisaient tout un tas de choses étonnantes. Quoiqu'il en soit, il est venu à la réunion. Son nom est Greg Wilson et les types lui ont parlé: « Hey, comment ça va, depuis ce temps ? Que fais-tu ? » Et il répond: « Et bien vous savez, de ci de là, toujours à piloter des A-10's. J'ai fait un tour à Bentwaters. » J'ai dit: « Bentwaters ! »


Kerry: [rires étouffés]

John: « c'est soi-disant là, qu'en 1980, une soucoupe volante a atterri. » Et il dit: « Non John, pas soi-disant. Une soucoupe a atterri. Je ne l'ai pas vue car j'étais occupé, mais je connais ceux qui l'ont vue. » Et je dis: « Quoi , tu me dis que ces trucs sont réels ? » Et il a répondu: « Ah oui. »
Voila donc un type avec qui j'ai piloté en Asie du sud-est, perdu de vue depuis des années, je lui pose cette question ridicule sur Bentwaters et il dit : « Ah oui, j'étais dans mes quartiers, je ne l'ai pas vue mais je connais les types qui l'ont vue. » Et bien, c'est ça qui a piqué ma curiosité et c'était en 1985; alors vous savez maintenant.


Kerry: Mais vous en avez plus. Vous avez des initiés qui vous rendent visite, vous en avez pour amis.

John: Je ne dirais pas qu'il est un initié... un initié comme l'est Bob Lazar ...

Kerry: Bien sûr.

John: ...et le seul autre initié, un vrai de vrai, je veux dire le type qui ...ça fait environ... vous étiez là il y a 2 ans, donc ça fait surement 5 ou 6 ans. Je ne me souviens pas de la première rencontre... oh, je sais, oui, il y a très longtemps, presque 20 ans. J'habitais dans l'Idaho. Il était à la retraite. Il a parlé à des amis à moi bien plus qu'à moi-même, mais juste avant sa mort, il est venu à Vegas et m'a plus ou moins dit: « Que veux-tu savoir ? » Et je ne savais même pas quoi demander !

Kerry: Et son nom ?

John: ah...

Kerry: Pouvez-vous nous le dire ?

John: Vous connaissez la donne hein, la manière dont la sécurité fonctionne. C'est que s'ils vous donnent une autorisation et que vous êtes bien intégré comme ça, ils vous disent: « Regarde, John, on t'a donné cette autorisation et bien sûr on s'attend à ce que tu ne parles pas. Mais on sait que de temps en temps, tu risques de mentionner quelque chose lors d'une soirée. Tu peux avoir bu un verre de trop - et tu penses que ce serait intéressant de parler de ça - on veut juste que tu saches, eh bien, on s'en fiche. On ne te fera pas de mal. Mais nous tuerons ta femme, tes enfants, ta mère, ton père, ton perroquet, ton chien...tu vois, tout le monde, mais toi, on ne te touchera pas. » C'est pourquoi personne ne parle.

Les gens disent: « Il est sur son lit de mort, alors pourquoi ne parle-t-il pas ? » La voilà la raison. C'est parce que le message est tellement clair ! Ce n'est pas lui qui souffrira, mais chaque membre de sa famille et ensuite, à commencer par son meilleur ami...

Vers la fin de sa vie, je l'ai vu 3 fois. J'ai conduit jusqu'à l'Idaho pour lui rendre visite 2 fois et une fois ici et quand j'étais en Idaho; il ne m'en a pas trop dit mais il m'a dit une chose intéressante qui n'avait JAMAIS eu aucun sens, jusqu'à ce que j'en découvre l'intérêt CETTE année.

Et l'information que je reçois se développe exponentiellement. Partout où je vais, cela m'amène ailleurs et là... c'est juste que beaucoup plus d'infos m'arrivent.
Quoiqu'il en soit, il m'a dit avoir travaillé sur un projet, une machine pour des chantiers d'exploitation minière pour la Lune; et cette machine était construite quelque part dans le sud. Il ne m'a pas dit où, mais j'imagine bien l'Arkansas ou l'Alabama.

Il m'a dit: « John, cette chose était si énorme, que lorsque je l'ai terminée - j'ai un permis privé - j'ai loué un avion juste pour m'élever et voler autour pour voir de quoi le mammouth avait l'air. » Je lui ai demandé: « Peux-tu me donner une idée ? » Il a répondu: « Des kilomètres. » J'ai fait: « Wow ! Mais comment ils vont l'amener sur la Lune? » Et il a dit: « J'en sais rien. »
[rires]

Et c'est comme ça que ces projets fonctionnent; il n'a pas besoin de savoir comment sa machine a été transportée sur la Lune, son travail était de la construire et vous savez, ils ne lui diront jamais rien de plus. C'est ainsi que la compartimentation fonctionne. C'est une de ces...


Bill: Quelqu'un nous a dit que les projets Lunex et Horizon n'ont jamais été abandonnés et ont repris récemment.

John: Absolument. Et Horizon se trouve sur notre site , n'est-ce pas ?

Bill: Oui.

John: Ouais. La seule chose que nous ayons, on a obtenu 4 des phases du projet Horizon, il en manque une. Je crois que c'est la numéro deux qui nous manque. Je vous montrerai tout ça et je vous montrerai ce que nous cherchons toujours.

Kerry: Dites-moi une chose: avez-vous été menacé ?

John: Jamais. Pas la moindre embrouille.

Kerry: Bien, donc, soit vous n'avez jamais franchi la ligne, vous n'avez jamais révélé quelque chose supposé rester secret, ou alors, vous n'en savez pas assez. C'est correct ?

Bill: Ou vous faites une faveur à quelqu'un.

John: Ou quelqu'un me protège.

Kerry: Okay. Alors la dernière...

John: Vous voyez précisément juste. Soit je raconte des sornettes, soit je n'ai pas la véritable info...

Kerry: Ou...

John: ... ou quelqu'un me protège.

Kerry: Savez-vous qui ?

John: Oh ! Je n'ai pas dit quelle hypothèse était la bonne.

Kerry: Je comprends.

John: Je veux dire que... je pense que beaucoup de tout ça est vrai, mais comment en être sûr ? Je ne suis jamais allé sur la Lune, j'aimerais bien.

Kerry: Euh...

John: Si j'y vais, que quelqu'un peut arranger l'affaire... comme Bob Lazar, il dit qu'il aura sa combinaison sur lui pendant qu'on sera tous les deux dans le sas... et pendant la montée... il dit: « Au moins, moi, j'aurais de l'air et je te regarderai suffoquer. » Mais j'ai dit: « Non, non, je pourrais respirer normalement. » Quand les gens vont sur la Lune, il leur faut 2 semaines de décompression avant qu'ils puissent sortir et passer quelque temps là bas.

Le fait est que vous pouvez y aller et respirer de suite, mais vous avez le mal de l'air, ou plutôt le mal de l'altitude. Juste comme si vous alliez escalader l'Everest, vous pouvez y aller, vous vivrez , mais vous savez que vous vous ferez du mal. C'est pourquoi ils passent par différents refuges quand ils montent, pour s'accoutumer. C'est la même chose pour la Lune, ça prend environ deux semaines.


Kerry: Ok. Alors dites-nous comment la Lune est arrivée où elle est; parce que vous savez que la Lune est un satellite, un faux en fait...

John: Exact. C'était. C'est un vaisseau qui a été placé en orbite, je dirais... il y a de 30 à 40,000 ans. La raison pour laquelle je dis cela, c'est parce que là, on est toujours dans l'histoire de l'humanité.
[Immanuel]Velikovski parle des différentes «prosélynes» [?] et les différentes civilisations qui parlent du temps où il n'y avait pas de Lune et puis, du temps où il y avait 2 Lunes, et maintenant nous avons 1 Lune. Ce type, Norm Bergrun, a écrit: «The Ring Makers of Saturn». C'est un livre excellent. Norm Bergrun est hautement qualifié; pendant 40 ans, il a été scientifique chez NACA et chez Lockeed. Retraité de Lockeed depuis 15 ans je crois, pas plus que ça...


Kerry: Qu'est-ce que Naca?

John: Ah: National Aeronautics, le précurseur de la NASA.

Kerry: Ah, vraiment ?

John: " National Advisory Commission for Aeronautics "

Kerry: Je vois . Ok.

John: Juste avant la Nasa.

Kerry: Ok.

John: Mais, quand il a pris sa retraite, il s'est procuré quelques photos, quelques négatifs vraiment bons de Voyager qui est passé proche de Saturne. Et il s'est installé un petit labo dans sa maison et a commencé à étudier ces négatifs et il a fini par écrire «The Ring Makers of Saturn» où il vous montre ce qu'il a trouvé dans les anneaux de Saturne: 3 véhicules - vaisseaux spatiaux - le plus grand fait 31,196 miles [50.205 km] de long et 2,422 miles [3.897 km] de diamètre.
On a affaire à des vaisseaux plutôt immenses, là. Au début de son livre, Norm Bergrun dit: - c'est bien - il dit: « Ok, écoutez, je vais parler de choses très intéressantes, mais vous ne devez sauter aucune page, vous ne pouvez sauter un seul mot inconnu de vous-même, ce doit être du début à la fin, au risque de ne pas comprendre ce que j'écris. » Et j'ai fait ce qu'il avait écrit. Depuis...


Kerry: Ok. Ca a été écrit quand ?

John: En... 1986.

Kerry: Ah, ce n'est pas si vieux. Et ça parle de vaisseaux gigantesques, construits par qui ?

John: Qui l'a construit ?

Kerry: Oui.

John: On ne le sait pas. De toute façon...

Kerry: Nous ?

John: Non, non. Nous ne pourrions pas construire ça, nous avons des trucs incroyables, mais nous ne pourrions pas faire ça.

Kerry: Okay.

John: Non. C'est quelqu'un d'autre. Mais ce qu'il y a d'intéressant dans le livre, et c'est pourquoi j'en parle, c'est qu'à la fin de ce livre, il commence à parler de la Lune et comment la Lune a été remorquée et placée en orbite. Parce que les gens qui ont remorqué ça, qui manipulent ça, et Saturne, et aussi Iapétus, ont remorqué et placé la Lune en orbite. Et là, il explique exactement pourquoi il pense que la Lune fut remorquée en orbite et comment elle était et comment ils se sont saisi de Mare Orientale.

Kerry: Qui a remorqué la Lune pour la placer...

John: On ne le sait pas.

Kerry: ... en orbite. Il n'émet pas d'hypothèses sur qui...

John: Non.

Kerry: ... sur quelle race par exemple ?

John: Non.

Kerry: Bien sûr, c'est une race extraterrestre. Henry Deacon, notre source initiée a aussi mentionné cela. La Lune a été remorquée et placée en orbite... mais avez-vous une idée de la race aliène responsable de cela ?

John: Non, absolument pas.

Kerry: Aucune idée ?

John: Il y a autre chose d'intéressant, là. Je vois Norm chaque année à l'occasion de l'UFO Expo West qui est la seule à laquelle j'assiste. Il habite dans les collines de Los Altos et il écrit un livre sur Iapetus, et Iapetus est probablement un vaisseau aussi.

Kerry: Okay. Nous devrions le rencontrer.

John: Oui, vraiment. Dépêchez-vous car il approche de la sortie. Je l'ai vu en septembre dernier, il n'allait pas très bien; il finissait son livre sur Iapetus, mais il n'y travaillait pas chaque jour...

Kerry: Ok. c'était un scientifique ?

John: Oui.

Kerry: Mais pour qui travaillait-il ? Je veux dire ...est-il du gouvernement ...

John: Attendez une seconde là. [fouille dans ses papiers]

Kerry: Il est dans Naca, je comprends ça, mais il donne des informations secrètes, non ?

John: Non, comme quoi ?

Kerry: Et bien, je vous le demande. ce n'est pas ... ça ne devrait pas être secret ?

John: Non, non.
    ° Ingénieur thermodynamique, Douglass Aircraft 1934-44
    ° Scientifique, chercheur aéronautique, Naca/Ames Laboratory 1944-1956
    ° Locheed Missile and Space Company, Van Uys, Superviseur des Tests d'Essais 1956-68
    ° Manager Analyse des Essais, 1958-1962
    ° Manager Plans et Directions des Essais 1962-63
    ° Manager Opérations des Essais de Rentrée 1966...

Kerry: Ok. Bon.

John: Il y a tout ça, pour dire à quel point il est qualifié...

Kerry: C'est vrai. Mais pourquoi ils le laissent parler ?

John: Pourquoi?

Kerry: Bien pourquoi ils le laissent parler comme ça, je veux dire ...

John: Que dit-il ? Qu'il y a un vaisseau qui fait .. qui fait 50 km de long dans les anneaux de Saturne ?

Kerry: Oui, le déni est tellement plus plausible là...

John: Sûr de chez sûr, qui va croire ça ?

Kerry: Ok, ok. alors ...

John: De toute façon, il y a 2 ans, à l'Ufo Expo West, j'ai fait une conférence intéressante sur Apollo1 et sur les 4 personnes qui étaient à l'intérieur; il y avait Grissom, Chaffey et White. Et aussi le 4ème type. Il appartenait au corps secret d'astronautes.

Il fallait garder cela secret, parce que si le public avait su qu'il y avait un 4ème homme... et bien, ils ne voulaient pas que le public le sache. C'était impossible pour la Nasa de révéler qu'il y avait un autre type à bord car cela révèlerait l'existence du programme spatial secret. Ce programme spatial secret a débuté en 1959; ils sont ceux qui sont allés sur la Lune en 1962. Ils sont allés sur Mars en 1966. Tout, tout ce que l'on apprend, sert de couverture pour ce programme spatial caché.


Kerry: Oh, oui.

John: Quoiqu'il en soit, quand je fais une conférence, si j'ai 2 heures, je parle 1 heure et laisse le public me parler pendant 1 heure parce que je sais que je vais en apprendre plus d'eux qu'ils n'en apprennent de moi. Et un membre de la famille de Chaffey s'est levé pour dire: « John, vous avez raison, nous l'avons toujours su, il y avait un 4ème homme, mais nous ne savions pas qui c'était. » Et bien, je connais ce nom, mais je le garde pour moi, parce que...

Kerry: Oui. Bien sûr.

John: ... si quelqu'un m'approche et dit: « Je sais qui c'est. » Je sais qui c'est, ce qu'il y a aussi d'intéressant, c'est que son fils est actuellement un astronaute de la navette.

Kerry: Ah, vraiment?

John: Oui. Donc il y a 2 ans je vais voir Norm, et en discutant le coup avec lui, je dis: « Au fait, le véhicule électromagnétique qui a remorqué la Lune en orbite , il est où maintenant ? » Et il répond: « Je crois bien qu'il est sur la face cachée. »

Alors, quand je me suis associé à Ron Schmidt [Zorgon], nous nous sommes procurés des photos de la face cachée de la Lune et nous avons trouvé ce véhicule. Il se trouve dans le cratère Tsiolkovski; et, l'étonnant , c'est comment nous y sommes parvenus et comment la NASA a tout recouvert. Il y a 6 photos différentes de Tsiolkovski et ils ont essayé de planquer ce véhicule en peinturlurant une île par dessus.

Et, oh, comme on les a eus! On a obtenu 2 photos vraiment bonnes. La première a été découverte par une femme qui travaille pour nous en Floride et elle l'a trouvé sur un format vignette de Tsiolkovski. Voici ce qui a dû se passer: quand la Nasa a présenté cette photo là, ils ont repeint la grande, vous voyez, et quand ils ont visionné la vignette, l'employé a dû dire: « Hey, je ne vais pas perdre mon temps à agrandir ça, à retirer le véhicule etc.., personne ne remarquera de toute façon. »

Mais, on a remarqué, et c'est formidable; c'est là que nous avons eu la photo du véhicule électromagnétique sur la face cachée. Puis, Apollo15 est passé au dessus, ils l'ont filmé; c'est un plan très rapide mais réellement intéressant.


Kerry: L'astronaute secret qui a été tué, son fils est astronaute du shuttle ?

John: Oui.

Kerry: Okay. Cela montre comment ils amènent quelqu'un de la partie qui pourrait avoir quelque chose à dire au public à une date postérieure.

John: C'est juste.

Kerry: Mais s'il est astronaute de la navette, il ne parlera pas ?

John: Oui

Kerry: Oui. Il est dans la combine.

John: Oui. C'est la même chose avec le fils de Grissom.

Kerry: Vraiment ?

John: Il fait partie du programme.

Kerry: Il y a là un point de vue intéressant pour une enquête. Que sait-on de tous les fils et filles des astronautes ? Est-ce qu'ils travaillent tous pour la Nasa ?

John: Oui, ce serait intéressant. Quant à Gus Grissom, quand le feu a pris, voyez, tous les compte rendus que vous lirez disent que 3 mots ont été prononcés. Chaffey a dit: « feu ! », quelqu'un a dit: « Ca commence à chauffer ici »; mais, dans chaque histoire, Grissom ne dit rien.

Cependant, comme vous le savez, Grissom était l'astronaute le plus critique et le plus véhément de ce programme. Il s'était exprimé auparavant, lors d'une réunion où il avait dit: « il y a 60 choses importantes avec ça, comment peut-on voler dans un truc pareil ? » C'était lui qui avait pointé du doigt Apollo.

Et la NASA l'a détesté. Des types que je considère comme des initiés m'ont dit... que la Nasa n'a pas vraiment tué ces hommes, mais qu'ils ont laissé faire. Ils savaient que ça arriverait et ils ont laissé faire.


Kerry: Mais pourquoi?

John: Un certain nombre de raisons.
    1- Ils avaient besoin de temps, il fallait relancer le programme en temps et en heure et le seul moyen d'y arriver était d'avoir un accident horrible.
    2- Ils voulaient aussi se débarrasser de Grissom. Le New York Times a lancé l'histoire - j'ai oublié qui - mais le journaliste avait parlé à la Nasa le lendemain; ils ont dit que la bande était absolument horrible pendant les dernières minutes. Et bien sûr, nous avons tous entendu que Grissom n'avait rien dit. Nous savons tous ce qu'il a dit. Il disait: « VOUS BANDE DE SALAUDS, VOUS... »

Kerry: Oh mon Dieu.

John: « ... VOUS NOUS AVEZ TOUS TUES. JE SAVAIS QUE CA ARRIVERAIT. J'ESPERE QUE TOUS, VOUS NOUS REGARDEZ MOURIR. » Je suis sûr que c'est ce qui est arrivé; et j'ai une autre citation, je ne me souviens pas des termes, mais à quel point cet enregistrement était affreux. [ndt: cet accident a eu lieu le 27 janvier 1967]

Kerry: Wow.

Bill: Nous aimerions savoir si Clark MClelland a quelque chose à dire là-dessus, lui aussi.

John: Oui.

Bill: Nous sommes en communications avec lui mais ne l'avons pas encore rencontré.

John: Clark est un type génial. Je le connais depuis 1990. On se parle au téléphone, je ne l'ai jamais rencontré. J'essaie toujours d'obtenir ses notes. Son livre est prêt. Il en a 3, il ne veut pas en publier un seul, il les veut ensemble. Je le comprends. Il sait beaucoup de choses, beaucoup plus que moi.

Kerry: Pensez-vous qu'il sera publié ? Les livres sortiront ?

John: Aucune chance. Pas de danger !

Kerry: [rit]

John: J'aimerais les avoir vous savez. Clark l'a vraiment mauvaise; je ne sais pas ce qui s'est passé, mais je sais qu'il est la personne qui sait, l'initié de la Nasa. Personne au monde ne pourrait en dire plus que lui. Je veux dire, il est là depuis le début.

Kerry: Okay.

Bill: Ils lui ont tout fait sauf l'éliminer, n'est-ce pas? Il est complètement fauché.

John: Oui. Et je ne sais pas pourquoi ils ne l'ont pas supprimé.

Kerry: Absolument, oui.

John: J'ajoute encore une chose sur Norm, parce qu'on y reviendra plus tard. J'ai dit à Norm la dernière fois, c'est l'an dernier, et là je n'ai que du bon comme info, ( mais Norm n'allait pas très bien, il avait subi plusieurs interventions, d'ailleurs je m'attends à ce qu'il parte bientôt, il a 87 ans.) et je lui ai dit: « Norm, je pense que les avions qui ont percuté le World Trade Center étaient des hologrammes » et il a dit: « John, tu as sûrement raison et voilà pourquoi. »

Il dit: « Juste avant que je sois retraité, je devais aller à Sunnyvale par l'autoroute et, ce jour là, j'avais un ami avec moi, assis à ma droite. Il était 8 h du matin, peut-être 8.15 h.
Nous avançions, en direction du sud, et nous apercevons cette ombre, alors nous regardons en l'air, et là... ce n'est pas un 747, mais c'est un avion gigantesque, 4 moteurs, et il est à moins de 60 mètres au dessus de nous. On regarde ça, cette chose, et nous sommes à 30 km de San José et à 45 km de San Franscisco. Il est absolument impossible qu'un avion puisse, tu sais, voler à cet endroit et à cette hauteur normalement. »

Et il ajoute: « On l'a regardé pendant 10 secondes, et.. hop... [claque des doigts] disparu. Comme quand on éteint la lumière. Alors si c'était un hologramme, un holo de maintenant, alors là, tu as raison. »


Kerry Cassidy: Oh, ça m'intéresse beaucoup.

John: La technologie holographique est tellement avancée que personne ne le croirait.
Mais l'autre jour, j'avais une femme qui aidait Marilee pour un programme TV, d'ailleurs elle a embauché Marilee. Elle vient de New-York, diplômée 2 fois de Harvard. Elle était merveilleuse, intelligente, réceptive et nous parlions des hologrammes lorsqu'elle a dit: « Attendez, je vais vous raconter quelque chose. Il y a 5 ans, une quinzaine de dirigeants de chaines de télévision, dont moi-même, ont été invités à une séance privée à Hollywood. »

« La salle est petite et très éclairée, environ 30 places et la présentation s'intitule: «Le Futur de La Télévision». Spielberg n'est pas là, mais tous les autres sont présents. Il y a une estrade avec un podium. Nous attendons, assis. Ce type arrive, de l'arrière.


INTERVIEW DE JOHN LEAR Hologram-16

Il a un accent de l'Europe de l'Est, de l'Allemagne de l'Est, cheveux blancs, lunettes, et il commence à nous dire l'histoire de la télévision et comment on est arrivé au premier tube cathodique et comment ceci et comment cela, et comment ils... tout en s'avançant au bord de la scène, il marche jusqu'à l'autre extrémité, il nettoie ses lunettes, quitte la scène et vient marcher devant l'auditoire, remonte sur scène, etc.. rien de bien fascinant. Au bout de 20 minutes, il termine en disant: et c'est l'histoire de la télévision. Il remet ses lunettes et... [claque ses doigts] comme une ampoule qui s'éteint, il disparait. »


Kerry: Il disparait? Il était un hologramme?

John: Oui, et alors...

Kerry: Oh, wow !

John: Vous savez, ça fait 7 ans, c'est donc ce que sera la télévision, vous n'aurez pas d'écran.

Kerry: Oui.

John: Vous allumerez et ça se passera là.

Kerry: Ce sera juste là devant nous. C'est bien, et puis c'est probable parce que le livre jaune...

John: Je raconte cette histoire parce que...

Kerry: Ils avaient le livre jaune n'est-ce pas? Depuis... le crash en 1947? Et c'est confirmé par Dan Burish de nombreuses fois. C'est un hologramme, c'est la technologie qu'ils ont rétroconçue n'est-ce pas?

John: Je vous dis ça parce que sur ATS, quand j'y suis arrivé, une des premières choses dont j'ai parlé a été qu'il n'y avait pas eu d'avions le 11 septembre. Il n'y avait pas eu d'avions à Shanksville...

Kerry: Ça, c'est de la dynamite.

John: Il n'y avait pas d'avion au Pentagone, pas d'avion au World Trade Center, et, je répète, quand j'ai commencé à parler des hologrammes, ah les désaccords, je veux dire ... la bousculade...

Kerry: [rires]

John: ... de types prêts à m'étriper, c'était même étonnant. Il y avait comme 20 mecs: « t'es cinglé, c'est absolument... tu fais du tort au mouvement 911, au truth mouvement, etc... »
Vous dites ça et personne ne vous croira, mais le fait est que c'était un hologramme et c'était des images de synthèse.


Kerry: D'accord. Alors traitons ce sujet maintenant. Montrez-nous ce que vous pensez être la vérité. Et comment vous... je veux dire vous êtes pilote, vous avez sûrement votre avis à donner si oui ou non les avions peuvent percuter les tours, parce que notre Henry Deacon nous a dit des choses très intéressantes sur les avions. En fait, il pense qu'ils étaient télécommandés. Je ne sais pas si c'est vrai, mais, en gros, les avions ne peuvent pas s'orienter ainsi dans les tours à ce niveau. Comme je ne suis pas pilote, je ne comprends pas la logistique, mais comment en êtes-vous arrivé là?

John: Okay. Nous allons commencer par... les vols 11 et 77 déjà, n'existent pas. Le bureau des statistiques des transports n'a aucune trace de leur décollage, il n'y en a pas; alors oublions-les car ils n'existent pas.

Donc, nous parlons de [vol]175 et [vol]93. 93 s'est soi-disant écrasé à Shanksville. Quiconque possède quelque expérience dans les enquêtes sur les accidents, ou toute autre sorte d'enquête, ne peut pas croire qu'un avion se soit écrasé là. Il n'y avait aucune épave. Ça n'a pas pu se produire.


Kerry: Okay.

John: Quant au vol 175 percutant la tour sud, j'ai justement appelé récemment le Simulateur de Vol Pan Américan à Miami pour voir si je pouvais louer un 767-200; je sais qu'ils l'ont. Et ce que je voulais faire était de prendre 6 candidats, 6 candidats pilotes.

    ° un qualifié et au courant dans un 767-200
    ° un peut-être qualifié et pas forcément à l'aise.
    ° un peut-être à l'aise dans un jet très rapide, mais pas dans un 767.
    ° puis, les 3 autres, au même niveau que les soi-disant pirates de l'air, comme par exemple quelques heures dans un Apache, avec un permis privé, peut-être un commercial, quelque chose comme ça.


Et voici ce que je ferai dans le simulateur. Vous pouvez vous élever pour avoir New-York juste comme dans la réalité. Je veux dire, les immeubles sont là. Je les emmènerai, les maintiendrai en position 30 km plus loin à 7000 pieds d'altitude, à 850 km/hr, les mettrai dans le siège, leur donnerai 2 minutes pour regarder les horizons, leur montrerai où se trouve le WTC et dirai: « Je vais vous libérer et dès que je le ferais, vous aurez 1 minute et 50 secondes pour toucher la cible. Le WTC fait 67 mètres de large, il faut cibler le centre. Ni à gauche ni à droite, hein, au centre. » En expliquant comment faire, j'aurai une caméra braquée sur le pilote et une caméra calée sur ce qu'il regarde.


Kerry: Parfait.

John: Puis dire: [claque des doigts] « Allez-y » en ajoutant: «Maintenant, à vous de me montrer à quel point c'est facile »; parce que tous ces types sur ATS vous savez, « Oh, je l'ai fait dans un simulateur de vol, aucun problème. » C'est impossible, au summum de ma carrière, aussi compétent que je l'étais dans toutes sortes d'avions, il n'y a aucune possibilité que je puisse faire ça. Je veux dire, c'est beaucoup trop complexe.

D'abord, l'avion ne peut pas voler au dessus de 560 miles/hr [900km]. Il ne peut dépasser les 360 m/h, ce qui correspond à son «opération maximum de vitesse»[ VMO=Velocity max operating]. Il pourrait peut-être voler 30 ou 40 miles de plus à l'heure, mais quand il atteint la vmo, le clacker se met en route. Le clacker est un dispositif de sécurité exigé par la FAA [Federal aviation Administration] qui émet un claquement fort: clack clack clack, clack clack clack. Et ça claque à une cadence et un rythme qui irrite le pilote pour qu'il ne puisse pas l'ignorer. Il doit donc ralentir. Ce n'est pas possible qu'un pirate de l'air, la première fois dans la cabine de pilotage, vole non seulement au delà de 390-400 m/hr, mais en plus...


Kerry: [rires]

John: ... le fasse avec ce clacker...

Kerry: Bien sûr.

John: ... et qu'ils descendent et percutent la cible au centre. Non. Impossible.

Bill Ryan: J'ai une question là; si je peux.

John: Oui.

Bill: Nous avons un témoin crédible qui dit que les avions n'étaient pas pilotés mais télécommandés, comme les véhicules non pilotés à des milliers de kms d'ici.

Kerry: C'est ce que je viens de dire.

Bill: Oui, mais je demande à John de commenter là dessus, ça répond aussi à la question soulevée par le fait qu'aucun pilote n'aurait pu toucher cette cible.

John: Aucun avion ne s'est écrasé dans le World Trade Center. Premièrement, commander à distance un avion de cette taille, ou de n'importe quelle taille, est très difficile. Sûrement pas un avion de la taille d'un 767-200, particulièrement pour atteindre le centre du WTC. Mais le fait est: il n'y avait aucune épave d'aucun avion dans le World Trade Center.

Et quand je dis «aucune épave», je veux dire que rien n'a été retrouvé d'aucune taille, nulle part dans les alentours. Il y a eu un morceau de fuselage que vous voyez avec 5 stores de hublot; seulement, quand chaque avion, American Airlines dans la tour nord et United Airlines dans la tour sud, a percuté, il s'est écoulé 2 cinquièmes de seconde pour qu'ils disparaissent dans les tours. Alors en 2/5ème de seconde, vous n'allez pas avoir un morceau d'environ 2m10 de long qui part à la dérive et se trouve là par terre dans un état presque parfait, à moins qu'il ne soit accompagné du passeport de Mohammed Atta.


Kerry: [rires]

John: Le seul autre débris trouvé, c'est le moteur dans Murray street. Et le moteur de Murray street a été identifié comme étant, soit un CFM-56 (CFM= Snecma), soit le CF6, qui était un moteur de 767 développé à partir du CFM-56. Mais que ce soit le CF6 ou le CFM-56, c'est forcément General Electric et, malheureusement ou heureusement, United Airlines n'utilise que Pratt et Whitney; donc ce moteur que vous voyez s'envoler et ce moteur qu'ils disent être du vol 175, n'est pas de 175. C'est que les gars dont le boulot était de le balancer là, pour qu'un morceau fumant comme des braises se détache du moteur, se sont trompé de moteur. Il y a eu beaucoup de choses suspectes. L'effondrement de l'immeuble 7 est complètement ridicule.

Kerry: Ah oui.

John: Et la raison pour laquelle ils ont dû faire ça est, je crois, à cause du projecteur holographique, qui a projeté le vol 175 et le vol 11. Ce projecteur a dû se déglinguer parce que le vol 93 devait s'écraser sur l'immeuble 7, et , voyant qu'ils ne pouvaient pas le faire, il a fallu qu'ils prennent une décision rapide. Ils pouvaient bidonner le crash du 93 à Shanksville, et j'imagine les types, toute la journée « qu'est-ce qu'on va faire ? »

Absolument personne ne va croire que cet immeuble s'effondre comme ça, vous savez, à cause d'un petit feu; et, à 5 heures du soir, ils ont dû dire, allons-y, on le fait, peut-être que personne ne s'apercevra de rien. Alors ils ont fait s'effondrer cet immeuble de 47 étages sur ses propres fondations et s'attendent à ce que tout le monde les croient.


Kerry: Okay. Ils l'on fait s'effondrer sur ses propres fondations...mais qu'ont-ils utilisé? je veux dire, ils ont des armes scalaires non? Ils ne pouvaient pas simplement faire avec?

John: Oui, nous avons ces armes. Cet immeuble s'est effondré parce qu'il était préparé pour une démolition contrôlée comme le World Trade Center.

Kerry: D'accord.

John: Pour le WTC, ils avaient prévu que la première phase de la démolition contrôlée servirait à montrer la découpe supposée faite par un avion qui aurait pénétré la façade, ce qui est absolument dément et ridicule, mais tellement de gens y ont cru... et la deuxième chose est que la démolition a dû être contrôlée précisément pour couper chaque poutrelle métallique en barres de 9 mètres, afin qu'elles rentrent dans les camions de Rudy Giuliani's pour quitter la ville.

L'effondrement du World Trade Center a été provoqué par une arme à énergie directe, dirigée de l'une des plateformes spatiales d'armement. Et nous savons cela à cause de la taille de la poussière laissée par le béton. Les particules de poussière étaient environ de 80 microns, et c'est ce que produit une arme à énergie directe lorsqu'elle pulvérise sa cible. C'est son fonctionnement; ça s'appelle " dissociation moléculaire". Je veux dire que ça dissocie la structure moléculaire du béton et c'est pourquoi toute cette poussière était là. Il ne restait tout simplement rien d'autre.


Kerry: Vraiment bien...





à suivre PAGE 2


Dernière édition par invitée le Sam 7 Jan 2012 - 14:41, édité 23 fois
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MessageSujet: Re: INTERVIEW DE JOHN LEAR   INTERVIEW DE JOHN LEAR Icon_minitimeSam 5 Juin 2010 - 15:11

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John: Et c'est aussi pourquoi les sous-sols étaient en fusion pendant 6 semaines; parce que quand tout ça arrive enfin au sol, ça le réchauffe énormément. Vous pouvez toujours verser des trombes d'eau, ça ne refroidira pas avant longtemps. Je pense donc que tout ça était contrôlé par l'avion E-4B, le 747 que l'on a vu voler au dessus de la Maison Blanche.

Je pense qu'il y a celui qui a fait la projection holographique et qu'ils ont aussi transmis des images de synthèse aux différentes chaines télé pour montrer les avions qui s'écrasaient (soi-disant). C'est pour ça qu'on a eu le nez d'un avion ressorti accidentellement de l'autre coté de la tour pour l'une d'entre elles. Puis il y a eu ceux qui ont envoyé les soi-disant messages des portables, qui n'ont jamais eu lieu. Ils ont fait des tas de trucs. Ils ont probablement fait des sortes de transpondeurs pour les différentes tour de contrôle vers des téléphones.


Kerry: Donc, vous dites que l'hologramme venait d'un avion dans les airs?

John: Oui.

Kerry: Vraiment ?

John: Ca a été fait par un projecteur. Un projecteur holographique.

Kerry: D'accord. Alors cette technologie existe bien, est-ce que vous avez... Je comprends que vous avez parlé à votre ami, celui qui a écrit le livre...

John: Norm Bergrun.

Kerry: Norm. Mais avez-vous entendu parler de cette technologie ailleurs?

John: Ron Blackburn... Vous savez qui il est?

Kerry: Non.

John: [à Bill] Savez-vous qui il est?

Bill: Non, je ne sais pas.

John: Ron Blackburn était chez Lockeed pendant 30 ans. Il faisait partie du programme furtif. Le projet du programme furtif à Groom Lake pendant 20 ans. C'est de lui que j'ai appris qu'il y avait des aliens sur le site des essais de l'avion furtif. Quand je l'ai rencontré il y a 10-15 ans, il disait ne rien savoir; maintenant il est un peu plus cool avec ce qu'il avance. Il a dit qu'à groom Lake, il y avait un immeuble administratif destiné uniquement aux aliens qui sont là bas. Ron était là pour mon anniversaire.

Kerry: Il faut donc que l'on rencontre ce type aussi.

John: Il est à la retraite maintenant; il fait donc très attention à ce qu'il dit.

Kerry: Okay.

John: Il touche toujours une pension de retraité. Mais il est venu pour mon anniversaire et il nous a raconté sur les projections holographiques. Il a dit qu'elles contiennent également des sons, des lumières, de la chaleur,... tout; je veux dire tout y est. Le problème, avec les projections holographiques, c'est que les gens disent: « Et bien, je l'ai vu... mais c'est impossible. » Ils pensent aux projections holos comme ce que vous voyez à Las Vegas, ou à une fête...

Kerry: Bien sûr.

John: Où il y a une petite lumière qui danse..

Kerry: Où l'on peut voir à travers.

John: Oui et ils disent...

Kerry: Comme ça, vous savez que c'est là..

John: « Et bien, je l'ai vu mais c'est impossible. » C'est vraiment ridicule. Et ensuite ils disent: « Mais comment ont-ils fait les bruits? Il aurait fallu qu'ils aient des hauts parleurs partout tout le long des rues. »
C'est vraiment trop moche, vous savez; les gens n'ont vraiment aucune idée de l'avance que nous avons réellement avec notre technologie. On s'est foutu d'eux. Une tromperie gigantesque. C'était un coup monté.


Kerry: Okay. Les responsables?

John: Dans l'ensemble je les appelle les «Nasty NASA Nazis», au sein du complexe militaro-industriel. Hoagland dit exactement qui ils sont et comment ils ont pris le pouvoir. Voir ici posts #28 et 29 et voilà les responsables.
Le 31 mars 2007, l'an dernier, ce type, Morgan Reynolds, le connaissez-vous?


Kerry: Oui.

John: Okay... il a intenté un procès nommé «Qui Tam Complaint» contre 22 sociétés. Et là, on parle de mastodontes. Sciences Appliquées, Corporations internationales, Recherches appliquées, Hughes, toutes ces sociétés sont poursuivies et le motif des procès qui leur sont faits est d'accepter de l'argent pour donner des informations erronnées à une agence gouvernementale.
Cette agence du gouvernement est le NIST, National Institute of Standards in Technology. Le président Bush a demandé au NIST de déterminer exactement pourquoi le WTC s'est effondré. Ce qui a réellement causé l'effondrement. La raison présentée était tellement ridicule - le carburant des réservoirs - que Morgan intente un procès , dossier de 40 pages dans lequel il énonce toutes les erreurs. Le procès est en cours maintenant devant les tribunaux.


Kerry: Et vous avez témoigné, pour que les avions holographiques soient inclus dans le dossier du procès?

John: Le 28 janvier 2008, j'ai déposé un affidavit pour soutenir cette plainte et pour montrer mon opposition à la proposition de rejet. En fait, j'ai donc déclaré
pourquoi les avions n'auraient pas pu voler aussi rapidement qu'ils l'ont fait et comment ils ne pouvaient pas être pilotés aussi bien qu'ils le furent. Et pourquoi il n'y avait pas d'épave. Et je pense que ce livre...


Kerry: Etonnant que d'autres pilotes ne soient pas plus représentés ici..

John: Les autres pilotes travaillent toujours, ils ne peuvent pas se permettre de s'avancer. Il y a très peu de gens, vous savez... Il y a trop de...

Kerry: Mais c'est de notre pays que l'on parle.

John: Ils ne peuvent pas. Une grande partie de mes informations vient de «Aerodynamics for Naval Aviators» [montre à la caméra] et j'explique pourquoi un avion ne peut pas voler à 500 miles/heure à 1000 pieds d'altitude. C'est à cause de la résistance, de la puissance, et aussi parce qu'ils utilisent des turboventilateurs. Ça n'est tout simplement pas possible.

Quoiqu'il en soit, le gouvernement et NIST affirment que les avions volaient à 500 mi/h, ce n'est pas exact. Ce n'est pas possible. Donc, en gros, c'est ce que j'ai expliqué dans ma part de la procédure.
Alors pourquoi si peu de pilotes s'avancent sur ce terrain? Beaucoup l'ont fait. Il existe une organisation appellée PilotsForTruth.com et j'en suis membre, l'un des plus anciens, et il y a beaucoup de monde qui comprend que ceci ne pourrait pas s'être produit. Il n'y a pas eu d'avion, comme un Boeing 757 percutant le Pentagone; non, ceci n'a pas eu lieu.


Kerry: Bien, qu'est-il arrivé au Pentagone ?

John: Pour le Pentagone, une bombe a été utilisée pour faire ce trou et ils avaient un bidon de 200 litres de diesel qu'un type a allumé pour produire toute cette fumée noire. Et April Gallup...

Kerry: Ah oui. Je pense que l'histoire d'April Gallup est fascinante.

John: ...April Gallup était spécialiste dans l'armée. J'ai oublié quel était son travail, mais elle avait une autorisation niveau Top Secret. Elle était assise à environ 12 mètres du... là où l'explosion a fait ce trou sur le devant du Pentagone et elle avait son fils de 6 mois sous son bureau. Et ce qu'elle a trouvé de bizarre, c'est qu'habituellement, avant d'arriver au contrôle de sécurité, ils devaient amener les jeunes enfants à la crèche; mais, ce matin là, la sécurité lui a dit: « Non, prenez l'enfant avec vous. »

Elle avait donc son enfant avec elle, dans son petit siège de transport par terre, et ce qu'elle a trouvé d'étrange, c'est que l'explosion s'est produite quand elle a appuyé sur le bouton «on" de son ordinateur. Un tas de débris lui est tombé dessus; elle a aperçu le trou et s'est dit: « Il faut que je m'en aille d'ici. ». Elle a donc pris son enfant, l'a installé sur son dos et a marché vers cette «ouverture», l'a traversée pour aller sur la pelouse qui, finalement, sera l'endroit de la récupération des débris.

Mais elle a dit qu'il n'y avait aucun missile, n'a vu aucun avion, n'a senti aucun carburant. Il n'y avait pas d'avion. Et plus tard, à l'hôpital, elle a été interviewée par les services de renseignements de l'armée. Ils lui ont demandé ce qu'elle a vu; elle commençait à dire: « Je n'ai rien vu » et ils disaient: « Non, si, vous avez vu quelque chose. Vous avez vu un Boeing 757 s'écraser là dedans ». Elle disait: « Non, non, non, je n'ai rien vu. Il n'y avait rien du tout. ». Et elle vit un enfer depuis ces 4-5 dernières années à essayer d'obtenir des soins médicaux.

C'est réellement une histoire très très triste. Mais voici une des choses que je voulais montrer; c'est une page d'un manuel militaire qui parle des équipements qu'ils aimeraient avoir pour l'année 2025. Ça s'appelle un projecteur holographique aérien. Vous pouvez voir d'où ça vient. On ne peut plus l'obtenir là maintenant, c'était à: w.au.af.mil et j'en ai 250 pages...


Kerry: Ça parle d'une machine à hologrammes.

Bill: Cela se rapporte à la «Gestion de la Perception de l'Ennemi ", c'est bien ça? Quel euphémisme ! Mon souvenir est-il exact?

John: Ouais. En voici une petite description: « Le projecteur holographique projette une image visuelle tridimensionnelle dans un endroit voulu, sans générateur d'affichage. Le projecteur peut être utilisé pour des opérations psychologiques et pour la gestion de la perception stratégique.
Il est aussi utile pour la tromperie optique ainsi que pour masquer, fournissant une distraction passagère lors d'un engagement avec un adversaire peu sophistiqué. Il a des possibilités de projection précise d'images visuelles tridimensionnelles dans un lieu choisi. Complément de gestion des opérations secrètes et gestion de la perception stratégique, il provoque la tromperie et la dissimulation envers les centres optiques. »


Kerry: Savez-vous quand ça a été écrit?

John: En 1999 je crois. Je ne suis pas sûr. Je peux vous donner l'adresse où vous pouvez vous procurer ce document maintenant.

Kerry: D'accord.

John: Ce n'est pas à cette adresse là.

Kerry: Okay.

John: Je pense que c'est à Maxwell Air Force Base.

Kerry: On doit savoir que si c'est dans le secteur public, ce n'est que le sommet de l'iceberg pour cette technologie.

John: Absolument.

Bill: «Strategic Perception Management ." N'est-ce pas merveilleux?

Kerry: Formidable.

Bill: Je pense tout simplement que c'est génial.

Kerry: Tu l'as dit.

Bill: Un ennemi peu sophistiqué, comme les gens dans les rues de New-York.

John: [se marre] Ah, j'allais dire ça.

Bill: [rigole]

John: Et je pensais, vous savez quoi? Je ne crois pas que je vais dire ça !

Kerry: [rires]

Bill: Rien de personnel contre New-York.

John: Mais ils ont... ils ont ce qu'on appelle le dispositif hybride de laser à haute énergie [HELWEPA: High-Energy Laser Weapon Systems Applications]. Mais quand vous allez voir et que vous obtenez des gros plans de ce dispositif, vous voyez comment ils pourraient attaquer juste entre l'Iran et l'Afghanistan. C'est comique vous voyez, c'est là qu'ils vont attaquer et c'est là qu'ils savaient qu'ils attaqueraient, déjà depuis... 1999, vous savez. Et ça, ça a été publié à l'époque; alors, vous pouvez voir comment ils planifient à long terme pour ces choses là. Je veux dire qu'ils ont planifié il y a 30 ans. Je cherchais cette page...

Kerry: Okay. Quand vous dites qu'ils vont attaquer l'Iran et...

John: L'Afghanistan. C'est là que le pipeline arrive, ils veulent ce coin là.

Kerry: Okay. Bien, donc, c'est pourquoi nous entrerons en guerre avec l'Iran; c'est ce que vous dites.

John: Exact. Nous voulons déblayer la région pour pouvoir acheminer le pipeline à cet endroit.

Kerry: J'ai l'impression que vous dites qu'ils vont utiliser une arme bien particulière pour attaquer là bas.

John: Ils pourraient utiliser ce laser hybride à haute énergie, voyez; ils ont plein de trucs qu'ils pourraient utiliser.

Kerry: Bien sûr.

John: Mais c'est bizarre que tout cela soit prêt, imprimé, disponible au public pour lui montrer où ils vont attaquer.

Kerry: Oui, c'est...

Bill: Ce que vous nous avez dit hors caméra, juste avant que nous ne commencions, vous aviez l'impression qu'il y aurait, vous avez utilisé le terme guerre nucléaire.

John: Oh oui, je n'ai aucun doute, nous bombarderons l'Iran avec du nucléaire. Je suis certain que c'est prévu et Cheney veut sûrement le faire. Je n'ai pas d'information privilégiée mais je crois bien qu'un scénario probable serait que Bush soit assassiné en octobre. Cheney devient président et instaure la loi martiale; puis, quelque chose « arrive» qui fait que nous devons attaquer l'Iran. Bien sûr, nous n'attaquerons pas l'Iran; nous demanderons à Israel de le faire. Et ils attaqueront avec leur nucléaire; et alors nous les réprimanderons légèrement en disant: « Nous allons vous donner 50 milliards de $ pour financer un programme de réhabilitation pour que vous n'utilisiez plus ces armes nucléaires sur quelqu'un d'autre à l'avenir. » Un programme de réhabilitation psychologique, nous leur donnerons...

Kerry: Okay. Mais personne ne s'en tirera à utiliser des armes nucléaires, je veux dire... Vous allez avoir la Chine, vous allez avoir la Russie, nous allons nous retrouver dans une 3ème guerre mondiale, non?

John: Ouais. Mais ce ne sera pas si énorme. Ce qu'ils feront, ils couperont les câbles, les câbles de communication...

Kerry: Oh, je vois. Sous la mer...

John: Oui. Pour que les communications soient rares, pour qu'ils puissent donner...

Kerry: Donc, personne ne saurait ce qui se passe réellement.

John: Personne ne saurait vraiment ce qui se passe. Tout sera décidé à un niveau supérieur. Tout est fait à un niveau supérieur. Tout ceci a été planifié en accord avec la Chine et la Russie. Ils savent tous ce qui se passe. Ce sera, vous voyez, pour expérimenter de nouvelles armes et...

Kerry: Et bien, en fait c'est ce que dit notre Henry Deacon. Il dit que la Chine est dans le coup, il y aura une guerre avec la Chine et ils savent déjà que c'est prévu.

John: Oui, bien sûr. Tout le monde était prêt pour le Yakusa japonais et le satellite chinois, et sur ATS, ils disaient: « Ils vont nous dire ce qui se passe, ils vont nous dire la vérité ». Et tout ce qu'ils ont fait ? Ils ont recyclé des vieilles photos de la NASA. Et bien sûr, la Chine était très embarrassée. Ils ont dit: « les photos ne sont pas des photos recyclées de la NASA. » Mais vous pouviez voir que c'était une vieille photo recyclée de la NASA.
Alors, quant à ce qu'ils font là-haut, à orbiter la Lune, s'ils sont en orbite autour de la Lune, je n'en sais rien; mais c'est sûr qu'ils ne prennent pas de photos qu'ils pourraient utiliser pour eux-même.


Kerry: Pourquoi pas?

John: Parce qu'ils sont déjà dans le coup, ils savent déjà ce qu'il y a là-bas, on les a extraites...

Kerry: Quel est donc le modus opérandi derrière tout cela? Pourquoi planifier des guerres nucléaires comme vous dites, des guerres nucléaires où des millions de gens vont mourir; la Terre sera inhabitable, c'est fou. Même s'ils voulaient garder un pipeline...

John: Ça a l'air d'être une bonne raison.

Kerry: Mais quel est le but de rendre la Terre inhabitable?

John: Vous savez, ils ont nettoyé les armes nucléaires ces 30 dernières années, il n'y a plus beaucoup de radiations.

Kerry: Pourquoi le nucléaire malgré tout? C'est si sale. Enfin, je ne suis pas militaire, mais s'ils ont de l'armement scalaire et qu'ils ont HAARP, voyons, ils peuvent causer des tremblements de terre; il y a beaucoup d'autres choses qu'ils peuvent faire à coté de ça, tout de même. C'est le énième degré de la folie ! Pourquoi voudraient-ils faire ça?

John: Ah, mais c'est comme demander ce qui se passe quand je parle d' Endeavor et de la navette spatiale qui n'est qu'un moyen de transport démodé pour rejoindre l'ISS...

Kerry: Oui.

John: ... et les gens disent: « Bon, si on a tout ce matos super dont vous parlez, comme les satellites et l'antigravité et tout le reste, pourquoi ils utilisent le Shuttle alors? » C'est la même chose avec le nucléaire. Il y a des niveaux de secret, des niveaux de renseignements. Vous voulez avoir une certaine partie de la population qui pense que le Shuttle, et bien c'est tout ce que nous avons et les armes nucléaires; et bien, c'est tout ce que nous avons, alors nous les utilisons. C'est cette sorte de compromis.

Kerry: Okay. Vous allez donc tuer des millions de personnes, éliminer...

John: Je ne pense pas que ce sera des millions, mais il y en aura quelques uns.

Kerry: Et que fera l'Iran à ce moment là, le savez-vous?

John: Oh, ils seront furibonds. Je ne sais pas ce qu'ils feront.

Kerry: Euh, euh.. Ok, avez-vous des contacts informés là dessus?

John: Ah, voyons... sur nucléariser l'Iran?

Kerry: Oui.

John: Non.

Kerry: Bien. [longue pause] Que diriez-vous de 2012 et de l'hologramme d'une invasion aliène ? Avez-vous déjà entendu ce scénario ?

John: Absolument. ce serait probablement ce qu'ils vont faire.

Kerry: [rit]

John: Ils vont projeter un hologramme et dire: « Oh, nous sommes attaqués par les aliens. Nous avons conclu un accord avec l'ambassadeur et il dit qu'ils sentent que la Terre est menaçante et que, si tous, vous prenez les armes en votre possession et vous les rendez, ils nous donneront une deuxième chance. »

Kerry: À ce moment là, nous avons un gouvernement mondial parce que...

John: Ouep.

Kerry: ...ils pourraient mettre tout le monde sous le même toit et en gros, tous les pays. Vous ne parlez pas de chaque individu apportant son fusil...?

John: Si. Chaque individu. C'est l'une des choses que les aliens veulent, c'est que vous tous, rendiez vos armes individuelles afin qu'ils ne se sentent pas menacés.

Kerry: Mais, les aliens.. allez, ok, c'est un scénario...

John: C'est le scénario où le gouvernement veut nous désarmer et pour le faire, ils projettent un hologramme là haut d'une attaque et ils disent: « nous sommes en communications avec eux et ... »

Kerry: un ennemi commun et...

John: Juste.

Kerry: ... c'est un faux ennemi.

John: « Et vous pouvez vraiment nous aider si vous rendez toutes vos armes ». Bien sûr, quand on aura tout donné, il n'y a pas grand chose que l'on pourra faire quand on s'apercevra que c'était une manipulation - comme le 11 septembre l'a été. Oui, c'est un scénario qui arrivera, j'en suis sûr.

Kerry Cassidy: Okay. Et avec vos idées bien tranchées, au fond, vos amis sont d'accord avec vous?

John: Je n'ai aucun ami. [tout le monde rit]

Kerry: Allez John, je ne vous crois pas. Vous êtes l'un des hommes le plus charmeur que nous ayons rencontré.

John: Mon bon ami, Bob Lazar, pense que je suis cinglé. Alors...

Kerry: Ah, vraiment?

John: Oui. Il nous l'a dit lors de la fête de mon anniversaire.

Kerry: Et il travaille sur les Ovnis, alors...

John: En fait, si vous pouvez regarder derrière vous, j'aimerai vous lire son cadeau d'anniversaire. C'est cette choppe avec l'inscription «JL»

Kerry: Très bien.

John: Passez-la moi.. [Kerry rit] Ecoutez, Bob Lazar a fait faire ça pour moi et c'est mon cadeau d'anniversaire. Ce que c'est...

Kerry: [rit en donnant la tasse à John] Que dit l'inscription?

John: [lit la tasse et la montre à la caméra]...est le tableau périodique des éléments. Et l'élément 116 est «JL». Cela dit que c'est «un solide humain». Et que la masse atomique est de 256.89. Il y a toutes les caractéristiques ici [tourne la tasse pour lire] Voilà:
    ° Elément: John Lear
    ° Lieu: Trouvé principalement dans le Nevada. [rires]
    ° Propriétés physiques: JL est un élément rare et instable. Connu principalement pour sa résistance exceptionnelle au bon sens et aux faits.
    ° Appliqué généreusement, JL est connu pour augmenter la qualité des vies. Egalement réputé pour son absorption de grandes quantités de substances coûteuses. C'est l'un des agents connus des hommes les plus puissants pour la réduction de sommes d'argent.
    ° L'exposition prolongée à cet élément peut causer des troubles sévères physiques, mentaux et financiers. [tout le monde rigole]

Kerry: C'est drôle. Ok. Vous nous avez dit, en aparté, que Bob Lazar est revenu travailler pour le gouvernement.

John: Oui. Il travaille de nouveau au Los Alamos National Laboratory.

Kerry: Il travaille sur quoi?

John: Aucune idée. Il nous a juste dit que, quand il est revenu travailler, ils ont eu un petit entretien avec lui [Rires de Bill et Kerry] Et avant de lui donner ses autorisations, ils lui ont dit: « Ok Bob, vous n'allez pas nous causer quelques problèmes de plus, n'est-ce pas? » Et il a dit: « Non.»[i]

Kerry: Oui, mais ils l'ont pratiquement menacé pour qu'il revienne, n'est-ce pas? Il avait des tas de problèmes juste avant ça.

John: [i]Je...n'étais pas au courant de cette partie là.


Kerry: Bien. Mais il est dedans depuis 4 ans.

John: Je pense que c'est ça.

Kerry: Et vous avez dit qu'il est possible qu'il donne des interviews?

John: Oui, oui. Il a fait la Travel Channel il y a deux ans, et l'autre jour il a fait une autre émission. Mais ce serait mieux si vous ne parlez pas de moi. Appelez le juste comme ça, comme si de rien. [ rires de Kerry]

Kerry: Ok. Mais il est bien votre ami?

John: Ah oui, oui. Un bon ami. Il est venu ici, c'était vraiment super.

Comme je vous avais dit, j'avais deux fauteuils en osier ici. En 1987, j'ai commencé à parler d'ovnis. J'ai donné une conférence à la bibliothèque de Spring Valley. Ah, mais ça a créé un tel barouf ici à Vegas ! Les gens appelaient, d'autres voulaient m'interviewer, je veux dire, ça explosait de partout. Et bien sûr, ça a transformé ma vie de famille, ici, à cause des appels. À la fin, Marilee avait coupé mon téléphone et embarqué tous mes dossiers Ovnis. Période difficile.

C'est alors, qu'en 1988, un type m'appelle: « Mon nom est Gene Huff. Je suis un agent immobilier et j'aimerais avoir certaines de vos bandes etc... »

J'ai dit: « Gene, je ne suis plus dans le coup. Ça m'a presque coûté ma famille, vraiment j'ai arrêté. »
Il a dit: « Et bien, vous savez, si vous voulez échanger des enregistrements, je vous ferai une estimation immobilière en échange. »
Et j'ai dit: « Oh, attendez. » ! Parce que, vous savez, j'avais besoin d'argent. J'ai dit: « Ok. je vous donnerai ces bandes et vous estimez ma maison. »

Alors, il est venu le jour suivant pour prendre les mesures. Bien sûr, il ne savait pas qu'elle faisait 715 m2 ! Il se plaint, depuis, qu'il ait eu à faire un tel travail pour quelques bandes et peu d'information. Enfin, quand il est venu, il est arrivé avec ce type appelé Bob Lazar et il me l'a présenté. Bob était celui qui tenait l'autre bout du mètre.
Et l'agent immobilier continue: « Bob a travaillé au Laboratoires De Los Alamos et il vit en ville maintenant et développe des photos. » Je lui ai répondu que c'était super.

Donc, Gene et moi, nous parlions ovnis, et Bob levait ses yeux au ciel en disant: « Vous êtes dingues, les gars. Ce n'est pas possible, j'y ai travaillé à Los Alamos, j'avais une autorisation «Q», si ç'était vrai, je l'aurais su. J'ai assez fourré mon nez partout là-bas. » Et il ne voulait rien entendre de tout ça.
C'était environ... en juin 88; et les mois suivants, Gene, Bob et moi-même avons échangé des informations. Et Bob était... comment dire ...il y avait trois ou quatre choses qui le faisaient basculer de «c'est complètement ridicule », à «ça pourrait être vrai » et l'une de ces choses est la suivante:

À cette époque, nous connaissions l'existence d'une installation secrète à Los Alamos appelée «YY-II», et, ce que je savais, c'est qu'ils y gardaient des aliens. Et il y avait autre chose. Et Bob a trouvé, oui, il y avait bien un «YY-II», et oui, c'était beaucoup plus classifié que le niveau que lui donnait son autorisation. Et c'est en novembre que Bob a décidé : « Et bien, vous savez, je crois que je vais voir si je peux travailler sur l'aire 51. » Il a donc appelé le Dr. Teller qu'il connaissait de Los Alamos, et j'étais là quand Bob lui a parlé. Teller: « Voulez-vous travailler à Lawrence Livermore avec moi ou bien ici dans le Nevada? » Bob: « Je voudrais travailler à Groom Lake. »
[large sourire] Teller: « Ok. Je vous rappellerai. »

Puis, Bob a eu 3 entretiens chez EG&G, et il venait ici après chacun d'entre eux. Je me souviens qu'après son second entretien, la première question a été: « Connaissez-vous John Lear? » et « Que pensez-vous de John Lear? » Et Bob dit: « Oui, je le connais et il se mêle de ce qui ne le regarde pas. » et il ajoute: « Ce que je ne leur ai pas dit, c'est que moi aussi j'aimais fourrer mon nez partout. »
[rires de Kerry] Il a eu son troisième entretien et il nous a dit qu'il les avaient sciés parce qu'ils devenaient très techniques et qu'il a sorti tout son bagage technique. Il a dit lui même qu'il avait fait du bon boulot.

Quoiqu'il en soit, l'évènement suivant, c'est le 6 décembre 1988.
Bob arrive, s'assoit, et dit: « J'ai vu un disque aujourd'hui. »
Et je suis en train d'écrire des chèques, vous savez, je ne fais pas attention. J'ai dit: « Quoi? »
Il dit: « J'ai vu une soucoupe aujourd'hui. »
Et moi... « Une soucoupe? À eux ou à nous? » Il répond: « À eux. »
Je dis: « T'es allé à Groom Lake ? »
Bob: « Oui. »
J'ai dit: « Alors qu'est-ce que tu fais là ? Ils te suivent certainement. Pourquoi est-ce que tu ne travailles pas là-bas quelque temps et puis ensuite reviens pour nous dire ce qui s'est passé. »
Bob: « Parce que je t'ai vu encaisser tellement de trucs dingues ces 6 derniers mois là dessus. Je te dis que c'est vrai. Je l'ai vu. Je l'ai touchée. »
Voilà. Puis, nous avons parlé de ça pendant deux heures. Et c'était tout simplement sidérant, et...


Kerry: Oui, mais racontez-nous l'histoire. On l'a sur l'autre bande, mais c'est tellement drôle, quand il s'assoit et dit: « John, tu ne sauras jamais ce que c'est de... »

John: C'était en janvier. Il avait été là bas deux ou trois fois, peut-être quatre ou cinq. Je ne sais pas combien de fois. Je me souviens que c'était en janvier parce qu'il faisait très froid et je portais une chemise à manches courtes comme celle ci. [se frotte les bras] Bob arrive, s'assoit et vous savez, il est juste... il est juste «ON» quoi. Complètement allumé. Et il a besoin de parler de quelque chose. Et nous savions que nous ne devions pas parler à l'intérieur, alors on est sorti du coté de la piscine.

Et Marilee vient vers nous en disant: « Qu'est-ce que vous faites tous les deux? » « Nous allons bavarder » Elle se méfie de tout, de toute façon; alors bien sûr, elle ne croit pas ça non plus, mais nous laisse partir. On arrive dans le petit coin derrière, près de l'écurie. Je le regarde en criant: « Quoi? quoi? quoi? » et il répond: « John, Tu ne sauras jamais ce que ça fait de voit ton premier alien. »
J'ai dit: « Tu en as vu un ? t'en as vu un ? » et il répond: « Oui. » Et moi: « Ca ne pouvait pas être une poupée? Ca n'aurait pas pu être... » Il dit: « Non. C'était un vrai. »
[rires de Kerry]

Et vous savez quoi? Aujourd'hui, vous lui posez la question et il dit: « Et bien, je ne sais pas. Ça aurait pu être une poupée. » Ils faisaient tous ces trucs bizarres.

Kerry: Oh, oui.

John: Mais CE soir là, c'est EXACTEMENT ce qu'il a dit.

Kerry: Ok.

John: Et j'avais demandé: « Comment est-ce arrivé? »
Réponse: « Je marchais dans le couloir, avec un garde de chaque coté, je suis entré par cette porte et il y avait une ouverture d'environ 30 cm, vitrée avec des câbles dans la vitre; j'ai regardé à travers, et il y avait deux types en blouse de laboratoire qui me faisaient face et un alien debout qui leur parlait.» Je vous ai montré la photo?


Kerry: Je ne pense pas.

John: Parce qu'il a fait un dessin pour moi.

Kerry: Vraiment?

John: Vous voulez que je le cherche?

Kerry: Ah oui, absolument.

John: [montre des papiers sur le bureau] Tout ça, ce sont plein de choses que j'ai gardées de Bob. Par exemple, voici comment les autorisations de sécurité fonctionnent. L'autorisation la plus basse que vous puissiez obtenir s'appelle «Top Secret» et au dessus de ça, il y a 28 niveaux de Top Secret Crypto, et encore au dessus, il y a 10 niveaux. Bon, ce ne sont pas les vrais noms, à part pour celui du haut qui est Majestic.

Puis, chacun de ces niveaux est compartimenté. Vous pouvez avoir Top Secret Crypto 25, mais vous ne connaissez pas toute l'information dédiée à ce niveau, vous ne connaissez que ce que vous avez besoin de savoir. En d'autres termes, quand vous êtes à Top Secret Crypto 25, personne ne vient vous dire: « Voilà TOUT ce que les types du niveau Top Secret Crypto 25 ont le droit de savoir. » C'est compartimenté.

On avait ces données pour montrer que le Président des Etats-Unis est comme un Top Secret Crypto 17. Il n'a pas besoin d'en savoir beaucoup. C'est un représentant. Il fait ce qui lui est dit.


Kerry: Oui.

John: Il n'a donc aucun besoin de savoir tout ça. D'après ce que je comprends, le dernier président qui a eu droit à un briefing, de quelque sorte soit-il, était Président Nixon. Ford savait quelques petites choses. Reagan aussi. Bien sûr, Bush savait quelque chose, parce qu'il était le Directeur de la CIA. Ce qui ne veut pas dire qu'ils disent quoi que ce soit au Directeur de la CIA. Il est nommé à ce poste et ils DETESTENT ces personnes là; donc il savait des choses pour une autre raison. C'est comme ça que l'organigramme fonctionnait.

[prend une cassette] Ce sont les...Quand Bob a décidé de ne pas retourner travailler pour le gouvernement, on lui a fait faire trois sessions d'hypnose régressive avec Lane Keck. Et Lane devait venir pour mon anniversaire et je ne me souviens pas s'il est venu ou non. On le verra sur le DVD. Il a conduit les régressions pour Bob; et ce qu'on a essayé, ... c'était extrêmement intéressant. La première, nous ne l'avons pas, parce que la machine qui enregistrait a dérapé; mais Gene Huff a pris des notes. Mais la seconde, je l'ai, et c'est là qu'on a essayé de soutirer des informations. Et je vous dirai quoi, ici, plus tard si vous voulez; j'en ai une transcription; je vous laisserai la lire parce que c'est très intéressant.

Kerry: Oui, ce serait passionnant.

John: [montre un dessin sur un papier] C'est quand Bob me racontait comment vous allez en avant et en arrière dans le temps.

Kerry: Okay. J'allais vous demander cela. Bob a travaillé sur le voyage temporel n'est-ce pas?

John: Il n'a pas travaillé dessus, il a été briefé sur le sujet. Voyez, quand il est allé là bas...

Kerry: S'il connaissait Teller, il a dû... et il a travaillé à Los Alamos.

John: Il connaissait Teller parce qu'il l'a rencontré lors d'une lecture que Teller a faite et Bob figurait sur la couverture de Los Alamos Monitor avec sa voiture spéciale. Il s'est donc avancé vers le Dr. Teller et a dit: « Je suis le type sur qui vous lisez ». Dr. Teller a dit: « Oh, réellement? Génial. » Et ils ont eu une petite conversation. Bob ne le connaissait que de là. Il n'avait jamais travaillé avec lui, mais il a travaillé à Los Alamos et il a écouté Teller parler.

Kerry: Okay. Je vois.

John: Quand Bob est arrivé sur la zone S-4, ils ont dit: « Vous devez choisir ce que vous voulez faire . Vous ne pouvez pas avoir un petit peu de tout. Vous devez choisir. Vous savez, voulez-vous travailler sur ceci ou cela. » Et Bob voulait travailler sur la rétroconception de la propulsion; c'était son travail. Mais il a été briefé sur tout ça. Et ce qu'il m'a montré là, [montre un dessin] c'est comment vous allez en avant dans le temps, ce qui est: exercer une traction gravitationnelle puissante. Et comment vous allez... il a commencé à dessiner comme ça et puis il a gribouillé d'autres choses.

[montre un autre dessin] Bob Lazar en 1987. Il me dessinait les formes différentes de véhicules qui se trouvaient sur S-4. Et sur celui là, il m'en montre un qui a été touché par un projectile.

[fouille dans ses papiers] Quand j'ai commencé à montrer à Bob les photos de la Lune, en lui montrant ce qu'il y avait dessus, ...par exemple, je disais: « Regarde ça, regarde, tu vois ... la vapeur, et ceci... et cela... ». Et il me regardait, complètement sceptique. Je sortais de chez lui quand il a dit: « Tu sais John, si quoi que ce soit dans ce que tu avances est vrai, il va falloir que je me supprime moi-même. » Je lui ai répondu: « Tu sais, Bob, donne moi ça par écrit. » Puis, [gros plan de la feuille], je lui ai fait signer ceci. Je lis: « Je soussigné Bob Lazar, promet que je me supprimerai si quoique ce soit des histoires de John sur la Lune est avéré. Signé Bob Lazar, 23 août 1996. »

Et bien, la suite est là. Quand j' ai enfin pu trouver quelqu'un pour... quand j'avais commandé cette photo de la NASA, vous savez? Ils m'ont envoyé un négatif. C'était un négatif de 40x50cm.

Avant que la technologie puisse... même à Las Vegas, pour faire une photo d'un négatif de cette taille... Alors, quand je l'ai eue, je l'ai apportée chez Bob et...
[zoom sur la photo] il l'a passée au scanner. Et ce sont les scans qui ont été postés sur ATS. Et là haut [montre la photo], je vous laisserai faire un gros plan plus tard, il y a clairement ce qui ressemble à un parking-garage.

Donc, Bob regarde, regarde, et regarde. Puis il fait: « Je dois l'admettre, ce n'est pas naturel. C'est quelque chose». Je disais: « Tu sais, Bob, on est amis depuis longtemps, et je sais que tu es un homme d'honneur; tu as bien dit que si quoi que ce soit de mes documents sur la Lune étaient vrai, tu te supprimerais ». et j'ajoute: « tu ne voudrais pas signer cette déclaration là? »
[rires de Kerry]

Et[montre la feuille signée], donc, celle ci, c'est le 5 août 1998, 2 ans plus tard, et il est écrit:

« Je soussigné Bob Lazar, admet, sans contrainte, que l'objet dans le cratère Copernicus sur la Lune, nommé «caisse de pommes» est une boîte dont je me demande ce qu'elle fait là. Ceci, en compensation de ne pas avoir honoré ma décision de me supprimer si la moindre affirmation de John Lear sur la Lune était exacte. Signé Bob Lazar. » Je n'ai pu obtenir mieux que ça.


[gros plan de la photo] Voici le célèbre parking montré à tous et posté sur ATS, et les gens disaient: « Non; je ne vois pas de parking ici ». Je vous montrerai les agrandissements plus tard. Il y a d'autres dessins, en voici un qu'il a fait sur le fonctionnement du réacteur anti matière.

Kerry: C'était quelle année?

John: Tout cela, c'est entre décembre 1988 et mars 1989. [montre des papiers] Voilà les notes que je prenais: rencontre avec Bob Lazar, 2 novembre 1988. J'ai tapé tout ça.

Kerry: Je vois. A-t-il dessiné un alien ou pas?

John: Oui.

Kerry: Vous l'avez là? On aimerait bien le voir. [John cherche dans ses papiers]

John: [sort un dossier d'une pile] L'original est bleu et je suis sûr que c'est là quelque part, mais voici le dessin original qu'il m'a fait.[gros-plan] « dessiné par Bob Lazar, janvier 1988. Cette scène se passe à S-4, position du Grey par rapport aux deux scientifiques en blouses de laboratoire. Taille, orientation et matériaux de la fenêtre. » à travers laquelle il a vu les scientifiques et le gris. C'est donc... nous étions assis et il gribouillait partout. C'était le site des tests, où se trouve la zone S-4. C'était la longueur des hangars: 110m, et chaque baie faisait 12m de long. Ce que Bob a dessiné, les deux scientifiques en blouse et là le petit alien qui leur fait face, il a dessiné la porte et aussi le câble qui passe dans la vitre, il a dit qu'il a regardé par là et ils étaient là, devant la fenêtre.


INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear410
INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear510

Kerry: C'est super. Il n'a jamais eu de contact ou de communication avec eux?

John: Si. Trois fois. Au moins trois fois.

Kerry: Réellement?

John: Je montre encore ça, [tient un autre papier] parce que c'est sur le verso de la feuille. C'est l'Aurora, l'avion qui vole à 250.000 pieds et qui va jusqu'à Mach12. Et c'était en 1988. Et voilà à quoi il ressemble quand il sort du Boeing 737... Quand il a marché sur la rampe, l'Aurora était parqué devant lui si bien qu'il voyait l'arrière, et il a dit que c'était absolument énorme, qu'il y avait 2 carrés gigantesques pour l'échappement. Un homme ressemblerait à une poupée s'il se tenait debout dedans.

Kerry: Wow !

Bill Ryan: Il le regarde de l'arrière?

John: Oui. Bon, alors les trois fois qu'il a vu l'alien... la première fois c'était quand ils lui ont donné le liquide à l'odeur de pin. Ce qu'ils ont fait est vraiment intéressant. Quand Bob est venu ici le tout premier jour, en disant: « J'ai vu un disque »... il avait l'habitude de porter une bague, j'ai oublié à quel doigt elle était, mais je lui ai dit: « Ok, maintenant écoute moi, Bob. Ils vont te... ils vont te donner des drogues pour te faire oublier ce que tu fais, alors je voudrais que tu fasses la chose suivante: quand ils t'emmènent pour te donner les produits, je veux que tu prennes ta bague et, discrètement, la mettes à ton autre main. Tu ne t'en souviendras pas, mais quand tu viendras me voir, je le verrai et tu sauras donc que tu as reçu les produits. » Et là, il dit: « Ils ont déjà fait ça aujourd'hui ».

Kerry: Oh, wow !

John: Et je dis: « déjà ? » Il a décrit ce test très élaboré. Comment ils prennent une aiguille, ils grattent un rectangle sur son bras et font des lignes croisées pour obtenir une sorte de grille. Puis, ils prennent quelque chose qu'ils mettent dans chaque petit carré. Ensuite ils l'emmènent dans une pièce qui ressemble au bureau d'un médecin ordinaire, avec un divan, et il s'allonge. Il y a un écran qui cache quelque chose et Bob sait que le Grey se cache derrière. Il y a un militaire avec un M-16, un médecin et une infirmière.

Ils lui font boire le liquide à l'odeur de pin, il boit tout et ressent immédiatement comme des vertiges. Il se sent dans un puits de 30 m de profondeur, ses bras font 30m de long et il sent qu'il se tient sur les parois du puits avec le bout de ses doigts.

Puis, ils commencent à lui lire l'autorisation, le briefing de l'autorisation qui lui est donnée. Par exemple, ils lisent une phrase et Bob répond: « Et je comprends cela. » ou, « Je suis en phase de briefing. » Et à la fin, le soldat prend son M-16 et lui enfonce dans l'estomac. Il nous a dit par la suite que la douleur est REELLE. Et à chaque paragraphe différent de l'autorisation, le soldat prend le M-16 et lui en envoie un coup dans le plexus solaire. Donc, dans les enregistrements que Lane Keck a fait, quand on a essayé d'obtenir des infos, vous vous souvenez... ils lui ont dit beaucoup de choses intéressantes et quand on arrivait à ce qui va se passer dans le futur, il disait: « Je ne suis pas censé parler de ça. » Et quand Lane essayait d'en obtenir plus en étant subtil, Bob disait: « Non, je ne peux pas, ça fait mal. »


Kerry: Oh mon... wow. Une réaction programmée.

John: Oui.

Kerry: A-t-il réussi la combine de la bague?

John: Non, parce que c'était trop tard. Ils l'avait déjà drogué.

Kerry: Mais il continuait à y aller...

John: Voyez, il est parti parce que, quand on s'est fait prendre... il nous invitait pour qu'on voit les essais de vols de soucoupe. Le 21 mars 1989, et j'ai cette bande ici, je vous montrerai, ça dure 9 minutes. On a pris le Celestron 8 [montre le télescope] et on a vu... Il nous avait dit quand ça allait voler. Alors Gene et moi étions prêts. J'ai fait la mise au point dessus et j'ai vu une soucoupe voler. Elle était penchée, 40° et dorée, et il y avait ce truc qui s'en dégageait. J'ai dit: « Vite Gene, vite, regarde ! » Et quand je me suis reculé, j'ai trébuché sur le trépied. Et cette histoire est remontée à mon anniversaire parce que chaque invité, à mon anniversaire, est supposé raconter une histoire John Lear. [rires de Kerry] et c'était l'histoire de Bob.

Kerry: Ok. L'histoire du shériff sur la route, le revolver et la voiture, et le flic...

John: Oui. C'est quand le shériff du comté nous a arrêtés. C'était la troisième fois qu'on se faisait avoir. Mais, là où je voulais en venir avec cette histoire, c'est ça: quand ils l'ont emmené le matin suivant à Indian Springs - le point central pour toute la sécurité - quand ils l'ont sorti de la voiture avec un flingue sur l'oreille, ils ont dit: « Maintenant, Bob, quand on vous a donné cette autorisation , ça voulait dire que vous n'êtes pas supposé parler à tous vos amis des soucoupes volantes. Alors vous voulez travailler ici , oui ou non? »

C'est quand Bob n'était plus mis en cause, parce que les deux derniers vols qu'il a pris pour Groom Lake, il se revoyait monter les escaliers et les descendre, mais il ne se souvenait de rien entre les deux et il disait qu'il ne voulait pas travailler pour un programme comme ça.


Kerry: Bien. Qu'en est-il des Grands Blonds? Parce que d'après ce que je comprends, Charles Hall dit que les grands Blonds sont à Indian Wells, par là, avez-vous des infos là dessus?

John: Euh... Non. Seulement les Gris. Et il les a vu trois fois. La première avec le liquide à l'odeur de pin, et la fois où il les a vus dans la pièce et l'autre fois quand George Knapp avait engagé Tavernetti pour avoir un test au détecteur de mensonges. George avait loué une salle au César Palace et Bob Lazar et Gene Huff sont arrivés de bonne heure; ils connaissaient la salle. Gene ouvre tout grand la porte, Bob regarde à l'intérieur et devient tout pâle, à deux doigts de l'évanouissement, il entre et s'assoit et Gene lui dit: « Qu'est-ce qui t'arrive? » et Bob lui répond: « Je viens d'avoir un flash back. Je me souviens d'avoir parlé au Gris. » et ce qui s'était passé quand ils ont ouvert la porte, la façon dont Tavernetti avait préparé la salle... Il faisait sombre. IL y avait une table, deux chaises face à face, et de l'équipement dessus. Cette scène a déclenché cette réaction de Bob et le souvenir de quand il lisait les briefings avec le Grey en face de lui.

C'est une expérience écrasante, cette première fois où vous vous trouvez en présence d'un Grey, alors qu'habituellement vous posez des questions à un interlocuteur qui vous répond. Mais quand vous parlez à un Gris, ils prennent tout de votre esprit, et ils répondent avant même que vous ne l'ayez formulé... c'est troublant. C'était un expérience presque insurmontable. Voilà, c'est la troisième fois que Bob a ...


Kerry: Pensez-vous qu'il se ferait filmer en racontant cela ?

John: J'en doute. Mais on ne sait jamais ce qu'il fera.

Kerry: Pensez-vous que George travaille pour l'agence?

John: Non. George Knapp travaille pour Channel 8. Ah... vous voulez dire en agent secret?

Kerry: Oui.

John: Je ne sais pas.

George sait beaucoup de choses. Il m'a eu à son émission il y a 2 mois. Il faisait un sujet sur Sandia. Sandia est très secret - pas le plus secret - c'est LA base secrète qui a remplacé Groom Lake zone 51. C'est sur le Paiute Mesa... J'ai une carte ici. Ils ont commencé à construire en 1980 et l'ont terminée en 1987. Ça a déjà 20 ans.
Environ quatre ou cinq mille travailleurs là-bas. Je veux dire que c'est une base souterraine ENORME, absolument gigantesque. Il y a trois gros cylindres de bureaux et des trucs qui vont jusqu'à 1600m de profondeur. Dehors, sur le site des essais, il a deux pistes avec tous les nouveaux hangars et tout ce qu'il faut. C'est une opération MASSIVE.

Alors quand George y est allé pour filmer, il s'était perdu et n'a rien trouvé. Je vous montrerai, je l'ai sur un DVD. Je vous montrerai ce qu'on a fait.
Ce qui est original, c'est de savoir comment les gens sortent de là !

Ils ne peuvent pas conduire parce que c'est trop loin.
Ils ne peuvent pas avoir toutes ces voitures sur la Highway95 parce que ça mettrait l'activité au grand jour.
Ils ne peuvent pas les mettre dans un 737 parce qu'ils sont déjà pleins et on ne peut pas rajouter d'avions pour cette destination.

Alors ils ont construit un train à grande vitesse qui va de Sandia à Las Vegas et ils ont mis les arrêts sous deux des hôtels principaux.
[rires] Comme ça, les types ont l'air de joueurs, ou bien de clients des hôtels qui se baladent par là
Ils vont donc là, ouvrent une porte, utilisent un badge et descendent à l'endroit voulu.


Kerry: Oh. Ok. [rires]

John: C'est génial la façon dont ils s'y prennent.

Kerry: Quels hôtels? Le savez-vous?

John: Oui, mais je ne le dis pas.

Kerry: [riant] Bien. Avez-vous déjà pris le train?

John: [riant] Nah.

Kerry: Vous savez où c'est, vous savez...

John: Je devais y aller vous savez, mais j'essaie de rester clean, sans problèmes ! [prend un magazine] Voici le Los Alamos Monitor que Dr. Teller lisait quand Bob était ...

Kerry: Ok. Oui, c'est bien.

John: J'ai un ami, Jim Goodall, qui dit: « J'arrive. On va aller sur le site des essais. » Je lui dis: « Tu sais, avant je le faisais, mais je suis toujours en vie; alors, si ça ne te fait rien, j'aime mieux pas. » [montre une autre feuille] Voilà trois choses importantes que j'avais écrites sur la vitesse du temps; et j'avais dit à Bob ce que c'était, il avait répondu: « Correct » en ajoutant: « Tout le monde s'en fout. »
J'avais dit: « La vitesse du temps est directement proportionnelle à l'amplitude du flux gravitationnel. » Autrement dit, la vitesse du temps est dépendante de la gravité. Là dessus Bob a ajouté:

    *La théorie dit qu'il y a un trou noir pour chaque galaxie.
    *La théorie dit que chaque trou noir a sa propre galaxie
    *HIV la couche protéinée est sur le virus
    *Le temps de recyclage de l'amplificateur de gravité est dix millièmes de secondes.

Bon, le HIV, on en a parlé?


Kerry: Non. On le peut.





à suivre PAGE 3


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MessageSujet: Re: INTERVIEW DE JOHN LEAR   INTERVIEW DE JOHN LEAR Icon_minitimeSam 5 Juin 2010 - 15:21

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John Lear: Le sida a été inventé par un médecin de la Navy appelé R.M Donner et quand BOB a lu le briefing... à la zone S-4... tous les briefings qu'il a lus faisaient de 50 à 100 pages. Couverture bleue. Ils étaient sur son bureau et il pouvait tous les prendre. Au fur et à mesure de sa progression dans l'échelle des autorisations, les briefings ... [soulève une portion d'une pile de papiers] disons que c'est un briefing, ce serait agrafé, et au fur et à mesure de la progression, ils dégrafent quelques feuilles de plus.

Le briefing sur le sida... je l'ai. Il est sûrement là dedans parce que j'ai écrit un papier sur ce qu'il nous a dit. Le sida a été développé pour éliminer un certain nombre... d'humains. Le traitement existe, grâce au concombre Trichosanthes Kirilowii qui ne pousse qu'en Chine. Nous avons essayé par 3 fois d'en importer mais - de toutes façons ils savent - tout a été grillé, par micro ondes ou autre système, en passant la douane. C'est donc impossible d'en faire sortir; je vous lirai le traitement exact et comment ça marche.


Kerry: Nous avons un contact en ce moment qui dit avoir travaillé dessus, la fabrication de ce virus, en Afrique.

John: Possible, mais ce n'était pas en Afrique, c'était ici. Ça a été relâché en Afrique mais fabriqué à S-4. Donc, Bob et moi avons cherché R.M Donner. Et trouvé. Il habitait à Santa Fé; il était à la retraite. Nous sommes allés le voir plusieurs fois parce que Bob avait le contrat pour la réparation des sondes alpha. Et on avait pris l'habitude de conduire d'ici à Los Alamos. 16 heures de route. Bob avait un ami là bas et ça nous prenait 24 heures de reconstruire ces sondes alpha. Il y en avait 300, on les nettoyait, les recâblait et les couvrait avec du ruban alu, puis on rentrait à Las Vegas.

Kerry: Qu'est-ce qu'une sonde alpha?

John: Ils font passer des scanners pour les radiations aux gens qui vont travailler à Los Alamos.

Kerry: Ok.

John: Bob avait ce contrat. Nous faisions ça toutes les six semaines... nous savions où Donner travaillait, nous y allions et le manquions à chaque fois. Finalement, nous avons obtenu son adresse et sommes allés chez lui. Il n'était jamais là. Soit il n'ouvrait pas la porte, soit il n'était pas là, soit nous n'avions pas la bonne adresse. Nous ne l'avons jamais rencontré. Quand Bob a commencé à gagner de l'argent avec son business de photos et les sondes, nous prenions l'avion pour Albuquerque, et là, nous louions une voiture pour monter à Los Alamos. Alors ce jour là - et les mêmes évènements sont arrivés ce jour là - ... j'ai raconté ça dans les histoires John Lear, je raconte donc ça sur moi même.

J'ai des problèmes pour reconnaitre les gens, je n'y arrive pas, même si je les ai connus pendant vingt cinq ans. Cela m'est difficile de les reconnaitre dans une foule. Donc pour aller à Albuquerque, Bob achetait un billet à Southwest Airlines et je montais avec mon badge. Un matin, on y va, on part à sept heures, et je vais à l'aéroport, ne voulant pas monter dans l'avion tant qu'il n'y est pas. Je fais les cent pas en examinant tous les passagers, je ne voyais pas Bob. Pas question de monter sans lui et je ne pouvais pas le joindre chez lui. J'ai donc demandé à l'hôtesse lorsque tout le monde était à bord (avec mon badge de pilote j'avais un siège strapontin) : « Hey, je suis le strapontin, mais je veux être sûr que mon ami est à bord, pouvez-vous faire une annonce ? Demander à Bob Lazar qu'il fasse marcher son bouton d'appel. » Et, bien sûr, j'avais oublié que ce vol matinal pour Albuquerque était complet, principalement les types de Sandia. Et quand l'hôtesse a dit: « Bob Lazar peut-il faire sonner son bouton d'appel? » Alors là, l'avion entier, tout le monde, a éclaté de rire car ils ont cru à une blague !


Kerry: [riant] Ah, c'est drôle !

John: Il a donc appelé, j'ai compris qu'il était bien là. Je m'installe sur le strapontin pour Albuquerque, nous louons une voiture, arrivons à Los Alamos. Cette journée, tout a marché à merveille, on a tout fait en huit heures. On a donc décidé de reprendre l'avion et rentrer pour diner dans notre restaurant préféré, appelé Parma's. On ramasse tout, on fait le compte rendu et on file à fond les manettes sur la descente de Los Alamos à Albuquerque, on rend la voiture, on court à l'aéroport. Bob court en avant, donne son ticket, je cours derrière et signe pour mon strapontin et je continue jusqu'à l'avion. Je m'assois. Ils ferment la porte. Et j'entends le Commandant: « Bienvenue sur Southwest Airlines sur le vol 304 à destination de Los Angeles. » Et c'est là que j'ai compris que j'avais pris la mauvaise voie et le mauvais avion.

Pendant ce temps, Bob est dans l'avion, il m'attend et voit la porte qui se ferme; il ne sait pas où je suis passé. Jusqu'à Las Vegas, il pense que je suis peut-être allé dans la cabine de pilotage. Ils atterrissent, et comme le vol pour Vegas est plus long, je ne pouvais pas le joindre. En arrivant, il va dans le cockpit, ne m'y trouve pas et ne comprend pas comment on a pu être séparés en étant si proches.

Il rentre chez lui à l'instant où j'arrive à Los Angeles; je l'appelle:
Je dis: « Bob? ", lui: « Mais qu'est-ce que tu fous? »
Je réponds: « Et bien, je me suis trompé d'avion. Je suis à Los Angeles. »
C'est la blague qui a duré cinq ans: John Lear s'est gourré d'avion.
[rires de Bill et Kerry]

Voici l'information que Bob a eu à S-4. [lit le dossier] AIDS est un virus protégé par une couche de protéine sur l'ARN, ce qui empêche les anticorps, les cellules T-4 du système immunitaire de le détecter pour l'éliminer. Le traitement supposé du sida se trouve dans les sécrétions des champignons blancs qui viennent du concombre Trichosantes Kirilowii. Ces secrétions qui se développent après deux ou trois semaines sont extraites avec de l'hydrazine sulfate dans un procédé d'acidification qui dissoudra la couche protéinée sur l'ARN, exposant ainsi le noyau du virus alors détecté par les anticorps du système immunitaire.

Quelque soit la faiblesse du système immunitaire, le virus sera détruit. Une dose de 20ml en 36 heures est préconisée sans aucun antibiotique pendant la durée de la perfusion qui est de 36 heures et qui dissout la couche protéinée. J'ajoute que pendant ces vingt dernières années j'ai fait plusieurs essais pour sortir de Chine des échantillons de Trichosanthes Kirilowii, mais tous les essais se sont soldés d'un échec; les derniers échantillons ont été grillés au cours de l'enregistrement au départ.

En 1980, Reagan et Bush se présentèrent contre Carter et Mondale, et nous avions des otages en Iran à Téhéran. Bush prit un avion pour Paris afin d'y rencontrer non pas Khoméini mais l'un de ses représentants pour lui proposer un marché: si Khomeini retardait la libération des otages jusqu'à l'inauguration officielle de Reagan, l'administration Reagan/Bush lui fournirait - au régime iranien - des armes et des munitions en nombre illimité tout le long de leur mandat. C'est à dire de 1980 à 1988.

Mon rôle était de livrer ces armes de Tel Aviv à Téhéran. Cette pile de dossiers ici contient les informations sur les pilotes et la façon dont ils ont conduit l'affaire.

Bush a décollé un samedi soir sur un jet Bac-111 qui ne prend que 6 ou 7 heures de vol. Sa réunion a duré 4-5 heures et il a fait le vol de retour dans un SR-1 décollant d'une base française pour la base de l'Air Force McGuire. Ce voyage n'a duré qu'une heure et 14 minutes. De cette façon, le Président pouvait se rendre à une partie de tennis le dimanche, et la presse n'y verrait que du feu pour ce déplacement.

Ils ont été élus et donc, ont fourni ces armes et munitions, ce qui faisait partie de «l'Iran Contra». Pour retrouver la date de l'origine du contrat, le congrès n'est pas remonté plus loin qu'en 1985. J'ai emménagé en Egypte en 1981 et mon travail était d'embarquer ces armes à Tel Aviv et de les transporter à Téhéran. Les armes venaient de Zaragosa, notre base Air Force en Espagne. Le Mossad s'occupait de tout, et je n'ai jamais eu à piloter un seul avion, voici pourquoi.

Le premier avion était un CL44 argentin, et ils voulaient utiliser un vieil avion à turbopropulseur pour être sûr que tout se passerait sans problème. Quelle qu'en soit la raison, il a été abattu lors de sa sortie de mission au dessus de la Russie à 64 km au sud de Yérévan. Le Mossad ne pouvait pas comprendre pourquoi les pilotes avaient dévié de leur trajectoire; ils avaient lâché leur chargement d'armes et de munitions. Finalement, ils ont compris que les pilotes avaient été interceptés par des MIGs russes qui savaient ce qui se passait et n'étaient pas d'accord.
Les pilotes avaient dû penser: « Et bien, on peut tout aussi bien les suivre; parce qu'on a rien à bord, ils ne pourront rien prouver. » Et dès qu'ils ont été vus en Russie, ils se sont fait descendre. C'était un message pour le Mossad: « Hey, on ne veut pas que ça continue. »

Voyez, toute cette pile de dossiers relate les coulisses de « la surprise d'octobre» Il y a eu deux livres. Gary Sick et Barbara Honegger ont écrit sur le sujet. Le congrès est allé jusqu'à lancer une enquête officielle en 1990, mais tout a été planqué parce que personne ne voulait remonter si loin en arrière. On ne voulait plus entendre parler de cette histoire. Mais les otages sont restés 3-4 mois de plus là bas.


Kerry: Pour que Reagan soit réélu.

John: Oui.

Kerry: Incroyable !

John: Beaucoup connaissent l'histoire. Ça fait quoi? 30 ans? Et maintenant, tout le monde a oublié. J'en ai parlé parce que je mets cette histoire ici, sur les pilotes, qui ils étaient...

Minot Air Force Base

Kerry: Savez-vous quelque chose sur l'incident de Minot récemment avec la base de l'Air Force et les armes qui... les têtes nucléaires qui...

John: Ça va loin. J'ai vu ça sur ATS, très très développé. C'était l'un de mes fils de discution préférés. Ça n'en finissait pas et y avait des types sur ATS qui savaient vraiment de quoi ils parlaient. C'était extrêmement intéressant. Cheney est sûrement dans le coup. Impossible que ce soit quelqu'un d'autre qui ait donné l'autorisation. C'est l'un des cas les plus «double-jeux» que j'aie jamais vus.

Kerry: D'après vous, c'est une mise en scène pour quoi? pourquoi ils ont fait ça?

John: C'est bien la question, pourquoi? Ils ont déjà des armes nucléaires en Europe. Pourquoi les voler?

Kerry: Justement. Et pourquoi les faire voler du Dakota du Nord ou du Sud jusqu'à l'autre bout des Etats-Unis? Je veux dire, pourquoi faire?

John: C'est dingue. Pour ne rien faire du tout. Bon, ya sûrement une raison, mais je ne sais pas ce que c'est. Mais cet incident est intéressant, un jour nous trouverons et nous dirons: « Ah c'était ça ! » On dit My'not.

Kerry: Oui. Meh-no. Dakota du Nord.

John: C'est la prononciation française; nous, les américains, disons My-not [rit] Je vous fais marcher.

Kerry: Je vois. Ok. Alors, vous nous emmenez où maintenant John? Qu'avez-vous à nous proposer?

John: J'ai commandé ce livre. [montre le livre] Ça s'appelle : «La Force Gravitationnelle du Soleil» de Pari Spolter, écrit en 1993. Et voyons ce qui est écrit là... [lit] « Ce livre est un défi sérieux à la loi de gravitation de Newton telle qu'elle est actuellement formulée. » J'en suis là, voyez... [montre les pages du début] Newton avait quelques idées sur la Lune et ça m'intéresse. Tout au long de l'histoire, 36 autres personnes ont pensé qu'il y avait une gravité sur la Lune, une atmosphère, et des habitants là haut. Mais chacun d'entre eux... l'info a été discrètement supprimée.

Kerry: Pourtant, nous avons des bases là haut. C'est vraiment ce que...

John: Aucun doute là dessus. Nous avons des bases sur Mars; vous savez, l'équipe secrète d'astronautes est allée sur chaque planète ou sur la plupart des planètes.

Kerry: Chaque planète?

John: Et bien plus loin que ça. Nous sommes allés sur d'autres systèmes solaires. Quand on parle des autres planètes, les gens disent: " Il fait trop chaud sur Venus. " Pas du tout. Conneries. Le soleil est une sphère électromagnétique, ce n'est pas un réacteur nucléaire. Et il n'émet pas de chaleur comme on le dit. Il émet de l'électromagnétisme et chaque planète a son propre système de filtration. Le système de filtration autour de chaque planète détermine ce que sera la température. La température de Vénus est à peu près semblable à celle de la Terre. De même pour Mars. De même pour Pluton. De même pour Mercure. Il y a des gens comme nous sur chacune des planètes.

Les planètes dont vous entendez parler, les géantes gazeuses... comme Saturne et Neptune... Il n'y a qu'UNE géante gazeuse, dans notre système solaire, et c'est la NASA.
[rires de Kerry] C'est la seule géante gazeuse que l'on ait. Toutes les autres planètes, des gens vivent dessus et...

Kerry: Et bien qu'en pensez-vous? Elles sont voilées? Pensez-vous que...

John: Nous ne comptons pas. L'information est supprimée. Nous n'avons pas le droit de savoir quoi que ce soit là dessus. Les personnes dont parle Hoagland ont pris la relève. Et ils considèrent l'espace comme leur appartenant personnellement. Ils ne veulent le partager avec aucun d'entre nous. À cette minute même, ils ont la technologie pour que nous soyons libérés du prix de l'essence et de l'électricité.

Kerry: C'est vrai.

John: Mais ils ne veulent pas le partager avec nous. C'est seulement pour l'élite et nous ne sommes pas inclus là-dedans. Nous pouvons partir à la guerre et être des cobayes pour des armes, des tests et des trucs comme ça, mais nous ne ferons pas partie du partage de cette technologie. Mais dehors, il y a un univers fantastique, des systèmes de planètes fantastiques; c'est vraiment intéressant, là haut.

Bill Ryan: John, j'aimerai te poser quelques questions pour les personnes qui regardent cette interview. Nous posons ces questions pour eux. Tout d'abord, je veux signaler que notre contact, Henry Deacon, m'a dit personnellement - je ne pense pas que ce soit sur notre site parce que, pour moi, c'était excentrique - il a dit qu'il y avait de la vie sur chaque planète du système solaire. Il m'a regardé dans les yeux en disant: « Tu peux ne pas me croire mais je te promets que c'est la vérité. » [John rit]

Il dit qu'il ne fait pas aussi chaud qu'on nous le dit sur Venus. Il dit que le Soleil ne fonctionne pas comme on nous l'enseigne à l'école. Il dit tout un tas de choses qui corroborent ce que vous dites. Lui, il vient de l'intérieur. Il a travaillé dans les projets noirs très secrets dans plusieurs endroits. Et donc, ses sources proviennent de documents qu'il lisait lors de ses briefings, de ses conversations avec d'autres physiciens, et ainsi de suite.

D'où tenez-vous vos informations en étant ici? Parce que c'est tellement extraordinaire, et surtout si loin de ce qu'il est permis de savoir, que les gens ont besoin de savoir comment vous en arrivez là, ou qui vous informe, ou bien quelles sont vos sources?


John: Pour le soleil particulièrement, ça vient d'un document dans les «Branton Files»

Kerry: D'accord. Alors vous avez rencontré Branton?

John: Non, mais nous avons beaucoup parlé ensemble. Je ne suis pas sûr de l'avoir rencontré. Mais son nom était... comment? son nom réel?

Kerry: J'ai oublié son vrai nom.

John: Je crois que c'est Dave quelque chose. Quoiqu'il en soit, nous étions très proches, puis il est tombé malade quelque temps, et je ne sais plus ce qu'il fait. Mais ses infos sont tellement intéressantes. Je n'ai aucune raison de croire qu'elles soient fausses. Avez-vous lu les «Branton Files»?

Kerry: Ah, oui. Absolument.

John: C'est volumineux. J'en ai un classeur épais de 8 cm. Je les ai imprimées.

Kerry: Quand même, c'est lui qui a vraiment donné au public les informations sur Dulce dans ces dossiers. Vous connaissez bien tout ça n'est-ce pas?

John: Toute l'histoire de la base de Dulce a débuté en 1987 quand Linda Howe, Tom Adams, plusieurs autres, et moi-même, nous nous sommes rencontrés quelques jours à Crestone dans le Colorado pour faire le point sur les Ovnis. Lors de cette réunion, (qui durait 3-4 jours) Tom Adams est venu vers moi et m'a donné un mot. [montre une pile de papiers] Je peux le trouver mais je ne l'ai pas là. Ce mot était de celui que j'appelle: «Mr X» d'Henderson au Nevada. X avait un ami qui travaillait dans une base souterraine au Nouveau Mexique... des murs carrelés et des couloirs qui n'en finissaient pas...et un peu de...
Bref, Tom me dit: « John, je n'ai pas le temps d'aller faire des recherches là bas, peux-tu t'en occuper? » Et j'ai répondu oui.

Avant de rentrer, Linda Howe et moi avons traversé tout le Nouveau Mexique avec ma camionnette; nous avons fait un arrêt pour parler à Ernie Edwards, un personnage clé dans l'affaire Bennewitz. Puis, nous sommes descendus à Corona pour rendre visite à Clifford Stone. Nous avons pris la route qui va de Corona à l'autoroute pour rejoindre Roswell. Nous cherchions le «Roswell ranch» et, quand nous sommes arrivés au tournant, il y avait 30 vaches mortes là. C'était DINGUE. Ce n'était pas les mutilations classiques, mais elles étaient mortes. On a parlé au fermier qui disait: « Oh oui, il y a un virus qui traine par là. » J'ai oublié toute l'histoire, mais ça n'avait aucun sens. Nous sommes partis interviewer Clifford Stone.

Puis, je suis rentré à Las Vegas pour rencontrer Mr. X. Il a commencé à me parler de Dulce, du garde qui a été témoin des atrocités survenues là-bas et qui était révolté et a fini par s'évader. Et il s'est échappé avec (soi-disant) sept minutes de vidéo qui montre l'entrée, 25 photos noir et blanc, et une centaine de pages d'informations.


Kerry: Sauf que, maintenant, on nous dit que le tout est enterré sur le sommet d'une montagne et reste inaccessible.

John: J'y viens, j'y viens...

Bill: Ce type, c'était Thomas Castello, pas vrai?

John: Thomas Castello. Mr. X avait rencontré Thomas Costello et ils étaient devenus copains. Quand il s'était échappé, il avait six de ces boites; il en a donné une à chacun de ses amis et Mr.X était l'un d'eux. X m'a emmené à Dolan Springs où il avait caché sa boîte sur le haut d'une montagne. Je ne suis pas allé sur le sommet de la montagne, je n'ai pas vu exactement où c'était, mais il m'a montré le coin.

Nous sommes rentrés et sommes restés en contact pendant environ trois-quatre mois. Finalement, il m'a fait voir des dessins qu'il avait faits d'après les photos originales. Ce sont les «Dulce Papers» tristement célèbres. Et j'ai les originaux ici, ceux que j'ai dessinés d'après ces dessins. Je les ai redessinés.


Kerry: Et ce sont des dessins de quoi?

John: De l'intérieur de Dulce.

Kerry: Je vois. Je ne sais pas si on les a déjà vus ou pas. Peut-on les avoir pour la caméra?

John: Ouais.

Kerry: Okay. Il y a des dessins d'aliens?

John: Non. C'est juste le labo avec les crochets, des sacs, et tout.

Bill: Ce sont les dessins qui ont été montrés dans Matrix Deux? Matrix Un?

John: Oui. Matrix One. D'ailleurs, au sujet de Matrix, quand j'étais dans tout ce truc, un type essayait sans cesse de me contacter, John Grace; il me disait toujours: « Il faut que je vous parle. » Et c'était pendant cette période difficile avec Marylee; alors je lui répondais toujours: « Ne venez pas, je ne veux pas en parler. »
En fin de compte, il est venu et nous avons développé une longue relation de collaboration sur l'information.
Et chaque page de Matrix One est sortie de ce bureau.
[montre la pièce entière] Et je voudrais bien avoir ce livre. Ma mère est morte et il restait un exemplaire (à l'état neuf ) qu'elle avait et je l'ai donné à l'une de mes nièces. Je n'ai donc pas l'original de Matrix One; mais j'ai un original Matrix Deux. Maintenant on en est à Matrix Cinq.

John Grace était un type fascinant; il a fait beaucoup de recherches, il a travaillé pour la base de l'Air Force de Nellis. Et, un jour, pendant cette période là, vers la fin 1987, il a écrit une sorte de «Compile de ses recherches» où nous en étions dans ce que nous avions trouvé. Il a tout mis par écrit. Il voulait que ça sorte mais sans y mettre son nom. Il voulait une suggestion et j'ai dit: " Pourquoi t'appellerais pas ça K-R-I-L-L ? " (parce qu'en 84, le Pentagone traitait avec un alien nommé C-R-L-L-L)

Il était d'accord et il invente comme ça, les initiales O.H; et c'est devenu «les O.H Krill Papers». On n'essayait pas d'en montrer à tout le monde, on n'essayait pas de désinformer. C'était juste ce qu'on pensait de mieux à ce moment là. On a donc inventé ce nom. Plus tard, c'est devenu un super désastre parce que Bill Cooper est entré en scène. Bill et moi même avions fait plusieurs interviews vidéo ensemble. L'une d'entre elles était: «PM Magazine» à Salt Lake City et ils ont posé la question des «Krill Papers » durant cette interview et Bill Cooper répond qu'il a vu ce dossier dans la Navy il y a plus de vingt ans ! Alors que John Grace et moi les avions pondus deux mois avant!

De plus les «Papers» contenaient un paragraphe sur l'armement Excalibur. Cet armement était en développement par les militaires et serait capable de pénétrer le sol à une profondeur de 304 mètres. Bob Lazar avait écrit à ce sujet deux mois plus tôt. Et Bill Cooper disait qu'il avait vu ça dans la marine vingt ans auparavant ! Alors j'ai pris Bill Cooper en aparté et lui ai dit: « Mais qu'est-ce que tu racontes ! John Grace et moi avons écrit ces Krill Papers et Bob Lazar a écrit la partie sur Excalibur. » et il a répondu: « Et bien, possible, mais je les ai vu dans la Navy il y a vingt ans. »

C'est là que Bill et moi, nous nous sommes séparés; car je ne pouvais pas comprendre pourquoi il disait un truc pareil. Et c'est devenu connu comme étant «la maladie de l'ovni ». C'est quand vous devenez si connu dans le monde ufologique et que vous n'avez rien de nouveau à dire, alors vous inventez.


Kerry: Ok. Je peux vous poser une question? Parce que je crois savoir que les livres Matrix sont écrits par Val Valérian, qui est John Grace alors?

John: C'est John Grace, exact.

Kerry: Matrix5 parle de planet X, j'ai entendu. Je l'ai et je ne me souviens pas avoir vu où l'on parle de Matrix5, enfin ça parle vraiment de tout là dedans. Mais vous dites que Planet X , c'est une fable complète; alors êtes-vous toujours en relation avec John Grace? Savez-vous pourquoi il dit que c'est vrai?

John: Non, je ne sais pas. John Grace... Vous savez, j'ai commandé Matrix 5 et j'ai lu les 30 premières pages, je ne pouvais pas aller plus loin... Donc, il se peut qu'il y ait une planète X, il se peut qu'il y ait une Niburu, mais ça ne détruira pas la Terre en 2012.

Kerry: Ok. Et les météorites? Vous savez qui se dirigent sur notre planète, qui foncent vers nous.

John: Nous serons protégés. Vous n'avez pas à vous inquiéter des météorites.

Kerry: Et comment? Par qui?

John: Les types qui s'occupent de nous.

Kerry: Qui sont...? Vous parlez des aliens? Vous parlez de Haarp?

John: Ouep. Les aliens.

Kerry: On a une idée de quels aliens nous protègent? Vous en avez un?

John: Probablement les Gris. Les Gris sont responsables de ce que nous appelons le corps physique, qu'ils appellent des «récipients» (Bob a lu ceci dans les briefings sur le site des essais). C'est leur travail. Ils s'assurent que tout se passe bien. Et les «récipients» contiennent les âmes. Les Gris peuvent changer les âmes d'un corps à l'autre, mais l'âme n'est pas leur responsabilité. Cela incombe à quelqu'un d'autre. Et je ne sais pas qui c'est. Les Gris ici ne sont responsables que des récipients. C'est pourquoi il n'y aura jamais de météorite qui frappera la Terre, à moins qu'il n'y ait des circonstances extrêmement inhabituelles. Il n'y aura pas de telle catastrophe.

Gardons ça en mémoire et je vais aller manger un morceau...

Voici les originaux des dossiers Dulce. Écrits au crayon par Mr.X qui vit à Henderson. Il les a écrit pour que je les distribue. Il y a une page d'information. Et il y a les dessins, vous pouvez voir le laboratoire, et les cuves avec la viande humaine dedans. Et
[montre une page] les tubes à essais avec des humains en gestation, et des... C'est l'utérus avec les différents humains... et les autres cuves. Et...

Kerry Cassidy: D'où viennent ces papiers, les dessins?

John: Mr.X les a copiés d'après les photos que Thomas Castello lui a données à cacher.

Kerry: Okay.

John: Mr.X a eu UNE des boîtes. Une boîte était cachée dans les montagnes près de Dolan Springs, au sud-est d'ici quand vous allez à Kingman. Alors l'arrangement était...

Ah! Et j'ai celles-ci
[cherche dans des papiers sur son bureau]; j'ai retapé la page et j'ai recopié de nouveaux dessins en noir et blanc, d'après les originaux, parce qu'on ne voyait plus les dessins très clairement.[montre un dessin] Vous voyez, vous avez la " couveuse " ici et et la petite chose qui descend. C'est écrit: « Ça a l'air de faire vibrer l'eau » Le liquide est de couleur ambre. Et ça donne les dimensions. Écrit: « Ressemble à des grands morceaux de viande pâle baignant dans de l'eau trouble, immergés, ne flotte pas. »

[tourne des pages] Chaque page ici est la description de l'une de ces photos données à Mr. X par Castello. En voici une des caméras sur l'entrée vers des centaines de cuves.[ou couveuses]

Kerry: J'ai oublié, qu'est-il arrivé à Thomas Castello?

John: Je vais vous le dire. [gros plan d'un dessin] Voici une photo de... ces couveuses sont branchées sur des machines. [il lit] « Les cuves immergées dans une sorte de liquide jaune, qui a l'air plus épais que de l'eau ». Et ces humains poussent là dedans. Les créatures flottent dans une eau de couleur ambre. Une couveuse est faite d'une sorte de globules jaune blanc dans des cavités, des douzaines de créatures dans chaque couveuse, on ne peut pas compter les réservoirs. Peut-être des vingtaines ou bien des centaines.

Ces couveuses faisaient 65cm de haut sur environ 1m de large. Ces créatures, si vous les sortez de cette couveuse,... voilà ce que vous auriez si vous les placez dans votre main.
[il lit] « Ils ont trois doigts, deux orteils, ils ne sont pas humains; la couleur n'est pas correcte, bleu-gris. Ils ont une peau très mince et font quinze centimètres. » Voici les tubes à essais. « La lumière de la pièce était rose-violette, plus claire par endroits. Des étapes de croissance différentes par centaines. » Autrement dit, ces tubes, ces choses qui poussent là, sont à des niveaux différents de croissance. « Des cheveux épars, presque un nez, on dirait que l'éprouvette fait 1m50 de haut. »

Puis,
[tourne les pages] il y a des infos diverses. Donc, Castello en a préparé cinq ou six, étanches, enveloppés de plastique et dans une boîte. Il y avait écrit: « 25 photos noir et blanc, enregistrement vidéo sans dialogue, et des dossiers d'informations techniques sur le soi-disant complexe occupé conjointement par des américains et des aliens, situé à un kilomètre sous le Archuleta Mesa près de Dulce, Nouveau mexique. Ce paquet a été confié à plusieurs personnes qui en ont vu le contenu sans avoir eu plus de détails sur ce qu'ils avaient vu. »

Donc, Mr. X en a reçu un, l'a caché, et le deal était... Thomas est parti en cavale. Alors Dulce, ou une autre opération, a envoyé des chasseurs de prime. Ce sont des types du style bikers qui se font payer pour trouver quelqu'un; ils sont très professionnels et, en général, ils trouvent rapidement.

Quoiqu'il en soit, Thomas a dit à Mr.X: « Je vais venir ici tous les 4 mois juste pour te montrer que je suis vivant. Si je ne viens pas à deux contacts consécutifs, soit 8 mois, alors tu peux distribuer les documents. » Tout ça est arrivé en 1987, et c'est en 1993 ou 94 que Castello n'est pas venu deux fois de suite. Il a donc été décidé d'aller chercher la boîte.

Je n'y suis pas allé, mais je crois que Bill Hamilton y était, Tal aussi, mais je ne suis pas sûr, je ne me souviens pas. Ça fait 20 ans, vous savez. Mais je me souviens que c'était un effort de taille, ils ont fait au moins 6 expéditions pour trouver cette boîte sans la trouver.


Bill Ryan: Vous avez dit qu'elle était enterrée en haut d'une montagne, c'est bien ça?

John: Ce n'était pas au sommet; je ne crois pas. C'était caché à environ mi-chemin.

Kerry: Nous avons entendu qu'il y avait un sort ou de la magie noire, vous savez, tout autour de l'endroit de la cachette.

John: C'est possible. Je sais qu'il n'y a rien de secret qu'aucun d'entre nous ne puissions faire. Nous sommes toujours filmés, sur vidéo ou photos, c'est ainsi depuis 40 ans. Nous ne pouvons absolument rien cacher. Rien de ce que nous pensons, disons, ou faisons n'est un secret.

Kerry: Vous voulez dire que vous êtes surveillés à cause de vos implications?

John: Non. Tout le monde. Chaque individu à la surface de la Terre.

Kerry: [rires] Oh! Juste...

John: Personne ne peut rien faire en secret. Et la Navy... Dans les sujets que Linda Howe a sorti...

En fait j'ai eu l'occasion de parler avec elle l'autre jour. Elle avait trouvé dans son garage des dossiers très techniques qu'elle avait obtenus dans les années 80's. Elle ne les avait jamais consultés, et maintenant qu'elle avait le temps de le faire... elle a pensé qu'ils avaient de la valeur et m'appartenaient peut-être. Je lui ai dit: « Non, ils n'ont pas l'air d'être à moi. » « Bien », dit-elle, « je vais les mettre en ligne. » Elle les a postés sur son site et quelqu'un sur ATS a dit: « Hey, regardez ça ! » ou peut-être pas sur ATS, j'étais peut-être déjà parti; à Open Minds alors... et j'ai dit: « Okay, je vais voir. » J'y suis allé et, vous savez, il faut payer un abonnement, je ne pouvais pas y accéder.


Kerry: Oui.

John: Alors je lui ai écrit. [Kerry rigole] « Peux-tu me laisser les consulter? » Elle ne m'a jamais rappelé. J'ai donc demandé à quelqu'un de télécharger et j'ai tout lu; et c'était ce que Tal et moi-même, et tous les autres dans le coup... quelqu'un avait pris tout ça et en avait fait une compile comme un gros dossier unique.

Kerry: Oh, okay.

John: Tout ce qu'on avait. Et il y avait des phrases cachées. Je me souviens d'un ancien procureur du Nevada nommé Brian, avec un i, mais son VRAI nom était Bryan.

Pour une drôle de raison, je me souviens très bien des évènements d'il y a cinquante ans, de ce que j'ai lu, les gens à qui j'ai parlé... tout ce qui concerne ça.
[touche des papiers] C'est instantané; mais il y a d'autres choses dont je ne me souviens pas.

Kerry: Wow.

John: Mais la lecture... Je peux prendre ce document, le lire et dire: « Je sais qui a écrit chacune de ces phrases. » Alors...

Kerry: C'est très bien.

John: Le document qu'elle possédait n'avait rien de secret.

Kerry: Donc, la boîte n'a jamais été retrouvée? Qu'en est-il des six autres?

John: Chaque boîte a été donnée à un ami et aucune n'a été retrouvée.

Kerry: Okay.

John: Et ça met donc fin à l'histoire de Dulce. Elle revient régulièrement.

Kerry: Et Mark Richard? Avez-vous entendu parler de lui? C'est le type qui... c'est celui qui disait être un garde de la sécurité; il est en prison maintenant pour autre chose... C'était un coup monté; il affirme qu'il est tombé dans une embuscade en se faisant coincer pour meurtre. Sa femme Joanne est dehors...

John: Foutaises totales ! Pure bêtise !

Kerry: Vraiment?

John: Sûr! Trois d'entre nous avons étudié cette histoire par tous les angles. C'est «The Dark of the Moon» ou quelque chose comme ça. C'est fou. Quand j'ai commencé à lire ça... et dire que j'ai payé pour ça!... J'ai réellement payé une vraie somme pour cette histoire et voyez, parce qu'il disait qu'il avait été un pilote d'essai pour mon père dans les années 40. Ça aurait pu être le cas; il employait des pilotes d'essai à l'époque. Certains passages avaient l'air intéressants mais alors quand j'ai lu l'attaque à Dulce...

Tout d'abord, l'histoire de Dulce, la bataille, ce qu'on appelle la guerre de Dulce, n'était pas une guerre du tout. Ça s'est passé vers la fin des années 70. En 79, je crois. Le Gris, l'un d'entre eux, donnait un cours à quarante scientifiques à Dulce. C'était juste un cours. Les gardes, les nôtres, la Delta Force, savaient qu'ils n'étaient pas autorisés à entrer dans une salle de cours d'un Gris; ni à approcher un Gris, ni à être à proximité d'un Gris avec une arme, d'aucune sorte. Puis, pour une raison quelconque, ce garde entre dans cette classe avec une arme et le Gris l'a tué dans l'instant. Je veux dire sans aucune sommation, rien du tout, il l'a juste tué.


Kerry: Wow.

John: Alors, la Delta Force, qui observait sur les écrans de surveillance, est venue en renfort pour se venger de ce qu'ils avaient vu. Et à la fin du compte, il y a eu 66 personnes tuées dont tous les scientifiques et la Force Delta. Alors...

Kerry: Tués par les Gris?

John: Par le seul Gris. Je connaissais donc cette histoire. Et Bob, à S-4, a lu la même chose. Il a entendu le mot Dulce. La seule différence sur le document qu'il a lu au sujet du massacre est que c'était situé sur l'aire 51. La seule explication que j'en ai est que ses autorisations ne lui permettaient pas encore d'être tenu au courant pour Dulce. Parce que ça n'a pas lieu sur l'aire 51. C'est arrivé à Dulce. Mais il a lu toute la description et il en parle. Peut-être qu'on aura le temps... il y a une vidéo, là-bas, [montre un coin de la pièce] nommée: «Les Chroniques de Bob». Très peu de gens l'ont vue.

Quand Bob a décidé qu'il ne retournerait pas travailler sur le site des tests, il était... comment dire? Il pétait les plombs parce qu'ils tiraient dans ses pneus. Il est venu ici un soir... le jour où ils avait eu un de ses pneus.
Et il est arrivé ici en disant: « John, je vais me rendre. » Et j'ai dit: « Mais Bob, il n'y a personne à qui te rendre, maintenant, arrête ça ! »
[rigolade de John et Kerry] Il a dormi sur le sofa cette nuit là et... J'ai perdu le fil là... Il a dormi là. De quoi je parlais?

Bill: Avant ça, vous disiez qu'il avait vu des documents mais qu'il n'avait pas les autorisations pour Dulce, cependant les évènements lui ont été relatés.

John: Exact.

Kerry: Mais vous parliez de cette vidéo, celle qu'il a enregistrée...

John: Ah oui. Les chroniques de Bob. Et bien, juste après ça, George Knapp est venu et a fait une interview d'une heure chez Bob pour tout avoir sur vidéo, tout ce que Bob pouvait dire au cas où ils l'assassineraient. Ce serait ça de sauvé.

Kerry: Oh !

John: Et c'était avant qu'on fasse «The Lazar Tape». Celle-ci a pris trois ou quatre mois à faire. C'était un document professionnel. Mais George voulait avoir le gros de l'histoire de suite, donc on a eu...

Kerry: Vous dites que vous avez ça?

John: Oui, juste là .[montre un coin de la pièce] Je l'ai donnée à Ron, umm...

Kerry: Garner?

John: Garner. Pour qu'il le mette sur DVD.

Kerry: L'avez-vous?

John: [acquiesce] Mm hm...

Kerry: Allez-vous essayer de le vendre?

John: Je ne crois pas. Je lui ai dit... j'en ai parlé à George et il a dit non. Techniquement, ça appartient à Channel 8. Il ne peut donc pas s'en servir. Alors, j'ai dit ok. Juste pour montrer à des amis.

Kerry: On aimerait beaucoup visionner ça !

John: Bien sûr !

Kerry: Super.

John: Okay. Dans quelques minutes, on fait une pause et je vous la montre.

Bill: Je voudrais vous demander comment ça s'emboite avec l'histoire de Phil Schneider sur la bataille de Dulce.

John: Et bien, Phil est un type bien. Je l'ai rencontré plusieurs fois. Certains aspects de son histoire sont exacts, mais pas celle de Dulce. Je ne crois pas qu'il était présent dans cette bagarre, parce que tout le monde a été tué.

Kerry: Est-ce possible qu'il y en ait plus d'une?

John: Bataille?

Kerry: Oui.

John: Possible. Mais Bob n'en a lu qu'une et ceux à qui j'ai parlé... Il y a quelques instants on parlait des initiés que j'ai rencontrés. Puis de l'initié dont je vous ai parlé, celui qui m'a raconté sur la machine énorme pour creuser, et il ne savait pas comment elle serait transportée sur la Lune; et bien, il a parlé de Dulce. Et il a dit que c'était la section D, et d'autres personnes connaissent cette histoire sous l'appellation Section D et non pas Dulce.

Kerry: Ok.

John: Celui là, l'initié... quand je parle d'initié, lui, il était à l'intérieur même, et il disait... vous savez, il m'a dit des choses jamais entendues ailleurs. Par exemple, j'ai toujours entendu que nous sommes allés sur la Lune avant 1969. Il disait: « Ouais, nous y étions en 62 et sur Mars en 66. »

Kerry: Wow !

John: C'est lui qui m'a parlé du 4ème astronaute tué dans Apollo1. Parce que lui, il était là bas deux heures après. Il y avait été envoyé spécifiquement. Il ne m'a pas dit pourquoi ils l'ont appelé, ni ce qu'il y a fait. Mais il a dit que, dès que le feu a pris, instantanément, la NSA qui contrôle tout là bas ( ce n'est pas la NASA), la National Security Agency donc, a fermé tout le secteur. Personne ne bougeait pendant qu'ils sont allés là dedans (les types de la NSA) pour retirer ce corps. Il fallait qu'ils sortent Grissom, Chaffee et White et ce 4ème astronaute. Sa place était en bas, dans l'unité de contrôle de l'environnement. Je vais vous montrer à quoi le module Apollo ressemble... parce que dès qu'on parle d'un 4ème type, c'est: « Oh il n'y a aucune place, je l'ai vu dans un musée. »

Et bien, en bas, il y a beaucoup de place, car c'est là qu'ils entreposent les roches rapportées de la Lune. L'astronaute s'allongeait là, la tête reposée sur le tableau de bord. Il y avait toujours un quatrième homme, là, pour les aider à traiter les problèmes qui survenaient. Ce jour là, Joe Shea aurait dû s'y trouver, mais pour une raison quelconque, il n'avait pu venir. Donc, cet astronaute là y était pour les aider en cas de problème.

Dans tous les livres sur Apollo, l'histoire officielle est que Walt Schirra a rencontré Joe Shea au déjeuner et a dit: « Pourquoi vous ne brancheriez pas un quatrième casque ici pour envoyer une personne de plus afin de les aider à résoudre leurs problèmes? » Joe Shea a soi-disant répondu: « Oui, je crois qu'on va essayer ça. » Et puis, chaque livre continue à dire que c'était trop compliqué à faire, qu'il aurait fallu suspendre des câbles en dehors du sas, le fermer hermétiquement, donc ils ne pouvaient pas le faire. Et tout ça, bien sûr, sont des conneries. Tout le toutim était en place, câbles et tout, pour un quatrième astronaute là dedans, juste pour cette raison: les aider à résoudre les problèmes.

Vous connaissez Clark McClelland?


Bill: Clark McClelland, oui.

John: Clark McClelland et moi, on a parlé de ça pendant des heures. Et jusqu'à ce jour, ça le peine d'en parler, parce que c'était horrible. Nous en avons discuté longuement et son sentiment est que - c'est lui qui me l'a dit - ce n'était pas un crime délibéré, mais ils ont laissé faire. Ils les ont laissé mourir. Et c'est ça qui fait tant de peine à Clark.

Okay, il y a environ une semaine, CNN annonçait qu'un bloc de glace de 340 km de long sur 60 à 75 km de large s'était détaché de l'Antartique, ceci démontrant à quel point le réchauffement planétaire était un problème sérieux. Il y avait une vidéo prise par une équipe anglaise qui volait le long de cet énorme morceau de glace coupé bien au carré sur 60 km. Et on essayait de nous faire avaler ça, à nous le public, comme quelque chose qui venait de se détacher alors que c'était clairement une arme à énergie directe qui avait découpé ça de cette façon. Ils utilisent les armes qu'ils possèdent (armes à énergie directe) pour faire toutes sortes de choses ainsi.




INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear610

Et là, c'était de découper ce morceau de glace pour que nous soyons inquiets au sujet du réchauffement climatique. Oui, il y a un réchauffement; mais nous n'en sommes pas responsables. C'est un cycle naturel de la Terre qui va continuer à chauffer pendant un moment, puis qui se refroidira. Nous n'y pouvons rien.

D'autres choses qu'ils ont faites avec ça... certainement le building Murray d'Oklahoma city, c'était sûrement une arme à énergie directe. Aucun doute là dessus. Je suis sûr que Timothy McVeigh est vivant quelque part. Il participait à cette opération. Il n'y a pas de danger qu'ils le laissent mourir. C'était un essai pour ce genre d'armement, à tester avant le 11 septembre 2001.

Et d'ailleurs, au sujet du lancement mystère de l'Atlas5... Atlas5 est un missile que nous... c'est l'un de nos missiles actuels que nous utilisons pour lancer toutes sortes de choses dans l'espace.
Il a été lancé 24 heures après qu'Atlantis, le STS-122, soit placé tout nettoyé au Kennedy Space Center. La base Air Force de Patrick se trouve juste à coté; c'est le Cap Carnaveral militaire. Et ils sont arrivé à lancer ce truc en 24 heures !

L'importance de l'histoire est que quelque chose qui devait partir à bord d'Atlantis devait absolument partir, aucun délai n'était permis. Il fallait qu'ils soient prêts et envoient ces astronautes (je suis sûr que c'était des astronautes, mais c'était peut-être des marchandises) dans cet Atlas5 et le lancent. L'Atlas5 a un énorme chargement au sommet et il pourrait s'y trouver de tout. Je n'ai jamais vu l'intérieur. Je suppose qu'il y a un petit vaisseau à l'intérieur avec 2 ou 3 astronautes dedans.
Quand Atlas5 s'élève, ça s'ouvre comme ça
[ses mains en forme de coupe s'ouvrent] et ce petit vaisseau sort et peut manœuvrer entre toutes les plateformes spatiales que nous avons. Puis il peut revenir, entrer à l'intérieur et se poser. Ce qui est bizarre dans cette affaire est qu'ils ont lancé ça moins de 24 heures après qu'Atlantis soit nettoyé. Plus tard, je vous montrerai les gros titres de cette histoire qui l'ont rendue si louche.

J'ai l'habitude de conduire de Las Vegas à Reno depuis 30 ans. Mes parents ont déménagé là bas en 68, j'y ai déménagé en 1974; et à environ deux tiers de la route pour Reno, se trouve une ville charmante: Hawthorne, Nevada. Il y a un petit lac nommé Walker Lake. Il fait 21 km de long et environ 27 mètres de profondeur. C'est un endroit très pittoresque sur le versant des montagnes.

Il y a deux opérations militaires à cet endroit. L'une est la fabrique de munitions de l'armée où ils font toutes sortes d'explosifs, des missiles, ce genre de choses. Ça, c'est d'un coté de la route; de l'autre coté, il y a un endroit appelé: NUWC, pour «Naval Undersea Warfare Center». À chaque fois que je passe par là, je vois ce panneau et je vois aussi que nous sommes au milieu du Nevada et, aussi loin qu'est l'horizon, il n'y a que du sable et des montagnes. Et ce petit lac qui ne pourrait pas être utilisé pour un entrainement à la guerre sous marine vu sa petite taille. On peut voir quelques immeubles assez vagues vers le lac, rien d'intéressant. Je me suis donc toujours demandé ce que ce lieu abritait.

Au fil des années, en pilotant pour les différentes compagnies, j'ai parlé à trois personnes, non reliées, qui m'ont dit qu'une base sous marine se trouvait là. D'abord, des sous marins ne pourraient pas se trouver à Walker Lake. Impossible. C'est trop peu profond. Et de plus il y a un fond, ils ne pourraient pas sortir. Et ces personnes étant sérieuses et informées; je me suis toujours demandé ce qui se tramait là.

En août dernier, j'ai donné un exposé à la San José UFO Expo et mon sujet était: «La Civilisation sur la Lune. » À la suite de mon exposé, un type de la Navy est venu me voir, en uniforme, jeune, et m'a remercié. Et j'ai dit: « Devriez-vous vous trouver ici? »
Lui: « Oh oui, pas de problèmes. »
Moi: « Super ! Etes-vous allé dans les tubes récemment? »
Lui: « Chaque jour. »
C'est une question clé, pour un type de la Navy, parce qu'ils ont un système de transport souterrain qui traverse la planète de part en part et c'est très très rapide. Vous pouvez vous rendre n'importe où dans le monde en 1 heure et c'est très secret. C'est opérationnel depuis les années 60's. Et tout le monde le sait. Mais c'est un gros, gros secret. Et c'est un secret de la Marine U.S.
J'ai rencontré des hommes intéressants et haut placés dans la Marine; et je n'ai jamais trouvé quelqu'un qui admettait simplement être allé dans ces tubes à part celui là. Alors, du coup, je me suis dit: « Ce type est de l'intérieur, il sait ». Je l'ai donc revu par la suite et il m'a appris de choses étonnantes.


Kerry: Décrivez-nous ces tubes. Quand vous dites «tubes», vous parlez de quoi? un train à grande vitesse?

John: Oui. C'est un TGV, du diamètre de cette pièce. Ils ont des voiturettes dans lesquelles vous êtes assis comme ça. [s'adosse à son fauteuil] et vous rabaissez le capot comme ceci. [main sur sa tête qui descend devant son visage] et, Whoosh ! et hop! vous êtes n'importe où dans le monde en 1 heure.

Kerry: Wow!

John: J'ai donc parlé au gars et lui ai demandé: « Que savez-vous de Hawthorne? » Et il répond: « Rien, pourquoi? » J'ai dit: « Et bien vous savez, c'est le Naval Undersea Warfare Center. » Et il répond: « Ah oui, je vois de quoi vous parlez. Oui, l'entrée est... au nord de Fort Ord sur la baie de Monterey. » Il a dit que l'Océan Pacifique est sous jacent à la Californie, le Nevada, et l'Idaho. Et il a ajouté [montre une carte de l'ouest américain] que c'est la voie qui va de Monterey bay à Hawthorne, il y a un ascenseur à Hawthorne qui descend à 1450 mètres parce que l'altitude d'Hawthorne est de 1450m. Et l'ascenseur le descend au niveau de la mer sous Hawthorne.

C'est pourquoi cette base de l'armée est là. Parce qu'ils font les équipements militaires qui vont dans les sous marins. Et c'est pourquoi on ne voit pas de camions de transport d'équipement entrer ou sortir d'Hawthorne, soit au nord soit au sud. Ils vont direct dans l'océan pacifique où se trouvent les sous marins et ils chargent là et sortent là.
[montre la côte californienne sur la carte]

Et aussi, j'ai un ami... Scottie Lyon, SEAL team6, l'un des fondateurs de SEAL. Un type sympa, décédé maintenant, donc je peux le dire. Il y a une base secrète de la Marine à Lake Tahoe. Il ne m'en a pas dit plus. Mais maintenant, je comprends ce que tous ces gens racontent. Il y a des bases souterraines navales qui, connectées par l'Océan Pacifique, vont partout.

Il y en a en Idaho, qui sait? Voyez, il y a quelques mois, sur ATS, un membre a dit que son père a travaillé sur un sous marin nucléaire à Saint Louis, Missouri. Il est allé là bas, a vu le lac et tout. Ma question était: « Ils remontaient le Mississipi ou ils venaient de l'Oéan Pacifique jusque là? " En fait, la question est: « Y-a t-il une connection avec l'Atlantique? » Car c'est très possible qu'il y en ait une. Deux sous-marins nucléaires perdus par la Marine sont le Tresher et le Scorpion. Et tous deux ont des histoires fantastiques, de valves qui sautent, ou d'attaques d'un sous marin russe, ce genre d'histoires. Mais si vous consultez les «Branton Files» et lisez sur ce sujet, ces sous-marins ont été perdus en explorant cette région
[montre la Californie et le Nevada sur la carte] tous les deux... le Tresher et le Scorpion.

Alors, sur ATS, quand j'ai commencé à en parler, ils ont appelé les gros bonnets du Pentagone. Ce vantard de la Marine se pointe, vous voyez le genre, un «je sais tout » chatouilleux au possible, avec: « Il parait que quelqu'un veut parler du Tresher et du Scorpion? » et je le laisse s'empêtrer. Bien sûr, il est parti le jour suivant. Il n'a rien compris. Il pensait venir pour nous intimider.

L'une des autres choses que j'ai entendues à ce sujet, c'est un cuirassé tout informatisé. Ça s'appelle Fleet21, ça existe. Ils viennent juste de terminer les essais en mer, au sud ouest de Coronado. C'est parti pour être une opération à part entière, maintenant. Ça fait 200m de long et tout comme n'importe quel cuirassé, excepté qu'il n'y a personne dessus, tout est informatisé. Il y a une aire d'atterrissage pour hélicos à l'arrière, pour que, s'il y a un problème, ils amènent une équipe de 9 membres qui descendent, vont à la salle informatique, réparent puis décollent. Ce que ça permet de faire, c'est de mener une attaque complète avec un navire de guerre sans aucun blessé.

L'autre joujou que nous avons, d'après ce que j'ai entendu, c'est ce qu'on appelle un sous marin d'attaque rapide. Et ce que je vous dis n'est pas techniquement classifié pour la raison suivante: il y a plusieurs années, on a décidé qu'à partir de la minute où quelque chose était classifié, il fallait faire tellement de paperasses que le document en devenait non classifié car trop de personnes l'avaient lu. Donc, la meilleure chose à faire était de ne rien dire à personne à part à ceux qui savaient déjà, et de ne pas classifier; de cette façon, vous pouvez le garder secret.
[montre un diagramme] C'est le sous-marin nucléaire d'attaque rapide.

Ce sous-marin utilise la fusion à la place de la fission. Ça fait 24 mètres de long. Imaginez une source nucléaire qui puisse alimenter cette chose dans un espace si restreint. Là, c'est un sas pour une équipe de 12.
[montre sur le dessin] Et voilà le sous marin; je crois qu'on en a 70 maintenant. C'est celui-ci qui a coupé les câbles. Parce qu'ils peuvent plonger très profond, aller en bas, faire sortir l'équipe des 12 pour qu'ils accomplissent leur mission. Cette chose est si avancée! Ça marche à 120 nœuds avec un équipage de 9 hommes.

Le ROV ici
[montre sur le dessin] signifie: «Remote Operated Vehicles». Ils sont garés là et il y en a trois. L'un d'eux peut voler. Ils peuvent aller voler et prendre des photos ou faire ce que vous voulez. Pour la vitesse de 120 nœuds vous devez vous dire: « Ah, allez, nous savons que les coques immergées ne peuvent aller aussi vite! » Et bien maintenant, ils ont trouvé, ou ils ont perfectionné et résolu le «contrôle de la couche limite» [boundary layer control], c'est la portion de la mer qui vient en contact avec le navire et crée une friction.

Bill: C'est donc semblable à la technologie qu'ils ont sur les ailes du B2?

John: Ouais.

Bill: Mais appliqué à l'eau.

John: Aux sous marins.

Bill: Je comprends.

John: Et ils fabriquent ça dans l'espace, dans des usines. Quand la navette revient et quand d'autres avions - (je vous montrerai une autre photo d'un avion qui a été vu au dessus de l'Irlande, il y a quelques années) - reviennent, ils apportent des pièces. Ils les rapportent en feuilles, en rouleaux et en barres. C'est un matériau fantastique; vous pouvez fabriquer toutes sortes de trucs. Pour les sous marins, ça garde la couche de surface, la couche entre la coque et l'eau, à un écart de 3-5 cm; si bien qu'il n'y a absolument pas de friction. Et il n'y a pas non plus de bruit avec ça. Ils utilisent ce matériau non seulement sur leurs nouveaux cuirassés, mais aussi sur leurs sous marins et sur leurs avions.
C'est un matériau très, très fantastique.

C'est comme ça qu'ils peuvent aller jusqu'à 120 nœuds. Nous savons que le déplacement de la coque d'un navire, comme, disons le Ronald Reagan... la vitesse maximale en théorie est 1.34 fois la ligne de flottaison. Nous savons que la ligne de flottaison du Ronald Reagan est d'environ 1000 pieds. Alors vous prenez 1.4 fois la racine carrée de cela, et vous en ressortez avec environ 32 nœuds. Ça semble raisonnable à tous. Un porte avions qui avance à 32 nœuds, c'est vraiment du halage. En fait, je pense que le R.R marche à 90 nœuds. Je dis ça parce que l'Enterprise allait à 75 nœuds.

J'ai des amis qui ont travaillé là dessus et ils disent que, quand ils devaient se rendre quelque part rapidement, ils disaient à tous d'aller sous les ponts parce que le gros temps arrivait... puis ils allaient jusqu'à 75 nœuds. Ils faisaient ça, car ils ne voulaient pas que quelqu'un s'aperçoive de la vitesse et ils ne voulaient pas qu'ils passent par dessus bord non plus; parce qu'avec 75 nœuds, ça roule, c'est presque 135km/heure ! Et vous ne voulez personne sur le pont en train d'essayer de le traverser alors qu'ils sont habitués à marcher quand le navire avance à 30 nœuds.
Et quand les gens disent: " Mais, quand ils sont arrivés, ils n'ont pas posé de questions? " Non, le fait est que personne ne pose de questions.




INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear710

Le vol TWA a été abattu par un sous marin de la Marine. C'est resté caché. J'entends souvent les gens dire: « Ça n'est pas possible parce que nous savons que les gens dans la Navy sont les plus bavards qui soient, et c'est sûr que quelqu'un aurait parlé. »

Ce n'est pas vrai. La Marine est l'un des corps les plus solidaires dans le monde. Personne ne parle à moins d'être censé parler. Impossible que quelqu'un sur ce sous-marin ait dit quelque chose. Oui, une personne a parlé à son père, et cette personne s'appelle Jim Sanders. Il a écrit un livre : «L'Elimination du Vol TWA800.» Il est le seul qui l'ait fait.


Bill Ryan: Quel missile était-ce?

John: Je ne sais pas. Mais sa cible était un drone. Et quand ils l'ont lancé, le drone était entre le vol TWA800 et le sous-marin. Pour une raison quelconque, quand le missile a été lancé, il a immédiatement perdu, pour un instant, son verrouillage sur le drone; quand il s'est retrouvé calé, il l'était sur le vol TWA800. Quand il a traversé TWA800, il a traversé la première classe en faisant sauter le nez, et le réservoir central a explosé.

Kerry Cassidy: Donc, vous dites que c'était un accident?

John: C'était un accident. Un accident de la Marine. Ils faisaient des exercices de tirs réels.

Kerry: Oui.

John: Ils ont toujours fait ça. Celui-là est le cinquième avion (civil) que la Marine ait abattu depuis 1963. Le premier était un vol de «Flying Tiger Line», compagnie pour laquelle j'ai travaillé. Un Constellation de chez Lockeed, au dessus de Guam. Un pilote de la Navy a ciblé l'avion qui passait parce qu'il n'avait rien d'autre à viser et a laissé partir un missile accidentellement. Tout le monde a été tué. Et cet accident, comme toujours, est documenté ainsi: «Cause inconnue».

Ce qui a rendu Flying Tiger Airlines l'avion cargo le plus utilisé pendant la guerre du Vietnam, le Pentagone ayant autorisé la compagnie à faire des vols supplémentaires du Japon au Vietnam. Je veux dire que Flying Tigers a fait fortune à cause de cet accident. Et j'étais proche de...


Bill: Juste avant qu'on ne perde le fil, j'aimerais comparer un témoignage. Parce qu' Henry Deacon nous a dit, (en fait il nous a demandé de retirer ça de notre site) comme il était curieux de savoir ce qui était arrivé au vol TWA800, et étant bien placé à l'intérieur, il a posé des questions. Il a dit que c'était un missile Stinger: ils avaient ciblé le drone très exactement et l'ont manqué. C'est exactement comme ça qu'il l'a dit. Un véritable accident de la Navy. Toute l'histoire a été camouflée. Il a ajouté que le missile était au top de sa limite d'altitude classifiée (qui est plus élevée que ce qui est rendu public,) environ 14,000 pieds.

John: C'est possible. La documentation publique parle de 8,000 pieds. C'est pourquoi le Stinger n'a pas été pris en considération.

Bill: Oui. Est-il possible qu'un Stinger puisse être lancé d'un sous marin? Je croyais que c'était manuellement.

John: Non. Je pense que l'histoire du Stinger et de son altitude classifiée est... peut-être que nous essayons de faire croire... ce sont des terroristes et pas la Marine. On préfèrerait que ce soit des terroristes plutôt que notre Marine. Parce que notre Marine a tiré sur ce navire iranien, alors pourquoi tireraient-ils sur...

Bill: Henry dit que c'était un Stinger, mais que c'était un accident de la Marine.

John: C'est possible. Quoiqu'il en soit, je doute qu'un Stinger puisse être lancé d'un navire de la Marine. Il y a beaucoup trop de preuves qui désignent la Navy. Ce sont eux et je doute qu'ils aient utilisé un Stinger.

Bill: Okay.

John: Un Stinger possède des explosifs et il n'y en avait pas dans TWA800; il n'y avait que le carburant qui a tout bousillé. C'est documenté.






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MessageSujet: Re: INTERVIEW DE JOHN LEAR   INTERVIEW DE JOHN LEAR Icon_minitimeSam 5 Juin 2010 - 15:31

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Bill: D'accord.

John: Là-dessus, Sanders a fait un travail excellent. Ça m'a affecté directement, parce que la FAA a pris comme excuse... et c'est la faute de Richard Clark, vous savez, essayer de tout mettre sur le dos du réservoir principal avec un câble dans la pompe à essence. C'est une telle impossibilité ! Pendant tout le temps de cette enquête, je pilotais un Lockheed L1011, un avion cargo énorme. Il avait une ouverture gigantesque et je prenais des capots de Boeings 777 à Wichita où ils sont fabriqués, pour les emmener chez Boeing à Seattle.

Et pendant qu'on attendait que le chargement soit terminé, on discutait avec les gars de chez Boeing, et ils étaient furieux que la FAA et le NTSP [Navy Training System Plan] essaient de coller ça sur le dos d'un arc électrique dans une pompe à fuel. Parce qu'il n'y a PAS de câblage qui soit proche du carburant. C'est tout simplement ridicule. Tout le monde était vraiment en pétard pour toute cette histoire. Je l'étais d'autant plus que la FAA disait alors qu'il fallait garder suffisamment de carburant pour recouvrir la pompe afin qu'il n'y ait pas d'arc; car vous savez, s'il y a du carburant, il ne peut pas y avoir d'arc électrique. Il faudrait qu'il y ait des vapeurs ou des émanations pour qu'un arc se produise.

Le L1011 avait une capacité de chargement de 115 000 livres. Si on gardait la pompe du réservoir central couverte, on perdait alors de deux à trois mille livres; c'était un peu " ça passe ou ça casse "; c'est ce qui a conduit Kittyhawk à la faillite. Je travaillais pour eux.


Kerry: Je voudrais vous poser une question, connaissez-vous Ben Rich ?

John: Non, mais j'ai parlé à des gens qui le connaissent. Voici ce que Ben Rich a à voir avec tout ça. Mais d'abord, savez-vous où il est né? Ben Rich a été l'un des plus grands, le plus grand espion du Mossad aux Etats-Unis. Je veux dire qu'il avait les informations les plus classifiées. Voilà comment ça s'est passé. Comment on s'est emmêlé avec Israël. En 1947, quand Israël est devenu un état, James Angleton était le chef de la CIA à Rome.

Kerry: Oui.

John: Okay. Ils envoyèrent Angleton à Tel Aviv avec des types du MI-6 pour former le Mossad. Et pour une raison quelconque, James Angleton s'allia avec le Mossad, comme ça: [entrecroise ses doigts]. Pour toujours. Il était la taupe. Souvenez-vous, en 1960, il était le Directeur des Renseignements Extérieurs et c'était donc le type qui cherchait toujours la taupe russe. [rit] Il était lui-même cette taupe russe ! Parce qu'il était si bien avec le Mossad qu'il leur racontait des trucs que le Mossad répétait aux russes.

L'été 63, quand David Ben Gourion lui a dit: « Il faut éliminer Kennedy. Il le faut. J'en ai assez de ses menaces d'inspection de Dimona. Ce ne sont pas ses affaires. Je ne veux plus entendre parler de Kennedy. Vous le tuez. » Il donna cet ordre au Mossad, puis démissionna pour faire oublier sa responsabilité. Le Mossad s'est alors tourné vers Angleton.

L'assassinat de Kennedy n'était pas un ordre de la CIA, mais la CIA a facilité la tâche, car Angleton y était avec ses amis du Mossad. C'est lui qui a arrangé tous les dérapages ce jour là à Dealey Plaza, y compris les échappatoires et tout le reste. Il y avait des tireurs d'élite corses, là-bas, engagés par le Mossad. Tout le monde a dit: « Oh, ils pensent que Kennedy est tué par Johnson, ou Castro peut-être. » Non. C'était Israël. Et la raison est que David Ben Gurion ne voulait pas d'inspection de Dimona. C'est tout.


Kerry: C'est leur... nucléaire... c'est le lieu de leurs essais nucléaires et biologiques?

John: Ils y font leurs bombes nucléaires, avec du plutonium qu'ils nous ont volé.

Kerry: Mais qu'a à faire Ben Rich avec tout ça?

John: Okay. Ben Rich vient d'une famille juive très aisée, aux Philippines, éducation de très haut niveau, placé à Lockeed en 1953 directement comme numéro 2 de Kelly Johnson. Il était là pour le développement du U-2 et il était là pour développer les avions furtifs.

Kerry: Il y a beaucoup d'allusions célèbres à Ben Rich liées aux ovnis et à la technologie n'est-ce pas?

John: C'est juste.

Bill: Oui. On n'en parle pas dans ce livre. [le livre que John feuillette] Ce livre relate l'histoire interne sur ce qui est arrivé à l'U-2.

Kerry: Je comprends.

Bill: Et le XR-71

Kerry: Mais il a dit... quelle est la citation déjà? Tu dois t'en souvenir.

John: " Nous avons des trucs qui rendraient George Lucas jaloux. NOUS pourrions ramener ET à la maison. "

Kerry: Oui. Alors il était donc dans le circuit depuis toujours, c'est bien ça?

John: Oui. Mais il était un espion du Mossad et je vais vous dire comment ils ont fait.

Kerry: Mais d'un certain point de vue, s'il est un espion du Mossad... parce que le Mossad a l'air d'être de mèche avec... vous savez... les Nazis, le groupe NASA-Nazi.

John: Je suis heureux que vous compreniez cela parce que quand les gens disent: « Est-ce qu'Israël a quelque chose à faire avec le 11 septembre? » Je réponds: " Autant que le Père Noel a à faire avec Noel. » [rires de Kerry et John]

Kerry: Donc, oui. Ils travaillent ensemble. Vous dites qu'Angleton était impliqué avec le Mossad. Vous dites que Ben Rich était impliqué avec le Mossad. Vous savez, on a tout... tout se connecte...

John: Absolument-positif-sans-l'ombre-d'un-doute. Bon, on en arrive à la construction du furtif de combat; et ça, c'était le début de trucs vraiment secrets qui se sont passés à l'intérieur de notre gouvernement. La Navy voulait un avion de combat furtif secret juste pour elle. C'était le F-19. Ça prête à confusion, car les gens disent: " Oh, le F-19? en fait c'est le F-117A rebaptisé. »

Non, non. Le F-19 était un avion à part. Ils en ont fait 62. J'avais un ami qui travaillait dans l'avionique et qui s'y connaissait à fond. Il ne l'a pas piloté mais il connait bien ceux qui l'ont piloté; et c'était deux avions complètement différents. A Burbank... il y avait une sorte de rideau de fer gris qui descendait, et vous aviez le F-117A d'un coté et le F-19A de l'autre. Tous les deux avaient des moteurs F404's. Tous les deux utilisaient le même train d'atterrissage, et vous savez pourquoi? Parce qu'ils essayaient de construire cet avion secret pour la Navy sans aucun argent, en se servant des pièces de rechange du F-117A , afin de le garder absolument dans le secret.

Et vous savez quoi? Ça a marché. Jusqu'à aujourd'hui. Parce que vous ne trouverez personne... c'est un des gros problèmes que j'ai eus sur ATS. Je commençais à parler du F-19, et mamma mia ! Pour un sujet sensible, c'en était un ! Ils ne voulaient rien savoir de tout ça.



INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear810

On a donc Ben Rich, p. 48 [tient le livre ouvert, page entière au stabylo jaune] qui parle de ces deals et comment ça marchait. Il dit:
« En attendant, la Navy est venue ici pour tester la possibilité de systèmes d'armes furtives et pour monter leur propre système de sécurité top secret qui était deux fois plus rigoureux que celui de l'Air Force. Nous avons dû installer des systèmes d'alarme spéciaux - qui nous ont coûté une fortune - dans la section de nos sièges sociaux consacrée au travail naval. »

C'était donc la donne. Tout ce qu'ils voulaient? : des systèmes furtifs. Dans le paragraphe suivant, il dit: « Au centre de toute cette rivalité inter-services et de tout ce mic-mac autour de la sécurité, le Général de Division Bobby Bond, chargé des tactiques de guerre, arriva furibard dans l'atelier, les yeux injectés de sang, un beau matin de septembre.

Les vents de Santa-Ana hurlaient et la moitié de Los Angeles se trouvait sous un épais rideau de fumée, mon asthme s'accentuait et mon humeur n'était pas aux visites surprises. Mais le Général Bond était encore plus mal vissé et plus pessimiste que moi et nous a tous rendu cinglés en suivant les progrès du F-117A. Il pensait toujours qu'on l'arnaquait, il se mettait en position de victime. Il martelait mon bureau en m'accusant d'avoir mis certains de mes meilleurs ouvriers, de son avion (F-117A) à travailler sur, d'après la rumeur, un projet pour la Navy.

J'ai fait de mon mieux pour prendre un air contrit et apaiser Bobby. J'ai même levé ma main droite comme pour un serment solennel. Je me disais: “ Et alors? C'est un petit mensonge, que puis-je faire d'autre? Ce projet de la Navy est top secret et Bonds n'a pas à savoir. Nous pourrions tous deux aller en prison si je lui disais ce qu'il en est. ”

Là, Ben Rich continue: « Malheureusement, en sortant pour le déjeuner, le général remarqua au dessus d'une porte un système de fermeture et d'alarme qu'il reconnaissait pour les avoir vus dans les couloirs du Pentagone, utilisés spécifiquement par la Navy pour ses projets top secret. Bonds me serra le bras: “ Qu'y a t-il derrière cette porte? ” Il exigeait de savoir. Avant même que j'invente un nouveau mensonge, il m'ordonna d'ouvrir la porte. Il dit: “ Rich, vous, le sournois que vous êtes, c'est un ordre direct, ouvrez cette put..n de porte à l'instant ou je la fous en l'air moi-même avec cette put..n de hache d'incendie ! ”
[rires de Kerry]

Le type ne rigolait pas. Il a commencé à enfoncer la porte jusqu'à ce qu'une fente apparaisse, s'est glissé dans celle-ci et là, il y avait là quelques commandants de la marine quelque peu étonnés. “ Bobby, ce n'est pas ce que tu penses. ” Je continuais à mentir malgré tout, et lui: “ Ah! C'est pas ce que je pense! Toi espèce d'enfoiré de menteur! ”

J'ai fini par me rendre, mais sans grâce. “ Ok, tu m'as eu. Mais avant que nous allions déjeuner, il va falloir que tu signes le formulaire “Révélation par Négligence”, sinon, nous sommes faits tous les deux par la Navy et par l'Air Force. ” Les commandants nous regardaient avec effarement. Le général de l'Air force surprenant leur projet top secret était aussi catastrophique qu'en donner les plans aux russes.
»

Bill: C'est le F-19, le travail d'un artiste, sur le mur là bas, n'est-ce pas?

John: Au bout? Oui. Ce sont les rendus de l'artiste.

Bill: Bel avion.

John: Mais, voyez ce petit encart, ici, en bas de page? [montre le livre] Cela indique que le Général Bonds fut tué plus tard, lors d'un vol d'essai. A cause de cette tragédie, le Pentagone a interdit les vols d'essai pour les généraux. C'était en 1984. Savez-vous dans quel avion il est mort? L'histoire dit que c'est un MIG-23; nous savions tous que c'était faux. Il a été tué dans un F-19 parce qu'il avait demandé à la Navy de le laisser l'essayer.

Ils ont fait la chose suivante: ils ont désactivé... rendu inefficace électroniquement, le système de contrôle... et ils l'ont tué. Ils l'ont fait, car ils ne voulaient pas que l'Air Force sache, pour le projet secret de la Marine. La raison de ce silence voulu est qu'une partie de ces avions allait aux transporteurs et l'autre partie allait en Israël. Et c'est ça, l'histoire de Ben Rich.


Bill: Vous dites qu'Israël avait, ou a le F-19?

John: Le F-19: Oui. Ça fait 25 ans. Et alors? Israël possède... Est-ce que le Père Noël possède Noël? [Kerry et John rient]

Kerry: Très bien. Je voudrais vous demander autre chose. Le général que Bush vient de limoger, ou appelons ça comme vous voulez...

John: L'Amiral Bill Fallon ! Jai tout un... j'ai une histoire pour Esquire ! Quand j'ai entendu ça, je suis descendu à Borders et j'ai tout lu de A à Z. Vous parlez d'un brave type.

Kerry: Ah, oui, absolument.

John: Absolument ! Je l'ai fait lire à Marilee. Je lui ai dit: " Lis ça parce que c'est la différence entre la guerre et pas la guerre! "

Kerry: Tout à fait.



INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear910


John: J'ai dit: « S'il n'y a qu'un type bien dans la Marine, c'est bien lui. » Mais vous savez, il est impliqué dans un tas de mauvais coups. Il sait pour les... alien... il sait tout. Il essayait de faire du bon boulot. C'était donc un mauvais...

Kerry: Alors, c'est un vrai signal !

John: Oui.

Kerry: On a donc démarré maintenant?

John: C'est une mauvaise nouvelle, qu'il soit parti. Ou bien c'est sa façon de...

Kerry: Il n'a pas démissionné, il a été limogé n'est-ce pas?

Bill: Non, il a démissionné.

John: Il a démissionné.

Kerry: Je connais l'histoire.

John: Il savait sûrement ce qui venait. Mais le fait qu'il l'écrive dans Esquire Magazine, voyez, deux ou trois mois avant, en sachant que ce serait publié, me montre qu'il sait que nous sommes engagés pour une guerre nucléaire en Iran. Ça c'est sûr.

Bill: Quelle serait la position de Mike McConnell là dessus?

John: Mike McConnell... Je suis certain qu'il était MJ1. Je pense que c'est un brave type. On l'a impliqué dans notre réclamation «Qui Tam» car je pense qu'il peut aider. Ce qu'il fait maintenant n'est pas logique pour le programme dans son ensemble mais... je ne sais pas. J'espère seulement que Mike est un brave type. Qu'en pensez-vous ?

Bill: Nous pensons que ce type est bien. Et c'est intéressant...

John: Vous savez pour son lien avec Dan, n'est-ce pas? [Dan Burish]

Kerry: Ah bien sûr!

Bill: C'est intéressant de voir qu'il y a eu une tentative d'arrêter la guerre.

John: A cause de son lien avec Dan, je pense que c'est un chic type.

Kerry: D'accord. C'est ce que l'on pense aussi à cause de ce que Dan dit de lui.

John: Ce que j'ai dit à tous dans la plainte " Qui Tam»... Jerry Leaphart est l'avocat, Morgan Reynolds l'a enregistrée. Judy Wood a fait son propre procès. C'est elle l'expert en dissociation moléculaire. Il y a quelques personnes qui participent dont moi-même. Et voyez, je leur ai dit... j'ai suivi les efforts de Morgan; en novembre, je l'ai appelé pour qu'il soit conscient de ce que je savais sur les avions qu'il ne savait pas. Et il a répondu: « Êtes-vous le type des avions? » et je lui ai dit que oui et on a commencé à échanger des mails. En décembre, il devait participer à l'émission de Jim Fetzer et il me dit: « Aimeriez-vous être interviewé? » J'ai dit: « Bien sûr ». J'y suis allé et il a découvert tout ce que je savais sur le 11 septembre.

Puis, quelques jours plus tard, lui et Jerry m'emailent en me disant: « Nous sommes honorés par ce que vous avez dit. Nous pensons que vous êtes très informés. Pourriez-vous nous aider? Seriez-vous intéressé à signer un affidavit? » et j'ai répondu: « Oui! Dites moi ce que vous voulez. » J'ai donc écrit cet affidavit de quinze pages et...


Kerry: C'est formidable, vraiment.

John: ...et je suis avec eux depuis ce temps là. Mais je les avais prévenus: « Je veux que vous compreniez, les gars, en aucune façon nous allons nous en tirer seuls. Tout ce que nous faisons c'est d'ouvrir une voie pour que quelqu'un nous aide. Il n'y aura pas moyen d'y arriver; beaucoup trop de pouvoir au-dessus de nous.
J'espère qu'il y aura des types comme McConnell et Fallon qui verront ce qu'ils font, et trouveront un moyen de nous aider, parce qu'on n'y arrivera pas par nous-mêmes. »


Kerry: Ok. Pensez-vous que l'Amérique sera en guerre civile dans quelques années?

John: Je ne pense pas.

Kerry: Ah, non?

John: [fait non de la tête]

Kerry: Ok. Alors, que penser du fait que beaucoup de bureaux du gouvernement et d'autres services soient transférés au Colorado? Je veux dire... Denver est... le Pentagone et tout le reste déménage dans le Colorado.

John: Je crois que c'est Sandia et que le Colorado est une histoire qui sert de couverture. Mais je peux me tromper. Je pense que tout part juste là. [montre quelque chose hors caméra] En fait, laissez-moi retirer ça... [retire son micro et se tient debout de l'autre coté de la pièce]
Il y a vingt ans, ils avaient des problèmes pour garder le secret sur des programmes en utilisant des noms secrets. Alors ce qu'ils ont fait? Et bien, ils ont appelé les programmes avec des noms communs. Par exemple, les «Sandia Mountains», la «Sandia Corporation», le «Sandia desert», tout ça s'appelle Sandia. Comme ça, si le nom arrivait dans une conversation, tout le monde pense: « oh, tu parles de la Sandia Corporation, je suis passé devant l'autre jour en allant... » [rires de Kerry] C'est comme ça qu'ils cachent les choses.



INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear1010
INTERVIEW DE JOHN LEAR Lear1110

[John sort une grande photo] Voici le spacioport sur la face cachée de la Lune... je peux vous montrer le bouquin de la NASA avec les photos NASA, vous pouvez prendre votre loupe et vous verrez. [cette image se trouve à 56'17 sur la vidéo #3 à la fin de ce post]
Aucun doute, vous savez pourquoi? Parce que la photo a été prise en 68 et que la NASA n'effaçait pas les photos avant 1970; si bien que j'ai acheté à la NASA toutes ces photos d'avant 70... et des livres; à l'époque, la technique de gommage à l'aérographe n'existait pas...

Kerry: Vous l'avez dit à Hoagland, ça?

John: Ouep. En fait, nous participions au show de George Noory et George lui a montré, je disais: « Alors ça ressemble à une gare spatiale, non Richard? » Et il a répondu: « Non. Ça ressemble à un aéroport. » [rires] Regardez, on peut voir «les tubes». Les supports pour les tubes. Enfin, il n'y a aucun doute. Voilà l'autre trouvaille. [sort une autre photo] Voici le cratère Damoiseau. Il n'y a pas de doute voyez-vous, cette aire là... ce sont des immeubles, des maisons, des choses comme ça.

De toutes façons, l'autre jour, je pensais que... j'aimerais juste... bon, j'ai cette photo prise par l'observatoire Lick. J'allais la faire agrandir pour voir si je peux déceler une chose. Je prends donc cette photo ci
[montre l'agrandissement] et je dis: Ok. C'est juste là, à coté de Grimaldi. Et je regarde... C'est tout blanchi !!! Et voilà les cratères magnifiques, et regardez ça! Y a t-il des cratères? Non ! ! ! On voit un brouillard ! Parlez d'un truc qui m'a vraiment écœuré ! Bon, de toute façon, je suis là pour vous montrer Sandia. [déplie la carte]

Kerry: Oui. Allons-y.

John: C'est ma meilleure carte. Voilà Las Vegas, et là Groomlake, et le Tonopah test range, et voici Sandia sur la Paiute Mesa. Il y a une piste ici et deux autres sur le lac asséché ici. Et là, ils ont la vraie base secrète... Ely. Voyons, ah, Ely c'est là. C'est un lac asséché.

Kerry: Et bien, c'est au milieu de nulle part?

John: C'est une piste de trois kilomètres; c'est vraiment secret. Vous pouvez conduire là à deux heures du matin, et parfois, vous verrez les lumières s'allumer. La façon de reconnaitre une base secrète, c'est que les lumières de la piste sont bleues; c'est l'air Force.

Kerry: Vraiment? Pourquoi bleues? quelle est la signification du bleu?

John: C'est juste comme ça. Les lumières des pistes des bases secrètes de l'Air Force sont toujours bleues. Donc, ils ont cette nouvelle combine ici depuis 20 ans déjà. La plupart de tous les équipements sont souterrains. Quand un pilote arrive pour une approche, quand il est à peu près à 500 pieds, le sol s'ouvre comme ça [doigts et paumes ensemble puis il écarte ses paumes] et il se pose. Et le sol... peut être une forêt, un désert, un champ de coton, il s'ouvre ainsi. Le pilote se pose et le sol se referme, puis ils prennent un ascenseur et descendent.

Kerry: Wow ! Super.

John: Sandia, c'est ça. Et c'est pour cela que ça s'appelle Sandia. Pour que les gens pensent que c'est un endroit ordinaire.

Kerry: Vous n'avez jamais eu d'expérience de voyage temporel, de Jump Room?

John: Non. Les Jump rooms, c'est super. L'autre jour, Ron Blackburn était ici parce qu'il a donné un ordinateur à mon enfant de 6 ans (et il faudra voir si on publie ça ou non) et je parlais de la Jump Room et Ron dit: « Oh, oui, je connais. C'est la jump technologie. »; il disait: « la jump tchnologie, je connais. »
Ok, voici l'objet que le type a vu en Irlande.
[il lit sur un dessin] C'est dix fois plus grand qu'un Boeing 747.

Kerry: Wow ! Incroyable.

John: Deux queues légèrement visibles, soute noire, pas de tuyères.

Kerry: Vous n'avez jamais vu quelque chose comme ça?

John: Non. Il l'a vu au coucher du soleil. Il disait: « Soleil très bas, vu à 19 heures précises, directement au dessus, et ça a pris 7 secondes pour atteindre l'horizon; a disparu au dessus de Belfast, hors de la lumière du jour. Un petit nez blanc, pas de trainées de vapeur, aucun son, contours des différentes sections du corps visibles, gris foncé. »

Bill: J'ai échangé une correspondance avec ce type.

John: Ah oui?

Bill: Oui. Il y a quelques mois. On a décortiqué le truc ensemble; l'engin allait au moins à 27 000 km/h .

John: Miles Johnson?

Bill: Oui. Correct.

John: Voilà ses dessins originaux.

Kerry: Wow !

John: Quand il m'a appelé la première fois, il disait: « Seriez-vous intéressé par ça? » J'ai répondu: « Bien sûr Miles, envoyez de suite! »

Bill: Ce que j'ai fait John, je l'ai mis en contact avec Mark McCandish pour qu'il lui fasse un vrai dessin professionnel; alors, ils ont travaillé ensemble et Mark peut l'ajouter à ses dossiers. Ils se sont bien amusés.

John Lear: Si je pouvais choisir une planète où aller, je choisirais Saturne. Parce qu'ils disent que, ne serait-ce que la regarder, vous met dans un était si incroyable que vous ne pouvez plus rien faire pendant trois jours.



INTERVIEW DE JOHN LEAR Saturne


J'ai trouvé un fil de discussion nommé: «Les Extraterrestres Sont-Ils Réels? Aussi réels que le nez au milieu de la figure.» Il faisait 108 pages et avait été fermé parce que l'auteur, Sleeper, avait été harcelé par les déboulonneurs.
J'ai donc commencé à lire ça, et à la page 18, je me suis dit: « C'est vrai. Ce type sait de quoi il parle. Ça colle avec tout ce que j'ai lu. Il faut que je lui parle. » J'ai lu les 110 pages et je les ai mises dans ce livre là-bas, appelé «Sleeper». Et puis, je lui ai envoyé un mail et nous avons parlé. C'était si fascinant. Je disais: « Vous ne voulez pas revenir? il faut que les gens entendent ça ! » Il répondait: « Non ». Puis, « bon, je reviendrai » et j'ai dit: « Ok, laissez-moi diriger une interface pour vous, ne répondez à personne, laissez moi le faire. » J'ai donc parlé à Mark Allen: « J'aimerais voir si on peut récupérer Sleeper. » Et Mark a répondu: « Dans ce cas, il doit se tenir pèpère. » Et j'ai dit: « Ok. Il sera cool. »

Et nous avons commencé le fil: «I'm Coming Clean on Extraterrestrials». Ça a tourné pendant 250 pages [355 pour ce 2ème fil. Les extraits postés sur ce forum viennent du 1er fil.] Il avait le plus grand nombre de vues, le plus grand nombre de posts de toutes les discussions, c'était un tel plaisir... Tout le monde se levait le matin pour aller voir les réponses aux questions.


Kerry Cassidy: Et c'est toujours sur le site?

John: Oui, je crois. Et vous voyez, les gens... en fait, il n'y a pas eu trop d'insultes. Bien sûr, il y a toujours un type qui vient pour dire: « C'est vraiment un gros tas de merde... » et je m'en chargeais. La première chose que je faisais le matin, c'était d'y aller pour répondre aux importuns pour que Sleeper n'ait pas à le faire. C'était super, vraiment, jusqu'à la fin. Je veux dire, même tout à la fin, c'était formidable. On s'est bien amusés.

Et puis, il a écrit un blog: «Passer une journée avec un ET». C'est l'histoire la plus fascinante qui soit. Au début il expliquait: « C'est écrit sous la forme d'une pièce de théâtre mais, croyez le ou pas, chaque mot est vrai. »
Le sujet: Voyage sur Uranus, la vie du peuple d'Uranus. À quoi ressemblent les immeubles. C'est absolument fascinant. Je pense donc que Sleeper est 100% authentique et vous savez, si ça ne s'avérait pas et qu'on apprenne que tout est faux, je serai choqué au delà du possible, parce que tout ce qu'il dit, c'est exactement ça.

Il m'a appris beaucoup de choses. Car, ces dernières années, les gens m'ont demandé: « Mais alors, où en es t-on, que veut-dire tout ça? » ... je ne sais pas... peut-être que les Gris vendent nos âmes, ou bien, ils font... les moissons... J'avais tort. Ils sont là pour faire un travail. Et Sleeper nous a dit, et ne cesse de le marteler: « essayez juste de vivre votre vie sans avidité, sans haine et sans jalousie. Aimez vos proches et dites leur. » Il dit que c'est la seule façon d'avancer. Et vous devrez revenir sur Terre, recommencer jusqu'à ce que vous ayez appris à faire ça bien. Quand vous apprenez à bien faire, alors vous pouvez sortir et jouer avec les adultes.

Donc Sleeper est celui qui... quand j'ai commencé... c'est intéressant de voir la transformation générale, parce qu'au début, il disait... les gens disaient: « John Lear a-t-il raison? y a t-il des villes et des gens sur la Lune? » et « Non, non, il n'y a personne là haut. » Et à la fin, Sleeper disait: « Oui, John a raison. Il y a des villes et des gens sur la Lune. » C'était un vrai changement. Ça a pris du temps pour lui, d'arriver à le dire, mais c'était super.


Kerry: C'est génial. Est-ce qu'on a oublié quelque chose, John? Quelque chose dont vous vouliez parler que nous n'avons pas couvert?

John: Laissez moi parler un peu de la civilisation sur la Lune car c'est mon cheval de bataille, mon...

Kerry: Ok. Parlez-nous des structures de verre familières à Hoagland parce qu'il appelle ça «du verre». Il dit que c'est une variété de verre spéciale, êtes-vous d'accord avec lui?

John: Non.

Kerry: Pourquoi pas?

John: Parce qu'il parle des photos d'Apollo14 et son idée directrice est que ces structures de verre sont des dômes.

Kerry: Exact.

John: Ces dômes contiennent l'air. Non, l'air c'est... une atmosphère, mais comme vous savez, selon la loi de Boyle dans une atmosphère, plus c'est bas plus c'est épais, donc si vous avez... j'ai des dessins pour expliquer , mais pas ici. Je vais essayer de les trouver pour que vous preniez une photo parce qu'ils expriment exactement ce que je veux dire.
L'air repose dans les cratères et si vous êtes dans un cratère, vous pouvez respirer sans problèmes. Si vous en sortez, ça prend un peu de temps. Dans les faits, la civilisation sur la Lune a commencé avec Newton. Quelqu'un a influencé notre pensée sur la Lune depuis le début de notre pensée en général.

Newton, par exemple, a commencé à s'aventurer à dire qu'il y a peut-être plus de masse sur la Lune. Et il en parle dans ses trois livres appelés Principia. Peu après sa mort, quelqu'un a modifié ses réflexions pour en faire: «La Loi de La Gravitation Universelle de Newton» qui est: « F=[Gm1m2]/r2 » et il n'est jamais arrivé à ça. C'était quelqu'un d'autre. Il ne croyait pas que vous deviez spécifier la masse.

En 1856, un mathématicien danois, astronome, Peter Andreas Hansen, a effectué des recherches sur les mouvements de Saturne; il était très érudit. Mais il étudiait aussi la Lune et a trouvé ceci d'étrange: quand vous faisiez des prédictions sur l'endroit ou la Lune devrait se trouver en un temps donné pour sa masse spécifique, elle ne s'y trouvait pas.

Donc, en 1856, il s'est présenté devant la Royal Society d'Astronomie et a suggéré qu'il y avait une «bosse» sur la face cachée de la Lune... Le centre de gravité se trouvait 57 km plus loin dans l'espace qu'on le supposait et, pour cette raison, il pensait à la possibilité d'une atmosphère sur la face cachée.
Et avec cette atmosphère, il pensait qu'il pourrait exister des plantes et peut-être même la vie humaine. Il fut considéré comme un héros et un érudit très intéressant jusqu'en 1870, quand un type nommé Simon Newcomb vint à Paris pour dire à tous que Peter Andreas Hansen avait tout faux, il n'y avait pas une once de vérité et que même s'il avait raison pour ces temps différents, ça ne changeait rien.

Devinez qui était Simon Newcomb? Il était amiral dans l'US Navy et chef de l'observatoire naval à Washington D.C. Le problème de l'atmosphère sur la Lune pour les gens est que pour avoir une atmosphère, il faut une pesanteur. Les gens croient que c'est 1/6ème de la pesanteur terrestre; on leur a dit ça depuis des années. Quelqu'un a voulu que l'on ne croie pas à une pesanteur sur la Lune. Mais il y en a une.
Cela peut être prouvé avec la loi du carré inverse de Bullialdus/Newton. Cette loi prend la taille des planètes (le diamètre) et le point neutre. Ce point se trouve entre la Terre et la Lune à l'endroit où la pesanteur de la Terre rencontre la pesanteur de la Lune.

La NASA nous a toujours dit que c'est à 36 000 km et si vous établissez la loi du carré inverse, la Lune a une pesanteur de 1/6ème. Le fait est que le point neutre se trouve à 66 000 km. Comment le sait-on? Nous le savons parce que Wernher von Braun nous l'a dit en 1968. Et nous le savons parce que, dans des livres sur Apollo, dont Apollo 17, ils disent très spécifiquement: « Ici nous sommes à 60 000 km et au point neutre ».
Nous SAVONS donc que c'est entre 60 000 et 66 000km et ces deux là donnent une pesanteur de 60-64% de celle de la Terre. Avec 64% de la pesanteur terrestre, il PEUT y avoir une atmosphère.

À la question: « S'il y a une atmosphère, comment y est-elle conservée? », je réponds: « De la même façon que le fait la Terre. Il y a des forêts, des prés, des lacs, des rivières, des gens des civilisations, et tout ça est sur un segment que l'on ne peut pas voir. » C'est ce même segment que Menger et Adamski ont visité.
Je suis certain que Menger est allé sur la Lune en 1954. Ils l'ont laissé sortir du train et respirer l'air. Il a 86 ans maintenant, il vit à Vero Beach en Floride. Je lui ai envoyé un mail l'autre jour, je voulais savoir la couleur exacte de la Lune. Si vous pouviez atteindre cette photo, je la montrerai. Elle est derrière la boîte à cigare. La photo en couleur...


Bill Ryan: Désolé John, de laquelle parlez-vous?

John: La longue avec le ciel jaune.

Kerry: Tout en haut? Vous ne voulez pas dire sur le mur?

John: Non. derrière la boite à cigare.

Bill: Oh, ici !

John: Oui. Ah, je comprends, ces boites à cigare là...

Bill: Je regardais le...

John: Non, donnez moi juste la photo.

Bill: Oui, ça y est. Je n'ai jamais vu ça avant; dites moi ce que c'est.



INTERVIEW DE JOHN LEAR Lune


John: Okay. C'est le cratère Copernicus; c'est la même photo que là-haut. [montre le mur] Et j'ai juste mis la véritable couleur du ciel lunaire. Comment je sais cela? Parce que j'ai écrit à Howard Menger, en Floride, qui y est allé en 1954. Et quand il a regardé le ciel, il a dit que c'était la couleur qu'il voyait. Il a utilisé le terme safran. Je lui ai envoyé un certain nombre d'échantillons de couleur safran et il a marqué cette couleur là d'un X. J'ai donc mis cette couleur là derrière le cratère Copernicus. C'est la couleur du ciel.

Bill: Pourquoi celle ci? Pourquoi n'est-ce pas bleu?

John: Nous pensons que c'est cette couleur parce que, quoique l'atmosphère ne soit pas si dense que sur Terre, c'est plus haut et les rayons se réfléchissant à travers l'atmosphère iront plus vers le jaune.

Bill: Sur Terre, ce qu'on a en haute montagne, par exemple, c'est un bleu plus soutenu. Je le sais parce que j'y suis allé. Il faudrait une composition d'atmosphère différente pour créer cet effet. Ça contiendrait des gaz différents, savez-vous quelque chose là dessus?

John: Non.

Bill: Okay.

John: Tout ce que je sais, c'est que c'est respirable. Il est sorti. Il disait qu'il faisait très chaud mais pas tant qu'on nous le fait croire. Il a aussi dit qu'il ne pouvait pas supporter trop longtemps, mais il a regardé le ciel et a vu cette couleur et...

Kerry: Pouvez-vous nous en dire plus sur lui? Quels sont ses antécédents?

John: Howard était juste une personne qui vivait une vie ordinaire, et ILS sont venus, et ILS, ou les gens de la Lune, sont venus pour l'inviter à y aller. Il a écrit ce livre appelé «Mes Amis, Les Hommes de l'Espace: Les Révélations Fantastiques des Visiteurs d'Autres Mondes». Il a un site web. J'ai lu ce livre plusieurs fois, comme vous pouvez le voir ici. [montre le livre ouvert] J'ai surligné exactement ce qu'il dit sur la Lune, là ou il a été emmené. Il y avait beaucoup d'autres personnes. Il dit que les endroits qu'il a vus... l'un des endroits était comme la Vallée du Feu au Nevada.

Il écrit: « À cet endroit, nous nous sommes arrêtés assez longtemps et un guide a ouvert la porte en nous autorisant à sortir nos têtes un court instant, ce qui était tout ce qu'on pouvait supporter, tant il faisait chaud à l'extérieur, comme un foyer d'explosion. J'étais sûr que personne ne pourrait survivre dehors très longtemps et j'étais heureux d'avoir la porte fermée.


Kerry: Peut-être que la température est à la base des dômes, parce que vous pouvez y réguler la température?

John: C'est juste. Oui, je suis sûr qu'il y a des petits dômes. Je ne pense pas qu'il y en ait comme ce que décrit Hoagland, des dômes gigantesques partout. [il lit]: « J'ai regardé le ciel, il était jaunâtre. En regardant, j'avais l'impression étrange que si je marchais un peu, je tomberai parce que l'horizon était si bas. » Il y avait d'autres groupes avec lui, tout comme des gens ordinaires (scientifiques, géologues, ingénieurs électroniques, experts sur les fusées, astronomes.)

Kerry: Vous dites qu'il a 80 ans maintenant?

John: 86. Il a eu 86 l'autre jour.

Kerry: L'avez-vous rencontré?

John: Pas en personne, seulement par mail; je lui ai écrit.

Kerry: Pour autant que vous sachiez, il n'a pas de raisons de mentir n'est-ce pas?

John: Non, non. Parce que son histoire est la même que celles de George Adamski, et aussi Truman Bethurum. L'autre... Ceux que le gouvernement appelle «les contactés»; c'est une façon de dire: « Ouais, et bien vous savez, ce sont juste des contactés. » Je pense qu'eux deux, Adamski et Menger, sont devenus des sources importantes pour le gouvernement. Au début, il y a 20 ans, les gens disaient: « Pensez-vous que les soucoupes volantes soient réelles? » et je disais: « Oui, mais vous savez, l'histoire Adamski, c'est du bidon. » Ça ne l'était pas ! Tout était vrai. Howard Menger aussi, et Truman Bethurum, et Daniel Fry.

Tous ces gens ont dit l'exacte vérité. Mais les faits sont là. Si vous allez sur le site «The Living Moon», vous voyez les papiers originaux du gouvernement et qui était impliqué dans le projet antigravité en 1952; et Lear Incorporated, la société de mon père, est mentionnée. Il y a une vidéo qui circule sur le net qui le montre à un tableau noir quand il enseigne aux scientifiques de l'Institut Bahnson comment vole une soucoupe. C'était vers 1954/1955. Mais le fait est que nous avons résolu l'antigravité en 1957 ou 1958. Et nous avons commencé à construire notre propre vaisseau et sommes allés sur la Lune en 1962. Mercury, Gemini, Apollo, n'étaient que des couvertures pour tout ce qui se passait.


Bill: Alors que dites-vous de... toutes les photos de la NASA, toutes les photos d'Apollo sur la Lune qui ne montrent pas le ciel jaune? que se passe-t-il?

John: Oui. Ça montre toujours un noir d'encre. C'est parce qu'ils ne peuvent pas montrer la vraie couleur. C'est pourquoi toutes ces photos sont fausses. C'est pourquoi il n'y a pas d'étoiles. Ils n'ont pas eu le choix, car ils essaient de dire que c'est sombre, que c'est du vide. Ça ne peut pas être du vide, parce que Neil Amstrong a dit qu'il pouvait ramasser la poussière avec son orteil. Nous savons tous que le vide... que la poussière se déposera en croûte et que vous ne pouvez pas ramasser ça avec votre orteil. Ils ne pouvaient pas montrer le ciel parce qu'il était couleur safran, et cela montrerait à tous qu'il y a une atmosphère.

Je ne suis pas sûr qu'Apollo11 y soit bien allé. Voici pourquoi. Bon, peut-être qu'il est allé sur la Lune... le module de surface... et qu'il ait été en orbite. Mais le problème que j'ai, c'est qu'ils n'avaient que 11 000 litres de carburant et qu' ils sont allés dans une orbite de 75km sur 15. C'est impossible avec une pesanteur de 64% et en admettant que ce soit possible à une distance de 15km, ils devaient descendre sur la surface, alunir, puis décoller avec 11 000 litres. Je ne conçois pas qu'ils l'aient fait. Ce n'est pas suffisant comme carburant pour le faire.

De plus, j'ai un groupe d'amis qui ont remote viewé Apollo11. A-t-il aluni? Ils n'ont pu voir aucun alunissage. Tout ce qu'ils ont vu, c'est une opération de couverture de la CIA. Et puis, il y a le commentaire d'Aldrin. J'aimerai lire un passage de son livre.


Bill: Tous les astronautes ont des choses intéressantes à dire, n'est-ce pas?

John: Oh, oui ! Voici ce qu'Aldrin répond à la question: « Comment vous sentiez-vous sur la Lune? » [John lit] Citation: « Pour l'amour du ciel, je n'en sais rien! Je ne le sais pas! Je suis contrarié par cette question depuis le jour ou j'ai quitté la Lune. »

Kerry: Oui, étonnant.

John: Et puis, il y a les G's nécessaires pour orbiter et dé-orbiter; comme vous le savez, le module n'a pas de couchettes ni de sièges. Ils se tiennent debout. Ils étaient debout avec un accoudoir ici et là. [montre le dessous des poignets] Et juste une petite ceinture qui venait des cotés et les entourait, même pas suffisant pour une ceinture de sécurité. Ca s'appelle des " attaches de pilotes. " C'est tout ce qu'ils avaient. Il faudrait croire qu'ils sont sortis d'orbite à 16 000 pieds, ont aluni, et ont décollé avec un accoudoir? Non, non, je ne pense pas que ceci soit vrai.

Il y a aussi l'échelle différente. Dans les photos de «One Small Step For Man» et les photos de Apollo11 prises après ça, on voit une échelle beaucoup plus fine, faite de tubes, d'aluminium, comparée à celle de «One Small Step For Man» qui a au moins 8 cm d'épaisseur. Donc, pour moi, Apollo11...n'a pas aluni. Les autres peut-être; mais je ne suis pas sûr qu'ils aient aluni, pour n'importe lequel c'est avec une technologie qui utilise l'antigravité.


Bill: C'est... c'est ce qu'on nous a dit. On nous a dit qu'ils ont eu de l'aide. Sinon, ils n'auraient pas pu alunir.

John: C'est le seul moyen d'y être parvenu.

Bill: Et ils n'auraient pas pu traverser la Ceinture de Van Allen. Vous n'avez rien là-dessus?

John: Je crois que c'est vrai. Mais j'hésite, car Bob m'a dit qu'il n'y a rien de dangereux dans la ceinture de Van Allen. Mais sur ce que vous en dites, Sleeper est inflexible sur ce point; il dit que personne ne peut la traverser. Il dit que c'est une couche protectrice autour de la Terre pour que nous ne puissions pas sortir. Le seul moyen pour sortir est d'avoir de l'aide.

Kerry: Oui, c'est aussi ce qu'on nous a dit.

Bill: On nous a dit ça, de l'intérieur, la même chose.

John: Sleeper est très résolu là-dessus.

Bill: Très intéressant. Okay. Je dois vous interroger au sujet de la réfutation standard pour la question de l'atmosphère, qui est que quand vous regardez la Lune dans un télescope et que vous voyez une étoile, elle ne scintille pas. Elle est juste très claire. C'est comme si elle est toujours là et hop... [claque des doigts] elle disparait tout d'un coup.

John: Les gens qui disent ça n'ont pas vérifié. Si vous lisez le livre de V.A Firsoff, «The Strange World of The Moon», vous verrez qu'il y a beaucoup d'exemples d'occultation. Mais cela ne peut se produire que s'il y a une sorte de poussière ou de dépôt dans l'atmosphère. Ici, sur Terre, on voit toutes sortes de problèmes là haut. Sur la Lune, c'est très clair, parfaitement superbe, et selon l'épaisseur, il ne peut y avoir aucune occultation. Dans ce livre, il cite au moins 14 ou 15 astronomes qui ont vu une occultation.

Bill: Ok. Je voudrais vérifier ma compréhension de la question du centre de gravité de la Lune qui est décentré. Est-ce que j'ai bien compris?

John: Oui. Correct. C'est 57 km plus loin de la Terre qu'on ne le croit, et bien sûr c'est également confirmé par Apollo.

Bill: Ça n'a pas l'air d'être suffisant pour faire une quelconque différence relativement à la taille de la Lune.

John: Bien sûr. On ne sait pas de quoi la Lune est faite, on ne sait pas combien... quel poids ça ferait... mais le fait est que la Lune a cette particularité... comment appellent-ils ça? Quand ça tourne au sommet? Oui... comment appelle-t-on ça? [lit] Libration: un autre mystère du vaisseau lunaire est son oscillation spéciale. La science traditionnelle émet la théorie que cette oscillation est causée par la rotation synchronisée avec sa période orbitale. [tidal lock] Ce tidal lock est une théorie absurde pour expliquer des forces inconnues comme les "gravitons» pour expliquer la pesanteur.

[Je ne comprends absolument pas le paragraphe suivant, le voici dans le texte. Si quelqu'un désire le traduire, je l'insèrerai, merci.]
Maybe the Spaceship Moon's libration or wobble is caused by the rotation of the Moon about the location of the gravity B-wave generator, which is located further away from the Earth, from the center of the spaceship Moon 's geocentric center. It's curious to note that one cycle of libration is equal to one period of rotation of the Spaceship moon.


Bill: Donc, vous dites que c'est l'une des causes d'une pesanteur plus importante sur la face cachée que sur cette face-ci quand vous êtes sur la surface? Ainsi l'atmosphère est sur l'autre coté de la Lune?

John: Peter Andreas Hansen sentait que c'était de l'autre coté. Mais le fait est, s'il y avait une pesanteur plus importante, plus loin, ce serait l'altitude qui déterminerait si l'air est plus dense sur le coté lointain ou sur le coté proche. On ne connait pas la moyenne de l'altitude avec certitude; si nous le savions, nous serions capable de dire où se trouve l'atmosphère la plus dense. Mais, de toute façon, l'atmosphère la plus dense ira sur la partie la moins élevée.

Bill: Okay.

John: Voici une photo de la Lune prise par l'observatoire Lick et de toutes les photos de la Lune que vous voyez (parmi toutes les photos faites depuis le début jusqu'à ce jour) il y a un endroit très clair appelé «Aristarchus». Quand vous demandez à la NASA, ils répondent: « C'est vraiment très blanc, nous ne savons pas ce qu'il y a, ni pourquoi c'est comme ça ».
L'été dernier, nous avions un astronome en Angleterre qui a pris une photo qui montre cette tache blanche. Nous avons découvert ce que nous croyons être un réacteur de fission de 45 km de diamètre. Vous pouvez voir la photo ici.
[tient la photo de la Lune qui montre ce réacteur, à 21' sur la vidéo #4 à la fin de ce post.]

Kerry: C'est génial !

John: Vous pouvez voir les sections de support ici, et là, vous voyez la lueur bleue... du rayonnement pendant que le réacteur est en marche.

Kerry: Absolument. Donc c'est un réacteur nucléaire sur la Lune. C'est visible sur cette face-ci n'est-ce pas?

John: Exact. On nous a toujours dit que c'est juste... blanchi sur toutes les photos. Ils prennent du blanc et allons-y. Alors qu'en fait c'est un...très beau...

Kerry: C'est vraiment incroyable ! En avez-vous appelé à Hoagland?

John: Je ne me souviens pas. Je sais qu'il ne l'admettra pas. [montre une photo] C'est la photo de Clémentine. Vous voyez comment c'est repeint?

Bill: On s'est demandé si vous aviez des infos, des intuitions ou autres, sur ce qui est arrivé à Steve Fossett?

John: J'ai piloté pour Barron Hilton pendant 3 ans, son Hawker 125 et son Lear jet, et je suis souvent allé au «Ranch M», tout ça m'est très familier... Le fait est que le «Navy Undersea warfare Center» n'est qu'à 24 km à l'est.
C'est une coïncidence, mais c'est 2 jours après que j'ai posté toutes ces infos sur Internet sur le sous-marin, le Naval Warfare Center, le cuirassé, et le lien d'Hawthorne avec la base sous-marine, que Steve Fossett a disparu.

Alors ma théorie est qu'il volait par ici, qu'il a vu un truc intéressant, a tourné autour, le commandant de la Navy a regardé en l'air et a dit: « Je vous parie que c'est John Lear, descendez-moi cet enfoiré ».


Kerry: [rigole]

John: Ils l'ont donc descendu. Et ils sont allés... Ils l'ont trouvé et c'était Steve Fossett. L'amiral a dû dire: « On s'est trompés. Personne ne doit savoir, débarrassez-vous de l'avion et du corps ».

Kerry: Dingue ! C'est vraiment dingue!

John: Mais, vous savez... - à prendre avec des pincettes - il n'y a aucune raison que Steve Fossett disparaisse comme ça. Ça n'est tout simplement pas crédible. Si on considère les sommes dépensées, les avions, le temps, qui ont été utilisés dans cette recherche. Comment a-t-il pu disparaître?
Ce qui pose problème... au début de sa disparition, on nous a dit qu'il cherchait une planque, dans un coin retiré pour sa voiture. Eh bien, c'est quand même facile; prenez une carte, il faut 10km, et il n'y a pas tant de lacs asséchés qui font 10km de long, et tous sont répertoriés sur la carte. Il n'aurait donc pas à tourner autour en avion pour trouver le lit d'un lac non découvert accidentellement. Enfin, c'est ridicule!!


Kerry: De plus il n'allait pas voler entre les montagnes pour ça, n'est-ce pas?

John: Non. Ensuite, on nous a dit qu'il avait pris sa montre avec l'appel d'urgence automatique. Puis, c'était non, il n'avait pas la montre. Je vous dis ceci: les versions comme quoi il a été tué au dessus d'espaces interdits comme Groom Lake ou Tonopah Test Range sont juste ridicules. Ce n'est pas du tout comme ça que ça se passe.

Kerry: Je pense qu'il a été recruté et envoyé sur Mars ou sur la Lune.

John: Vous dites?

Kerry: Je pensais qu'il a été recruté... peut-être de force, pour travailler sur Mars, ou sur la Lune.

John: C'est une possibilité. Il y a eu des disparus pour lesquels je me posais quelques questions. Le principal, c'est Bob Nathan. Bob Nathan était le chef de la formation Images pour Viking à JPL... très connu... toujours disponible pour le public. Bob Lazar et moi sommes descendus pour le rencontrer personnellement et lui poser une question sur Mars. Nous avons eu les badges et avons été admis. Il était facilement accessible et nous a dit tout ce qu'il savait. Et maintenant, si vous le googlez, il n'y a aucune trace de lui !

Kerry: Wow !

John: C'est comme si vous allez sur Wikipedia et cherchez John Lear... il n'existe pas; et si vous cherchez dans leurs dossiers, le seul commentaire est: « Pas de justification pour ce qu'il affirme ». C'est tout pour Wiki. Mais vous trouvez Bob Lazar, Bill Lear, l'Homme sur la Lune, Howard Menger, ... tout le monde, sauf John Lear.





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MessageSujet: Re: INTERVIEW DE JOHN LEAR   INTERVIEW DE JOHN LEAR Icon_minitimeSam 5 Juin 2010 - 15:34

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John Lear: Nous avons été admis personnellement. Il nous a dit tout ce qu'il savait. Et si vous le cherchez sur Google... vous le googlez et il n'y a aucune trace du type !

Kerry Cassidy: Donc, Bob Nathan a disparu d'après vous?

John: Pour Google, oui. Je n'arrive pas à le trouver. Quand Bob travaillait à S-4, on lui a montré une photo de ce qu'ils appellent «Cydonia»; il y a des pyramides et «Le visage» sur Mars. Les photos étaient très claires, et sur les pyramides, il n'y a pas de doute, il pouvait voir des portes, des fenêtres, des poignées de portes, tout. Donc, quand Bob a quitté S-4, nous sommes descendus à JPL pour lui parler.

Kerry: Wow!

John: Je veux dire que la photo montrait un lieu où les gens vivaient. Nous avons demandé à Bob Nathan s'il y avait eu d'autres photos de prises en dehors des deux que Hoagland et Di Pietro ont mises dans leurs livres. Il a répondu: « À notre connaissance, non. » Et nous avons dit: « Et bien, vous voyez, ces photos ont été prises à très basse altitude; est-ce que Viking est jamais allé plus bas que d'après les photos de Hoagland et Di Pietro? » Nathan a répondu: « Oui, mais on n'a pas fait de photos de cette altitude plus basse. »

Kerry: Okay.

John: Cela nous en dit encore sur la compartimentation. Bob Nathan connaissait une partie de son programme, mais Bob Nathan n'est pas le chef de son programme. Il est juste le chef de file pour certaines parties de ce qu'il fait. Ce sont les types en Australie qui... vous savez..., Canberra, qui reçoivent en première main les signaux qui indiquent exactement ce qui se passe.

Kerry: Oui.

John: Nous avons une fille, Kathy Thomas, qui a travaillé à Goldstone. Elle nous racontait de drôles d'histoires, à Bob et à moi. Elle disait: « On était assis là, attendant un signal de Mars, pendant 24 heures et ils envoyaient un message pour dire : " Bon, vous avez fini les retouches sur les photos? on en a besoin." » Elle nous a invité tous les deux à Goldstone et nous a offert le grand tour; on est monté dans l'antenne et tous les autres lieux, c'était vraiment génial. Malheureusement, elle a été transférée deux semaines après. Elle est partie travailler pour Raythéon, sur le site des tests. Je n'ai plus entendu parler d'elle depuis.

Kerry: Wow!

John: Mais Bob dit qu'il a des nouvelles.

Kerry: Ah oui?

John: Mais une fois que vous bossez là bas, vous ne parlez à personne. Par exemple, si vous travaillez pour Space Command à Colorado Springs, quand on vous embauche, on vous dit de dire au revoir à tous vos amis parce que vous allez avoir de nouveaux amis. Ils veulent éviter qu'accidentellement, en rencontrant un vieil ami, vous disiez: « Hey, tu ne devineras jamais ce que je fais maintenant! »

Ils sont sérieux. Ils disent: « Dites au revoir à vos vieux copains car il n'est pas question de les revoir ». C'est comme ça qu'ils évitent les racontars.


Kerry: C'est incroyable.

Bill: Vous dites: on a montré à Bob Lazar des photos détaillées de Cydonia à S-4 quand il y travaillait?

John: Oui, oui. Les photos des pyramides et...

Kerry: Savez-vous pourquoi on lui a montré?

John: Ça faisait partie de son briefing. Ils lui ont dit: « Ce sont les bases que l'on avait sur la Lune, et la base que nous avions sur Mars. »

Bill: Que se rappelle-t-il sur ce qu'on lui a dit sur la base de Mars? Vous savez, sa fonction, sa taille et qui s'y trouve?

John: Rien. Je vous ai dit tout ce qu'il m'a dit. Et c'est juste qu'on lui a montré la photo. On est descendu pour demander à Nathan et c'est tout ce qu'il savait. Quand vous décidez de ce que vous prendrez comme recherche, c'est tout ce qu'ils vous disent. Et ce qu'il voulait faire, c'était la rétroconception de la propulsion. Ils ne vous briefent pas sur autre chose.

Je voulais aussi parler à Dan Burish sur... Vous savez, ce qui m'a fait croire Dan Burish, c'était le détail des formalités. Quand vous sortez de l'avion, qu'est-ce qu'ils font? Dan Burish... j'ai vu cette bande vidéo, et il a passé une heure à dire exactement ce qu'ils font. C'était si détaillé ! Je ne vois pas comment on ne peut pas y croire.


Kerry: Oui.

John: Je veux dire que vous ne pouvez pas inventer ces trucs sur la façon dont vous êtes escorté là bas, le changement des gardes et tout ça. Et il a dit... qu'il était pesé. Ils sont pesés à l'entrée et à la sortie et ce que je veux lui dire, c'est que ça a commencé il y a quelques années à cause de Bob Lazar [en riant]

Pour l'un de ses voyages, il avait emmené un petit appareil photo110, et ils ne les fouillaient pas à l'époque. Il est entré dans S-4 avec. Il avait une chaise, il s'est adossé en arrière et l'a mis dans l'un des pieds. Il devait prendre une photo et l'apporter. Mais il a eu son problème avant de pouvoir le faire et après qu'il soit parti, quelqu'un a trouvé la caméra ! C'est là qu'ils ont commencé à peser. [rires]

Kerry: [rit aussi] Quelle histoire! Ok John, encore une question. Vous avez piloté pendant des années et des années comme pilote de grandes compagnies, ok? Avez-vous jamais vu un ovni quand vous pilotiez?

John: Vous savez, comme je l'explique, quand vous volez vous ne cherchez pas des ovnis. Vous regardez les instruments et vous voyez où vous allez; ou bien, ce qui est mon cas, vous dormez. Et puis la nuit, quand c'est plus facile de voir des ovnis, vous ne regardez pas dehors. Primo, vous avez un tableau de bord très éclairé qui se reflète dans la vitre, avec toutes sortes de réflexions autour. Vous faites attention à ce qui se passe ou alors comme moi, vous dormez.
Donc, ce n'est pas évident. Vous ne feriez pas attention. Vous n'auriez pas la CHANCE de voir un ovni. Il faudrait que vous colliez votre visage contre la fenêtre, vos mains autour des yeux, et qui va faire ça?


Kerry: Juste.

John: Mais oui, c'est arrivé deux fois.

Kerry: [rires]

John: La première, en 1966, sur la descente à Los Angeles dans un jet Lear, au dessus de Palm Springs sur la longue descente de Panning Pass. Je descendais et j'ai vu un objet blanc qui allait de gauche à droite devant moi. Ca avait l'air d'un M2-F2, c'est «la baignoire volante», vous savez, celle que l'homme qui valait 7 milliards a écrasée?
Vous vous souvenez de cette série? Il n'y avait pas de moteur. Il y en avait un petit, mais pour atterrir; ça ressemblait à une baignoire.


Kerry: Vous vouliez dire l'homme qui valait 6 milliards?

John: Et quand j'ai atterri, j'ai pris la peine d'appeler le chef des pilotes de Lear Jet, Hank Beard, et j'ai dit: « Hey, tu ne vas jamais croire ce que j'ai vu! Le M2-F2 m'a dépassé aujourd'hui en allant sur Palm Springs. » C'est seulement des années plus tard que j'ai compris combien c'était ridicule! Qu'un M2-F2 vole sur la voie d'approche principale de l'aéroport international de Los Angeles! Ils ne pilotent ce truc que dans le désert. Donc c'était bien autre chose.

Kerry: Donc par deux fois... ça fait une.

John: Puis, dans un Lockeed L1011, ici, juste avant ma retraite, avec KittyHawk International, en direction de l'ouest, au dessus du midwest. Non, plutôt au sud de Chicago, je regardais au sud... et bien sûr, les collègues avec qui j'étais... voyez, personne ne s'intéressait aux ovnis. Ils ne voulaient rien savoir. Ils ne voulaient pas que je leur montre quoi que ce soit. De plus, habituellement, je dors. Mais justement, j'étais éveillé cette fois ci.

Il faisait très très sombre et tout était très calme; et j'ai vu cette chose arriver comme ça et partir très très loin
[fait des bruits d'explosion en montrant vers le haut] hors de l'atmosphère. Je me suis dit: « Wow! c'était vraiment quelque chose! » Puis j'en ai vu un autre. BOUM, de l'autre coté. J'ai dit: « Hé bé, c'est vraiment quelque chose! je devrais dire à ces types mais dès que je vais le faire, il n'y aura plus rien et j'aurais l'air d'un imbécile. » Et puis en voilà un troisième, BOUM! Et je me dis: « Bien, je vais essayer » et j'y vais: « hé les gars, je voudrais que vous regardiez quelque chose par ici. »
Nous regardions et une cinquième boule est arrivée, elle a fait BOUM et tous les deux se sont assis en disant: « Put..n je n'ai jamais vu de truc pareil! »
C'était ça la deuxième fois, et c'était vraiment bien, parce qu'ils l'ont vue tous les deux. Aucun doute.


Kerry: Wow! Incroyable.

John: Ils étaient tous deux en état de choc.

Kerry: C'est génial.

John: Et voyez, c'était vraiment un ovni, trop petit pour voir ce qu'il...

Kerry: Quelle année était-ce?

John: Ça devait être en 98 ou 97.

Kerry: Ah, pas si loin.

John: Donc, je suis sûr que c'était à nous.

Okay. Les gens disent: « Il y a des soucoupes, des reptiliens, des bases secrètes et des satellites secrets et on a fait nous- même le 11 septembre, nous nous sommes bombardés. Et il y a les guerres, et vous dites que des guerres nucléaires arrivent. Alors? que sommes-nous supposés faire avec tout ça? À quoi ça rime? »

Le seul point valable est d'essayer d'avancer dans votre propre vie. Et une façon d'avancer est d'essayer de vivre votre vie sans jalousie, sans haine et sans avidité. C'est vraiment tout ce que nous pouvons faire; et de passer autant de moments que vous le pouvez avec votre famille. Nous ne pouvons pas être responsables pour les méchants. Nous ne pouvons pas être responsables pour les enfants qui ont tant de mal dans le monde. Nous ne pouvons pas être responsables des guerres nucléaires si elles ont lieu.
Tout ce que l'on peut faire, c'est d'être responsable de nous même et de vivre nos vies simplement et de dire à chaque membre de notre famille combien nous les aimons. J'essaie de vivre sans avidité, sans haine, ni jalousie, mais il y a un bon paquet de trou du c.... parfois...
[rit]

Kerry: C'est super! Ce sera notre mot de la fin.


[... Pause Déjeuner]


John: Pourquoi êtes-vous inquiets?

Kerry: Nous avons peur de perdre...

Bill: Nous avons peur de perdre «du croustillant» quand nous ne filmons pas.

John: [rit] Parce que je ne suis pas branché.

Bill: Parce que s'il n'y a pas de micro, c'est perdu à jamais et on pense l'avoir almors que c'était pendant la pause. Nous devons contrôler l'environnement ici, c'est pourquoi...

John: C'est juste.

Bill: C'est si facile d'oublier. Ça fait: Ahrr...c'est comme quelque chose dont vous avez parlé pendant le déjeuner!


[Conversation pendant le déjeuner. Audio seul]


John: Il dit: « Tu l'as envoyer balader il y a quelques années, elle était venue et tu lui as dit... d'aller voir ailleurs. "

Kerry: [rires]

John: Alors j'ai quand même appelé Angela, et comme par hasard, elle donnait un cours complet deux semaines plus tard. Je voulais prendre ce cours de vision à distance parce que je ne suis nullement voyant, je ne sais pas quand ma femme est en colère. [Kerry et Bill rigolent] Je ne sais pas quand on va sonner à la porte, je ne sais pas quand le téléphone va sonner. Et je voulais savoir si j'étais capable de voir à distance. La réponse était: POSITIF! Absolument. J'étais stupéfait de ce que je pouvais faire.

Kerry: C'est merveilleux.

John: Chaque jour l'un de nous devait envoyer aux autres, leur donner une destination. Et quand mon tour est venu, je leur ai envoyé «Vénus» et je n'ai donné aucune information à l'avance.

Kerry: J'ai suivi cette formation.

John: Je n'ai rien dit. Et à la fin, c'en était risible, parce que tout le monde.. quand ils se sont calmés... ils ont dit: « Wow! quel endroit! J'aimerais bien y aller, parce que c'est très beau là bas. »

Kerry: Ah! c'est génial.

John: C'était vraiment satisfaisant d'avoir pu faire ça.

Kerry: C'est cool. Oui.

John: Dans les années cinquante, on a eu quelques types de la Navy qui se sont servis d'un ballon pour vérifier l'atmosphère de Venus. Ils ont dit qu'il y a probablement une atmosphère et même de la vie là bas. Donc, quelle qu'en soit la raison, il fallait y mettre un terme.
Ma théorie est qu'ils ont mis un général avec ses conseillers autour d'une table et il leur disait: « Voici le plan. Nous devons être sûrs que personne ne croira que la vie existe sur Vénus, donc donnez-moi des idées. » Brainstorming! Et un type commence: « Que dites-vous d'une atmosphère d'acide sulfurique? » « Allez, il faut penser en dehors de la boîte là, quoi d'autre? »

Eh bien et les volcans? Des volcans en éruption? Mieux, il y a un volcan tous les deux kilomètres sur Venus, avec plein de lave tout autour.
Ok, encore une idée, que dites-vous d'une pression atmosphérique de 90 bars? Super! 90 bars de pression! Personne ne pourrait vivre avec 90 bars, 90 fois la pression terrestre! On a un super programme là.
Et l'un des capitaines dit: « Vous savez général, je ne pense pas que quiconque puisse croire cette foutaise. Comment tout cela pourrait-il exister sur une planète si proche de nous? Je veux dire, pourquoi il y aurait de l'acide sulfurique et des volcans qui explosent, et 90 bars de pression ! » Et il répond: « T'inquiètes pas, mon garçon. Si on le crie assez fort et assez longtemps, ils le croiront ! »
Et voilà la naissance de la planète Vénus !


Kerry: Incroyable. C'est un scénario plausible, que vous venez de décrire.

John: Et bien tous les deux, Menger et Adamski... je crois qu'ils l'ont vu ou sont allés là bas.

Kerry: Il y a aussi la rumeur d'un alien «d 'apparence humaine» à la Maison Blanche?

Bill: C'est Vaillant Thor. C'est lui, l'Etranger du Pentagone.

John: Val Thor? Val Thor, oui.

Bill: Ouep, val Thor. C'est Frank Stranges qui a écrit un livre: «Un Etranger au Pentagone», et, si je me souviens bien (je ne l'ai pas lu) Val Thor venait de Venus. C'était avant leur décision d'éliminer l'histoire de Venus.

Kerry: C'est ça.

Bill: Que savez-vous là dessus?

John: Seulement que son vaisseau - le vaisseau de Val - était sensé être garé ici à Lake Mead. J'ai les coordonnées ici, vous pouvez y aller et voir où c'était. C'est tout ce que je sais sur Val Thor.

Bill: Nous avons interviewé Bob Dean, juste après notre première interview avec vous, vous devez le connaitre; quel homme merveilleux. D'après lui, les aliens que les autorités craignent le plus sont ceux que l'on ne peut distinguer des êtres humains.

Kerry: C'est vrai.

Bill: Et qui allaient et venaient dans les couloirs du Pentagone, et au gouvernement, et chez les militaires, et vous savez... dans la rue, vous ne verriez pas la différence. En avez-vous entendu parler?

John: Il y a des aliens comme ça. Mais le problème, c'est que nous avons fait alliance avec les mauvais. Nous pensons que les gris sont nos ennemis, et c'est pour ça que nous avons construit ces 12..., au moins 12..., plateformes spatiales armées, pour les armes à énergie directe qui entourent le globe maintenant. On a commencé en 1968, avant même Apollo, et on a continué à construire depuis.

Et leur intention est (et quand je dis leur ou ils, je parle des Nasty-Nasa-Nazis), s'ils ne peuvent pas se débarrasser des Gris, ils vont faire sauter la Terre. Parce qu'ils ne veulent pas que les Gris possèdent ce qu'ils considèrent comme un prix remporté. Ils ne comprennent pas qu'il y a des milliards de Terres. Il y a des milliards de Terres semblables à la nôtre, à tous les stages de développement, et ils pensent qu'ils vont détruire la Terre; ils ont tout faux.
L'une des premières choses que Bob m'a dite ce soir là, il avait vu un message que l'on a envoyé aux propriétaires des Gris, c'était: « Ou vous nous aidez à nous débarrasser des Gris ou bien personne n'aura la Terre. "

Et quand Bob m'a expliqué sur cette super arme que nous avons, qui peut détruire un continent de la taille d'une demi-Amérique du sud, et bien, depuis, j'ai entendu des gens très bien informés dire: « Oui, nous avons des armes très redoutables, je ne suis pas sûr de la tournure que cela prendra. »
Donc, le plan, c'est que ceux qui dirigent tout ça vont détruire... le plan, c'est de nous détruire tous s'ils ne peuvent éliminer les Gris. Et inutile de vous dire qu'ils ne se débarrasseront pas des Gris. Les Gris sont absolument PARTOUT!


Kerry: Oui.

John: Je ne peux pas dire qu'ils sont bénéfiques; ils ont un travail à faire, et c'est d'être responsables des «récipients». Des fois c'est bien et des fois pas. Mais c'est leur travail. Et absolument PERSONNE n'empêchera ça. Alors, ils vont plutôt sûrement nous protéger d'une catastrophe qui va venir. Mais en attendant.. la Nasty-Nasa...

Kerry: Et les reptiliens?

John: C'est un deal à part, j'en suis sûr. Ils ont leur propre civilisation. Ils sont probablement sous-terre.

Kerry: Oui, mais vous savez bien qu'il y a plusieurs races de Gris, non?

John: Oui, il y en a plein et il y a plein de reptiliens. Ron Schmidt et moi avons parlé à un type, un scientifique, à l'aise dans toutes sortes de conversations; et il nous a relaté sa première rencontre avec un reptilien. C'était si incroyable, il travaillait en face du labo. Il a juste regardé ce type et lui a posé une question. Il dit que la deuxième paupière s'est fermée pendant une seconde !

Bill: On a été contacté par un scientifique, le neveu de l'un des anciens directeurs de la CIA. C'est un type très solide et intelligent; il est allé à Dulce pour un boulot technique. C'est de là qu'est partie la conversation. Dans son briefing pour Dulce, on lui disait quoi faire s'il rencontrait un reptilien. Ça faisait partie du briefing comme n'importe quoi d'autre.

Si vous rencontrez l'un d'eux, vous laissez tomber vos mains avec les paumes ouvertes pour montrer un geste de supplication, ce qui prouve que vous n'êtes pas menaçant. Il disait que c'est ce que l'on fait avec les reptiliens et ils vous laissent tranquilles. Et il en a rencontré un. Il a rencontré un reptilien qui communiquait silencieusement avec un Gris. Il a fait ce qu'on lui avait dit. Il a ajouté que cette grande créature était impressionnante, arrogante, froide, et donnait l'impression qu'il pouvait vous tuer d'un simple coup.


John: Euh... euh..

Bill: Alors, il a reculé... lentement et c'était cool. Il nous raconte ça comme n'importe quoi d'autre. Est-ce que ça colle avec ce que vous savez?

John: Absolument. À 100%... comme beaucoup d'histoires...




Fin de cette interview produite et dirigée par Bill Ryan et Kerry Cassidy, Projet Camelot.






source:
robot http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php/topic,2366.30.html






FIN






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VIDÉOS DE L' INTERVIEW ORIGINAL






Ces vidéos sont en VO (en anglais, donc) et non sous-titrées; mais c'est plutôt mieux de les regarder tout en lisant la tanscription ci-dessus pour pouvoir visionner les documents qui y sont évoqués. Bon, c'est long, 4h, environ !!! À vous de voir...